Sainte-Nitouche et le Maître de Chorale

- Par l'auteur HDS Alain Dex -
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sainte-Nitouche et le Maître de Chorale Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Sainte-Nitouche et le Maître de Chorale
Lucie était bouleversée. Le monde s’écroulait sur ses frêles épaules.

Elle avait reconnu, devant Guigui, son très lointain cousin, beaucoup plus âgé qu'elle , médusé, que le Maître de Chorale avait pu établir une improbable et, surtout, injustifiable, comparaison entre sa toison, par ailleurs très bien fournie pour son âge, de jeune fille et celle de sa mère.

Maintenant, Guigui voulait lui faire tout avouer.



Guigui ne l’avait plus « cuisinée » sur cet aveu aussi spontané qu’inopportun.
Il avait ouvert le frigo. Il changeait de registre de cuisine.

« Chouette, du filet pur de porc ! »

Guigui était un fin cuisinier. La maman de Lucie cuisinait bien aussi. Mais quand Guigui était à la maison, c’était toujours lui qui était à la manoeuvre. Lucie aimait bien le voir cuisiner.
D’ailleurs, maintenant qu’elle était à l’Université, Lucie n’hésitait pas à faire montre de ce que sa maman et Guigui lui avaient appris en cuisine. Elle faisait régulièrement profiter sa copine de chambre et l’une ou autre invitée, de recettes qui ne manquaient jamais d’impressionner.


« Tu sais où maman range son confit d’oignon ? »
« Ben… dans le frigo, normalement… attends, je regarde… oui, voilà !… »
«  Je vais nous faire une bonne sauce au confit d’oignon ! Tu vas te régaler… Et il y aura assez pour papa et maman, quand ils rentreront demain… »

Dieu soit loué, le sujet du Maître de Chorale était abandonné. Momentanément, on pouvait se détendre.
Sauf que, se dit Lucie, pendant que le plat serait au four et que les pommes de terre cuiraient, il se passerait un long temps mort.
Elle connaissait bien Guigui. L’enquête risquait de reprendre.
Elle allait le faire boire.
Elle lui servit une bière comme il aimait. Et se servit un Martini avec des glaçons.
Elle dressa la table à son aise et lui servit une deuxième bière. Elle gagnait du temps, bien qu’elle ne fut coupable de rien, ou enfin, de presque rien, selon elle.
« À table ! » cria Guigui.

Pour accompagner le filet pur de porc caramélisé à merveille, Guigui s’était surpassé avec un merveilleux « écrasé » de pommes de terre au persil que lui seul réussissait à ce point.

Lucie ne parla que du repas et n’utilisa que des éloges. Ce n’était pas seulement une hypocrisie dictée par les circonstances. Elle trouvait ça délicieux.

Le temps passait. Trop vite, selon Lucie, mais très, très agréablement. Guigui allait peut-être oublier.

Le dessert, c’était la mousse au chocolat que maman avait laissée au le frigo. Un délice.
Chouette, encore du temps de gagné. On ne parle pas la bouche pleine.
Quand Guigui parlait à table, c’est toujours sur des sujets de cuisine ou d’alcools. Ou de femmes attachées sans défense ou en porte-jarretelles.

Quand ils étaient seuls, c’était encore mieux. Entre deux recettes de cuisine, il lui expliquait la « minette » et le « soixante-neuf ».
« Est-ce que les filles font parfois ça ensemble ? » s’était-elle renseignée.
« Oui. Parfois, quand elles sont toutes jeunes, seulement pour apprendre à embrasser… et plus âgées, quand elles ont été déçues des garçons… »
Elle adorait ses recettes de cuisine et de sexe. Elle partageait avec ses amies. Qui, depuis, avaient cessé de l’appeler « Sainte-Nitouche ».



« Maintenant, mon coeur, si tu débarrassais un peu la table et nous préparer deux cafés, s’il te plait ? »
« Tout de suite, Guigui ! »
« Avec un petit Armagnac, pour moi, si tu veux… »
« Bien sûr, Guigui ! Et moi, je peux ?… »
« Ton Gin Tonic ? Mais oui, pourquoi pas ? Avec modération… »
« Oh merci, Guigui ! »
« Lucie… »
« Oui, Guigui… »
« Je voudrais que tu mettes la petite tenue de soubrette, que je t’ai offerte… mais avec rien en-dessous ! »
« Oh ! !… Vilain !… »
Lucie obéit, mais en traînant. Pour gagner du temps.

Lucie n’avait plus que son petit tablier sur elle. Presque toute nue par-dessous, comme l’avait demandé Guigui, elle servait, avec une désinvolture feinte, le café, des petits biscuits et les alcools…
Sans se presser, sans se cacher, elle n’hésitait pas à frôler son hôte et servait sans hâte, semblant ne pas avoir conscience du délicieux et affriolant spectacle qu’elle offrait ainsi à Guigui.

Elle avait mis la musique romantique qui plaisait tellement à ses parents. À Guigui aussi.

Ce qui devait arriver, arriva. Lucie avait à peine fini de tout servir, que Guigui la prit sur ses genoux. Elle cria, mais pas trop fort, et fit semblant de se débattre, mais pas trop longtemps. Bien vite, elle se blottit tendrement dans ses bras en lui passant les bras autour du cou.

« Allez, tchin tchin… »
Ils trinquèrent.

« Bon, maintenant, ma puce, peux-tu m’expliquer comment le Maître de Chorale a-t-il pu comparer ta gentille petite mimi poilue ? Il fallait qu’il l’ait vue… au moins vue !… Tu te montres souvent toute nue ? »

Voilà, c’était reparti.

« Mais non, , pas du tout ! Je te jure, il n’y a que papa quand j’étais petite et Maman, c’est normal …et toi, parce que tu aimes bien ! »
« Alors explique-moi pourquoi il a dit que ta foufoune ressemblait à celle de ta maman… »

L’instinct féminin suggéra à Lucie la réponse à donner et la tactique à suivre…
« Tu as dit la même chose, … » sur un ton très doux, presque un murmure.

Un prétexte pour se coller à lui. Elle sortit la langue et entreprit de lui lécher l’oreille. Dans le mouvement qu’elle dut faire pour exécuter cette manœuvre, elle contorsionna son postérieur sur l’entre-jambe de Guigui. Sentant très bien sous ses fesses que la réaction était celle attendue, elle prolongea le mouvement.

«  Guigui, qu’est-ce que je sens là ? » lui chuchota-t-elle à l’oreille. Elle n’attendit pas sa réponse. Langue sortie, elle lui lécha la joue pour se diriger vers la bouche où elle effleura les lèvres de . Eut-il voulu dire quelque chose pour se défendre, il entrouvrit ses lèvres. Elle y introduisit sa langue. Une première.

Elle ne cessait cependant de contorsionner ses fesses sur l’entrejambe de son adoré.
Prisonnier, il se rendit une première fois dans un grand râle. Elle ne le tint pas pour quitte et maintint fermement sa prise. Ainsi bâillonné par une langue agile et son sexe torturé par un va-et-vient diabolique, il rendit les armes une deuxième fois.

« Cousin, tu n’as pas honte ? Regarde…Tu as mouillé tout ton pantalon… on va prendre une douche ensemble ? »

Guillerette, elle était presque sûre que allait oublier son interrogatoire à propos du Maître de Chorale. D’ailleurs, lui-même, après tout, n’avait-il pas aussi dit : « Comme ta mère. » en parlant des poils de sa foufoune ?

Duel en vue.

Les avis des lecteurs

Cher Alain Dex, je regretterai que tes textes, que je suivais avec plaisir, ne paraissent plus sur ce site



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