Le contrat : les débuts - histoire érotique

Premières rencontres.

Au début, ma femme me travestissait, m’humiliait, et je devais satisfaire tous ses désirs une fois par mois.

Elle en profitait pour que je fasse le grand ménage et repasser une pile de linge en retard.

J'étais nu sous ma jupette de soubrette avec un rosebud dans le fion. J'aimais la sensation des bas sur mes jambes épilées .

Bien sûr, j'étais épilé entièrement, les sourcils à peine dessinés, poudré, maquillé, les ongles vernis, une perruque sur mon crâne rasé.

Cette sensation était plutôt désagréable, je portais aussi une prothèse mammaire en silicone, dont les fixations imitait celles d'un soutien gorge.
Elle m'a dressé à marcher de manière féminine. Dans l'intimité, elle se complaisait à me donner des ordres et me grondait pour la moindre péccadille concernant les tâches ménagères, n'hésitant pas à me fesser et à me faire refaire.

Nous discutions après coup de nos sensations et envies.

Dans un premier temps, nous perfectionnons notre scénario intime.

En vacances l'été, nous sommes allés au Cap et je devais rester nu, simplement, elle aimait me faire porter une cage de chasteté, elle m'obligeait aussi à fréquemment la lécher et entretenir son excitation dans l'intimité.

A l'extérieur, j'étais son cavalier servant. Je portais les affaires de plages , faisais les courses et le ménage durant les trois semaines de villégiature.

C'est là qu'eurent lieu les premières rencontres. Nous sortions en boîte et elle repérait un beau mâle en vadrouille pour l'inviter à l'appart. Elle me présentait avec ma cage et mon rosebud comme un larbin. Je servais des boissons et assistais aux ébats.

Puis, j'ai pu participer et souvent cela commençait par un cunnilingus puis finissait par le léchage du sperme sur ma compagne ou le nettoyage de la verge de l'amant occasionnel sous les injonctions de mon épouse.

En général le mec en rajoutait, me traitant de fiotte, me biffant au passage.

Une fois parti, elle me délivrait et nous faisions l'amour tendrement.

Les vacances permettait de se lâcher et le Cap propice à nos activités.

Rentrés en région parisienne, nous avons repris nos habitudes. Elle a exprimé le désir de sortir, moi, travesti et de ramener des amants.

Nous avons commencé par aller au restaurant puis au spectacle, ciné, théâtre… Elle faisait des commentaires sur les hommes que nous croisions comme si nous étions deux copines. Je l'accompagnais aussi dans des boutiques de modes, elle me faisait essayer des dessous, corset, porte jarretelles mais aussi des chemisiers, tailleurs pour des sorties chics.
Nous sommes allés en boîte, je la regardais se déhancher , allumer des hommes puis discuter avec eux en aparté, me désignant du menton.

Elle en ramenait un et en chemin, elle précisait la nature de nos relations sexuelles. Il est arrivé que le gars ne tienne pas ses engagements.
Aussi, nous avons finalement sélectionné sur un site de rencontres coquines et vu le gars au préalable.

Elle choisissait un beau mâle baraqué, méditerranéen, bisexuel . Elle me demandait de vérifier qu'il était bien membré.
J'emmenais le candidat aux toilettes. Il baissait son froc et je le masturbais. Si le mec franchissait le test avec succès, rendez-vous était pris pour la soirée suivante.

Lumière teintée, déshabillé vaporeux, la totale, un petit alcool et la soirée pouvait démarrer. Elle, sur le canapé, moi entre ses jambes. Il l’embrasse et la pelote, elle jouit une première fois, elle se lève, déboucle sa ceinture et descend son pantalon et boxer.

Une verge tendue lui saute au visage. Elle le happe et entame une fellation. Elle le regarde, soumise, lèche le gland, les testicules, avant de replonger en gorge profonde. Elle en pleure et entame de profonds va et viens.

Il prend un préservatif sur la table, se coiffe, elle s'allonge sur le dos à même le sol sur le tapis et il l'embroche d'une seule poussée.

Il la lime, la laboure sous ses encouragements. « Plus fort, plus vite » . Elle jouit une seconde fois.

Je suis très excité, habillé en soubrette, ma cage me fait mal.

Il jouit dans sa capote, se retire . Il l'enlève et se dirige vers moi. J'ouvre la bouche et l'avale. Je bois quelques gouttes résiduelles et le nettoie. Ma femme espère qu'il va retrouver de la vigueur.

Effectivement, il renifle une petite fiole et son membre ne tarde pas à durcir dans ma bouche. Je le pompe, écrase ma langue contre mon palais.

Il se dégage, me tourne, enlève le rosebud, crache et présente son braquemart à l'entrée de mon anus. Il pousse et moi aussi mais il est trop gros.
Ma femme se caresse et se met en position à genoux, la rosette étoilée vers le ciel. Il s'empare d'un flacon de gel et lui enduit l'anus. Il la prépare avec un puis plusieurs doigts qu'il fait tourner dans un sens puis l'autre.

Je me mets à côté de mon épouse dans la même position les genoux contre mon ventre, les bras devant moi, la tête au sol. Nous nous regardons, un sourire aux lèvres. Il me fait le même traitement avec l'autre main.

J'apprécie le traitement, je sens ses doigts sur ma prostate, ma femme se caresse toujours, j'entends le bruit d'un emballage que l'on déchire puis ma femme qui gémit. Il vient de la pénétrer plutôt violement, je sens à nouveau les vapeurs du poppers. Il la laboure depuis un moment. Elle jouit pour la troisième fois et je vois son visage écarlate trembler, j'entends son souffle haleter, ses cris et gémissements.

Il bouge et je suis à mon tour transpercé par de profonds va et viens. Son pubis cogne contre mes fesses, ses testicules frappent les miens. Je coule sur mes cuisses. Il accélère, j'ai joui dans ma cage, il se retire, vient devant moi, me relève.

J'ouvre la bouche. Il se masturbe, jambes fléchies et je reçois plusieurs jets épais sur le visage.
A nouveau, je le gobe et le nettoie consciencieusement sous les yeux de ma femme qui jouuit de ma déchéance.

Notre invité prend une bonne douche et nous quitte en nous remerciant.