Le curé du village Ep 04 : Une soirée spéciale
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le curé du village Ep 04 : Une soirée spéciale
Le curé du villageEp 04 : Une soirée spéciale
L'emploi du temps du nouveau curé était chargé, toujours plein mais il trouvait toujours un peu de liberté pour se faire plaisir. Il avait retrouvé ses deux complices et amis … et amants … Pascal et José.
Oui ils avaient été amants et le redevenaient. Ce soir là ou José était passé voir sont pote le nouveau curé en était un exemple. Pascal avait décidé de retrouver son pote José et s'était invité sans prévenir.
Ils s'étaient retrouvés tous les trois, et c'est assis autour d'une table qu'ils avaient discuté jusque tard dans la nuit. La discussion avait tourné autour de leur présent, ce qu'il étaient devenus. José, nous le savons déjà, était maçon dans le village, Pascal était agent immobilier, il travaillait à la ville. Enfin la petite ville à environ vingt kilomètres, avec la départementale il ne mettait pas plus d'un quart d'heure pour aller au boulot.
Mathieu, lui aussi nous le savons, était revenu au village il avait été muté là, il était le nouveau curé. Les moyens financiers et techniques, si j'ose dire, étaient limités. Le curé ne manquerait de rien mais il ne serait jamais très riche. Heureusement ce n'est pas ce qu'il voulait.
Ce qu'il voulait depuis son retour c'était du sexe. Il avait deux amis qui ne demandaient rien d'autre non plus et qui eux ne portaient pas de dispositif de chasteté mais tous les deux avaient une grosse bite.
Il était resté en manque de cul, de sexe et de tendresse pendant toute sa formation, toutes les étude pour devenir ministre du cul … Pardon je voulais dire du culte …
Ils ont un peu picoler ce soir là, vous savez le vin de messe … Enfin là c'était du bon, José et Pascal en avaient emmené deux bouteilles chacun. L'alcool libère les inhibitions, ils n'en avaient déjà pas tellement, aussi il ne fallait pas les quatre bouteilles pour que les trois hommes se retrouvent à poil.
Ils bandaient ferme, ils avaient tous les trois une belle grosse bite bien large, il y en avait donc deux qui se relevaient avec fierté. Celle de José qui s'était installé les cuisses bien écartées et se branlait tranquillement. Celle de Pascal, il avait les jambes allongées, lui aussi se tripotait la bite. La troisième queue était en cage, c'était celle du curé.
La sienne aussi était de très belle taille mais comme la cage n'était pas bien grande, ça ne se voyait plus. Lui aussi il bandait et la cage se relevait devant lui. Sa queue la remplissait totalement, et ça dépassait même, enfin ça dépassait un peu, c'est étudié pour que ça ne déborde pas, ça ferait désordre, mais quelquefois, ça déborde un peu.
Juste quelques bourrelets de peau pouvait dépasser par les ouvertures d'aération, rien de plus. La bite restait bien confinée, elle ne pouvait pas sortir, il était même pratiquement impossible au porteur de se stimuler convenablement.
Ça amusait les deux autres guignols, ils se marraient, il se branlaient avec de plus en plus de conviction et ils se marraient. Mathieu lui, ne rigolait pas vraiment, au contraire même. Il était en plus en plus à l'étroit et en manque. Il décidait de s'occuper d'un de ses hôte et voulait commencer par José.
Il s'accroupissait juste devant lui et … José plaçait sa main pour empêcher Mathieu de lui tripoter la queue.
– Ce soir j'ai juste envie de me branler !
– Moi pareil, mais tu peux nous regarder si tu veux. Rajoutais Pascal.
Et les deux loustics rigolards continuaient à se branler en rigolant. Mathieu avalait sa salive et reprenait sa place. Il ne les lâchait pas des yeux.
– Vous me taquinez là ?
– Non même pas mais il y a des jours comme ça … Lui répondait Pascal.
– Oui tout à fait il y a des jours ou on a juste envie de se branler. Rajoutais José.
– Ça ne t'arrive jamais ? Demandait Pascal avant d'éclater de rire.
José pouffait de rire lui aussi. Puis ils continuaient à se masturber en jetant à Mathieu un regard un peu vicieux. Ils pouvait voir qu'il n'était pas à son aise, il remuait, un peu comme s'il avait mal au cul. Pourtant ces derniers jours il était resté sage de ce côté, ce qui le perturbait c'est justement qu'il était resté sage, surtout que ça risquait de durer encore toute la soirée, et même plus.
Ses deux amis semblaient avoir décidé de s'amuser tout seul à ses dépends. Il la tension montait dans le corps de Mathieu, il n'avait plus seulement envie de sexe, ça devait impérieux. On pouvait lire son désire dans ses yeux. Sa cervelle était en feu, il n'avait plus seulement envie de se faire défoncer le cul il en avait un vrai besoin.
Il aurait accepté de se faire prendre comme José l'avait fait l'autre jour, sans aucun ménagement, avec violence, sans aucun préliminaire. Il ne l'aurait pas seulement accepté, il en était demandeur. Ses amis le regardaient et le devinaient. Ils savaient les tourments qu'ils faisaient subir à leur pote.
Mais ce soir là, ils avaient envie de s'amuser à ses dépends.
Ils massaient avec vigueur leurs bites, dégageaient totalement leurs glands puis le caressaient aussi. Pascal, passait sa main autour du gland de José, la refermait très fort et la faisait tourner autour de sa queue. José tremblait, le mouvement était ferme, et Pascal serrait fort.
C'est Mathieu qui frissonnait mais ce n'était pas de plaisir, c'était un frisson qui venait du manque. Un instant il s'était vu à la place de José, un instant il avait cru ressentir cette caresse ferme et douce, enfin douce, peut être. Il respirait fort le petit curé, il en demandait, il aurait voulu …
Ses amis décidaient sans le dire, sans se concerter de ne rien lui donner, sinon un peut de frustration, et beaucoup même.
Ils s'amusaient devant lui et lui interdisait tout plaisir. Ils ne le laissaient pas les toucher, il ne lui permettaient pas de le sucer et bien sûr il n'était pas question ce soir là de lui donner droit à leurs quéquettes dans le cul. Au début tout le monde pensait que la soirée allait se terminer pas une grosse enculade. Au début de la soirée, Mathieu s'attendait à se prendre les deux bite dans le cul l'une après l'autre.
Ce soir il n'aurait droit à rien, il commençait à le craindre, il commençait à avoir du mal à cacher sa frustration. Il puisait en lui la force de ne rien montrer et de continuer cette soirée. Il puisait dans sa frustration l'énergie, celle qui l'avait guidé pendant plusieurs années quand il était en formation, quand il n'était jamais seul, quand il n'avait même pas un petit instant de solitude. A cette époque ou l'abstinence n'était pas une vue de l'esprit. A cette époque de sa vie l'abstinence était permanente.
Il retrouvait le plaisir étrange, ce manque de chaque instant, sa queue emprisonnée avec une extrême violence dans ce petit dispositif minuscule. Il revivait ces moments ou une certaine douleur pouvait encore se manifester sous la pressions des érections. Au début ou quand il passait à une cage plus petite.
C'était un défi dans ce groupe d'étudiants, porter la plus petite et il faut bien dire que Mathieu n'était pas vraiment bien placé pour le gagné, avec ses vingt centimètres sur six, il n'était pas vraiment bien placé mais il s'en est bien sorti.
Il revivait toutes ces étapes de sa formation. À quatre dans les chambres, ils dormaient à poil le plus souvent, équipés comme ils l'étaient il n'y avait aucune chance d'en voir un se faire remarquer. Les douches étaient communes, et même les WC n'avaient pas de cloisons.
La promiscuité était totale, chacun surveillait les autres et il était de bon goût de dénoncer celui qui aurait des réflexes déplacés. Pendant plusieurs années, il n'a ni reçu ni donné une caresse, un baiser, un geste de tendresse. Ils étaient sensé se détacher de tout plaisir physique.
La chair est faible mais l'esprit est fort. Après ça, la chair était beaucoup moins faible, elle était devenue forte. Et l'esprit, lui, était devenu bien plus fort. Mathieu revivait ces années, qui n'ont pas toutes été heureuses, il revivait ces moments de plaisir quand son esprit devenait plus fort. Il revivait ses victoires, ses doutes, ses défaites ses rêves humides.
Pascal et José se masturbaient devant lui avec force maintenant, la fièvre du jeu et du plaisir était au point culminant. La fièvre du jeu, c'était une sorte de pari tacite, ils se demandaient si Mathieu allait craquer, s'il allait tenter avec insistance d'en sucer un. Il l'aurait laissé faire. Mathieu pouvait aussi craquer et râler leur demander de le prendre, ils l'auraient fait.
Mais Mathieu était le plus fort, il ne montrait plus rien, plus le moindre trouble, il avait trouvé en lui la force de rester stoïque. Il leur souriait.
Il y avait aussi la fièvre du plaisir qui montait dans leurs corps, ils faisait des pauses, pour faire durer, mais le plaisir montait. Ils respiraient fort, de plus en plus fort, puis un des deux, Pascal peut être, se lâchait. Il gémissait et finalement jutait, il éjaculait avec force. Il arrosait la table, il lâchait de grosses giclées de sperme. Il était suivi par José qui éjaculait à son tour. A eux deux, il ont envoyé une dizaine de jets de sperme, José aussi à gémi au moment ou il jouissait.
Puis la fièvre retombait, ils respiraient fort. Mathieu aussi respirait vite. Ils rigolaient, échangeaient quelques regards, ils avaient un regard coquin et satisfait, Mathieu avait un regard un peu fou. Ils se détendaient, tous leurs muscles de décontractaient, Mathieu restait un peu crispé.
– Alors là tu sais que tu m'épates Mathieu. Lui déclarait José.
– Tu devrait essayer de temps en temps, tu sais ça fait un bien fou. Rajoutait Pascal.
– C'est malin. Leur répondait Mathieu. Mais vous savez mes frères que vous avez commis là un péché mortel …– Ouai je sais on ira en enfer. Complétait José.
– Boh, si on est ensemble, c'est pas bien grave, on pourra toujours s'amuser.
– Tu es sûr qu'en enfer il n'oblige pas leur locataire à porter un dispositif comme le tien. Interrogeait José.
– Ce serait ballot. Concluait Pascal. Tous ces efforts pour en arriver là !
Mathieu se contrôlait parfaitement. Son dispositif se relevait toujours, sa cage à bite était toujours bien remplie mais il semblait calme. Il avait appris à se contrôler et il le leur montrait, il faisait une petite démonstration de self-contrôle.
Tout ce qui paraissait, tout ce qu'il ne parvenait pas à dissimuler c'était les battements de son cœur, à chaque battement son dispositif se soulevait et c'est à cette fréquence que son dispositif se balançait.
Mathieu se levait et remplissait les verres.
– Mais comment tu fait pour tenir ? Lui demandait José.
– Moi si on me faisait la même chose, je te jure Mathieu, j'en attrape un, je lui prend la queue dans la bouche et en même temps je m’assois sur la bite de l'autre. Rajoutait Pascal.
– C'est juste un problème d'éducation ! Rajoutait Mathieu en prenait un air détaché. A votre santé ! Rajoutait-il en levant son verre. Mais soyez mignons, la prochaine fois, amusez vous avec moi, prenez moi comme votre jouet.
– Promis. Concluait José. Promis, là on avait envie de voir si tu te contrôlais, et à quel point.
– Je vous le dis mes frères, vous irez en enfer … Et moi je pense que j'irai vous y rejoindre.
Mathieu est resté frustré pendant le reste de la soirée, ils ont terminé la dernière bouteille et l'ivresse leur rendait à tous le sourire. Enfin l'ivresse rendait le sourire à Mathieu, les deux autres lascars ne l'avaient pas perdu.
Mathieu vivait un enfer, sa frustration était au plus haut. Pendant un bonne partie de la nuit il ne parvenait pas à dormir, sa queue protestait et c'en était presque douloureux, presque mais totalement inconfortable, vraiment inconfortable. Quand le soleil se levait il venait juste de s'endormir, la nuit avait été courte. Les deux branleurs étaient partis tard, et le reste de la nuit avait passé en un clin d’œil. Mathieu n'était pas vraiment reposé.
Il faisait comme d'habitude, il prenait une douche, ce matin là, elle était froide mais c'est à peine si elle le calmait. Sa queue continuait à protester dans sa cage, ne se calmais que très peu. C'est ce qu'il avait vécu pendant une bonne partie des années de sa formation. Mais il y avait un vrai plaisir dans cette sensation de manque, de désir qui ne serait pas assouvi. Il y avait un vrai plaisir dans cette frustration.
Il s'en nourrissait, sa volonté s'en nourrissait.
Il rangeait son salon, il restait les bouteilles, les verres vides et les quelques traces suspectes qu'avaient laissé José et Pascal sur la table, il faisait un ménage rapide et se préparait pour aller au boulot …
Tous les matins, il célébrait une messe. Ça faisait partie de son boulot, c'était dans son contrat de travail et les quelques grenouilles de bénitier qui traînaient dans le village l'attendaient, il y en a dans tous les villages. L'église était ouverte, elle reste ouverte toute la nuit, et déjà ça priait sec. Mlle Dominique récitait ses cantiques d'une manière spasmodique. Les autres murmuraient dans leur petit livre. Elle se levaient quand le curé entrait.
Tout allait mieux Pour le pauvre curé, il était jeune, il bandait ferme depuis pratiquement la veille au soir mais en voyant Mlle Dominique et Mlle Marie Thérèse, ça lui a passé instantanément. Finalement ces vieilles demoiselles présentent quelques avantages.
C'est mécaniquement qu'il procédait à son office, mais tout se passait bien. Il leur jouait la totale, comme d'habitude. Elles étaient contentes, restaient un moment pour se confesser. Là c'était le plus dur, il avait envie de dormir le pauvre.
Son boulot terminé, il ne bandait plus du tout, il était toujours fatigué, il se repliait dans ses appartement un moment et s'endormait paisiblement. Les rêves étaient un peu agités mais il parvenait à se reposer.
Plus tard dans la journée, il se branchait sur internet, il y avait déjà pensé plus d'une fois, mais c'est ce jour là qu'il s'est décidé. Avec la garantie d'un colis discret, d'une livraison rapide, il se commandait plusieurs godes et plusieurs plugs …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'emploi du temps du nouveau curé était chargé, toujours plein mais il trouvait toujours un peu de liberté pour se faire plaisir. Il avait retrouvé ses deux complices et amis … et amants … Pascal et José.
Oui ils avaient été amants et le redevenaient. Ce soir là ou José était passé voir sont pote le nouveau curé en était un exemple. Pascal avait décidé de retrouver son pote José et s'était invité sans prévenir.
Ils s'étaient retrouvés tous les trois, et c'est assis autour d'une table qu'ils avaient discuté jusque tard dans la nuit. La discussion avait tourné autour de leur présent, ce qu'il étaient devenus. José, nous le savons déjà, était maçon dans le village, Pascal était agent immobilier, il travaillait à la ville. Enfin la petite ville à environ vingt kilomètres, avec la départementale il ne mettait pas plus d'un quart d'heure pour aller au boulot.
Mathieu, lui aussi nous le savons, était revenu au village il avait été muté là, il était le nouveau curé. Les moyens financiers et techniques, si j'ose dire, étaient limités. Le curé ne manquerait de rien mais il ne serait jamais très riche. Heureusement ce n'est pas ce qu'il voulait.
Ce qu'il voulait depuis son retour c'était du sexe. Il avait deux amis qui ne demandaient rien d'autre non plus et qui eux ne portaient pas de dispositif de chasteté mais tous les deux avaient une grosse bite.
Il était resté en manque de cul, de sexe et de tendresse pendant toute sa formation, toutes les étude pour devenir ministre du cul … Pardon je voulais dire du culte …
Ils ont un peu picoler ce soir là, vous savez le vin de messe … Enfin là c'était du bon, José et Pascal en avaient emmené deux bouteilles chacun. L'alcool libère les inhibitions, ils n'en avaient déjà pas tellement, aussi il ne fallait pas les quatre bouteilles pour que les trois hommes se retrouvent à poil.
Ils bandaient ferme, ils avaient tous les trois une belle grosse bite bien large, il y en avait donc deux qui se relevaient avec fierté. Celle de José qui s'était installé les cuisses bien écartées et se branlait tranquillement. Celle de Pascal, il avait les jambes allongées, lui aussi se tripotait la bite. La troisième queue était en cage, c'était celle du curé.
La sienne aussi était de très belle taille mais comme la cage n'était pas bien grande, ça ne se voyait plus. Lui aussi il bandait et la cage se relevait devant lui. Sa queue la remplissait totalement, et ça dépassait même, enfin ça dépassait un peu, c'est étudié pour que ça ne déborde pas, ça ferait désordre, mais quelquefois, ça déborde un peu.
Juste quelques bourrelets de peau pouvait dépasser par les ouvertures d'aération, rien de plus. La bite restait bien confinée, elle ne pouvait pas sortir, il était même pratiquement impossible au porteur de se stimuler convenablement.
Ça amusait les deux autres guignols, ils se marraient, il se branlaient avec de plus en plus de conviction et ils se marraient. Mathieu lui, ne rigolait pas vraiment, au contraire même. Il était en plus en plus à l'étroit et en manque. Il décidait de s'occuper d'un de ses hôte et voulait commencer par José.
Il s'accroupissait juste devant lui et … José plaçait sa main pour empêcher Mathieu de lui tripoter la queue.
– Ce soir j'ai juste envie de me branler !
– Moi pareil, mais tu peux nous regarder si tu veux. Rajoutais Pascal.
Et les deux loustics rigolards continuaient à se branler en rigolant. Mathieu avalait sa salive et reprenait sa place. Il ne les lâchait pas des yeux.
– Vous me taquinez là ?
– Non même pas mais il y a des jours comme ça … Lui répondait Pascal.
– Oui tout à fait il y a des jours ou on a juste envie de se branler. Rajoutais José.
– Ça ne t'arrive jamais ? Demandait Pascal avant d'éclater de rire.
José pouffait de rire lui aussi. Puis ils continuaient à se masturber en jetant à Mathieu un regard un peu vicieux. Ils pouvait voir qu'il n'était pas à son aise, il remuait, un peu comme s'il avait mal au cul. Pourtant ces derniers jours il était resté sage de ce côté, ce qui le perturbait c'est justement qu'il était resté sage, surtout que ça risquait de durer encore toute la soirée, et même plus.
Ses deux amis semblaient avoir décidé de s'amuser tout seul à ses dépends. Il la tension montait dans le corps de Mathieu, il n'avait plus seulement envie de sexe, ça devait impérieux. On pouvait lire son désire dans ses yeux. Sa cervelle était en feu, il n'avait plus seulement envie de se faire défoncer le cul il en avait un vrai besoin.
Il aurait accepté de se faire prendre comme José l'avait fait l'autre jour, sans aucun ménagement, avec violence, sans aucun préliminaire. Il ne l'aurait pas seulement accepté, il en était demandeur. Ses amis le regardaient et le devinaient. Ils savaient les tourments qu'ils faisaient subir à leur pote.
Mais ce soir là, ils avaient envie de s'amuser à ses dépends.
Ils massaient avec vigueur leurs bites, dégageaient totalement leurs glands puis le caressaient aussi. Pascal, passait sa main autour du gland de José, la refermait très fort et la faisait tourner autour de sa queue. José tremblait, le mouvement était ferme, et Pascal serrait fort.
C'est Mathieu qui frissonnait mais ce n'était pas de plaisir, c'était un frisson qui venait du manque. Un instant il s'était vu à la place de José, un instant il avait cru ressentir cette caresse ferme et douce, enfin douce, peut être. Il respirait fort le petit curé, il en demandait, il aurait voulu …
Ses amis décidaient sans le dire, sans se concerter de ne rien lui donner, sinon un peut de frustration, et beaucoup même.
Ils s'amusaient devant lui et lui interdisait tout plaisir. Ils ne le laissaient pas les toucher, il ne lui permettaient pas de le sucer et bien sûr il n'était pas question ce soir là de lui donner droit à leurs quéquettes dans le cul. Au début tout le monde pensait que la soirée allait se terminer pas une grosse enculade. Au début de la soirée, Mathieu s'attendait à se prendre les deux bite dans le cul l'une après l'autre.
Ce soir il n'aurait droit à rien, il commençait à le craindre, il commençait à avoir du mal à cacher sa frustration. Il puisait en lui la force de ne rien montrer et de continuer cette soirée. Il puisait dans sa frustration l'énergie, celle qui l'avait guidé pendant plusieurs années quand il était en formation, quand il n'était jamais seul, quand il n'avait même pas un petit instant de solitude. A cette époque ou l'abstinence n'était pas une vue de l'esprit. A cette époque de sa vie l'abstinence était permanente.
Il retrouvait le plaisir étrange, ce manque de chaque instant, sa queue emprisonnée avec une extrême violence dans ce petit dispositif minuscule. Il revivait ces moments ou une certaine douleur pouvait encore se manifester sous la pressions des érections. Au début ou quand il passait à une cage plus petite.
C'était un défi dans ce groupe d'étudiants, porter la plus petite et il faut bien dire que Mathieu n'était pas vraiment bien placé pour le gagné, avec ses vingt centimètres sur six, il n'était pas vraiment bien placé mais il s'en est bien sorti.
Il revivait toutes ces étapes de sa formation. À quatre dans les chambres, ils dormaient à poil le plus souvent, équipés comme ils l'étaient il n'y avait aucune chance d'en voir un se faire remarquer. Les douches étaient communes, et même les WC n'avaient pas de cloisons.
La promiscuité était totale, chacun surveillait les autres et il était de bon goût de dénoncer celui qui aurait des réflexes déplacés. Pendant plusieurs années, il n'a ni reçu ni donné une caresse, un baiser, un geste de tendresse. Ils étaient sensé se détacher de tout plaisir physique.
La chair est faible mais l'esprit est fort. Après ça, la chair était beaucoup moins faible, elle était devenue forte. Et l'esprit, lui, était devenu bien plus fort. Mathieu revivait ces années, qui n'ont pas toutes été heureuses, il revivait ces moments de plaisir quand son esprit devenait plus fort. Il revivait ses victoires, ses doutes, ses défaites ses rêves humides.
Pascal et José se masturbaient devant lui avec force maintenant, la fièvre du jeu et du plaisir était au point culminant. La fièvre du jeu, c'était une sorte de pari tacite, ils se demandaient si Mathieu allait craquer, s'il allait tenter avec insistance d'en sucer un. Il l'aurait laissé faire. Mathieu pouvait aussi craquer et râler leur demander de le prendre, ils l'auraient fait.
Mais Mathieu était le plus fort, il ne montrait plus rien, plus le moindre trouble, il avait trouvé en lui la force de rester stoïque. Il leur souriait.
Il y avait aussi la fièvre du plaisir qui montait dans leurs corps, ils faisait des pauses, pour faire durer, mais le plaisir montait. Ils respiraient fort, de plus en plus fort, puis un des deux, Pascal peut être, se lâchait. Il gémissait et finalement jutait, il éjaculait avec force. Il arrosait la table, il lâchait de grosses giclées de sperme. Il était suivi par José qui éjaculait à son tour. A eux deux, il ont envoyé une dizaine de jets de sperme, José aussi à gémi au moment ou il jouissait.
Puis la fièvre retombait, ils respiraient fort. Mathieu aussi respirait vite. Ils rigolaient, échangeaient quelques regards, ils avaient un regard coquin et satisfait, Mathieu avait un regard un peu fou. Ils se détendaient, tous leurs muscles de décontractaient, Mathieu restait un peu crispé.
– Alors là tu sais que tu m'épates Mathieu. Lui déclarait José.
– Tu devrait essayer de temps en temps, tu sais ça fait un bien fou. Rajoutait Pascal.
– C'est malin. Leur répondait Mathieu. Mais vous savez mes frères que vous avez commis là un péché mortel …– Ouai je sais on ira en enfer. Complétait José.
– Boh, si on est ensemble, c'est pas bien grave, on pourra toujours s'amuser.
– Tu es sûr qu'en enfer il n'oblige pas leur locataire à porter un dispositif comme le tien. Interrogeait José.
– Ce serait ballot. Concluait Pascal. Tous ces efforts pour en arriver là !
Mathieu se contrôlait parfaitement. Son dispositif se relevait toujours, sa cage à bite était toujours bien remplie mais il semblait calme. Il avait appris à se contrôler et il le leur montrait, il faisait une petite démonstration de self-contrôle.
Tout ce qui paraissait, tout ce qu'il ne parvenait pas à dissimuler c'était les battements de son cœur, à chaque battement son dispositif se soulevait et c'est à cette fréquence que son dispositif se balançait.
Mathieu se levait et remplissait les verres.
– Mais comment tu fait pour tenir ? Lui demandait José.
– Moi si on me faisait la même chose, je te jure Mathieu, j'en attrape un, je lui prend la queue dans la bouche et en même temps je m’assois sur la bite de l'autre. Rajoutait Pascal.
– C'est juste un problème d'éducation ! Rajoutait Mathieu en prenait un air détaché. A votre santé ! Rajoutait-il en levant son verre. Mais soyez mignons, la prochaine fois, amusez vous avec moi, prenez moi comme votre jouet.
– Promis. Concluait José. Promis, là on avait envie de voir si tu te contrôlais, et à quel point.
– Je vous le dis mes frères, vous irez en enfer … Et moi je pense que j'irai vous y rejoindre.
Mathieu est resté frustré pendant le reste de la soirée, ils ont terminé la dernière bouteille et l'ivresse leur rendait à tous le sourire. Enfin l'ivresse rendait le sourire à Mathieu, les deux autres lascars ne l'avaient pas perdu.
Mathieu vivait un enfer, sa frustration était au plus haut. Pendant un bonne partie de la nuit il ne parvenait pas à dormir, sa queue protestait et c'en était presque douloureux, presque mais totalement inconfortable, vraiment inconfortable. Quand le soleil se levait il venait juste de s'endormir, la nuit avait été courte. Les deux branleurs étaient partis tard, et le reste de la nuit avait passé en un clin d’œil. Mathieu n'était pas vraiment reposé.
Il faisait comme d'habitude, il prenait une douche, ce matin là, elle était froide mais c'est à peine si elle le calmait. Sa queue continuait à protester dans sa cage, ne se calmais que très peu. C'est ce qu'il avait vécu pendant une bonne partie des années de sa formation. Mais il y avait un vrai plaisir dans cette sensation de manque, de désir qui ne serait pas assouvi. Il y avait un vrai plaisir dans cette frustration.
Il s'en nourrissait, sa volonté s'en nourrissait.
Il rangeait son salon, il restait les bouteilles, les verres vides et les quelques traces suspectes qu'avaient laissé José et Pascal sur la table, il faisait un ménage rapide et se préparait pour aller au boulot …
Tous les matins, il célébrait une messe. Ça faisait partie de son boulot, c'était dans son contrat de travail et les quelques grenouilles de bénitier qui traînaient dans le village l'attendaient, il y en a dans tous les villages. L'église était ouverte, elle reste ouverte toute la nuit, et déjà ça priait sec. Mlle Dominique récitait ses cantiques d'une manière spasmodique. Les autres murmuraient dans leur petit livre. Elle se levaient quand le curé entrait.
Tout allait mieux Pour le pauvre curé, il était jeune, il bandait ferme depuis pratiquement la veille au soir mais en voyant Mlle Dominique et Mlle Marie Thérèse, ça lui a passé instantanément. Finalement ces vieilles demoiselles présentent quelques avantages.
C'est mécaniquement qu'il procédait à son office, mais tout se passait bien. Il leur jouait la totale, comme d'habitude. Elles étaient contentes, restaient un moment pour se confesser. Là c'était le plus dur, il avait envie de dormir le pauvre.
Son boulot terminé, il ne bandait plus du tout, il était toujours fatigué, il se repliait dans ses appartement un moment et s'endormait paisiblement. Les rêves étaient un peu agités mais il parvenait à se reposer.
Plus tard dans la journée, il se branchait sur internet, il y avait déjà pensé plus d'une fois, mais c'est ce jour là qu'il s'est décidé. Avec la garantie d'un colis discret, d'une livraison rapide, il se commandait plusieurs godes et plusieurs plugs …
A suivre
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