Le Don
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le Don
Le gland était encore couvert du prépuce. Pourtant la tige bandée tirait sur la peau et commençait déjà à dégager, un peu, sa tête.
La tête cherchait. C'était une tête chercheuse. Elle cherchait doucement, calmement. Comme une truffe, elle humait l'air ambiant, docte et déterminée. Elle savait, la tête, où trouver.
Le méat méait et disait doucement des mots tendres.
On voyait bien qu'il voulait convivialer, le méat.
Le papillon a ouvert ses deux ailes, son creux luisait de l'attente.
Le gland était nu, glabre, parcheminé comme un letchi. Le gland était d'accord pour gouter au suc à l'élixir à la gelée. Il n'est pas entré, le gland, non, juste il a montré son nez. Il s'est appuyé sur les deux lèvres plissées, gluantes.
Le gland était en attente. Il voulait se faire désirer.
L'abime a voulu parler mais sa parole n'est pas venue. Juste un hoquet, comme gober. Le gland et la bite avec lui ont compris et sont entrés. Pas beaucoup, pas profond, non, juste comme ça pour dire bonjour, pour saluer.
Ils furent bien reçus.
Le gland était en main et la main savait ce que ce gland aimait.
La caverne visqueuse palpait et palpitait et le gland était bien, il aimait.
La fille a ouvert encore ses cuisses, elle a relevé les genoux, hiboux cailloux bisous dans le cou.
Moi j'ai compris le message et j'ai serré cette fille doucement dans mes bras aimants
Mon bitos planté jusqu'à la garde alla toucher délicatement le dur au fond d'elle.
Ses deux jambes dans mes bras et moi pesamment sur elle, en elle.
Ma bouche cherchait sa bouche et la salive de l'un coulait en l'autre.
Mes poils vrillaient son bouton ouvert sur une intimité brillante en attente.
Les coups retenus de mon ventre vers le sien le faisaient monter, en résonance de ma bite tendue, comme un autre sexe, ami, camarade, copain, frère.
Ma tige sentait son conduit serré. Mon bout touchait l'ouverture de son intime col de vie. Il repérait, déterminé à y gicler, bientôt, chaque millilitre de bonne semence, là là et pas ailleurs.
Pour que rien ne se perde.
Mais c'était là juste le but à atteindre, plus tard, bientôt, enfin "à la fin", au moment comme on dit.
En attendant il y avait encore du chemin. Et moi et ma bite, ce chemin on aime bien
On aime ça, limer, passer l'archet sur les cordes et faire chanter.
On aime à être entendu, compris, apprécié.
La fille aussi elle aime. Et elle le dit en bisous, petits bisous. Elle le dit en chantant des chants de mélopée, des chants qu'on ne comprend pas ce qu'elle dit mais qu'on comprend tout ce qu'elle a dit. Enfin des chants dont on se souvient longtemps après avec de la tendresse et des larmes plein les yeux.
Quand vient le moment, on guette son sourire pour être à l'unisson et quand dans le noir sa flamme s'allume, on n'en peut plus, on lâche tout et le feu d'artifice en bouquet est l'offrande ultime de tout ce que l'on a depuis longtemps préparé pour lui donner.
jpj, septembre 2013
La tête cherchait. C'était une tête chercheuse. Elle cherchait doucement, calmement. Comme une truffe, elle humait l'air ambiant, docte et déterminée. Elle savait, la tête, où trouver.
Le méat méait et disait doucement des mots tendres.
On voyait bien qu'il voulait convivialer, le méat.
Le papillon a ouvert ses deux ailes, son creux luisait de l'attente.
Le gland était nu, glabre, parcheminé comme un letchi. Le gland était d'accord pour gouter au suc à l'élixir à la gelée. Il n'est pas entré, le gland, non, juste il a montré son nez. Il s'est appuyé sur les deux lèvres plissées, gluantes.
Le gland était en attente. Il voulait se faire désirer.
L'abime a voulu parler mais sa parole n'est pas venue. Juste un hoquet, comme gober. Le gland et la bite avec lui ont compris et sont entrés. Pas beaucoup, pas profond, non, juste comme ça pour dire bonjour, pour saluer.
Ils furent bien reçus.
Le gland était en main et la main savait ce que ce gland aimait.
La caverne visqueuse palpait et palpitait et le gland était bien, il aimait.
La fille a ouvert encore ses cuisses, elle a relevé les genoux, hiboux cailloux bisous dans le cou.
Moi j'ai compris le message et j'ai serré cette fille doucement dans mes bras aimants
Mon bitos planté jusqu'à la garde alla toucher délicatement le dur au fond d'elle.
Ses deux jambes dans mes bras et moi pesamment sur elle, en elle.
Ma bouche cherchait sa bouche et la salive de l'un coulait en l'autre.
Mes poils vrillaient son bouton ouvert sur une intimité brillante en attente.
Les coups retenus de mon ventre vers le sien le faisaient monter, en résonance de ma bite tendue, comme un autre sexe, ami, camarade, copain, frère.
Ma tige sentait son conduit serré. Mon bout touchait l'ouverture de son intime col de vie. Il repérait, déterminé à y gicler, bientôt, chaque millilitre de bonne semence, là là et pas ailleurs.
Pour que rien ne se perde.
Mais c'était là juste le but à atteindre, plus tard, bientôt, enfin "à la fin", au moment comme on dit.
En attendant il y avait encore du chemin. Et moi et ma bite, ce chemin on aime bien
On aime ça, limer, passer l'archet sur les cordes et faire chanter.
On aime à être entendu, compris, apprécié.
La fille aussi elle aime. Et elle le dit en bisous, petits bisous. Elle le dit en chantant des chants de mélopée, des chants qu'on ne comprend pas ce qu'elle dit mais qu'on comprend tout ce qu'elle a dit. Enfin des chants dont on se souvient longtemps après avec de la tendresse et des larmes plein les yeux.
Quand vient le moment, on guette son sourire pour être à l'unisson et quand dans le noir sa flamme s'allume, on n'en peut plus, on lâche tout et le feu d'artifice en bouquet est l'offrande ultime de tout ce que l'on a depuis longtemps préparé pour lui donner.
jpj, septembre 2013
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sensibilité et émotion? Peu-être ...
J'aurais dit une belle truculence !
J'aurais dit une belle truculence !
"La fille a ouvert encore ses cuisses, elle a relevé les genoux, hiboux cailloux bisous dans le cou." ... Ma femme et moi y ajouterions... Bisous sur le minou...
Merci pour cette merveilleuse vision.
Merci pour cette merveilleuse vision.
Vous écrivez très bien, il y a beaucoup de sensibilité dans vos écrits.