Le gourdin de tonton. 10
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 10
Le gourdin de tonton. 10
Ce n'est que le lendemain qu'il m'envoie un SMS me demandant de venir chez lui dimanche après-midi à quatorze heures. Le temps passe avec une lenteur désespérante mais arrive le jour fatidique. Je me pomponne toute la matinée, et puis toute ma garde-robe y passe pour trouver les habits les plus sexy et parmi mes sous-vêtements, les plus minimalistes. Par rapport à mes sœurs, je suis très fluette, des petits seins avec deux grosses aréoles brunes et deux petits tétons. Mon cul est à l'avenant et si je voulais m'habiller en garçon, je suis sûre que j'y arriverais sans problème.
Je sonne à sa porte attendant avec impatience qu’il vienne m'ouvrir mais il me crie : « Entre Julie, je suis au salon ».
Je ferme la porte à clé derrière moi pour être sûre de ne pas être dérangée et vais le retrouver dans le salon. Il est assis sur le divan, un verre à la main.
- Viens t'asseoir à côté de moi Julie il faut qu'on parle. Tu as deux heures de retard, tant pis pour toi.
Suite :
Je lui obéis et m'assois à côté de lui du bout de mes fesses, ne voulant pas m’avachir complètement à côté de lui. Pourquoi me reproche-t-il d’être si en retard ?
-Que veux-tu de moi Julie ? J'ai déjà cédé à tes deux sœurs et je commence à m'en mordre les doigts. Toi, je te vois toujours comme le bébé que je prenais dans mes bras il n'y a pas si longtemps. Pourquoi ne te contentes tu pas de copains de ton âge ? En plus par rapport à tes sœurs, tu es une vraie brindille et j'aurais trop peur de te casser. Tu sais aussi parce que tu m’as filmé et par les vidéos de moi que tu as trouvées sur le net que je suis loin d’être un amant lambda, tu ne fais pas le poids et j'aurais trop peur de te prendre avec mon engin qui comme tu as pu voir et si je comprends bien que tu as déjà branlé et sucé l'autre jour est loin d'être un petit calibre adapté à une jeune fille comme toi.
-Ça c'est à moi de m’en assurer tonton ! Pour te parler franchement, je dois reconnaître que j'ai beaucoup d'appréhension mais ne crois pas que je sois une oie blanche encore vierge. Je lui rétorque. Bien sûr je n'ai jamais connu de partenaire monté comme toi, mais Christophe pourrait presque faire la comparaison avec toi, tout du moins pour la longueur de ta verge. (Je viens de dire un gros mensonge mais j'espère qu'il va le gober et ne pas me rejeter).
-Bien ! Constate-il, je vois que rien ne peut te détourner de ton but, alors tant pis pour toi, je t'aurai suffisamment prévenue. Je vois que tu t'es habillée comme une petite pute alors continue, tu vas me faire une danse lascive et t’effeuiller devant moi jusqu'à être complètement nue, alors je déciderai si tu dois aller te rhabiller ou si tu passeras à la casserole...
Après avoir entendu ces mots, rapidement, je fais tomber une bretelle de ma robe de mon épaule droite dévoilant le haut qui maintient mon sein. Le téton pointe déjà bien dur. Il regarde avec appréciation ma poitrine quand je fais tomber l’autre bretelle. Je saisis les deux bretelles de ma robe et la tire vers le bas. Mes petits seins fermes et agressifs s’exhibent devant les yeux de mon tonton uniquement voilé d’un tissu presque transparent. Je retire mon haut pour lui dévoiler ma poitrine, mes seins apparaissent et je les prends entre mes mains, je les masse, lui proposant de sucer mes tétons, qui durcissent au fur et à mesure de mes caresses. Ensuite j’écarte les jambes et commence à me frotter la fente. Je l’entends marmonner : Putain ! Tu mouilles déjà !
J’écarte mon string et joue avec mon clitoris d’une main avec l’autre sur un de mes seins que je caresse lentement, continuant à mouiller. Alors je vois croître une bosse dans son pantalon.
Il se lève et vient à côté de moi, passe son bras droit autour de mon cou et commence à me peloter la poitrine de sa main gauche, il se met à me palper durement les seins, puis se penche ensuite et m’écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Tonton se place à ma droite et me met directement la main sur la vulve, écartant le string il plonge un doigt dans ma fente. Je hurle pendant qu’il me fouille le sexe, je sens que je mouille de plus en plus, je gémis, me tords. Il me fait mettre à quatre pattes, me caresse les fesses, se met derrière moi et passe sa langue sur ma fente, m’écarte les fesses pour voir mon petit trou rose, bien entretenu. Il passe sa langue, le lèche. Je me tortille quand il arrive à faire pénétrer le bout de sa langue puis introduit un doigt, puis deux, fait des va et vient. J’apprécie tous ces préliminaires et une douce chaleur envahit mon bas ventre et ma chatte est de plus en plus trempée. Mon désir se fait de plus en plus fort. Puis brusquement tout s'arrête et tonton m’ordonne :
-Rhabille toi ! C’est très prometteur mais ça suffit pour aujourd’hui. Tu n’avais qu’à être à l’heure.
Il doit percevoir ma surprise et ma déception et ça a l'air de l'amuser. Allez ! presse-toi un peu, j’ai un autre rendez-vous qui m’attend !
Je suis furibonde. Je me rhabille quand on sonne à la porte.
-Va ouvrir et referme derrière toi !
Quand j’ouvre la porte, une femme superbe me sourit, entre et me regarde, referme la porte en criant à tonton, « ma parole Patrick, tu les prends au berceau maintenant », puis met le verrou. Je n’ai servi que de chauffe-couilles à tonton et je suis sûre que maintenant il va sauter cette véritable gravure de mode, le salaud ! D’un autre côté, je sais pertinemment qu’il n’attend pas après moi pour assouvir ses besoins. Un chaud-lapin, tonton ! Avait-t-il l’intention de me baiser avant de remettre le couvert avec cette bombasse si j’étais arrivée à l’heure ?
De dépit, je lui envoie une vidéo de mes sœurs faisant du cheval sur sa bite d’étalon en lui faisant remarquer que moi aussi j’ai pris des leçons d’équitation et que papa serait furieux de savoir qu’il n’a pas payé des cours à mes sœurs pour ce type de pratique. Il me redonne rendez-vous pour le dimanche suivant en précisant que je serai la seule cette fois-ci et qu’il va se réserver toute la semaine pour me faire payer en nature mon caprice de petite fille pourrie-gâtée.
Je me retrouve donc une fois de plus chez lui le dimanche arrivé. Je suis à la fois impatiente et redoutant la séance. Il est égal à lui-même et fait comme si pour lui, je n’ai que peu d’importance.
-Ça t'as soulagé la dernière fois ? Tu en veux plus ?
-Soulagée ? Je lui jette. Pas vraiment. Tu t’es amusé avec moi et m’a jetée comme une vieille chaussette.
Il sourit à l'allusion et m’ordonne.
-Allonge-toi, je vais remédier à ça mais sache qu’il n’y a que moi qui dirai quand ça sera fini, tu n’as plus le droit de rien décider. Tu es vraiment très belle tu sais, m’avoue-t-il pendant que ses mains effleurent mes reins. Depuis l’autre jour, il m'arrive même de penser à toi autrement que comme ma petite nièce.
Ses mains se font plus insistantes et finissent assez rapidement dans mon slip. Il s'amuse de mon trouble en continuant à me caresser et me lance.
- Tu sais l'autre jour après notre petite séance, j'ai baisé Françoise en pensant à ton joli petit cul. Ça m’a fait bander comme un âne. Lâche-t-il la voix plus rauque.
Ma chatte est en feu tandis que ses doigts glissent le long de ma raie sans relâche. J'essaie de me relever du divan mais il m'ordonne fermement de ne pas bouger. J'obéis et attends la suite.
Enfin il me fait me redresser et m’asseoir du bout des fesses sur la table de la salle-à-manger, place ses mains sur mes cuisses et me tire vers lui. Il se met entre mes jambes et commence à se frotter contre moi. Je sens son sexe darder à travers le tissu de son pantalon et mouille déjà comme une folle dans ma petite culotte. Il grogne : "Tu la sens ma queue ? Tu la sens bien ?" Tout en continuant à se frotter contre moi. Il fait glisser doucement ma culotte à mi-cuisse, puis remonte une main dans mon entrejambe et glisse un doigt dans ma fente détrempée. Il me caresse comme cela pendant une éternité pour moi car je n’ai qu’une envie, qu'il m'enfonce son dard dans ma chatte gluante alors que là, il me branle, s'amusant avec moi. J'essaie de bouger mon bassin pour accentuer la caresse mais sans y parvenir car il me bloque avec son bas ventre. Enfin il relâche la pression de son corps contre le mien et fait glisser jusqu'en bas ma culotte avant de la retirer. Il écarte un peu plus mes cuisses, ouvre les lèvres de ses doigts et m’annonce :
-Tu es prête et suffisamment lubrifiée, on va passer à la suite.
Sur ce, tonton s’écarte de moi et défait la ceinture de son pantalon, dégrafe le bouton de métal et descend la fermeture éclair. Assise face à lui, je le regarde plonger la main pour la voir se saisir de son énorme mandrin. On dirait qu’un serpent va sortir du boxer, il me sourit et fait tomber le dernier rempart de tissu. Je vois surgir de son sous-vêtement sa queue monstrueuse qui s’échappe enfin de sa cage, une épaisse et longue verge à demi bandée.
Je frémis de désir quand il vient se recoller à moi. La queue de tonton palpite contre mon ventre. Elle me parait pourtant bien haut au-dessus de mon nombril. Je glisse une main curieuse entre nous à la rencontre de son pieux. Je trouve sa verge chaude mi-molle déjà gorgée de sang et de désir. Le prépuce légèrement dégagé du casque en forme de cagoule hyper sensible est déjà légèrement huileux. Je parcours à l'aveugle le dessous du phallus et mon pèlerinage n’en finit pas me donnant une idée de mon futur chemin de croix.
Il reprend le pétrissage de mes seins et pince mes tétons me rendant encore plus excitée par le spectacle de sa verge. Petit à petit, son érection prend encore plus de vigueur et finalement je retrouve devant moi cette queue encore plus grande et plus épaisse que dans mes souvenirs, et cette fois, rien que pour moi.
Il m'embrasse sur la bouche, sa langue glisse entre mes lèvres et j’ai le goût de ma mouille dans la bouche. Alors qu'il m’embrasse, il prend mon autre main et la pose sur son sexe à la place de la sienne. Je me mets à le branler doucement. Il retire sa langue de ma bouche, me fait descendre de la table, appuie sur mes épaules pour que je me trouve à genoux devant son chibre que je branle avec application. Une seule de mes mains ne peut faire le tour de sa bite, je la branle pour la rendre bien dur pendant que je suce son gland, ne pouvant en prendre guère plus dans ma petite bouche.
Je l’enfonce profondément entre mes lèvres. Enfin quand je dis profondément, j'en prends ce que je peux, c'est à dire à peine plus du quart, à l’impossible nul n’est tenu… J’alterne en le branlant avec mes toutes petites mains ou en m’appliquant sur ma fellation. Son engin est si épais que je n'imagine pas pouvoir faire autre chose que de sucer son gland ou ses couilles ce qui semble déjà bien lui plaire. Mais je sais qu'il en voudra beaucoup plus. Il me demande de me mettre debout pour finir de me dévêtir et pouvoir profiter de tout mon corps puis de le déshabiller.
A suivre…
Ce n'est que le lendemain qu'il m'envoie un SMS me demandant de venir chez lui dimanche après-midi à quatorze heures. Le temps passe avec une lenteur désespérante mais arrive le jour fatidique. Je me pomponne toute la matinée, et puis toute ma garde-robe y passe pour trouver les habits les plus sexy et parmi mes sous-vêtements, les plus minimalistes. Par rapport à mes sœurs, je suis très fluette, des petits seins avec deux grosses aréoles brunes et deux petits tétons. Mon cul est à l'avenant et si je voulais m'habiller en garçon, je suis sûre que j'y arriverais sans problème.
Je sonne à sa porte attendant avec impatience qu’il vienne m'ouvrir mais il me crie : « Entre Julie, je suis au salon ».
Je ferme la porte à clé derrière moi pour être sûre de ne pas être dérangée et vais le retrouver dans le salon. Il est assis sur le divan, un verre à la main.
- Viens t'asseoir à côté de moi Julie il faut qu'on parle. Tu as deux heures de retard, tant pis pour toi.
Suite :
Je lui obéis et m'assois à côté de lui du bout de mes fesses, ne voulant pas m’avachir complètement à côté de lui. Pourquoi me reproche-t-il d’être si en retard ?
-Que veux-tu de moi Julie ? J'ai déjà cédé à tes deux sœurs et je commence à m'en mordre les doigts. Toi, je te vois toujours comme le bébé que je prenais dans mes bras il n'y a pas si longtemps. Pourquoi ne te contentes tu pas de copains de ton âge ? En plus par rapport à tes sœurs, tu es une vraie brindille et j'aurais trop peur de te casser. Tu sais aussi parce que tu m’as filmé et par les vidéos de moi que tu as trouvées sur le net que je suis loin d’être un amant lambda, tu ne fais pas le poids et j'aurais trop peur de te prendre avec mon engin qui comme tu as pu voir et si je comprends bien que tu as déjà branlé et sucé l'autre jour est loin d'être un petit calibre adapté à une jeune fille comme toi.
-Ça c'est à moi de m’en assurer tonton ! Pour te parler franchement, je dois reconnaître que j'ai beaucoup d'appréhension mais ne crois pas que je sois une oie blanche encore vierge. Je lui rétorque. Bien sûr je n'ai jamais connu de partenaire monté comme toi, mais Christophe pourrait presque faire la comparaison avec toi, tout du moins pour la longueur de ta verge. (Je viens de dire un gros mensonge mais j'espère qu'il va le gober et ne pas me rejeter).
-Bien ! Constate-il, je vois que rien ne peut te détourner de ton but, alors tant pis pour toi, je t'aurai suffisamment prévenue. Je vois que tu t'es habillée comme une petite pute alors continue, tu vas me faire une danse lascive et t’effeuiller devant moi jusqu'à être complètement nue, alors je déciderai si tu dois aller te rhabiller ou si tu passeras à la casserole...
Après avoir entendu ces mots, rapidement, je fais tomber une bretelle de ma robe de mon épaule droite dévoilant le haut qui maintient mon sein. Le téton pointe déjà bien dur. Il regarde avec appréciation ma poitrine quand je fais tomber l’autre bretelle. Je saisis les deux bretelles de ma robe et la tire vers le bas. Mes petits seins fermes et agressifs s’exhibent devant les yeux de mon tonton uniquement voilé d’un tissu presque transparent. Je retire mon haut pour lui dévoiler ma poitrine, mes seins apparaissent et je les prends entre mes mains, je les masse, lui proposant de sucer mes tétons, qui durcissent au fur et à mesure de mes caresses. Ensuite j’écarte les jambes et commence à me frotter la fente. Je l’entends marmonner : Putain ! Tu mouilles déjà !
J’écarte mon string et joue avec mon clitoris d’une main avec l’autre sur un de mes seins que je caresse lentement, continuant à mouiller. Alors je vois croître une bosse dans son pantalon.
Il se lève et vient à côté de moi, passe son bras droit autour de mon cou et commence à me peloter la poitrine de sa main gauche, il se met à me palper durement les seins, puis se penche ensuite et m’écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Tonton se place à ma droite et me met directement la main sur la vulve, écartant le string il plonge un doigt dans ma fente. Je hurle pendant qu’il me fouille le sexe, je sens que je mouille de plus en plus, je gémis, me tords. Il me fait mettre à quatre pattes, me caresse les fesses, se met derrière moi et passe sa langue sur ma fente, m’écarte les fesses pour voir mon petit trou rose, bien entretenu. Il passe sa langue, le lèche. Je me tortille quand il arrive à faire pénétrer le bout de sa langue puis introduit un doigt, puis deux, fait des va et vient. J’apprécie tous ces préliminaires et une douce chaleur envahit mon bas ventre et ma chatte est de plus en plus trempée. Mon désir se fait de plus en plus fort. Puis brusquement tout s'arrête et tonton m’ordonne :
-Rhabille toi ! C’est très prometteur mais ça suffit pour aujourd’hui. Tu n’avais qu’à être à l’heure.
Il doit percevoir ma surprise et ma déception et ça a l'air de l'amuser. Allez ! presse-toi un peu, j’ai un autre rendez-vous qui m’attend !
Je suis furibonde. Je me rhabille quand on sonne à la porte.
-Va ouvrir et referme derrière toi !
Quand j’ouvre la porte, une femme superbe me sourit, entre et me regarde, referme la porte en criant à tonton, « ma parole Patrick, tu les prends au berceau maintenant », puis met le verrou. Je n’ai servi que de chauffe-couilles à tonton et je suis sûre que maintenant il va sauter cette véritable gravure de mode, le salaud ! D’un autre côté, je sais pertinemment qu’il n’attend pas après moi pour assouvir ses besoins. Un chaud-lapin, tonton ! Avait-t-il l’intention de me baiser avant de remettre le couvert avec cette bombasse si j’étais arrivée à l’heure ?
De dépit, je lui envoie une vidéo de mes sœurs faisant du cheval sur sa bite d’étalon en lui faisant remarquer que moi aussi j’ai pris des leçons d’équitation et que papa serait furieux de savoir qu’il n’a pas payé des cours à mes sœurs pour ce type de pratique. Il me redonne rendez-vous pour le dimanche suivant en précisant que je serai la seule cette fois-ci et qu’il va se réserver toute la semaine pour me faire payer en nature mon caprice de petite fille pourrie-gâtée.
Je me retrouve donc une fois de plus chez lui le dimanche arrivé. Je suis à la fois impatiente et redoutant la séance. Il est égal à lui-même et fait comme si pour lui, je n’ai que peu d’importance.
-Ça t'as soulagé la dernière fois ? Tu en veux plus ?
-Soulagée ? Je lui jette. Pas vraiment. Tu t’es amusé avec moi et m’a jetée comme une vieille chaussette.
Il sourit à l'allusion et m’ordonne.
-Allonge-toi, je vais remédier à ça mais sache qu’il n’y a que moi qui dirai quand ça sera fini, tu n’as plus le droit de rien décider. Tu es vraiment très belle tu sais, m’avoue-t-il pendant que ses mains effleurent mes reins. Depuis l’autre jour, il m'arrive même de penser à toi autrement que comme ma petite nièce.
Ses mains se font plus insistantes et finissent assez rapidement dans mon slip. Il s'amuse de mon trouble en continuant à me caresser et me lance.
- Tu sais l'autre jour après notre petite séance, j'ai baisé Françoise en pensant à ton joli petit cul. Ça m’a fait bander comme un âne. Lâche-t-il la voix plus rauque.
Ma chatte est en feu tandis que ses doigts glissent le long de ma raie sans relâche. J'essaie de me relever du divan mais il m'ordonne fermement de ne pas bouger. J'obéis et attends la suite.
Enfin il me fait me redresser et m’asseoir du bout des fesses sur la table de la salle-à-manger, place ses mains sur mes cuisses et me tire vers lui. Il se met entre mes jambes et commence à se frotter contre moi. Je sens son sexe darder à travers le tissu de son pantalon et mouille déjà comme une folle dans ma petite culotte. Il grogne : "Tu la sens ma queue ? Tu la sens bien ?" Tout en continuant à se frotter contre moi. Il fait glisser doucement ma culotte à mi-cuisse, puis remonte une main dans mon entrejambe et glisse un doigt dans ma fente détrempée. Il me caresse comme cela pendant une éternité pour moi car je n’ai qu’une envie, qu'il m'enfonce son dard dans ma chatte gluante alors que là, il me branle, s'amusant avec moi. J'essaie de bouger mon bassin pour accentuer la caresse mais sans y parvenir car il me bloque avec son bas ventre. Enfin il relâche la pression de son corps contre le mien et fait glisser jusqu'en bas ma culotte avant de la retirer. Il écarte un peu plus mes cuisses, ouvre les lèvres de ses doigts et m’annonce :
-Tu es prête et suffisamment lubrifiée, on va passer à la suite.
Sur ce, tonton s’écarte de moi et défait la ceinture de son pantalon, dégrafe le bouton de métal et descend la fermeture éclair. Assise face à lui, je le regarde plonger la main pour la voir se saisir de son énorme mandrin. On dirait qu’un serpent va sortir du boxer, il me sourit et fait tomber le dernier rempart de tissu. Je vois surgir de son sous-vêtement sa queue monstrueuse qui s’échappe enfin de sa cage, une épaisse et longue verge à demi bandée.
Je frémis de désir quand il vient se recoller à moi. La queue de tonton palpite contre mon ventre. Elle me parait pourtant bien haut au-dessus de mon nombril. Je glisse une main curieuse entre nous à la rencontre de son pieux. Je trouve sa verge chaude mi-molle déjà gorgée de sang et de désir. Le prépuce légèrement dégagé du casque en forme de cagoule hyper sensible est déjà légèrement huileux. Je parcours à l'aveugle le dessous du phallus et mon pèlerinage n’en finit pas me donnant une idée de mon futur chemin de croix.
Il reprend le pétrissage de mes seins et pince mes tétons me rendant encore plus excitée par le spectacle de sa verge. Petit à petit, son érection prend encore plus de vigueur et finalement je retrouve devant moi cette queue encore plus grande et plus épaisse que dans mes souvenirs, et cette fois, rien que pour moi.
Il m'embrasse sur la bouche, sa langue glisse entre mes lèvres et j’ai le goût de ma mouille dans la bouche. Alors qu'il m’embrasse, il prend mon autre main et la pose sur son sexe à la place de la sienne. Je me mets à le branler doucement. Il retire sa langue de ma bouche, me fait descendre de la table, appuie sur mes épaules pour que je me trouve à genoux devant son chibre que je branle avec application. Une seule de mes mains ne peut faire le tour de sa bite, je la branle pour la rendre bien dur pendant que je suce son gland, ne pouvant en prendre guère plus dans ma petite bouche.
Je l’enfonce profondément entre mes lèvres. Enfin quand je dis profondément, j'en prends ce que je peux, c'est à dire à peine plus du quart, à l’impossible nul n’est tenu… J’alterne en le branlant avec mes toutes petites mains ou en m’appliquant sur ma fellation. Son engin est si épais que je n'imagine pas pouvoir faire autre chose que de sucer son gland ou ses couilles ce qui semble déjà bien lui plaire. Mais je sais qu'il en voudra beaucoup plus. Il me demande de me mettre debout pour finir de me dévêtir et pouvoir profiter de tout mon corps puis de le déshabiller.
A suivre…
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