Le gourdin de tonton. 15
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 15
Le gourdin de tonton. 15
Je sais bien qu’un étalon peut saillir tout son troupeau de jument mais ça fait déjà plusieurs heures que ce phénomène nous tringle par tous les trous possibles. Il ne va pas encore remettre ça ? J’étouffe et recrache la bête incontrôlable.
Quand soudain une voix s’élève, c’est celle de maman :
-Oh mon Dieu ! Qu’as-tu fait Xavier ? C’est pas possible…
Elle s’approche, on a droit chacune à une gifle et on se rhabille en vitesse quand elle reprend ses jérémiades.
-Tu n’as décidément pas changé, une vraie bite sur patte. Mais mes filles Xavier, mes filles !!! Va falloir qu’on cause. Et elle se sauve en pleurant…
Suite :
Xavier.
Merde ! Qu’est-ce que je dois faire ? Pris sur le fait par ma belle-sœur…
Je pourrais me couvrir le bas-ventre pour lui cacher mon service trois-pièces, mais ça servirait à quoi vu qu’elle m’a surpris avec ses trois filles à poils. De plus, des traces très reconnaissables souillent les draps et le sol, alors ! De plus, ce n’est pas la première fois qu’elle est confrontée à ma virilité. Ça fait quelques années bien sûr qu’elle n’y a pas été confrontée, mais bien qu’elle se soit mariée à mon frère, ça ne l’a pas beaucoup gênée pour le tromper avant, et même après son mariage en me jurant il y a quelques années :
-J’ai épousé ton frère pour avoir une situation plus stable qu’avec toi car je savais pertinemment que je n’arriverais jamais à contenter ta fringale de chattes. Il est un amant plus qu’honorable mais rien de comparable à toi et à ta queue d’âne infatigable. Parfois la raison doit passer avant le plaisir…
Et c’est ainsi que les années aidant et la vie de famille l’a rendu plus fidèle. Comment va-t-elle réagir dans les jours qui viennent ? Va-t-elle tout dire à mon frère ? Me demander de déménager loin de chez elle ? Il m’a fallu attendre deux semaines avant que je ne reçoive un coup de fil de sa part, très bref. « Demain, 10h00 chez toi ».
On sonne à la porte et je l’entends s’ouvrir et se refermer. Des talons claquent sur le carrelage et Véronique entre au salon où je l’attends assis dans le divan. Je vais pour me relever mais elle me repousse puis s’assoie dans le fauteuil en face de moi.
-Xavier, il faut crever l’abcès. Qu’elle idée t’a traversée l’esprit pour te faire tes nièces, mes bébés ?
Tu n’as pas assez de toutes ces poufiasses qui se succèdent chez toi ? Il te faut de la chair fraîche ? Comment as-tu pu t’abaisser à ce point ? Tes nièces, bordel ! Tes nièces ! Et les trois en plus pour les noyer dans le stupre. Tu n’as vraiment aucune morale et je ne vois pas ce qui me retiens d’aller porter plainte sinon le scandale qui va les poursuivre toutes leurs vies et détruire mon couple et la famille. Mais réponds-moi bordel ! Dis quelque chose !
-Mais Véro, je n’y suis pour rien, enfin pas comme tu le crois. Ça a commencé avec Chantal quand elle a découvert que je postais des vidéos sur le net et elle m’a quasiment fait chanter. Ou je lui cédais, ou elle révélait à tout le monde qui se cache derrière l’avatar.
-Mais de quoi tu me parles, Xavier ? quel rapport avec mes filles ?
-Il faut que je t’avoue que je suis très connu sur des sites d’histoires porno et sur d’autres où on peut visionner gratuitement de petites vidéos olé-olé. Chantal a fait le rapprochement avec moi en voyant l’arrière-plan et tout s’est enchainé. Je lui ai cédé et Brigitte nous a surpris. Que voulais-tu que je fasse ? J’ai bien fait ce que j’ai pu pour les repousser mais elles ont réussi et ont voulu vivre la même chose qu’elles visionnaient sur le net. J’ai été pris dans l’engrenage et puis c’était ce qu’elles désiraient, alors elles ont tâté au propre comme au figuré à ce que veut dire se taper un étalon, et elles en redemandaient encore et encore… Tu te souviens du repas d’anniversaire de Julie ? A un moment, tu m’as demandé ce qui m’arrivait, eh bien je devais me retenir pour ne pas jouir car deux anges étaient en train de me branler sous la table.
Et quelques jours plus tard, j’étais en sueur dans mon jardin, elles m’ont suivi jusque dans la douche pour me bouchonner comme un cheval puis m’ont suivi dans ma chambre et à un moment m’ont bandé les yeux pour dévergonder Julie. Tes filles sont de véritables trainées qui aiment la bite, particulièrement la mienne. Tiens, rien quand te racontant tout ça, j’en bande comme un Turc…
J’ai droit à un aller/retour de sa main sur mon visage et à ses récriminations :
-Xavier, tu es un vrai porc. Et en plus il y a de grandes chances que Brigitte et Chantal soient tes propres filles. Tu n'as pas honte ! Je sais bien que moi aussi j'ai cédé à la tentation jadis et que mes trois filles sont maintenant toutes majeures et libres de leurs actes. Mais ce n'est quand même pas une raison pour…
Tout en disant cela, sa main droite qu'elle avait au début posé sur ma cuisse a dérivé tout doucement vers mon entrejambe et constaté malgré mon short et mon boxer que je ne lui mentais pas. Je croyais qu’après tout ce qu'elle venait de dire elle retirerait sa main mais au contraire elle la promène de bas en haut sur toute la longueur de la bosse qui déforme mon short. Ça lui rappelle sûrement de bons souvenirs. On entendrait une mouche voler quand sa main rampe sur mon corps pour se glisser sous les vêtements et saisir comme il y a quelques années ma verge qui n'en n'attendait pas tant. Je ne bouge pas un poil de peur de rompre l'enchantement retenant presque ma respiration quand ses doigts emprisonnent ma hampe et impriment un mouvement de bas en haut quelques temps en décalottant mon gland gonflé de sang.
Je soulève mon bassin et descends de mes deux mains les habits qui recouvrent mon sexe lui permettant de s'exprimer en pleine lumière. Que va-elle faire ? Va- t-elle fuir ? Eh bien non ! Comme ses filles on la dirait hypnotisée telle une proie devant un serpent à sonnette. Je ressens bien la pression de ses doigts sur mon chibre qui n'en n'attendait pas tant.
Comme les vieilles habitudes ne se perdent pas, en un rien de temps sa bouche vient en renfort et ses lèvres gouttent à nouveau un plaisir qu'elle s'était interdite depuis tant d'années. Bien que depuis, un nombre incalculable de femmes se soient succédé à sucer ma lance, je dois bien reconnaître que je retrouve mes premiers émois d'adolescent à peine pubère se faisant faire une fellation par sa première conquête.
Si je le voulais je pourrais résister très longtemps à ce supplice des plus agréables mais je me laisse aller pour voir jusqu'où elle ira. Je la préviens quand même dès que je ressens cette sensation si particulière quand l'éjaculation est si proche que rien ne peut plus l'empêcher. La seule chose qu'elle fait c'est de reculer un peu sa bouche de mon chibre pour qu’uniquement mon gland reste entre ses lèvres. Mes éjaculas se succèdent lui remplissant la cavité buccale d’une énorme charge de crème blanche. Contrairement à ses filles et fière d'une longue expérience elle n'en perd pas une seule goutte osant me faire voir quelques secondes sa langue empâtée par ma semence avant de déglutir plusieurs fois et ouvrir de nouveau la bouche pour me prouver qu'elle sait encore s'y prendre.
Mais le charme est rompu, c'est comme si elle se réveillait d’un rêve. Elle se relève, horrifiée, une main devant la bouche et s'enfuit comme une jeune fille prise en faute.
Je suis dans de beaux draps, moi maintenant. Si en plus des trois nièces je dois me taper leur mère, ça va être coton. Surtout que depuis quelques temps, les trois filles de mon voisin sont entrées dans la farandole. (lire : petite fleur des îles). Il faut aussi que je vous parle d'un couple de voisins qui habitent juste au-dessus de chez moi, fervents du naturisme qui viennent de faire construire une piscine et comme ayant une vue assez dégagée sur mon terrain n’ont rien manqué de mon petit manège avec Océane, Isis et Maeva en trouvant le bon endroit propice à l’espionnage. Ça me promet un sacré avenir dans les jours qui vont suivre…
D’ailleurs, ils m’ont invité ainsi que mes nièces, leurs parents étant absents, et mes jeunes voisines dont le père travaille et quelques-uns de leurs amis à l’inauguration de leur piscine. La journée a été bien arrosée comme toutes ces naïades plongeant dans ce beau bassin. Petit à petit, les invités sont partis et ne reste plus que les voisins proches, c’est-à-dire que Pierre, le mari de Jeanne et moi somment les seuls hommes parmi ce troupeau de sept femmes. Il propose alors, l’alcool aidant et avec leurs mœurs libres de finir la journée dans le plus simple appareil. Les filles se regardent, hésitantes. Mais comme Jeanne tombe sa robe et se retrouve complètement nue comme son mari, d’ailleurs, il suffit que Chantal toujours aussi délurée tombe son maillot pour que toutes les autres l’imitent.
Comme je ne réagis pas assez rapidement à leur goût, une volée de perruches s’abat sur moi pour retirer presque en le déchirant mon maillot de bain sous le regard admiratif de Jeanne.
-Excusez-moi cher Xavier, mais depuis le temps que je voulais admirer « la bête » de près… J’admire vos exploits avec ces trois filles des îles et je dois dire qu’il me tardait de vous inviter au bord de la piscine. Je suis loin d’être déçue. Ne vous inquiétez-pas, mon mari est candaulisme et il a devant les yeux les corps splendides de vos nièces en plus. Vous permettez que je m’étende à côté de vous pour laisser nager la jeunesse ?
Je ne peux décemment lui refuser et Pierre s’étend sur la chaise longue de l’autre côté de moi. Je suis cerné par ce couple et nous regardons les filles dont certaines ne font pas que nager et jouent à des jeux que la morale réprouve. Vous me connaissez, je ne suis pas de bois…Et ce qui devait arriver arriva. Insensiblement, bien que j’essaie de toutes mes forces de réfréner les bas instincts du mâle, mon cerveau reptilien court-circuite ma volonté et un afflux de sang réveille « l’animal » qui sommeille en moi. Je suis sûr qu’avec un peu de volonté, j’en viendrais à bout mais, mais… Mais mes hôtes ne sont pas de cet avis. L’homme comme la femme commencent par me caresser le corps chacun de son côté avant de se rejoindre, je suis sûr que vous devinez où… Action, donc réaction. En moins d’une minute, je bande comme un âne pour le plus grand plaisir de mes tortionnaires. Jeanne se penche vers mon oreille et me murmure.
-Depuis le temps que j’attendais ça. Vous savez, j’ai deviné depuis quelques temps qui vous êtes. Je suis assez physionomiste et quelques détails de votre maison m’ont retiré les derniers doutes. Comme dans le loto, beaucoup jouent mais peu peuvent toucher le gros lot, et là, le « gros lot », je l’ai dans ma main. C’est encore plus beau en 3D que sur un minuscule écran. Mon mari est pas mal doté comme vous pouvez le voir car tout ça l’a fait bander lui aussi, mais rien de comparable à votre boutefeu. Vous me permettez d’en goutter la gueule ?
Et son mari de me féliciter : « Putain ! C’est à peine si mes doigts se touchent quand j’enserre votre chibre ! Quel calibre !
A suivre…
Je sais bien qu’un étalon peut saillir tout son troupeau de jument mais ça fait déjà plusieurs heures que ce phénomène nous tringle par tous les trous possibles. Il ne va pas encore remettre ça ? J’étouffe et recrache la bête incontrôlable.
Quand soudain une voix s’élève, c’est celle de maman :
-Oh mon Dieu ! Qu’as-tu fait Xavier ? C’est pas possible…
Elle s’approche, on a droit chacune à une gifle et on se rhabille en vitesse quand elle reprend ses jérémiades.
-Tu n’as décidément pas changé, une vraie bite sur patte. Mais mes filles Xavier, mes filles !!! Va falloir qu’on cause. Et elle se sauve en pleurant…
Suite :
Xavier.
Merde ! Qu’est-ce que je dois faire ? Pris sur le fait par ma belle-sœur…
Je pourrais me couvrir le bas-ventre pour lui cacher mon service trois-pièces, mais ça servirait à quoi vu qu’elle m’a surpris avec ses trois filles à poils. De plus, des traces très reconnaissables souillent les draps et le sol, alors ! De plus, ce n’est pas la première fois qu’elle est confrontée à ma virilité. Ça fait quelques années bien sûr qu’elle n’y a pas été confrontée, mais bien qu’elle se soit mariée à mon frère, ça ne l’a pas beaucoup gênée pour le tromper avant, et même après son mariage en me jurant il y a quelques années :
-J’ai épousé ton frère pour avoir une situation plus stable qu’avec toi car je savais pertinemment que je n’arriverais jamais à contenter ta fringale de chattes. Il est un amant plus qu’honorable mais rien de comparable à toi et à ta queue d’âne infatigable. Parfois la raison doit passer avant le plaisir…
Et c’est ainsi que les années aidant et la vie de famille l’a rendu plus fidèle. Comment va-t-elle réagir dans les jours qui viennent ? Va-t-elle tout dire à mon frère ? Me demander de déménager loin de chez elle ? Il m’a fallu attendre deux semaines avant que je ne reçoive un coup de fil de sa part, très bref. « Demain, 10h00 chez toi ».
On sonne à la porte et je l’entends s’ouvrir et se refermer. Des talons claquent sur le carrelage et Véronique entre au salon où je l’attends assis dans le divan. Je vais pour me relever mais elle me repousse puis s’assoie dans le fauteuil en face de moi.
-Xavier, il faut crever l’abcès. Qu’elle idée t’a traversée l’esprit pour te faire tes nièces, mes bébés ?
Tu n’as pas assez de toutes ces poufiasses qui se succèdent chez toi ? Il te faut de la chair fraîche ? Comment as-tu pu t’abaisser à ce point ? Tes nièces, bordel ! Tes nièces ! Et les trois en plus pour les noyer dans le stupre. Tu n’as vraiment aucune morale et je ne vois pas ce qui me retiens d’aller porter plainte sinon le scandale qui va les poursuivre toutes leurs vies et détruire mon couple et la famille. Mais réponds-moi bordel ! Dis quelque chose !
-Mais Véro, je n’y suis pour rien, enfin pas comme tu le crois. Ça a commencé avec Chantal quand elle a découvert que je postais des vidéos sur le net et elle m’a quasiment fait chanter. Ou je lui cédais, ou elle révélait à tout le monde qui se cache derrière l’avatar.
-Mais de quoi tu me parles, Xavier ? quel rapport avec mes filles ?
-Il faut que je t’avoue que je suis très connu sur des sites d’histoires porno et sur d’autres où on peut visionner gratuitement de petites vidéos olé-olé. Chantal a fait le rapprochement avec moi en voyant l’arrière-plan et tout s’est enchainé. Je lui ai cédé et Brigitte nous a surpris. Que voulais-tu que je fasse ? J’ai bien fait ce que j’ai pu pour les repousser mais elles ont réussi et ont voulu vivre la même chose qu’elles visionnaient sur le net. J’ai été pris dans l’engrenage et puis c’était ce qu’elles désiraient, alors elles ont tâté au propre comme au figuré à ce que veut dire se taper un étalon, et elles en redemandaient encore et encore… Tu te souviens du repas d’anniversaire de Julie ? A un moment, tu m’as demandé ce qui m’arrivait, eh bien je devais me retenir pour ne pas jouir car deux anges étaient en train de me branler sous la table.
Et quelques jours plus tard, j’étais en sueur dans mon jardin, elles m’ont suivi jusque dans la douche pour me bouchonner comme un cheval puis m’ont suivi dans ma chambre et à un moment m’ont bandé les yeux pour dévergonder Julie. Tes filles sont de véritables trainées qui aiment la bite, particulièrement la mienne. Tiens, rien quand te racontant tout ça, j’en bande comme un Turc…
J’ai droit à un aller/retour de sa main sur mon visage et à ses récriminations :
-Xavier, tu es un vrai porc. Et en plus il y a de grandes chances que Brigitte et Chantal soient tes propres filles. Tu n'as pas honte ! Je sais bien que moi aussi j'ai cédé à la tentation jadis et que mes trois filles sont maintenant toutes majeures et libres de leurs actes. Mais ce n'est quand même pas une raison pour…
Tout en disant cela, sa main droite qu'elle avait au début posé sur ma cuisse a dérivé tout doucement vers mon entrejambe et constaté malgré mon short et mon boxer que je ne lui mentais pas. Je croyais qu’après tout ce qu'elle venait de dire elle retirerait sa main mais au contraire elle la promène de bas en haut sur toute la longueur de la bosse qui déforme mon short. Ça lui rappelle sûrement de bons souvenirs. On entendrait une mouche voler quand sa main rampe sur mon corps pour se glisser sous les vêtements et saisir comme il y a quelques années ma verge qui n'en n'attendait pas tant. Je ne bouge pas un poil de peur de rompre l'enchantement retenant presque ma respiration quand ses doigts emprisonnent ma hampe et impriment un mouvement de bas en haut quelques temps en décalottant mon gland gonflé de sang.
Je soulève mon bassin et descends de mes deux mains les habits qui recouvrent mon sexe lui permettant de s'exprimer en pleine lumière. Que va-elle faire ? Va- t-elle fuir ? Eh bien non ! Comme ses filles on la dirait hypnotisée telle une proie devant un serpent à sonnette. Je ressens bien la pression de ses doigts sur mon chibre qui n'en n'attendait pas tant.
Comme les vieilles habitudes ne se perdent pas, en un rien de temps sa bouche vient en renfort et ses lèvres gouttent à nouveau un plaisir qu'elle s'était interdite depuis tant d'années. Bien que depuis, un nombre incalculable de femmes se soient succédé à sucer ma lance, je dois bien reconnaître que je retrouve mes premiers émois d'adolescent à peine pubère se faisant faire une fellation par sa première conquête.
Si je le voulais je pourrais résister très longtemps à ce supplice des plus agréables mais je me laisse aller pour voir jusqu'où elle ira. Je la préviens quand même dès que je ressens cette sensation si particulière quand l'éjaculation est si proche que rien ne peut plus l'empêcher. La seule chose qu'elle fait c'est de reculer un peu sa bouche de mon chibre pour qu’uniquement mon gland reste entre ses lèvres. Mes éjaculas se succèdent lui remplissant la cavité buccale d’une énorme charge de crème blanche. Contrairement à ses filles et fière d'une longue expérience elle n'en perd pas une seule goutte osant me faire voir quelques secondes sa langue empâtée par ma semence avant de déglutir plusieurs fois et ouvrir de nouveau la bouche pour me prouver qu'elle sait encore s'y prendre.
Mais le charme est rompu, c'est comme si elle se réveillait d’un rêve. Elle se relève, horrifiée, une main devant la bouche et s'enfuit comme une jeune fille prise en faute.
Je suis dans de beaux draps, moi maintenant. Si en plus des trois nièces je dois me taper leur mère, ça va être coton. Surtout que depuis quelques temps, les trois filles de mon voisin sont entrées dans la farandole. (lire : petite fleur des îles). Il faut aussi que je vous parle d'un couple de voisins qui habitent juste au-dessus de chez moi, fervents du naturisme qui viennent de faire construire une piscine et comme ayant une vue assez dégagée sur mon terrain n’ont rien manqué de mon petit manège avec Océane, Isis et Maeva en trouvant le bon endroit propice à l’espionnage. Ça me promet un sacré avenir dans les jours qui vont suivre…
D’ailleurs, ils m’ont invité ainsi que mes nièces, leurs parents étant absents, et mes jeunes voisines dont le père travaille et quelques-uns de leurs amis à l’inauguration de leur piscine. La journée a été bien arrosée comme toutes ces naïades plongeant dans ce beau bassin. Petit à petit, les invités sont partis et ne reste plus que les voisins proches, c’est-à-dire que Pierre, le mari de Jeanne et moi somment les seuls hommes parmi ce troupeau de sept femmes. Il propose alors, l’alcool aidant et avec leurs mœurs libres de finir la journée dans le plus simple appareil. Les filles se regardent, hésitantes. Mais comme Jeanne tombe sa robe et se retrouve complètement nue comme son mari, d’ailleurs, il suffit que Chantal toujours aussi délurée tombe son maillot pour que toutes les autres l’imitent.
Comme je ne réagis pas assez rapidement à leur goût, une volée de perruches s’abat sur moi pour retirer presque en le déchirant mon maillot de bain sous le regard admiratif de Jeanne.
-Excusez-moi cher Xavier, mais depuis le temps que je voulais admirer « la bête » de près… J’admire vos exploits avec ces trois filles des îles et je dois dire qu’il me tardait de vous inviter au bord de la piscine. Je suis loin d’être déçue. Ne vous inquiétez-pas, mon mari est candaulisme et il a devant les yeux les corps splendides de vos nièces en plus. Vous permettez que je m’étende à côté de vous pour laisser nager la jeunesse ?
Je ne peux décemment lui refuser et Pierre s’étend sur la chaise longue de l’autre côté de moi. Je suis cerné par ce couple et nous regardons les filles dont certaines ne font pas que nager et jouent à des jeux que la morale réprouve. Vous me connaissez, je ne suis pas de bois…Et ce qui devait arriver arriva. Insensiblement, bien que j’essaie de toutes mes forces de réfréner les bas instincts du mâle, mon cerveau reptilien court-circuite ma volonté et un afflux de sang réveille « l’animal » qui sommeille en moi. Je suis sûr qu’avec un peu de volonté, j’en viendrais à bout mais, mais… Mais mes hôtes ne sont pas de cet avis. L’homme comme la femme commencent par me caresser le corps chacun de son côté avant de se rejoindre, je suis sûr que vous devinez où… Action, donc réaction. En moins d’une minute, je bande comme un âne pour le plus grand plaisir de mes tortionnaires. Jeanne se penche vers mon oreille et me murmure.
-Depuis le temps que j’attendais ça. Vous savez, j’ai deviné depuis quelques temps qui vous êtes. Je suis assez physionomiste et quelques détails de votre maison m’ont retiré les derniers doutes. Comme dans le loto, beaucoup jouent mais peu peuvent toucher le gros lot, et là, le « gros lot », je l’ai dans ma main. C’est encore plus beau en 3D que sur un minuscule écran. Mon mari est pas mal doté comme vous pouvez le voir car tout ça l’a fait bander lui aussi, mais rien de comparable à votre boutefeu. Vous me permettez d’en goutter la gueule ?
Et son mari de me féliciter : « Putain ! C’est à peine si mes doigts se touchent quand j’enserre votre chibre ! Quel calibre !
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