Le jeune Denis Ep08 Vacances inoubliables
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune Denis Ep08 Vacances inoubliables
Oui l'amour se découvre le plus souvent dans un ordre précis. On commence par la branlette, puis le flirt, on se partage alors des câlins et des baisers avant de découvrir le corps de l'autre dans son intimité. On passe ensuite à la fellation puis à la pénétration, dans le cas qui nous préoccupe, la sodomie...
C'est dans le sens inverse à celui-ci que Denis avait découvert l'amour, et là il remettait tout ça en place dans sa tête.
Depuis deux semaines il avait connu le flirt, les câlin. Pour ce qui est de la branlette c'était déjà fini, pour toujours, c'était fini. Il acceptait la situation il ne regrettait pas d'avoir accepté, il ne serait pas revenu en arrière. Avec Emmanuel il avait découvert les câlins, les baisers pleins de tendresse et il arrivait à découvrir son corps mais voilà les vacances se terminaient un peu trop tôt.
Denis se remémorait ces deux mois passés. Les hommes des bois, les ouvriers. Ils lui avaient fait découvrir d'autres plaisirs.
Perdu dans ses pensées il ne s'en rendait pas compte qu'il approchait de la maison ou habitaient les ouvriers, les fameux hommes des bois. C'était une idée un peu étrange, vous en conviendrez, que de loger les ouvriers dans un tel endroit isolé, mais c'est vrai aussi qu'ils étaient tous des déviants. Ils ne portaient pas de dispositifs de chasteté et de fait leur valeur morale était douteuse.
Denis était perdu dans ses pensées quand il entendait.
– Mais ça faisait un moment qu'on ne l'avait pas vu dans le coin celui-là !
C'était une des ouvriers que Denis avait rencontré quelques semaines plus tôt, celui qui l'avait enculé la première fois.
C'est à cet événement que Denis repensait en le voyant. Il s'approchait de lui avec une démarche décidée.
– Tu sais, ça me fait plaisir de te revoir toi ! On m'a dit que tout le monde repartait demain. Ça va faire un grand vide, il n'y aura plus personne dans cette grande maison. Un autre groupe ne va pas tarder à revenir mais en attendant …
Il parlait, il parlait, et il avançait vers Denis, il lui prenait le bras et l'entraînait.
Denis ne résistait pas, il suivait, il se souvenait de toute la suite des événements depuis le début de ses vacances. C'était un jardinier et c'était avec lui que tout avait commencé.
Le jardinier passait doucement la main dans sur le cou de Denis. C'était une caresse douce, un petit câlin. Avec lui, c'était le premier que Denis recevait, d'habitude c'était plus expéditif.
Le jardinier donnait ensuite un baiser,un baiser très tendre à son partenaire Denis. Les lèvres se découvraient, se touchaient, se caressaient. C'était toujours dans une douceur totale. Denis aimait cette douceur, il se savait infidèle à son ami et amant Emmanuel qu'il venait de quitter très peu de temps plus tôt.
Mais c'est vrai que cette histoire était terminée et que cette nouvelle aventure n'aurait pas de suite. Denis ne résistait pas et rendait ce qu'il recevait, il faisait lui aussi preuve de tendresse et de douceur.
Les baisers devenaient chauds, très chauds, les caresses devenaient tendres et les câlins très doux.
En un geste rapide le jardinier retirait sa chemise, et Denis en faisait de même sans trop s'en rendre compte.
Les corps se caressaient, ils se redécouvraient, ils ne s'étaient pas totalement oublié. Denis oubliait, il préférait oublier pour le moment son ami Emmanuel.
Chacun serrait l'autre dans ses bras, la peau du jardinier était douce et ferme, Denis se souvenait de ses muscles, il les embrassait. Le jardinier était le premier surpris par cette réaction et le lui disait.
– Tu as fait des progrès depuis la dernière fois !
Denis ne répondait pas et continuait à explorer le torse du jardinier en commençant par le haut. Arrivé à la ceinture, il ne s'arrêtait pas. Il lui ouvrait la ceinture, le pantalon qu'il faisait glisser sur ses chevilles. Le jardinier ne portait pas de sous vêtements et c'est maintenant sans aucune hésitation que Denis prenait dans sa bouche la très belle bite qui se relevait alors.
Le jardinier n'en revenait pas, il gémissait de plaisir, il penchait la tête en arrière et caressait les cheveux de Denis. Par moment il appuyait son visage contre lui. Sa queue disparaissait totalement dans la gorge de Denis qui faisait beaucoup d'efforts, et quelques bruits bizarres et rigolos par la même occasion.
Le jardinier s'en amusait et n'hésitait pas à retenir la tête de Denis. Il le retenait plus fermement, et ne le lâchait que quand Denis montrait une certaine panique quand il ne pouvait plus respirer.
Là le jardinier le relâchait. Denis retirait son visage et râlait un peu en reprenant son souffle mais il était tellement en manque de sexe le pauvre, depuis qu'il portait son dispositif qu'il y revenait très vite.
A peine avait-il repris son souffle qu'il y revenait et de nouveau la queue du jardinier disparaissait dans la gorge de Denis. Et le jardinier soupirait, gémissait et tremblait de plaisir.
C'est lui qui retenait Denis, il ne voulait pas jouir trop vite. Il le repoussait même par moment.
– Doucement bonhomme, doucement ! J'ai créé un monstre ou quoi ? Disait-il en rigolant.
Il attrapait Denis par la ceinture et avec des gestes rapides et précis il lui ouvrait son pantalon et le laissait tomber comme Denis l'avait fait un peut plus tôt.
Ils écartait leurs pantalons, et se retrouvait alors totalement nus l'un en face de l'autre. Le jardinier caressait le corps fin de Denis, il insistait tout particulièrement sur ses parties intimes.
Il s'arrêtait un instant sur la cage, ça devait toujours lui faire de l'effet ce genre de truc, il n'en porterait jamais. Ensuite il s'amusait avec les couilles de Denis. Il les caressaient puis les tripotaient avec force. Pas uniquement avec tendresse et douceur.
La tendresse et la douceur disparaissaient lentement. Par moment très doucement un doigt caressait les couilles imberbes de Denis, par moment la main se refermait sur les couilles de Denis et les serrait fort.
Là c'est Denis qui gémissait mais il y avait un peu de douleur, juste un peu, un tout petit peu.
Puis de nouveau les deux corps s'étreignaient et se serraient l'un contre l'autre, de nouveau les baisers redevenaient passionnés et les caresses chaudes. Puis c'est sans prévenir que le jardinier retournait Denis, le repoussait doucement en avant.
Denis s'appuyait contre une branche horizontale. Il réalisait et commençait à s'inquiéter.
Ils s'était touché, embrassé, caressé, câliné, l'un avait sucé l'autre et maintenant l'autre allait l'enculer.
Cette fois ci en une heure tout se passerait dans le bon sens.
Le jardinier lubrifiait le cul du petit Denis, le préparait le cul du petit Denis. Denis ne serait pas surpris, il savait à quoi s'attendre et c'est en pleine connaissance qu'il se laissait faire, qu'il le laissait faire.
Denis sursautait quand un doigt glissait dans son cul. Ce n'était pas douloureux. Sa cage était sous pression mais c'était une pression douce, sa queue avait bien gonflé mais sans exercer une grande pression. Là il était en mode basse pression, une grosse molle bien confinée qui prenait toute la place mais s'en contentait. C'était confortable.
Un deuxième doigt glissait dans son cul, Denis la bien senti passer mais n'en a pas fait cas. Les deux doigts s'agitaient rapidement et c'est un certain plaisir qui naissait au niveau de sa prostate et montait lentement dans tout son corps.
Puis bien lubrifié, le jardinier était prévoyant il avait toujours ce qu'il fallait sur lui. Denis en concluait que les déviants étant tous complètement obsédés, préféraient ne pas être pris de court.
Il laissait faire. Les deux doigts se retiraient et Denis sentait une forte pression contre son anus. Là il a avalé sa salive, là il commençait à baliser grave. Il ne résistait pas, il sentait le corps du jardinier, sa peau douce contre la sienne et ses muscles forts qui le retenaient. Puis il sentait de plus en plus intensément la pression contre son anus.
Puis l'anus s'ouvrait. Là ça devenait douloureux mais c'était une douleur que Denis ne refusait pas. Il y avait bien sûr de la douleur mais il y avait le sentiment, juste le sentiment, la promesse d'un plaisir intense qui serait autant intense et plus même que ne le serait la douleur.
Denis avait envie de crier, de hurler de se dégager mais ne bougeait pas, il laissait le jardinier disposer de son cul, le laissait s'amuser avec son corps. Il tremblait sous la douleur, il tremblait déjà sur ce qui serait un jour un grand plaisir. Mais pour le moment il y avait plus de douleur que de plaisir.
Le jardinier ne s'en préoccupait pas, lui ne se concentrait que sur son propre plaisir. Et le plaisir il en prenait, il en prenait, il s'enfonçait jusqu'à écraser son ventre contre les fesses de Denis, puis il poussait encore plus fort quand il en était là. Ensuite il se retirait totalement, marquait un courte pose et revenait avec force.
Denis serrait les dents pour ne pas crier, il transpirait et se retenait fermement à la branche sur laquelle il était penché. Mais une étrange sensation se mêlait à cette douleur. La promesse d'un plaisir naissait, elle envahissait tout son corps. Mais il ne jouissait pas encore.
C'est le jardinier qui jouissait et éjaculait dans le cul de Denis, il ne le cachait pas. Il criait de plaisir alors que Denis continuait à serrer les dents et a ne pousser aucun cri.
Le jardinier lâchait tout et Denis retombait sur le sol. Il respirait fort, c'est à ce moment qu'il à joui, c'est uniquement à ce moment qu'il à éjaculé, une série d'éjaculations d'une force qu'il ne supposait même pas possible. Il éjaculait puis il jutait et jutait encore. Là, le plaisir envahissait tout son corps et c'est de plaisir qu'il tremblait.
Même si la douleur était toujours là.
Le jardinier n'avait pas attendu que Denis se relève.
– Bon et bien, tu repars demain, on ne se reverra plus, bon voyage. Déclarait-il avant de repartir.
Denis a mis un certain temps avant de récupérer et de se relever. Il est alors rentré à la colonie de vacances, à pris une douche avant de passer à table.
Toute la soirée son cul lui a fait mal mais il a bien dormi. Sa queue ne l'a pas réveillé. Il se levait le lendemain pour préparer ses bagages, il avait mal au cul.
Il s'est retrouvé dans une calèche avec plusieurs de ses amis pour se rendre à la gare. Il y avait plusieurs calèches. Arrivé à la ville, il regardait s'il n'apercevrait pas son ami. Il avait une dernière pensée pour Emmanuel, enfin une dernière, ce ne serait certainement pas la dernière. Car bien des années plus tard ... mais ça c'est une autre histoire.
Le train le ramenait lentement vers sa maison, il voyageait avec son camarade Emmanuel Du Moulin De La Farine ( oui je sais c'est pas facile à porter comme nom de famille, Note de l'auteur ), c'était un autre Emmanuel.
Denis avait mal au cul !
Sa vie, ou en tout cas la manière de voir la vie devait rester pour toujours marquée par ce petit séjour. Mais Denis à suivi ses études, comme prévu, s'est marié, comme prévu, a fait un enfant, comme il a pu et s'est installé, il n'avait pas vingt cinq ans, comme conseillé en investissement.
Il s'est acheté une maison à la campagne, et grâce à cet étonnant appareil moderne qui venait juste d'arriver, le téléphone, il travaillait depuis chez lui tout en restant toujours en contacte avec son bureau à la ville.
Jusque au jour ou … Mais ça c'est une autre histoire qu'il faudra que je vous raconte un jour …
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est dans le sens inverse à celui-ci que Denis avait découvert l'amour, et là il remettait tout ça en place dans sa tête.
Depuis deux semaines il avait connu le flirt, les câlin. Pour ce qui est de la branlette c'était déjà fini, pour toujours, c'était fini. Il acceptait la situation il ne regrettait pas d'avoir accepté, il ne serait pas revenu en arrière. Avec Emmanuel il avait découvert les câlins, les baisers pleins de tendresse et il arrivait à découvrir son corps mais voilà les vacances se terminaient un peu trop tôt.
Denis se remémorait ces deux mois passés. Les hommes des bois, les ouvriers. Ils lui avaient fait découvrir d'autres plaisirs.
Perdu dans ses pensées il ne s'en rendait pas compte qu'il approchait de la maison ou habitaient les ouvriers, les fameux hommes des bois. C'était une idée un peu étrange, vous en conviendrez, que de loger les ouvriers dans un tel endroit isolé, mais c'est vrai aussi qu'ils étaient tous des déviants. Ils ne portaient pas de dispositifs de chasteté et de fait leur valeur morale était douteuse.
Denis était perdu dans ses pensées quand il entendait.
– Mais ça faisait un moment qu'on ne l'avait pas vu dans le coin celui-là !
C'était une des ouvriers que Denis avait rencontré quelques semaines plus tôt, celui qui l'avait enculé la première fois.
C'est à cet événement que Denis repensait en le voyant. Il s'approchait de lui avec une démarche décidée.
– Tu sais, ça me fait plaisir de te revoir toi ! On m'a dit que tout le monde repartait demain. Ça va faire un grand vide, il n'y aura plus personne dans cette grande maison. Un autre groupe ne va pas tarder à revenir mais en attendant …
Il parlait, il parlait, et il avançait vers Denis, il lui prenait le bras et l'entraînait.
Denis ne résistait pas, il suivait, il se souvenait de toute la suite des événements depuis le début de ses vacances. C'était un jardinier et c'était avec lui que tout avait commencé.
Le jardinier passait doucement la main dans sur le cou de Denis. C'était une caresse douce, un petit câlin. Avec lui, c'était le premier que Denis recevait, d'habitude c'était plus expéditif.
Le jardinier donnait ensuite un baiser,un baiser très tendre à son partenaire Denis. Les lèvres se découvraient, se touchaient, se caressaient. C'était toujours dans une douceur totale. Denis aimait cette douceur, il se savait infidèle à son ami et amant Emmanuel qu'il venait de quitter très peu de temps plus tôt.
Mais c'est vrai que cette histoire était terminée et que cette nouvelle aventure n'aurait pas de suite. Denis ne résistait pas et rendait ce qu'il recevait, il faisait lui aussi preuve de tendresse et de douceur.
Les baisers devenaient chauds, très chauds, les caresses devenaient tendres et les câlins très doux.
En un geste rapide le jardinier retirait sa chemise, et Denis en faisait de même sans trop s'en rendre compte.
Les corps se caressaient, ils se redécouvraient, ils ne s'étaient pas totalement oublié. Denis oubliait, il préférait oublier pour le moment son ami Emmanuel.
Chacun serrait l'autre dans ses bras, la peau du jardinier était douce et ferme, Denis se souvenait de ses muscles, il les embrassait. Le jardinier était le premier surpris par cette réaction et le lui disait.
– Tu as fait des progrès depuis la dernière fois !
Denis ne répondait pas et continuait à explorer le torse du jardinier en commençant par le haut. Arrivé à la ceinture, il ne s'arrêtait pas. Il lui ouvrait la ceinture, le pantalon qu'il faisait glisser sur ses chevilles. Le jardinier ne portait pas de sous vêtements et c'est maintenant sans aucune hésitation que Denis prenait dans sa bouche la très belle bite qui se relevait alors.
Le jardinier n'en revenait pas, il gémissait de plaisir, il penchait la tête en arrière et caressait les cheveux de Denis. Par moment il appuyait son visage contre lui. Sa queue disparaissait totalement dans la gorge de Denis qui faisait beaucoup d'efforts, et quelques bruits bizarres et rigolos par la même occasion.
Le jardinier s'en amusait et n'hésitait pas à retenir la tête de Denis. Il le retenait plus fermement, et ne le lâchait que quand Denis montrait une certaine panique quand il ne pouvait plus respirer.
Là le jardinier le relâchait. Denis retirait son visage et râlait un peu en reprenant son souffle mais il était tellement en manque de sexe le pauvre, depuis qu'il portait son dispositif qu'il y revenait très vite.
A peine avait-il repris son souffle qu'il y revenait et de nouveau la queue du jardinier disparaissait dans la gorge de Denis. Et le jardinier soupirait, gémissait et tremblait de plaisir.
C'est lui qui retenait Denis, il ne voulait pas jouir trop vite. Il le repoussait même par moment.
– Doucement bonhomme, doucement ! J'ai créé un monstre ou quoi ? Disait-il en rigolant.
Il attrapait Denis par la ceinture et avec des gestes rapides et précis il lui ouvrait son pantalon et le laissait tomber comme Denis l'avait fait un peut plus tôt.
Ils écartait leurs pantalons, et se retrouvait alors totalement nus l'un en face de l'autre. Le jardinier caressait le corps fin de Denis, il insistait tout particulièrement sur ses parties intimes.
Il s'arrêtait un instant sur la cage, ça devait toujours lui faire de l'effet ce genre de truc, il n'en porterait jamais. Ensuite il s'amusait avec les couilles de Denis. Il les caressaient puis les tripotaient avec force. Pas uniquement avec tendresse et douceur.
La tendresse et la douceur disparaissaient lentement. Par moment très doucement un doigt caressait les couilles imberbes de Denis, par moment la main se refermait sur les couilles de Denis et les serrait fort.
Là c'est Denis qui gémissait mais il y avait un peu de douleur, juste un peu, un tout petit peu.
Puis de nouveau les deux corps s'étreignaient et se serraient l'un contre l'autre, de nouveau les baisers redevenaient passionnés et les caresses chaudes. Puis c'est sans prévenir que le jardinier retournait Denis, le repoussait doucement en avant.
Denis s'appuyait contre une branche horizontale. Il réalisait et commençait à s'inquiéter.
Ils s'était touché, embrassé, caressé, câliné, l'un avait sucé l'autre et maintenant l'autre allait l'enculer.
Cette fois ci en une heure tout se passerait dans le bon sens.
Le jardinier lubrifiait le cul du petit Denis, le préparait le cul du petit Denis. Denis ne serait pas surpris, il savait à quoi s'attendre et c'est en pleine connaissance qu'il se laissait faire, qu'il le laissait faire.
Denis sursautait quand un doigt glissait dans son cul. Ce n'était pas douloureux. Sa cage était sous pression mais c'était une pression douce, sa queue avait bien gonflé mais sans exercer une grande pression. Là il était en mode basse pression, une grosse molle bien confinée qui prenait toute la place mais s'en contentait. C'était confortable.
Un deuxième doigt glissait dans son cul, Denis la bien senti passer mais n'en a pas fait cas. Les deux doigts s'agitaient rapidement et c'est un certain plaisir qui naissait au niveau de sa prostate et montait lentement dans tout son corps.
Puis bien lubrifié, le jardinier était prévoyant il avait toujours ce qu'il fallait sur lui. Denis en concluait que les déviants étant tous complètement obsédés, préféraient ne pas être pris de court.
Il laissait faire. Les deux doigts se retiraient et Denis sentait une forte pression contre son anus. Là il a avalé sa salive, là il commençait à baliser grave. Il ne résistait pas, il sentait le corps du jardinier, sa peau douce contre la sienne et ses muscles forts qui le retenaient. Puis il sentait de plus en plus intensément la pression contre son anus.
Puis l'anus s'ouvrait. Là ça devenait douloureux mais c'était une douleur que Denis ne refusait pas. Il y avait bien sûr de la douleur mais il y avait le sentiment, juste le sentiment, la promesse d'un plaisir intense qui serait autant intense et plus même que ne le serait la douleur.
Denis avait envie de crier, de hurler de se dégager mais ne bougeait pas, il laissait le jardinier disposer de son cul, le laissait s'amuser avec son corps. Il tremblait sous la douleur, il tremblait déjà sur ce qui serait un jour un grand plaisir. Mais pour le moment il y avait plus de douleur que de plaisir.
Le jardinier ne s'en préoccupait pas, lui ne se concentrait que sur son propre plaisir. Et le plaisir il en prenait, il en prenait, il s'enfonçait jusqu'à écraser son ventre contre les fesses de Denis, puis il poussait encore plus fort quand il en était là. Ensuite il se retirait totalement, marquait un courte pose et revenait avec force.
Denis serrait les dents pour ne pas crier, il transpirait et se retenait fermement à la branche sur laquelle il était penché. Mais une étrange sensation se mêlait à cette douleur. La promesse d'un plaisir naissait, elle envahissait tout son corps. Mais il ne jouissait pas encore.
C'est le jardinier qui jouissait et éjaculait dans le cul de Denis, il ne le cachait pas. Il criait de plaisir alors que Denis continuait à serrer les dents et a ne pousser aucun cri.
Le jardinier lâchait tout et Denis retombait sur le sol. Il respirait fort, c'est à ce moment qu'il à joui, c'est uniquement à ce moment qu'il à éjaculé, une série d'éjaculations d'une force qu'il ne supposait même pas possible. Il éjaculait puis il jutait et jutait encore. Là, le plaisir envahissait tout son corps et c'est de plaisir qu'il tremblait.
Même si la douleur était toujours là.
Le jardinier n'avait pas attendu que Denis se relève.
– Bon et bien, tu repars demain, on ne se reverra plus, bon voyage. Déclarait-il avant de repartir.
Denis a mis un certain temps avant de récupérer et de se relever. Il est alors rentré à la colonie de vacances, à pris une douche avant de passer à table.
Toute la soirée son cul lui a fait mal mais il a bien dormi. Sa queue ne l'a pas réveillé. Il se levait le lendemain pour préparer ses bagages, il avait mal au cul.
Il s'est retrouvé dans une calèche avec plusieurs de ses amis pour se rendre à la gare. Il y avait plusieurs calèches. Arrivé à la ville, il regardait s'il n'apercevrait pas son ami. Il avait une dernière pensée pour Emmanuel, enfin une dernière, ce ne serait certainement pas la dernière. Car bien des années plus tard ... mais ça c'est une autre histoire.
Le train le ramenait lentement vers sa maison, il voyageait avec son camarade Emmanuel Du Moulin De La Farine ( oui je sais c'est pas facile à porter comme nom de famille, Note de l'auteur ), c'était un autre Emmanuel.
Denis avait mal au cul !
Sa vie, ou en tout cas la manière de voir la vie devait rester pour toujours marquée par ce petit séjour. Mais Denis à suivi ses études, comme prévu, s'est marié, comme prévu, a fait un enfant, comme il a pu et s'est installé, il n'avait pas vingt cinq ans, comme conseillé en investissement.
Il s'est acheté une maison à la campagne, et grâce à cet étonnant appareil moderne qui venait juste d'arriver, le téléphone, il travaillait depuis chez lui tout en restant toujours en contacte avec son bureau à la ville.
Jusque au jour ou … Mais ça c'est une autre histoire qu'il faudra que je vous raconte un jour …
Fin
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