Le jour de ma conception, suite
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le jour de ma conception, suite
Le jour de ma conception, suiteDialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
Résumé : une mère est questionnée par sa fille sur le moment de sa conception. La génitrice décide de dire toute la vérité : c’était lors d’une partie de sexe de groupe…
— Et tu maintiens que mon père est mon vrai père ?
— Absolument. Ma chérie, si tu te tais un peu et que tu m’écoutes, tu vas comprendre.
— Bon, j’y comprends rien, donc je me tais et j’écoute.
— Nous sommes entrés dans la salle, je me suis mise nue, me suis allongée sur le matelas. La partie s’annonçait « interraciale » comme on dit de nos jours dans le jargon porno. En ces temps, ces termes n’existaient pas. Blanc, noir, arabe, juif, on s’en foutait.
— Il y avait tout ça ?
— De ce dont je me souviens, il y avait au moins deux noirs, deux indiens, un métis, un arabe, et le reste de blancs. Et parmi ces blancs, des teints de peau très divers car on comptait un portugais et un manouche.
— Est-ce qu’ils n’étaient vraiment qu’une dizaine ?
— Je n’ai pas compté.
— En tout cas, tu t’es carrément fait tirer par une boîte de crayons de couleurs.
— Et pas que des petits crayons. Tous ne voulaient pas me faire un enfant ! Certains se sont masturbés contre mon corps. Entre mes cuisses, contre mes joues. Certains ont voulu des fellations. Certains ont tenu à me sodomiser.
— Tu as tout accepté ? Alors que le but était de faire un enfant ?
— Ça avait beau ne pas être tout à fait dans le deal de départ, c’était loin d’être déplaisant. Dans cette communauté, pour la baise je n’étais pas la dernière et j’étais habituée à toutes les pratiques, que je faisais en mon âme et conscience et avec plaisir. Et puis, si certains ne souhaitaient pas devenir pères, autant qu’ils ne se forcent pas et prennent un peu leur pied.
— Pourtant, c’était le temps où les nanas faisaient des bébés dans le dos de leurs mecs… Toi, tu as tenu à ce qu’ils soient au courant de ton projet.
— Je te dis, j’étais une hippie ringarde ! Partagée entre le « tout amour » et l’éducation religieuse que j’avais reçue. Pour toi, je voulais un père. Tu me diras, une baise de groupe n’était pas le meilleur moyen de t’en trouver un fiable, mais, heu, quand on est sous acide on ne raisonne pas toujours de façon cohérente.
— Eux-mêmes avaient sûrement plus envie de te sauter sans capote que de fonder une famille… et tout en étant au courant de ton objectif, nombre d’entre eux a dû le faire sans se poser de questions. Non ?
— Si.
— Que t’a fait papa ?
— De tous les partenaires, c’était mon préféré. Il m’a prise en levrette pour une sodomie, c’était super sympa. Et encore, je n’ai pas tout bien senti tant les autres étaient demandeurs. Il me pénétrait pendant que ma bouche suçait un sexe, et que ma main en masturbait un autre.
— Il t’a mis la petite graine… dans le mauvais trou ?
— Tout au fond. Et ce fut sa seule éjaculation.
— Comment c’est possible !? Ça va à l’encontre de tous les bouquins de biologie.
— J’ai mis longtemps à comprendre ! Quand tu es née, je n’étais certaine de rien. Les mois passants, je me suis dis que tout de même, tu ressemblais drôlement à Victor et que ta peau était bien blanche. Vers tes deux ans, il n’y avait plus aucun doute. La suite est plus anodine : ton papa a accepté la situation avec joie, on s’est mis en couple exclusif et on a fini par quitter la communauté pour se bâtir une existence normale.
— Ça n’explique pas…— C’est en me remémorant toute la scène via un exercice d’hypnose que j’ai pu saisir. Le sperme de papa est sorti de mon anus. Entre les deux trous, il y a comme un petit creux qui a fait office de rigole. Quelques petites gouttes se sont rendues juste devant le bon orifice. Après, ce fut le tour des autres prétendants. L’un m’a mis des doigts, et ce faisant a enfoncé les petits résidus de sperme de ton père. Puis évidemment on m’a baisé. Le partenaire suivant étant un noir vraiment bien membré, il a dû amener les quelques gouttes paternelles bien au fond, bien là où il fallait.
— Mais ce black, au final il a bien dû éjaculer aussi, non ?
— Pas seulement lui. Lui d’abord, puis quatre ou cinq autres hommes qui ont suivi. Vers la fin c’était une vraie mare qui débordait de mon entrecuisse ! Tu vois, je t’ai tout raconté sans te mentir, sans rien te cacher.
— On dit que pour une éjaculation il y a des millions de spermatozoïdes qui se battent en duel pour atteindre l’ovule. Là, le sperme de papa a eu une concurrence incroyable. Une course de dizaine de millions ! Une course qu’il a gagnée.
— Comme quoi, les pires histoires donnent parfois les plus beaux résultats. Sans cette partie fine tu ne serais pas là ma chérie, ô ma petite merveille.
— Si je comprends bien, c’est un véritable miracle que je sois née.
— Non, pas que tu sois née. Que tu sois blonde aux yeux bleus, ÇA oui c’est un vrai miracle.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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Résumé : une mère est questionnée par sa fille sur le moment de sa conception. La génitrice décide de dire toute la vérité : c’était lors d’une partie de sexe de groupe…
— Et tu maintiens que mon père est mon vrai père ?
— Absolument. Ma chérie, si tu te tais un peu et que tu m’écoutes, tu vas comprendre.
— Bon, j’y comprends rien, donc je me tais et j’écoute.
— Nous sommes entrés dans la salle, je me suis mise nue, me suis allongée sur le matelas. La partie s’annonçait « interraciale » comme on dit de nos jours dans le jargon porno. En ces temps, ces termes n’existaient pas. Blanc, noir, arabe, juif, on s’en foutait.
— Il y avait tout ça ?
— De ce dont je me souviens, il y avait au moins deux noirs, deux indiens, un métis, un arabe, et le reste de blancs. Et parmi ces blancs, des teints de peau très divers car on comptait un portugais et un manouche.
— Est-ce qu’ils n’étaient vraiment qu’une dizaine ?
— Je n’ai pas compté.
— En tout cas, tu t’es carrément fait tirer par une boîte de crayons de couleurs.
— Et pas que des petits crayons. Tous ne voulaient pas me faire un enfant ! Certains se sont masturbés contre mon corps. Entre mes cuisses, contre mes joues. Certains ont voulu des fellations. Certains ont tenu à me sodomiser.
— Tu as tout accepté ? Alors que le but était de faire un enfant ?
— Ça avait beau ne pas être tout à fait dans le deal de départ, c’était loin d’être déplaisant. Dans cette communauté, pour la baise je n’étais pas la dernière et j’étais habituée à toutes les pratiques, que je faisais en mon âme et conscience et avec plaisir. Et puis, si certains ne souhaitaient pas devenir pères, autant qu’ils ne se forcent pas et prennent un peu leur pied.
— Pourtant, c’était le temps où les nanas faisaient des bébés dans le dos de leurs mecs… Toi, tu as tenu à ce qu’ils soient au courant de ton projet.
— Je te dis, j’étais une hippie ringarde ! Partagée entre le « tout amour » et l’éducation religieuse que j’avais reçue. Pour toi, je voulais un père. Tu me diras, une baise de groupe n’était pas le meilleur moyen de t’en trouver un fiable, mais, heu, quand on est sous acide on ne raisonne pas toujours de façon cohérente.
— Eux-mêmes avaient sûrement plus envie de te sauter sans capote que de fonder une famille… et tout en étant au courant de ton objectif, nombre d’entre eux a dû le faire sans se poser de questions. Non ?
— Si.
— Que t’a fait papa ?
— De tous les partenaires, c’était mon préféré. Il m’a prise en levrette pour une sodomie, c’était super sympa. Et encore, je n’ai pas tout bien senti tant les autres étaient demandeurs. Il me pénétrait pendant que ma bouche suçait un sexe, et que ma main en masturbait un autre.
— Il t’a mis la petite graine… dans le mauvais trou ?
— Tout au fond. Et ce fut sa seule éjaculation.
— Comment c’est possible !? Ça va à l’encontre de tous les bouquins de biologie.
— J’ai mis longtemps à comprendre ! Quand tu es née, je n’étais certaine de rien. Les mois passants, je me suis dis que tout de même, tu ressemblais drôlement à Victor et que ta peau était bien blanche. Vers tes deux ans, il n’y avait plus aucun doute. La suite est plus anodine : ton papa a accepté la situation avec joie, on s’est mis en couple exclusif et on a fini par quitter la communauté pour se bâtir une existence normale.
— Ça n’explique pas…— C’est en me remémorant toute la scène via un exercice d’hypnose que j’ai pu saisir. Le sperme de papa est sorti de mon anus. Entre les deux trous, il y a comme un petit creux qui a fait office de rigole. Quelques petites gouttes se sont rendues juste devant le bon orifice. Après, ce fut le tour des autres prétendants. L’un m’a mis des doigts, et ce faisant a enfoncé les petits résidus de sperme de ton père. Puis évidemment on m’a baisé. Le partenaire suivant étant un noir vraiment bien membré, il a dû amener les quelques gouttes paternelles bien au fond, bien là où il fallait.
— Mais ce black, au final il a bien dû éjaculer aussi, non ?
— Pas seulement lui. Lui d’abord, puis quatre ou cinq autres hommes qui ont suivi. Vers la fin c’était une vraie mare qui débordait de mon entrecuisse ! Tu vois, je t’ai tout raconté sans te mentir, sans rien te cacher.
— On dit que pour une éjaculation il y a des millions de spermatozoïdes qui se battent en duel pour atteindre l’ovule. Là, le sperme de papa a eu une concurrence incroyable. Une course de dizaine de millions ! Une course qu’il a gagnée.
— Comme quoi, les pires histoires donnent parfois les plus beaux résultats. Sans cette partie fine tu ne serais pas là ma chérie, ô ma petite merveille.
— Si je comprends bien, c’est un véritable miracle que je sois née.
— Non, pas que tu sois née. Que tu sois blonde aux yeux bleus, ÇA oui c’est un vrai miracle.
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