Le Manoire des hommes

- Par l'auteur HDS Castajl1 -
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Récit libertin : Le Manoire des hommes Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Manoire des hommes
Mon récit pourrait être issu d’un rêve… mais la réalité se substitue parfois aux fantasmes les plus fous !
Voilà je me prénomme Arthur j’ai 21 ans, 1,77m pour 70Kg, cheveux courts châtain clairs, correctement musclé mais sans excès, je pratique le jogging, la natation, le volley et le ski, je suis étudiant au Conservatoire d’Art Dramatique de Tours et pour terminer ma présentation quasi complète je suis gay plutôt passif et adepte des clubs et saunas.
Lors d’une soirée en Club au mois de Mai 2022, j’ai rencontré Martin, un beau mec de 32 ans, avec qui j’ai vraiment eu un contact hyper positif, il m’a confié être 100% gay et versatile, il a un copain, Gabin qui vit à Nantes, qu’il voit deux à trois fois par mois, mais chacun vit sa vie comme bon lui semble sans ombrage ni pour l’un, ni pour l’autre, dès lors que leurs rapports sont protégés. Du coup nous avons passé une grosse partie de la soirée ensemble et alterné entre cocktails et danse jusqu’à deux heures du matin, il m’a dit qu’il bossait pour de riches propriétaires dans un manoir d’Indre et Loire. Il m’a proposé de terminer la soirée autour d’un verre chez lui, un coquet pavillon près de Tours.
Son pavillon est super agréable et bien décoré. Tout en sirotant un Gin Tonic, il me posa plein de questions me concernant et en particulier, ce que je prévoyais pour la période Juillet-Août à venir, je lui répondis que j’étais en pleine recherche d’un emploi d’été, car j’avais besoin de remonter sérieusement mes finances.
Il me demanda ce que je savais faire et ce que je souhaiterais trouver.
Je lui explique que je suis un grand amateur de nature et très curieux de botanique, mais que j’étais prêt à tout accepter.
- Mais, c’est super me dit-il, un job multitâches orienté principalement dans l’entretien des espaces verts chez mes patrons, ça te dirait ?
- Oui bien sûr, j’adore bosser dans les jardins… Lui répondis-je enjoué… Ce serai idéal pour moi.
- Écoute, comme je te l’ai dit, je bosse dans un manoir à 20 km d’ici, le château, comme je l’appelle, doit faire au moins 400m2 sans compter les nombreuses annexes, une belle piscine à débordement, un poolhouse avec coin barbecue et détente, hammam et sauna dans un bâtiment contigu au poolhouse, il y a un grand parc arboré de huit hectares, beaucoup de massifs de fleurs et arbustes, pour certains exotiques, ils ont un haras privé de six box avec un manège et terrain d’entrainement, de nombreuses allées ombragées dans le parc et pour finir une belle pièce d’eau… enfin c’est un petit paradis ! Les propriétaires sont deux homos pacsés et très friqués, le plus vieux, Hervé à 52 ans, beau mâle, svelte et sportif, il bosse pour une grande banque suisse et son mec Lorenzo italien d’origine, n’a que 37 ans c’est un artiste peintre qui a une galerie à Paris et exporte beaucoup ses œuvres au Japon, le charme italien, beau brun à la peau halée, d’une élégance rare. Ils ont un yacht ancré à Saint-Raphaël, je sais qu’ils organisent parfois des croisières naturistes avec leurs connaissances masculines.
Surpris par cette description plutôt idyllique :
- Ouah c’est ouf, mais comment as-tu dégotté ce job ?
Martin se mit à rire :
- Comme tu dis, c’est ouf ! J’avais 25 ans et déjà je fréquentais les clubs gay, je m’étais retrouvé un peu par hasard avec plusieurs mecs à une table, dont mes futurs patrons, nous avions bien sympathisé et de fil en aiguilles, je leur ai dit que je venais de partir de chez un paysagiste qui n’appréciait pas d’avoir un ouvrier pédé m’avait-il foutu en pleine gueule…
Du coup Hervé et Lorenzo avaient été choqués par mon récit et m’ont, dans la foulée, proposé de bosser chez eux puisqu’ils étaient en recherche depuis deux mois sans succès d’un employé expérimenté pour leur propriété, car m’avaient-ils avoué, eux au contraire cherchaient plutôt quelqu’un de la communauté LGBT, compte tenu de leur orientation sexuelle et surtout de leur mode de vie débridé et sans aucun tabou. Après une courte période d’essai, ils m’ont proposé de m’embaucher sous certaines conditions très strictes à mes yeux et surtout des exigences très spéciales qui ne pourraient jamais apparaître sur un contrat de travail mais qui tout compte fait ne me déplaisaient pas du tout.
Moi un peu curieux :
- C’est à dire ? C’était quoi ces exigences inavouables et ces conditions particulières ?
Martin me détailla avec délectation les attentes très « spéciales » de ce qu’allaient devenir ses nouveaux patrons :
- D’abord, ils m’ont confirmé qu’ils appréciaient que je sois conforme à leur orientation, c’est à dire gay… c’était pour eux un gage de sérénité et compréhension réciproques dans nos relations à venir. Que leurs boulots respectifs étaient très prenants et par conséquent lorsqu’ils se retrouvaient au calme, au manoir c’était un moment délicieux, cool et sans aucun tabou, à savoir des tenues totalement décomplexées voire en quasi nudité dans leur manoir et en extérieur, et qu’ils attendaient discrétion et adoption totale de leurs pratiques par leurs employés.
Je réagis :
- C’était plutôt cool et excitant pour toi !
Il répliqua :
- Oh oui alors, inespéré tu veux dire, tu parles… Allier le travail et le bien-être dans un cadre idyllique, je croyais rêver, d’autant que le salaire était alléchant, je me retrouvais avec une augmentation de près de 30% de mon précédent salaire et une prime mensuelle d’achat de vêtements et sous-vêtements de 150€/mois sous prétexte de satisfaire leur côté « voyeurs » lorsque je travaillerais, puisque le contrat virtuel qui existait oralement entre nous mentionnait que je devais toujours être vêtu de façon sexy et suggestive afin de satisfaire leurs fantasmes homosexuels. C’était le même « régime » pour les autres employés !

Moi surpris :
- Comment ça ?... Ils orientent la façon de se fringuer à leurs employés ?
Martin m’explique :
- Oui, c’est ça, afin de satisfaire leur environnement humain, une manière de prendre leur pied, et ils se donnent les moyens en nous attribuant cette prime exceptionnelle, par exemple pour moi, même avec une salopette de travail dans le jardin, par beau temps je dois être torse nu et ne pas porter de sous-vêtement… La salopette doit être ample pour le régal de nos voyeurs, lorsque je nettoie la piscine, seuls le maillot de bain sexy ou totalement nu sont autorisés comme « tenue de travail », lorsque je tonds le gazon avec la tondeuse manuelle ou le microtracteur, c’est short obligatoire en coton, en mesh assez moulant ou en lycra, ou alors au contraire un short très large porté sans sous-vêtement afin qu’ils puissent profiter tous les deux de l’indiscrétion de mon entrejambes lorsque je m’accroupit devant eux ou que je suis jambes écartées sur la tondeuse par exemple, ils m’encouragent aussi à porter des hauts genre débardeur crop-top laissant apparaître mes pectoraux, pour se faire ils m’allouent cette prime afin que je n’achète que des vêtements ou sous-vêtements de qualité… et surtout sexy à leurs yeux.
Ils m’ont même encouragé à aller dans une boutique spécialisée en sous-vêtements hommes à Chambray les Tours qui est devenue depuis ma boutique préférée.
Parfois il leur arrive de nous offrir des sous vêt un peu coquins pour Noël ou nos anniversaires par exemple.
Nous sommes soumis à des règles éxigeantes, mais sommes aussi très choyés, nos patrons sont nos maîtres c’est sûr, qui profitent de leur fortune pour s’offrir des employés soumis à leurs fantasmes et nous l’acceptons tous les trois car quelque part nous nous délectons de ces conditions de travail en ligne avec nos propres fantasmes parfois inavoués.
Concernant les activités de réception, au château comme on dit, car ils en font assez souvent, nous devons porter des tenues élégantes, pour assurer le service, du genre pantalons blancs et chemises noires ou l’inverse en fonction de la saison avec nœuds papillon, et dois-je ajouter que certaines soirées entre amis se terminent de façon totalement débridée où l’on est soumis par obligation à servir en tenue très très spéciale…
Je ne comprenais pas à quoi il faisait allusion :
- C’est à dire ? Tenue spéciale… pas à poil quand même ?
- Non pas à poil… mais presque ! me dit-il.
- Explique-toi c’est quoi presque ? Le questionnais-je.
- Ben au moins cinq à six fois l’année ils reçoivent des hommes d’affaires entre 40 et 60 ans pour un « Dîner intime », c’est ainsi qu’ils l’appellent, et arrivé à l’heure du digestif, ils se réunissent dans le petit salon et là, nous avons ordre de venir les servir revêtus d’un seul jock-strap noir manchettes et nœud papillon.
J’étais médusé par ce récit :
- Non ce n’est pas vrai ?
- Si, si, Thomas, Emmanuel et moi nous devons accepter ces conditions et parfois ils font venir des « extras » de Paris, des jeunes minets de 20-25 ans pour nous suppléer en fonction du nombre d’invités.
- Mais c’est totalement fou, c’est une forme de soirée libertine entre mecs, car j’imagine que les mains baladeuses doivent être nombreuses ? Lui-dis-je.
- Tu l’as dit, en fait c’est le but de la soirée, Hervé et Lorenzo veulent offrir une petite récompense visuelle et charnelle à leurs invités gays et vicelards pour la plupart, donc nous avons ordre de les servir avec le sourire et d’accepter sans sourciller que ces messieurs nous touchent, nous caressent, nous embrassent, nous palpent, nous doigtent tout en dégustant leur alcool.
- Ouaaah, tu me fous la trique Martin avec tes explications.
- Oui je comprends, et c’est aussi ce que ça fait à tous ces invités, c’est le but du jeu.
Je suis de plus en plus curieux :
- Et j’imagine que ça finit alors en baisodrôme ces soirées débridées ?
- Non, pas baisodrôme, car là encore, il y a une règle de « bonne conduite » si j’ose dire, les pénétrations sont strictement interdites… mais pas les fellations, autrement dit, si les mecs qui se paluchent en sirotant leur Cognac ou Armagnac sortent leurs membres virils, nous devons s’ils le souhaitent les sucer ou les branler… d’ailleurs c’est ce qu’ils attendent tous au vu de la frustration qu’ils ont de ne pas nous sauter !
- Les pipes ou les masturbations leur sont uniquement destinées ou vous pouvez vous faire sucer ou palucher aussi ? Lui demandai-je curieux.
- Oui bien sûr, la réciprocité est autorisée et toujours réalisée tu penses bien, ils savent qu’ils ont interdiction de nous enculer alors il leur faut des compensations charnelles !!! Et là encore nous devons accepter avec le sourire de sucer ou branler cette bande de vicelards ou de se faire pomper en public… c’est le jeu… Et c’est hyper bandant je te le confirme !
- Et les Maîtres des lieux font aussi partie des pompeurs ou pompés, branleurs ou branlés ? Lui demandai-je.
- Oui bien sûr, me répond-t-il, c’est eux qui organisent la soirée au château mais ils consomment comme leurs visiteurs tu penses bien, c’est Lorenzo qui avait initié ce genre de débauche, il avait découvert ces fins de soirées chaudes entre hommes à Milan.
- Oh putain, je n’en reviens pas ! Lui répondis-je sidéré.
Et lui de me répondre :
- Je peux te dire qu’à la fin de cette dégustation d’alcool, ça sent plus le sperme que le Cognac dans le petit salon et que le sol est parfois glissant et jonché de mouchoirs jetables bien imbibés !
Je n’en reviens pas, je pensais que ça n’existait que dans les films porno de salopes soumises à des queutards pervers ces soirées-là !
Moi subjugué par ce que je viens d’entendre :
- Mais c’est totalement dingue ton truc, tu m’étonnes que tu leur sois resté fidèle depuis près de sept ans, des employeurs comme ça, ça ne court pas les rues… Et cerise sur le gâteau, vous êtes bien payés ! Et tes collègues suivent sans sourciller ?
- Bien sûr, comme ils sont eux aussi pédés comme des phoques, ils sont jeunes, ils sont bien payés, tu penses bien qu’ils s’éclatent totalement… Prendre son pied en étant grâcement payés qui rechignerait un tel emploi ?
- Rappelle-moi l’âge de tes collègues ?
- Thomas 29 ans, beau mec au look de surfeur australien, cheveux longs châtains foncés, il est principalement en charge des trois chevaux qu’il monte régulièrement, puis l’entretien des boxes et Emmanuel le petit préféré d’Hervé et Lorenzo, un minet de 23 ans, blond aux yeux bleus, 1,70m, un tantinet efféminé mais sans plus, il s’occupe plus de l’intérieur du manoir, des chambres et du service et moi bien sûr aux espaces verts, infrastructures et supervision de ces deux jeunots.
- C’est vraiment le « Manoir des Hommes » ici, si j’ai bien compris les nanas se font rares ! Lui dis-je.
- Devine, me répond-il en rigolant… à part quelques amies lesbiennes qui viennent en coup de vent profiter de la piscine ou du hammam, le sexe féminin se fait rare. D’ailleurs lorsque tu entres dans le hall du château, la première statue grandeur nature que tu découvres c’est une superbe reproduction d’Apollon nu comme un ver, ce dieu qui incarnait la beauté masculine… Ça ne trompe pas le visiteur !
- Ouah… tu me fais rêver, et maintenant c’est toi qui me proposes de vous rejoindre dans ce paradis terrestre pour deux mois… Mais je rêve totalement ?
Martin le sourire aux lèvres :
- Ben oui, pourquoi ça ne te va pas ??? Tu préfères faire le grouillot avec un tire-palettes chez Leclerc avec un petit smic ?
Moi aussitôt :
- Ça ne va pas ! Mais tu crois qu’ils m’accepteront tes patrons ? Ils ne me connaissent pas, est-ce que je vais faire la balle ?
Martin sûr de lui :
- Mais oui pas de soucis, c’est eux qui m’ont demandé de m’en occuper car ils sont partis aux US pour un mois, ils reviennent ce samedi. Ils m’ont bien rappelé leurs exigences et m’ont aussi confirmé que je serais le seul responsable si le choix du titulaire retenu était mauvais ! Mais après avoir discuté longuement avec toi, je suis certain de mon choix, tu sembles sérieux et passionné, tu aimes la nature et les plantations, tu es jeune et plein d’allant, courageux et ce qui ne gâche rien : tu es beau, bien bâti et pédé comme nous tous… Tu coches toutes les cases mon pote !
Moi en rigolant :
- C’est bien résumé ! Dis-moi, ce n’est pas comme dans le show-biz… il ne faut pas coucher… avant la signature du contrat ?
Et Martin hilare me répond du tac au tac :
- Non rassure-toi… pas avant… mais après tout est permis !!!
- C’est dommage, lui dis-je avec un petit air de regret.
- Pourquoi c’est dommage ? Me répond-t-il. Serais-tu demandeur mon coquin ? Souhaites-tu que je pratique une visite médicale détaillée de ton anatomie avant l’embauche ?... Et tout en se rapprochant de moi sur le canapé, il me pose une main sur la cuisse gauche, après tout tu as raison, ce serait bête de présenter un candidat inapte au poste et homophobe de surcroit !
Je me mis à rire nerveusement, je me voyais déjà embauché dans ce paradis gay, passer deux mois à bosser pour des maîtres auxquels je devrais me soumettre accompagné d’un maître de stage aimant les hommes… Hummm le paradis…. Et soudain, je sens la main de Martin me palper l’entrejambe, puis ses lèvres se rapprochent des miennes et le voilà qu’il me roule une pelle… Je me laisse faire… C’est bon… il me dégrafe ma ceinture de jeans, ouvre ma braguette… glisse sa main sur mon boxer Calvin Klein… Il me palpe délicatement le sexe, je commence à bander… Il tire le tissu de mon boxer et libère ma queue, je lui facilite la manœuvre en virant mon jeans et mon CK… il me demande de virer mon tee-shirt… je suis maintenant à poil près de mon recruteur, qui vient de prendre en bouche mes 17 cm bien raides… Il me pompe en me caressant les couilles bien rasées du matin… Je me tortille et commence à gémir de plaisir, quel bon pompeur, un vrai pédé entreprenant ce Martin, il me suce à la perfection… il introduit son majeur gauche dans mon anus et me titille la rosette tout en me suçant le gland… Je lui dégrafe à mon tour sa ceinture, je découvre qu’il ne porte pas de sous-vêtement ce petit cochon… sa queue est bien raide plus grosse et plus épaisse que la mienne, une paire de couilles très légèrement poilues et bien pleines, je lui palpe ce paquet prometteur et à mon tour je me mets à le sucer goulument… Il semble apprécier ma langue et ma bouche, sa queue est bien veinée et son gland violacé… Humm c’est trop bon, le goût de sa queue me fait entrer en transe, je ne pensais pas me faire une belle queue ce soir… Décidément c’est une soirée exceptionnelle, une embauche pour deux mois dans un milieu gay, une paie inespérée et un Maître de stage qui suce comme un dieu et qui m’offre son intimité… Maintenant je veux goûter à son sperme, je continue de le sucer à fond, son gland est très largement décalotté… Martin me branle comme un malade… je ne vais pas tarder à larguer la purée… et la sienne je la veux en bouche… je le suce, je le pompe, ma langue est en feu autour de cette pine de près de 20cm… Il gémit et se tortille dans tous les sens… et je sens des jets puissants venir me tapisser la glotte de son sperme chaud…. Humm qu’il est bon, j’en veux encore… je suis un fada de sperme… je continue de le pomper… Il gémit et continue d’éjaculer et me remplit la bouche de son nectar… ma bouche est pleine et j’en recrache une partie, mon menton dégouline de sa purée blanche et épaisse… putain que c’est bon ! Il retire sa tige encore bien raide et continue de me masturber… Mais là je ne tiens plus, je sens l’éjaculation arriver très vite… deux secondes et je largue par grands jets chauds mon jus de couilles, j’inonde son jeans et lui en mets plein les doigts, le canapé en prend une bonne dose aussi… Et Martin s’empresse de me finir en engouffrant ma queue en bouche et la suce pour nettoyer et avaler le reste de sperme…. Ouaahhhhhh !!!! Quelles branles et fellations pour notre première rencontre !
- Alors, lui dis-je, je suis embauché ?
- Oui, je te le confirme… petite salope… Tu me plais beaucoup ! Bienvenue au « Manoir des hommes » ! Me confirma-t-il… Mais attends-toi à devoir passer une seconde épreuve dans les prochains jours.
Moi interrogatif :
- Encore une épreuve ? Quel genre ?
- Ton cul !... Mon petit bonhomme… Tu n’imagines quand même pas que tu vas t’en tirer avec juste une branlette et une pipe ??? Me répond-t-il en éclatant de rire.
Décidément il me plaisait beaucoup ce Martin !
Après cette embauche et prise de contact très encourageante… Il fallait aller bosser !

Mes premiers jours au manoir furent la prise de connaissance des lieux, la connaissance de mes deux autres collègues de boulot… deux beaux phénomènes très différents l’un de l’autre, Thomas, bien gaulé et super agréable, le torse moulé dans son polo vert anglais, les fesses rebondies dans son pantalon d’équitation écru hyper ajusté lui moulant parfaitement aussi bien les fesses que son anatomie masculine qui semblait généreuse, et ses bottes de cuir noires galbant à la perfection ses mollets…. Hummm quel beau cavalier… Je comprends pourquoi ses Maîtres sont subjugués par ce jeune homme tellement attirant !... Je l’imagine bien ne pas monter que les chevaux ce mec… Peut-être un jour me chevauchera-t-il aussi… moi, en tout cas, je suis prêt pour l’aventure à jouer l’étalon !
Emmanuel est d’un tout autre style, mais non moins excitant… C’est le plus jeune de cette petite équipe, blondinet aux cheveux mi-longs et yeux bleu clair, boucle d’oreille, à l’oreille gauche c’est un clou en acier inoxydable avec pierres cubiques de zircone façon diamant… Lorsque je l’ai vu pour la première fois il était en crop-top filet blanc à grosses mailles et comme me l’avait dit Martin, en short court et moulant en coton gris chiné et baskets… Une vraie petite salope qui t’émoustille les sens, son petit cul bien dessiné et le relief de son paquet bien mis en évidence… Là encore je comprends aisément l’excitation de leurs Maîtres homos… Martin m’a confié qu’Emmanuel était un pur passif et une véritable salope au pieu.
Hummm, j’adore !
Pour le coup, j’avais revêtu un ensemble short coton et tee-shirt Nike vert pâle et dessous un string-bikini hyper fin qui me donnait la sensation de ne rien avoir sur les fesses, j’en porte la plupart du temps… j’en ai une belle collection !
Le courant est très bien passé avec mes nouveaux collègues, je ne leur ai pas caché que j’étais gay, ce détail n’était pas forcément nécessaire puisque Martin s’en était chargé avant mon arrivée.
Face à cette affirmation, tous deux m’avaient répondu avec beaucoup d’humour : « Que veux-tu… Personne n’est parfait ! »… Ainsi la glace était rompue et les choses étaient claires entre nous.

Chaque jour, je prenais mon boulot à cœur, la taille d’arbustes ou le nettoyage des sous-bois sous le contrôle avisé de Martin… J’avais pu déjà me délecter tout en bossant, de jouer au voyeur, en matant l’entrejambe totalement dégagé de mon recruteur, qui accroupi, désherbant les pieds d’arbustes, écartait exagérément les cuisses pour me laisser voir sans réserve sa queue et sa paire de couilles avec son short trop grand… Je comprends le plaisir visuel des patrons qui adorent le voir jardiner ainsi !

Le samedi en fin de journée, notre couple de propriétaires est arrivé en taxi de l’aéroport, chargés comme des mules de bagages Louis Vuitton de tous gabarits. Martin avait prévu vers 19h30 d’organiser un apéro-barbecue avec l’aide d’Emmanuel et de Thomas près de la piscine afin de me présenter à mes Maîtres de l’été.
Martin m’avait bien briffé, pour réussir ce premier contact je devais être au top de la sensualité et de l’élégance estivale pour séduire mes Maîtres… Et comme nous étions au bord de la piscine et qu’il faisait un temps chaud… tous torses nus bien sûr !
Pour se faire, il m’avait prêté, comme nous étions tous deux de taille M, l’un de ses shorts sport Marcuse avec une coupe taille basse en coton, très doux et confortable de couleur saumon, je m’y sentais super bien, Martin m’a même dit que j’étais fort désirable en effleurant sa main sur mon sexe qui était avantageusement enveloppé par ce short.
Emmanuel, ce petit salaud provoquait superbement en short microfibre noir avec une grande ouverture triangulaire sur les côtés découvrant la peau des hauts de cuisses bien bronzée, son petit cul de tantouse était trop bandant.
Martin avait revêtu un short californien Rufskin très sexy bleu électrique coupe courte et échancrée sur les côtés en tissus transparent ultra léger, sa braguette factice peinait à dissimuler son absence de sous vêtement le coquin.
Thomas restant dans le domaine animal, portait à merveille un short Addicted en simili cuir lisse, noir et extensible, taille basse très ajustée qui mettait ses cuisses et ses fesses en valeur, sa braguette à fermeture éclair était bien bombée, un vrai allumeur de bar gay le cochon.
Vers 19h45, voici nos deux compagnons sortant du manoir, ils sont eux aussi torses nus, tous deux avaient revêtu un short acheté lors de leur périple américain, inspiré des années 70 en tissus tricoté façon crochet, très original, une belle coupe jogger avec les côtés incurvés, celui d’Hervé était blanc et celui de Lorenzo jaune vif, leurs bronzages n’en n’étaient que plus mis en valeur, les mailles assez larges laissaient deviner sans problème leurs anatomies respectives car, à l’évidence, ils ne portaient pas de sous-vêtement... Ils étaient forcément conscients les coquins que cette nouvelle tenue ferait fureur parmi nous.
Une belle brochette de tenues masculines sexy, entre mecs et exclusivement pour des mecs !
J’étais à la fois inquiet par cette situation inimaginable, intimidé et impressionné de me retrouver dans cette tenue pour le moins dénudée devant mes patrons, mais tellement excité par cette exposition insolite… Il est évident que je n’aurai jamais eu une telle présentation devant le directeur du supermarché du coin s’il avait dû m’embaucher pour l’été !
Martin fit ma présentation et me laissa la parole afin que j’explique mon parcours, mes études en art dramatique, mes hobbies…
Lorenzo s’approcha de moi, me félicita pour mon corps bien sculpté et ma tenue sexy, il reconnut le short de Martin… Comme quoi il était observateur le monsieur ! Il me contourna en se rapprochant et me passa la main sur les fesses, puis mes épaules et avec le dos de la main me caressa les seins :
- Très bien Martin, je valide sans réserve ta sélection, dit-il avec un rictus coquin.
Puis Hervé lui emboita le pas, se rapprocha de moi et me dit :
- Alors comme ça tu es gay mon petit Arthur ? Puis il me déposa un baiser sur les lèvres tout en effleurant l’empreinte légèrement proéminente de mon sexe au travers de mon short ajusté.
- Euhhhh oui monsieur, lui répondis-je un peu surpris par cette question et son geste pour le moins très intime.
- Mais n’en soit pas gêné, ici nous le sommes tous… Et nous l’assumons totalement et fièrement, la vie est trop courte pour ne pas la vivre comme nous l’entendons, je te souhaite donc la bienvenue parmi nous Arthur !... Il se tourne vers Martin et lui dit « Décidément Martin tu es un recruteur de première ! » et vient lui tapoter les fesses et lui laisse une bise sur l’épaule droite en guise de remerciements.
Après cette séance de bienvenue rapprochée, Emmanuel nous servi un verre de sangria de sa fabrication, il faisait le service en dandinant naturellement son petit cul que chacun se délectait à regarder.
Hervé lui caressa les fesses et le félicita pour son nouveau short et lui lance :
- Tes petites fesses nous ont manqué Manu, content de les retrouver !

Après la barbecue-party qui s’est déroulée dans une bonne ambiance détendue et un brin « coquine », nos patrons ayant raconté leur périple à Washington et New-York, la visite des musées, leurs soirées très privées entre garçons, et un spectacle délirant et de toute beauté avec vingt-deux hommes nus sur la scène de N.Y City Opera… Que de bons souvenirs… ou peut-être « Queues » de bons souvenirs pour eux !!!
A la fin du repas, Lorenzo vira son short, j’ai pu à ce moment, découvrir sa queue de 12cm et ses couilles bien suspendues… Il nous lança :
- Allez les gars, c’est l’heure du bain de minuit...
Et nous virons tous nos shorts et sous vêt (pour ceux qui en avait), nous voici tous à batifoler dans la piscine éclairée dans une eau à 28°C à la lueur des étoiles, avec le plaisir de voir des queues de toutes tailles en contre éclairage des spots immergés.
Il n’a pas fallu une demi-heure pour que nos patrons se roulent des pelles et se sucent devant nous sans aucune retenue.
Martin et Thomas les ont imités rapidement, et moi c’est avec Emmanuel que j’ai commencé par embrasser, puis palper et ensuite sucer, j’ai pu constater que c’était un expert en fellation et qu’il se délectait d’être doigté profondément… La petite chienne s’était bien dévoilée, il suce à la perfection ce petit jeune !
Notre bain coquin s’est terminé vers 2h du matin, en ce qui me concerne j’ai fini la nuit chez Martin… je peux confirmer que c’est un enculeur de première… il m’a démonté le cul de façon magistrale le salaud… Que du bonheur !

Le lendemain, sans que rien ne paraisse et sans aucune allusion à nos frasques de la nuit, j’obéis aux instructions de Martin et vaque à mes occupations, à savoir le ratissage des allées et la tonte autour de la pièce d’eau.

Les relations rapprochées entre employés étaient connues ou du moins fortement doutées par nos patrons, elles se devaient d’être discrètes et surtout ne pas engendrer de retard dans l’entretien de la propriété, nous devions quand même être redevables de nos salaires plutôt confortables.

Un jour Hervé se rendant vers les boxes à chevaux, surpris son coquin d’Emmanuel nu comme un ver à genoux en train de sucer le beau Thomas qui avait fait glisser son pantalon de cavalier à mi-jambe, le patron découvrant la grosse queue de son lad dans la bouche de son préféré leur signifia :
- Eh bien, c’est l’heure de la pause les mecs ? Manu, si tu as vraiment faim, va dans les cuisines, il reste des cuisses de poulet ! Et il redonna les fringues à Emmanuel qu’il avait ramassé à l’entrée du box.
Cette anecdote nous avait bien fait marrer lorsque nous en avons eu connaissance avec Martin… Ceci dit aucune sanction n’avait été prise par nos patrons… Ils étaient trop friands de surprendre de telles situations au sein de leur propriété.

Chaque après-midi ou le soleil dardait ses rayons, Lorenzo et Hervé se faisaient bronzer sur les transats au bord de la piscine, la majorité du temps c’était en nu intégral, et bien sûr leur boy préféré assurait le service des boissons fraîches en tenue légère comme ils lui demandaient. Ils passaient beaucoup de temps dans la piscine et lorsque le temps était voilé, ils fréquentaient ou la grande cabine du sauna ou le hammam qui étaient toujours opérationnels, les consommations d’énergie n’étant pas vraiment leur souci premier !

Dans ma deuxième semaine de boulot, Thomas avait organisé une soirée chez lui, il habite un appartement dans Tours, il nous avait prévenu que deux de ses copains gay seraient de la partie…ou plutôt de la party !... Car s’en était bien une !
Lorsque nous sommes arrivés… La force vive du manoir : Martin, Emmanuel et moi avec Thomas comme hôte, lorsque Thomas nous ouvrit la porte, nous avons immédiatement percuté que l’on allait droit vers une partouze à six… puisque Thomas et ses deux potes Romain et Axel étaient déjà à poil en buvant une bière.
- Bienvenus chers collègues, et mettez-vous à l’aise ! Nous invita-t-il aussitôt.
Nous ne nous sommes pas fait prier, nous virons nos tee-shirts, shorts ou bermuda, puis boxer, tanga et jock ont suivi… Au moins nous étions tous sur le même pied d’égalité… enfin presque car tous les gabarits de queues étaient présents, le seul point commun… les six sexes étaient rasés, par contre, côté paires de couilles il y avait le choix entre les super pleines, les pendouillantes, les petites et les grosses bien rondes…
Après la présentation de chacun d’entre nous, Thomas sortit les apéros, les canapés et amuse-gueules et nous dit :
- Maintenant que chacun s’éclate, les deux chambres sont dispos pour ceux qui veulent, je n’ai qu’une salle d’eau mais la douche à l’italienne est grande, j’ai recouvert mon canapé et mes fauteuils ils sont neufs, je n’aimerai pas trop qu’ils soient tachés de sperme !
Moi en rigolant, je lui demande :
- Tu n’as pas invité tes patrons ?
- Non, me répond-t-il mais je suis certain qu’ils ne m’auraient pas refusé les coquins, ils sont tellement accros à la bite et avides de se faire sauter par des jeunes !
Axel, cheveux très courts, brun, 1,80m 73Kg, super bien bâti, bronzé intégral, il pratique le Karaté… sa queue semble bien petite vu sa carrure, et Romain, châtain clair, cheveux en bataille, 1,68m, 69Kg par contre est bien équipé avec une paire de testicules qui pendent sérieusement et une pine de 14cm bien recourbée au gland totalement dégagé, un spectacle adorable lorsqu’il se baissait vu de dos ! Par contre on devinait bien la marque de son string car la marque de bronzage dessinait bien le micro maillot de bain.
Rapidement les mains partaient dans tous les sens, les embrassades se croisaient, les queues se tendaient… les culs aussi d’ailleurs !
On se serait cru dans un fumoir puisque les pipes se taillaient dans les gémissements entre mâles, on ne sait pas trop pourquoi (enfin un peu quand même) mais le cul qui a remporté le plus de suffrages c’est bien celui de notre petite pute d’Emmanuel, il est insatiable sur la chose, petite, moyenne ou grosse bite… il les prend sans sourciller, il a vraiment une technique de chienne en chaleur qui nous a tous laissé sans voix, d’ailleurs nous étions spectateurs autour de lui et son partenaire qui changeait presque à volonté sur le tapis du salon. Il se faisait goder par l’un d’entre nous en avant-première et le passage bien préparé, il pouvait offrir son anus dilaté à qui voulait en profiter… Et ça tombait bien, car tout le monde souhaitait le pénétrer… Un gang bang bien orchestré !
Moi, ensuite j’ai testé longuement Romain dans la chambre de Martin, Romain est un mec hyper sensuel et j’adore être câliné par un garçon, son corps est doux, il est lui même très tactile et c’est un pur bonheur de le sentir me parcourir le corps dans tous les détails avec une telle douceur… Que ce soit avec ses mains, ses doigts, ses pieds, sa langue, son nez… C’est un expert de la sensualité masculine, Martin me l’avait dit et je peux le confirmer. Après autant d’exploration coquine et raffinée de mon corps, je me suis laisser introduire par sa queue qui avait atteint une taille fort honorable de 18x4, après qu’il m’a travaillé l’anus pendant plus de dix minutes avec une dextérité insoupçonnée et une langue chercheuse digne des putes les plus expertes dans le domaine !
Mes cris et les rugissements de Romain ont incité les quatre autres mecs à venir assister à mon enculade avec les encouragements de tous pour stimuler Romain l’actif à me défoncer et encourager le passif que j’étais à s’ouvrir encore plus pour le bonheur de chacun… sur le dos et les jambes écartées. Évidemment ce petit jeu s’est conclu par un retrait rapide après un quart d’heure de limage viril de Romain qui m’a largué sa purée par grands jets de jute sur le ventre, le cou et les cuisses.
Sperme qui ne resta pas longtemps sur moi, car Manu a léché jusqu’à la dernière giclée ce nectar dont il raffole !

La soirée… bien arrosée s’est poursuivie dans une semi-débauche jusqu’à Trois heure du matin, nous avons tous couché sur place… Il valait mieux et le matin, après le petit déj, c’est par deux ou trois que nous prenions une bonne douche avant de repartir au boulot.

Et chaque fois, nous devions assurer notre boulot d’employés modèle dès le lendemain, même si la soirée ou la nuit avait été mouvementée voire douloureuse.
Nos patrons attendaient de nous quatre un service à la hauteur de leurs espérances.

Plusieurs fois durant ces deux mois et après 18h, notre service terminé, nous nous retrouvions dans le hammam qui restait à notre entière disposition, et malgré la température estivale extérieure, nous goutions avec délectation aux plaisirs des attouchements mutuels dans la vapeur humide, un véritable plaisir sensuel de s’embrasser goulument, de lécher nos corps, de nous masturber, de se sucer… Nous connaissions parfaitement le corps de nos partenaires, nous savions quels étaient ou leurs fantasmes ou leurs points de sensibilité sexuelle, ces séances de Hammam se terminaient immanquablement par une partouze entre nous… Et là, il n’y avait pas que le petit cul d’Emmanuel qui prenait… Chacun étant avide de se faire sauter par son collègue !
Il est évident qu’on pourrait chercher longtemps un lieu de travail où ce genre de dérive nous serait offert ou mis à notre disposition par la direction.

Lorenzo et Hervé avaient une petite préférence pour la cabine de sauna qu’ils utilisaient très souvent, là aussi en fin de journée ils n’hésitaient pas à inviter l’un d’entre nous à partager cet espace intime avec eux durant quelques heures, avec l’espoir peu dissimulé de procéder à des attouchements très intimes à minima... Je peux en témoigner… c’était un mercredi vers 16h30 mes patrons décident de se rendre dans la cabine installée en annexe du poolhouse… Hervé part en direction de la piscine et décida de faire quelques longueurs, il vira son short et nu, il plongea directement dans l’eau tiède.
Lorenzo, lui, s’est avancé près de moi, je venais de tailler un prunus dans un massif à l’orée du parc arboré et étais maintenant accroupi en train de désherber tout le massif :
- Salut Arthur, me dit Lorenzo, tu termines à quelle heure aujourd’hui ?
- 17h00 monsieur, lui répondis-je.
J’étais torse nu avec un short très large comme me l’avait préconisé Martin, évidemment je ne portais pas de sous-vêtement et je savais que Lorenzo ou son compagnon se délectaient de mater notre service trois pièces lorsque nous leur offrions spontanément d’écarter exagérément nos cuisses afin qu’ils profitent de la vue volée de notre queue ou de nos couilles rasées…. Ce que je fis sans hésiter afin de provoquer mon voyeur.
Lorenzo était scotché, le regard dirigé sur mon entrejambe… Un mateur pervers de première ce monsieur !
Tout en me mouvant au gré du désherbage, je faisais toujours face à mon patron afin qu’il se régale et fantasme sur mes attributs de mâle.
Il n’hésita pas à passer la main sur la braguette de son bermuda et me dit :
- J’aime beaucoup ta manière de travailler Arthur, tu me combles de bonheur… Dis-moi après ton boulot, es-tu pressé de rentrer chez toi ?
- Non, lui répondis-je, je n’ai rien de prévu… Pourquoi, vous avez besoin de mes services monsieur ?
- Pas de tes services mon petit… plutôt de ta compagnie avec Hervé, me dit-il avec un léger rictus.
- Ma compagnie ?... Mais où ça ? le questionnai-je.
- Dans le sauna… Ça te dit de venir te détendre après cette chaude journée au soleil ? me proposa-t-il.
Moi un peu hésitant :
- Euhhhh, oui, pourquoi pas… Mais je n’ai pas de serviette ni de maillot de bain avec moi.
- A quoi bon, nous t’avons apporté une serviette… Quant au maillot il sera inutile… nous serons entre nous mon petit ! Me rétorqua-t-il.
Trois quarts d’heure après, j’étais à poil avec mes deux patrons… tous les trois avec notre serviette autour de la taille à suer à grosses gouttes dans la cabine de bois surchauffée par cette chaleur sèche qui excite bien les sens.
Au bout de vingt minutes, Lorenzo se rapproche de moins et me pose la main sur la cuisse, il me caresse et remonte doucement sa main droite sous ma serviette, puis le voilà qu’il s’agenouille entre mes jambes pendantes, il me les écarte doucement, puis continue son exploration sous ma serviette…. Hummm je me laisse faire… Et Hervé assis sur le banc opposé a délibérément choisi de nous mater, c’est un adepte du candaulisme le coquin, il se délecte d’assister à des scènes érotiques sans en être l’acteur principal, et le fait que ce soit sont compagnon Lorenzo qui excite un autre mec, jeune qui plus est, l’excite un maximum et le rend totalement épanoui…
Évidemment il vit l’évènement en se palpant ou en se paluchant… Son attitude de voyeur aurait pu me déstabiliser ou simplement refuser les avances tactiles de Lorenzo… Il n’en fut rien, je vivais l’instant présent avec délectation et soumission absolue, mon corps s’abandonna à mon patron… Et quel abandon !!!
Lorenzo m’avait défait ma serviette, laissant apparaître les 17 cm de ma queue fièrement dressée, mes couilles affalées sur le banc chaud… Il avança sa bouche et se mit à me sucer le gland qui se décalottait au fur et à mesure de ses coups de langue gourmands… Puis il engouffra mon membre totalement tendu, jusqu’à lui toucher la glotte, et se mit à me pomper goulûment, ses va-et-vient se firent rapides… Je me dandinais de droite et de gauche, la sueur au front… C’était trop bon !
Devant cette fellation divine, je voyais la serviette d’Hervé remuer rapidement… Je devinais sans équivoque qu’il se masturbait, ses yeux brillaient de satisfaction et d’excitation en nous matant… Et cette scène de voyeurisme n’était pas pour me déplaire !
Lorenzo tout en me suçant la verge comme un affamé et en me palpant les burnes, s’égara vers mon anus en me glissant son majeur profondément… Hummm un vrai bonheur !... Je me mis à gémir de plaisir, Hervé vira alors sa serviette pour se branler à découvert face à moi, sa belle queue de quinqua pervers était bandée à fond, son gland totalement décalotté et ses couilles battaient au rythme de sa masturbation, nous étions tous les trois excités comme des poux aux sons des râles et des gémissements de mâles en rut… La chaleur devenue accablante dans cette cabine scandinave… La lumière tamisée et l’odeur de corps échauffés nous incitaient à continuer sans tabou nos ébats amoureux…
Lorenzo me demanda de me retourner et m’agenouiller au sol, ce que je fis sans sourciller et me mis naturellement en position de salope soumise, c’est à dire en levrette et en écartement généreusement les cuisses afin d’offrir ma rondelle de pute à mon enculeur de patron !
Hervé, lui dit tout en se peluchant :
- Vas-y mon Lolo, prends-le, ce petit pédé, il ne demande que ça, vous m’excitez tous les deux, je veux te voir lui remplir le cul de ton jus de mâle !
Moi sur ces incitations d’Hervé j’avais envie de satisfaire, chacun à leur manière, les envies sexuelles de mon duo d’employeurs… Je m’offrais telle une chienne en chaleur, mon cul tendu, mon anus ouvert et déjà très humide attendait de se faire pénétrer par la longue pine de Lorenzo, celui-ci commença son introduction en douceur, son membre largement tartiné de gel est rentré avec une facilité surprenante en moi, sa queue était épaisse et bien veinée… Hummm quel pied !... Je recevais ses coups de butoir dans les entrailles, sa paire de couilles venait battre sur mes fesses écartées, il me claquait les fesses de ses mains fermes, je criais de douleur et de délire… Putain qu’il est bon le Lorenzo ! Je pensais à ce moment que son partenaire Hervé devait lui aussi en prendre plein le cul de ce chibre italien… D’ailleurs Hervé gémissait en nous matant, il devait être au bord de l’explosion de foutre, son gland violacé menaçait de gicler à tout moment…
Moi, je mouillais de la raie, mon cul était en feu, la raideur de son membre me faisait vibrer, il me défonçait littéralement les entrailles… et je lui criais :
- Oh oui, oh oui, encore, encore, c’est trop bon, défonce-moi…
Nous avons tous fini dans un feu d’artifice de jets de sperme, Lorenzo s’étant retiré précipitamment me gicla sur la raie des fesses, sur le dos et inonda le sol, les jets d’Hervé sont venus tapisser le dos de mon enculeur et dans sa serviette et moi j’avais éjaculé sur le sol pas saccades et en quantité impressionnantes… Il faut dire que mon excitation ayant été poussée à son paroxysme j’ai vidé mes burnes au maximum.
L’odeur de sperme avait envahi cet espace confiné, nous étions tous les trois vidés mais satisfaits de nos ébats, notre voyeur Hervé nous à remercié de cette scène érotique qu’il affectionne au plus haut point, il nous roula des pelles mémorables et me suça la pine en guise de remerciement, il tapota les fesses de son pote Lorenzo.
Nous nous retrouvâmes tous les trois sous le jet chaud de la douche près de la piscine pour un nettoyage détaillé de nos corps épuisés.
Je sais que cette scène s’est produite plusieurs fois avec Manu leur petit chouchou, au moins une fois avec Thomas début Août et pareil avec mon recruteur Martin… mais cette fois-ci, c’est Hervé qui se fit féconder et Lorenzo dans le rôle du voyeur… Enfin bref, le sauna était un lieu de débauche que nous ne redoutions pas… Bien au contraire !

Je peux dire que ces deux mois d’emploi d’été ont été un pur rêve, ponctué de délires inattendus… et parfois inavouables, le milieu gay dans lequel j’ai évolué m’a permis d’ancrer mes convictions personnelles et affirmer sans tabou mon orientation sexuelle. La prudence reste de mise c’est évident et nécessaire mais l’amour entre mecs est franchement super !

A la demande d’Hervé et Lorenzo, Martin fut chargé avant mon départ du manoir après ces deux mois de job bien particulier, de me poser une question un peut délicate :
- Arthur, mes patrons souhaiteraient savoir si tu accepterais lors des quelques « Dîners intimes » entre hommes qu’ils organisent au cours de l’année, et dont je t’ai décrit les frasques de fin de soirées dans le petit salon, d’assurer avec nous le service à table mais aussi assurer le service très spécial en jock à l’heure du digestif avec toutes les dérives tactiles ou buccales des convives dont je t’ai parlé ?
A cette question à laquelle je ne m’attendais pas du tout, je répondis presque spontanément et sans trop réfléchir :
- Oh oui alors ! J’accepterai plutôt deux fois qu’une… Être soumis de la sorte… faire le service d’hommes mûrs me considérant comme un jouer sexuel et offrant mon corps à leurs caresses, palpations intimes, masturbations et fellations… Hummm, tu peux leur confirmer que je me libérerai sans aucun problème pour ces invitations débridées et coquines !... Je leur dois bien ça !

Ainsi après ces deux mois d’été comblés par toutes les dérives et satisfactions inimaginables… Et une paie rondelette, je quittais le manoir pour mon université tourangelle.
La dernière soirée autour du barbecue organisée pour mon départ fut, vous l’imaginez… chaude et délirante !

Il ne me restait plus qu’à être appelé par Martin pour ces « Extras » de soirées intimes entre hommes. Il n’était pas question de manquer de telles propositions.

Mon séjour au « Manoir des hommes » restera à jamais gravé dans ma mémoire juvénile.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire bien bandante, de beaux mecs en sous-vêtements très sexy, de la baise à tous les étages sans violence mais beaucoup d'ardeurs !
Vivement la prochaine soirée "privée", je suis impatient :

Bravo !

Histoire Erotique
Super histoire, bien écrite et super bandante. Merci



Texte coquin : Le Manoire des hommes
Histoire sexe : Une rose rouge
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