Candauliste à 40 ans ! - histoire érotique

Je me suis converti si l’on peut dire au candaulisme sur le tard, en effet c’est à l’âge de 39 ans que j’ai mis en pratique ce fantasme qui me taraudait depuis bien des années, divorcé depuis quelques années, ma première femme n’était pas une bête de sexe, elle aimait bien évidemment faire l’amour mais sur des fréquences bien définies et nous pratiquions toujours des relations très classiques… et jamais ailleurs que dans notre chambre, pas question de tester la cuisine, la salle de bain ou le salon et encore moins dans des lieux insolites que j’aurai bien aimé tester !
Elle pratiquait la fellation de façon retenue, jamais de gorge profonde ou de léchage de couilles, elle ne me suçait qu’à ma demande expresse, jamais elle ne se serait permise de me pomper le dard de sa propre initiative ! Elle ne recherchait jamais l’exotisme dans les positions, elle m’a toujours refusé la sodomie… Impensable selon elle de tenter une telle pénétration et bien évidemment il n’était pas question d’envisager la bisexualité…
Tout ça a duré cinq de trop longues années, ses principes certainement dus à son éducation stricte ne me convenaient plus et devenaient un sujet de discorde récurrent, nous n’avons pas eu d’enfant car elle se disait ne pas être prête… Ces situations de blocage sexuel m’avaient incité plus d’une fois à aller voir ailleurs. Bref, notre séparation fut actée lorsque je venais d’avoir 38 ans.
Dès cette date, je me suis offert de vivre librement d’autant que je venais aussi de changer de boulot, d’employé dans une compagnie d’assurance j’étais passé dans le domaine bancaire. En un an et demi j’ai rattrapé mes cinq ans de frustration sexuelle, je me suis mis à fréquenter les clubs privés et fait de belles rencontres, puis je me suis mis à découvrir les clubs libertins où là je me suis rendu compte de tous les bons moments et occasions que j’avais manqués durant mes années de relations limitées au strict minimum côté sexe.
Je dois aussi avouer que ce fut l’occasion pour moi de découvrir les parties à trois voire à quatre, puisque j’ai sucé un mec pour la première fois à bientôt quarante ans… Il n’est jamais trop tard pour découvrir d’autres aspects de la vie !
Coluche disait qu’il ne fallait pas mourir idiot et qu’il fallait goûter à tout… Voilà qui était fait côté fellation !

C’est d’ailleurs dans un club libertin que j’ai connu mon actuelle compagne Audrey, une belle brunette de trente-six ans, les yeux marrons très clairs, chevelure mi-longue, le teint halé, une taille fine avec une poitrine sans être conséquente, confortable et bien proportionnée.
Elle venait elle aussi de se séparer de son ex qui semble-t-il s’était orienté vers le charme masculin puisqu’il la trompait régulièrement avec un philippin d’une trentaine d’années… Dans quel monde vivons-nous !!!
Nous sommes maintenant ensemble depuis deux ans et logeons dans un appartement cossu de Toulouse, ville où nous travaillons tous les deux.
Ma vie sexuelle en fut totalement bousculée…. Et c’est tant mieux !
Audrey est une accro au sexe… Ce qui me changea bougrement la vie, elle n’est jamais limitée quant au piment qu’elle peut imaginer concernant nos relations, que ce soit dans les pratiques, les positions et les lieux. Avec elle, j’ai vraiment redécouvert ce que pouvait être l’amour décomplexé avec un grand A !
Je crois ne pas exagérer en disant que c’est une nymphomane XXL, elle est totalement addicte au sexe.
A tel point, que je l’encourage parfois à aller voir ailleurs, j’ai parfois du mal à la contenter sexuellement, non pas que je sois nul au lit ou mal monté… Non j’assure bien d’autant qu’elle sait me stimuler la coquine, nous baisons entre quatre et cinq fois par semaine mais elle en redemande toujours cette petite chienne, lorsqu’elle me « trompe », bien que nous ne soyons ni mariés, ni pacsés… Elle peut enchainer plusieurs pénétrations dans la même journée sans être rassasiée !
Et lorsque je parle de pénétrations, il faut savoir que ma petite lopette, elle aime que je la nomme ainsi, est une adepte de la baise par les deux trous, c’est d’ailleurs avec elle que j’ai découvert la pratique régulière de la sodomie, c’est sur sa demande insistante que j’ai enculé une nana pour la première fois à ma quarantaine passée !
Pour être totalement honnête, il m’était arrivé plusieurs fois auparavant de pénétrer des hommes lors de soirées très privées , mais jamais de nanas de ce côté-là !

Depuis je la satisfais selon ses excitations du moment, la chatte ou l’anus, c’est elle qui choisit, lorsque ce n’est pas l’un après l’autre ! Parfois lorsqu’elle a envie d’une double pénétration je lui enfile son gode préféré de silicone noir de 20x5 et lui offre mes 17x4 dans le second orifice disponible !
D’autres fois il lui arrive de pratiquer cette gourmandise en club libertin dès lors qu’elle trouve un partenaire favorable à partager son intimité avec moi… Deux bites en elle et deux paires de couilles qui lui chatouille l’entrecuisse ne lui font pas peur !
Pour en revenir à ma pratique tardive du candaulisme… C’est justement lors de nos ébats en club libertin que je me suis rendu compte que d’assister passivement à la pénétration d’Audrey par un autre partenaire ou parfois au bouffage de sa chatte par une nana, me foutait une super trique, dans ce cas je reste légèrement à l’écart et je contemple le ou les accouplements intimes sans y participer… Le voyeurisme volontaire, bandant et excitant, voir sa nana se faire mettre par une belle bite bien raide, ou la voir pomper le dard et lécher les burnes d’un beau mâle ou encore se faire bouffer le minou à grands coups de langue par une autre femme me fait entrer en transe… Phénomène que j’ai du mal à expliquer, je bande alors comme un taureau et éprouve le besoin irrésistible de me masturber face à cette provocation… Comme si jeter ma compagne en pâture à des inconnus avide de sexe était une satisfaction sans nom ! Et c’est vraiment le cas.
Audrey l’avait bien compris et use sans restriction de ces provocations en Club dès lors que l’occasion se présente dans un des salons privés avec un autre couple, elle me laisse profiter en participant pleinement aux préliminaires, des câlins, des bisous coquins, des palpations expertes, des doigtages profonds, des suçages intimes… Puis lorsque les sexes deviennent bien humides et tendus, que les corps suent d’excitation bestiale, que les cœurs battent la chamade… Elle m’impose de m’éloigner de quelques mètres pour mater sans participation à la suite des ébats charnels… Frustration et imposition d’ailleurs pas toujours comprises du couple partenaire et là je suis le voyeur-cando de la soirée… Soumis à la vue des scènes érotiques sans pour autant en profiter tactilement, contact interdit… Juste la permission de me branler face à ce tableau débridé… le corps de ma compagne à la merci de ces inconnus… Leur jouet sexuel en quelque sorte et moi jouant le rôle du cocu magnifique, voyeur et branleur !
Je dois bien avouer que j’éprouve un tel plaisir de la voir ainsi à la merci d’un ami ou un inconnu que ma jouissance s’en trouve décuplée comparé à l’acte que je vis lorsque je fais l’amour avec elle, sur ce point nous sommes vraiment devenus complices et en usons le plus souvent possible.
A tel point que lorsque nous invitons des amis libertins à la maison et que la fin de soirée se termine par d’inévitables parties de jambes en l’air, c’est devenu un rituel je m’installe à poil dans un fauteuil du salon ou celui de notre chambre accompagné souvent d’un plug métal de belle dimension que ma lopette d’Audrey se fait un plaisir de m’introduire profondément dans l’anus après l’avoir lubrifié de sa salive chaude… Eh oui, j’adore sentir ce plug annelé en moi qui stimule parfaitement ma prostate, puis elle me laisse seul, abandonné face au lit, au canapé ou au tapis épais du salon qui servent de « Ring » aux ébats en trio de nos invités.
Parfois elle demande que je les filme ou photographie en pleine action ce que je fais avec grand plaisir et délectation.
Nos amis habitués à cette mise en scène, ne se posent plus de questions, ils comprennent mon fantasme qui n’a rien de solitaire puisque malgré tout nous sommes au minimum quatre dans la pièce à prendre notre pied… trois d’un côté et un de l’autre et c’est bien le but recherché !
Découvrir à mon âge la pratique du candaulisme, cette pratique sexuelle qui me permet d’éprouver une excitation extrême dans le simple fait de voir ma compagne dans les bras de plusieurs inconnus ou amis intimes, de la voir se faire lécher le corps, se faire rouler des pelles fournies, branler une belle queue qui n’est pas la mienne, bouffer les couilles d’un inconnu ou de son meilleur ami, se faire pénétrer en l’entendant gémir de plaisir, se faire sodomiser en hurlant de douleur ou de bonheur, la voir recevoir des jets blancs et visqueux en faciale, la voir lécher et avaler le sperme chaud d’un pote ou d’un visiteur, mais aussi la découvrir abandonnant sans retenue son corps à une autre femme dans les gestes les plus intimes… Tout ça en m’interdisant d’intervenir et profiter de ce mélange des corps… Ayant comme seul recours, lorsque l‘on ne m’a pas lié les mains, de me masturber et me laisser éjaculer lâchement sur les cuisses ou sur le fauteuil, abandonné dans le coin de la pièce.
Il y a six mois, à ma demande, ma lopette m’a acheté une cage de chasteté en métal pour apporter une variante à ma frustration sexuelle… C’est une forme de supplice que j’apprécie de temps en temps mais ma préférence va largement vers les séances d’edging que je m’impose par la masturbation prolongée que je me dois de contrôler et maîtriser au maximum pour profiter pleinement de mon orgasme cando en retardant au maximum mon éjaculation inévitable et salvatrice.
Il y a deux mois, cette petite coquine m’a imposé d’inviter à dîner trois de ses amis, deux blacks bien bâtis et un parisien blond au physique de nageur pro très canon, qu’elle avait rencontré lors d’une soirée chaude à laquelle je n’avais pas été convié quelques semaines auparavant, trois fringants trentenaires chauds comme la braise.
Le repas avait été simple et sans flafla, mais par contre bien arrosé avec un apéro au whisky et au Gin un peu prolongé. Elle ne leur avait pas caché que leur visite chez nous était purement sexuelle, qu’elle voulait qu’ils la baisent dans les règles devant son mec cando qui adore prendre son pied en la matant pendant qu‘elle s’abandonne avec d’autres bites que la sienne… Évidemment les mecs étaient aux anges… Une nana qui se livre à eux avec le consentement de son mec c’est le top ! Notre complicité devrait être récompensée.
Connaissant « la règle du jeu » de la soirée, durant le repas, ces trois mâles n’ont pas arrêté de me mettre en boite et m’humilier en me disant qu’ils venaient pour la défoncer et lui offrir un bonheur qu’elle n’a certainement jamais connu avec moi… Que je n’allais pas être déçu du spectacle… Que j’aurai intérêt à prendre des notes pour être aussi performant qu’eux… Qu’ils allaient se vider totalement les burnes en elle… Qu’ils avaient hâtent de me voir baver de désir inaccessible du fait de mon isolement et me voir éjaculer d’excitation sans pouvoir participer à la fête…
En clair, ils étaient bien destinés à la faire gémir de bonheur devant moi, le cocu magnifique passif mais cependant demandeur.
Dès le dessert pris, Audrey choisit de dégager la table basse du coin salon et de déclarer l’espace libre le lieu de leurs ébats sur le tapis épais, qui en a déjà vu de toutes les couleurs côté ébats amoureux !
Ma petite lopette après un passage en salle de bain, arriva en moins de deux en string-dentelle noir et soutif de la même collection, elle était trop désirable dans cette tenue sexy… L’une de mes préférées !
Les deux blacks Steeve et Karl se désapèrent en même temps et virèrent leurs pantalons, chaussettes et T-shirts qu’ils balancèrent négligemment sur le canapé, je découvrais alors leurs carrures de déménageurs Karl ayant des biceps gros comme mes cuisses, il était en boxer rouge Calvin Klein et Steeve un peu moins musclé mais cependant impressionnant se retrouva en jock blanc Addicted qui son beau cul ébène lisse et brillant en valeur, je fus impressionné par les paquets qu’ils se palpaient et exhibaient tous les deux, j’imaginais leur matos de ouf, rien qu’en découvrant leurs formes exagérément provocantes, que je ne faisais pas le poids au niveau de mon service trois pièces. De suite je me souvins des commentaires d’Audrey lorsqu‘elle était rentrée de cette soirée de débauche en leur compagnie, elle m’avait effectivement dit que Steeve et Karl étaient montés comme des taureaux et qu’ils l’avaient fait hurler de douleur lors de leur pénétration respective… Je compris pourquoi !
Adrien le beau blond à la carrure d’un Léon Marchand déposa proprement ses fringues sur une chaise haute de la cuisine, il s’approcha en me regardant avec un large sourire en me disant :
« J’espère qu’on va bien te faire bander à nous confier sans retenue ta petite lopette ! »
Il revêtait un tanga hyper sexy aux fleurs exotiques sur fond bleu océan, son petit cul bien enveloppé dans ce tissus élasthanne coloré paraissait ridiculement petit comparé à la largeur de ses épaules, il était taillé en « V » le jeune homme… et son paquet parfaitement emballé qui était certes moins volumineux que ceux des deux blacks, mais me donnait bien l’impression d’être malgré tout conséquent, Adrien est imberbe avec des pectoraux saillants hyper bien dessinés… Ah si j’avais été pédé, je me serais sans problème laissé faire par cet Apollon aux yeux bleus !
Mais là, en l’occurrence il était destiné à ma petite lopette d’Audrey, qui commençait déjà à lui caresser les fesses avec insistance.
Avant d’attaquer officiellement les hostilités, ma petite chérie mis une musique d’ambiance style cabaret ou bar à putes, elle baissa la lumière ambiante à l’aide de la télécommande, puis elle vint m’embrasser langoureusement, puis me déshabilla lentement, chemise, pantalon, boxer… qu’elle entassa avec les fringues de Karl et Steeve, elle m’apporta mon plug métal annelé que j’adore porter lorsque je joue le voyeur cando, un tube de crème de masturbation, une serviette de bain qu’elle étala sur le fauteuil installé à trois mètres face au « Ring » et son iPhone pour les prises de vues. Elle mouilla le plug abondement et je lui présentais mon anus en écartant les cuisses et ma petite pute m’enfila le plug-diamant à fond… Puis je m’assis confortablement dans le fauteuil de cuir en m’assurant du bon positionnement de mon plug, elle se mis alors à genoux en m’écartant les cuisses et me lécha abondement ma paire de couilles rasées de près et ma queue molle et recourbée puis mon gland à peine décalotté, et elle me dit avec un langoureux sourire très coquin :
« Amuse-toi bien mon chéri, paluche-toi bien ta belle queue et j’espère que nos ébats te permettront de te vider tes belles petites couilles bien pleines, je te promets de venir sucer ton matos après m’être fait prendre par ce beau trio de mâles en rut ! »
Et elle me roula une bonne pelle avant de rejoindre le tapis et son trio de baiseurs.
Tous trois l’entourèrent intimement, et commencèrent à l’embrasser chacun leur tour, elle leur caressait le galbe fessier au travers de leurs sous-vêtements, elle adore caresser les fesses des mecs ma petite chienne, celles de Steeve étant déjà à l’air avec son jock-strap obtinrent la primeur en ayant droit à des caresses plus longues et un doigt qui semblait déjà disparaître dans la raie de notre beau black, son cul bien rebondi, lisse et brillant fut longuement palpé, caressé et introduit par le majeur droit de ma petite chienne… Au son de la musique douce Adrien lui pris l’autre main et lui entraina sur son sexe encore enveloppé dans son tanga déjà tendu, Karl s’accroupi et entama la descente lente de son string à dentelles en lui déposant au fur et à mesure de la descente du petit morceau de textile, des bisous partout, sur les cuisses, les mollets les pieds puis remonta pour s’attarder longuement sur sa chatte épilée et son abricot proéminent déjà brillant d’humidité... ce salaud me balança le string de dentelle noire à la figure, histoire de me prouver que c’est bien lui qui avait l’autorité sur ma nana.
Audrey après avoir largement palpé le paquet d’Adrien, décida de plonger carrément sa main dans le tanga et commença à branler son membre dont le gland ne tarda pas à pointer hors du slip. Karl accroupi était maintenant en train de bouffer le cul de ma chérie, sa langue impressionnante allait se perdre dans la raie de ma petite pute adorée.
Steeve lui pris la tête et lui roula une pelle bien fournie tout en lui dégrafant son soutif qu’il me balança lui aussi au visage, et tous les trois se mirent soudain à lui titiller, palper et lécher les seins qui pointaient, Audrey à une belle poitrine sans être abondante elle est bien proportionnée et ses mamelons sont assez gros et bien excitants.
Mon érection était maintenant largement effective, mais je me refusai de toucher à mon membre dressé pour l’instant… Je me délectai de ses préliminaires parfaits à mon goût… Ils prenaient une bonne tournure, bien bandante et excitante, je me tortillai afin de sentir les bienfaits du plug métal dans mon fondement… Deux sensations que j’affectionne particulièrement : La vue de ma lopette se faire caresser par d’autres mains que les miennes et ressentir la présence intime de mon plug en moi.
Audrey décida de faire glisser le boxer de Karl au sol et vira ensuite le jock de Steeve, je découvris ces deux braquemards bien veinés à demi bandés et tous deux avec le gland bien décalotté et le tout accompagné de paires de couilles balèses, celles de Steeve étaient rasées et celles de Karl légèrement parsemées de poils ras et frisés, Adrien vira de lui même son tanga et je pus profiter de son beau membre déjà bien bandé, ses couilles rasées et pendantes comme j’aime, ma petite pute d’Audrey à genoux au milieux de ces trois membres de belles tailles commença par palper ces trois paires de testicules bien garnis puis entama une série de fellations alternées… Une noire, une blanche, une noire (Elle est musicienne la petite !!!)… Avec toujours plus de vitalité et de plus en plus profondes, les queues se tendirent très vite à fond, ma lopette cramponnait deux membres en suçant le troisième, elle passait de temps à autre sa main sous les cuisses d’un mec pour lui titiller la rondelle avec son majeur, Karl et Adrien râlaient comme des bêtes pendant que Steeve se cramponnait aux deux fessiers de ses potes… Un tableau superbe que je m’empressai de photographier, puis dans la foulée posai l’IPhone pour me palucher ardemment devant cette scène merveilleuse, ma petite lopette se régalant avec ces énormes sucres d’orge au goût de bites en rut, elle en bavait de plaisir cette salope… Tout en pompant de plus en plus goulument elle se masturbait le clito avec insistance en alternance avec ses touchers rectaux et ses branlettes énergiques.
Ce trio masculin avec leurs queues raides et leurs glands décalottés offerts à la langue experte de ma copine… C’est vraiment mon kiff, je suis impatient de la voir se faire baiser par tous les trous, cette nymphomane ne va pas tarder à monter au septième ciel, elle qui n’a jamais assez de sexe dans son quotidien elle va pouvoir jouir comme une véritable pute… et ça, ça me fait bander un max !
Effectivement, après dix à quinze minutes de léchages de burnes et pompage de queues, ma lopette adorée se mis en position de levrette, le cul largement offert, Steeve s’installa debout devant elle en présentant son braquemard au niveau de sa bouche, elle écarta les cuisses de façon à offrir merveilleusement son cul… Adrien s’installa à genoux amenant sa bite aux bord de son anus grand ouvert et Karl qui se glissa à l’équerre sur le dos pour amener sa langue au niveau de la chatte toute humide d’Audrey, chacun commença l’intro ou de leur bite ou de la langue et prirent ce corps excité et commencèrent à jouer, l’énorme queue de Steeve déformait la bouche de ma nana et allait la taper en fond de gorge à chaque pénétration qu’il guidait en cramponnant la tête de ma gourmande, elle faillit à plusieurs reprises tirer au cœur chaque fois que sa glotte rencontrait le gland, de l’autre côté Adrien l’enculait avec rythme et semi douceur, sa paire de couilles pendantes venant battre le fessier de ma dulcinée à chaque coup de boutoir… Elle gémissait de plaisir cette salope et pendant cette double baise, elle adore la sodomie ma coquine, Karl couché sur le dos et la bite à la verticale, léchait son clito largement ouvert en lui introduisant au plus profond cette langue monstrueuse le tout en branlant comme un malade ses 21x5 au gland totalement décalotté et brillant, sa paire de couilles battait de haut en bas en mouvements rapides et saccadés... Il se branlait tellement énergiquement que son gland était couvert de liquide pré séminal.
Dans cette ambiance de gémissements, de cris, de hurlements de plaisir, le trio décida subitement de changer de position, Karl est resté allongé sur le dos, ma petite pute s’assis sur lui en le regardant avec ses yeux convulsés de chienne en chaleur, elle s’enfila délicatement son braquemard dans la chatte qui finit par rentrer jusqu’à la garde et Steeve qui vint lui pénétrer l’anus resté largement ouvert par la queue d’Adrien, ainsi cette cochonne eut droit à une double pénétration avec deux gabarits hors normes… son fantasme ! Elle cria de douleur lorsque ces deux énormes pieux de chair, raides et veinés vinrent lui violer les entrailles… Mais quel pied pour cette affamée de bites, se faire prendre doublement par deux blacks montés comme des taureaux, je me délectais de l’entendre gémir et de voir ses deux grosses paires de couilles blacks se frotter l’une contre l’autre dans son entrecuisses trempé… Adrien lui, avait décidé de prendre le troisième trou disponible en lui emmanchant sa longue verge au gland violacé dans la bouche de ma salope adorable… Là encore elle était limite de tirer au cœur !
Elle ne pouvait être plus comblée, les mecs râlaient à chaque va et vient et Audrey s’exprimait par cris étouffés bloqués par la hampe du blondinet qui lui remplissait la bouche.
Un liquide blanchâtre s’expulsait difficilement de sa chatte et de son anus autour de ces deux pieux de chair qui la pilonnait sans trop de ménagement.
Je repris l’IPhone et entrepris de filmer ces ébats dignes d’un porno professionnel, en même temps je me branlais énergiquement, je mouillais depuis le début de leurs ébats, ma queue me faisait mal… Mais quel pied, quel bonheur… Obtenir un orgasme comme celui-là, en voyant ma compagne se faire défoncer par tous les trous… Je n’allais pas tarder à gicler d’excitation…
Après vingt minutes de défonçage maitrisé, Audrey n’en pouvant plus et en ayant la bouche occupée par le gros zob d’Adrien à fait signe à ses trois mâles d’arrêter cette invasion sauvage et de se retirer… Ce qu’ils firent pratiquement en même temps, sa chatte et son anus grands ouverts étaient impressionnants, ses cuisses ruisselaient de mouille et de jouissance extrême, les quatre corps brillant de sueur, mais après ces vas et viens successifs et énergiques, les trois mâles ne tardèrent pas à larguer leur sperme chaud et visqueux sur le corps de ma nana épuisée, en moins de deux minutes elle fut arrosée de toute part de la jute de ses baiseurs adorés, dans les cheveux, sur les joues, les épaules les seins, la chatte et évidemment le tapis du salon… Moi, de mon côté, isolé sur mon fauteuil de voyeur je venais d’éjaculer par grands jets fournis tapissant mes cuisses, ma serviette de bain et le parquet… Je fus tellement excité par ce spectacle d’exception qu’il me fallu quelques jours pour recharger mes burnes totalement vidées et ma bite endolorie par une masturbation excessive et violente par moments.
Ma nana, à genoux, un peu estourbie par ces pénétrations à demi sauvages, fit le tour des trois grosses queues dégoulinantes de sperme pour avaler et nettoyer les glands décalottés tout en palpant les trois paires de burnes en parties vidées de leur nectar.

Puis, comme promis elle vint à quatre pattes couverte de foutre blanc dégoulinant pour me sucer mon membre dégonflé, mon gland encore gouttant et mes couilles totalement essorées pour récupérer les dernières gouttes de mon foutre fraichement craché, elle lécha les giclées atterries sur mes cuisses et me roula une pelle mémorable en guise de remerciements de lui avoir permis de se faire prendre par ce trio de grosses queues et ce plaisir partagé.
Je dû essuyer mon IPhone couvert de sperme… Mais au moins, nous allions pouvoir revivre en images les ébats délirants de cette belle soirée.

Tous les cinq nous rejoignirent notre grande douche à l’italienne pour laver nos corps respectifs et savonner les sexes de chacun d’entre nous… Nous nous retrouvâmes à poil tous les cinq autour de la table pour reprendre un peu de dessert et quelques bulles avant le départ de nos invités en se promettant de remettre le couvert dans un avenir proche.

Une nouvelle fois je m’étais délecté de vivre l’assaut viril et multiple de ma petite lopette… Le candaulisme a du bon, je vous l’assure !