La plage des Sodomites

- Par l'auteur HDS Castajl1 -
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Récit libertin : La plage des Sodomites Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La plage des Sodomites
Pour planter le décor… Mes potes et moi sommes homos, exhibitionnistes et grands niqueurs, nous le revendiquons haut et fort sans aucun tabou et en sommes plutôt fiers !
Adrien le plus jeune de nous trois, 28 ans, c’est un superbe minet de 1,76m, 64kg, yeux gris bleuté, cheveux ondulés blonds mi-longs, des pectoraux bien dessinés, imberbe, il fait comme moi, du nu intégral donc une couleur de peau uniforme couleur miel, quant à ses organes sexuels… j’y reviendrai plus loin.
Brice, 32 ans, très brun aux cheveux courts, sa mère est vietnamienne, il a tout hérité du charme asiatique, sauf la taille de sa teub… Il est mat de peau, les yeux noirs légèrement bridés, 1,70m pour 59kg, un vicelard de première et avec qui on ne s’ennuie jamais, et moi Florian tout juste 30 ans, cheveux courts châtains clairs, yeux verts, 1,73m pour 66kg, comme mes deux potes je fais beaucoup de natation et de course à pied, donc sans être hyper musclé, les mecs me considèrent bien bâti et plutôt sexy.
Nous nous sommes connus il y a trois ans, au centre aquatique d’Athis-Mons, lorsque chacun après le taf ou le dimanche matin lorsque nous souhaitions piquer un plongeon après notre semaine de boulot, ça avait matché rapidement entre nous.
Adrien et Brice bossent dans deux banques concurrentes et moi informaticien dans une boite américaine de la banlieue ouest.
Comme je l’ai écrit, notre attirance mutuelle s’est faite naturellement et rapidement, après deux semaines on se rencontrait autour du grand bassin et point commun qui ne trompe pas nous étions toujours en slip de bain taille basse, on dénotait un peu, car à de rares exceptions, la majorité des nageurs hommes portent presque tous un boxer de bain… et pratiquement tous noirs ! Quelle diversité !
J’aime bien mater les mecs en boxers moulant leur anatomie, mais je dois reconnaître que je suis plus attiré par un mec en mini slip de bain qui moule bien le galbe de ses fesses et sculpte parfaitement son paquet même s’il n’est pas conséquent, je trouve que ça favorise le côté sexy des mecs.
Donc effectivement Brice et Adrien se pointaient à chaque séance tout comme moi, en maillot lycra très minimaliste aux couleurs vives, ce qui ne manquait pas d’attirer le regard des nanas mais aussi de certains mecs.
Déjà là, j’avais adoré ce côté légèrement provoquant qui me caractérise et mon côté voyeur aiguisé.
Adrien qui fut bien gâté par la nature, a une sérieuse tendance à jouer l’exhibe, d’autant qu’il est très sexy et bien taillé se petit salaud, et sa paire de testicules est particulièrement proéminente accompagnant ses 18x5 lorsqu’il déploie son artillerie… Pour faire court : Un mec bien gaulé… Pour ne pas dire bandant !
Brice comme je le précisai n’a pas hérité d’une petite bite comme nombre d’asiatiques, j’adore sa queue bien proportionnée d’environ 17x4 au gland toujours décalotté, son pubis de poils noirs et ses petites couilles pendantes font de lui un beau petit mec à draguer, il est fidèle au string de bain blanc, ce qui le rend désirable au possible… Et je ne vous parle pas de son petit cul de salope qui ferait bander un hétéro.
En ce qui me concerne je suis le moins pourvu, sans pour autant être ridicule, avec mes 15x4 en mode excité, un prépuce que mes potes adorent, pubis épilé et mes couilles toujours rasées de près, mes fesses lisses, bien rondes et imberbes.
Donc, pour revenir à notre rencontre, nous avions rapidement compris par nos regards coquins insistants… et peu à peu aux allusions non dissimulées du genre :
« Oh le beau petit cul ! », « Ton string te va à merveille !», « Hummm beau paquet ! », « Nous avons les mêmes goûts on dirait »…
Donc tout pour nous aguicher mutuellement et surtout confirmer notre attirance pour les mecs.
Les jours suivants, lors du retour au vestiaires, les mains discrètement baladeuses, les clins d’œil, les douches prolongées en se matant mutuellement tout en restant dans les clous afin de ne pas déclencher un esclandre par d’autres nageurs venant se doucher… Un jour, nous décidâmes de nous retrouver autour d’un demi à la terrasse d’un bistrot proche de la piscine… Et là, les masques sont tombés définitivement : Nous étions bien trois pédés en recherche de relations !

De toute évidence nous étions faits pour nous entendre et surtout de partager des moments chauds voire totalement débridés… En discutant et entrant dans le plus intime de nous-mêmes, nous découvrîmes que nous étions versatiles tous les trois avec cependant quelques préférences que nous nous promettions de découvrir sans tarder.
Nous enchainâmes des soirées en club gay, des soirées chez l’un de nous trois ou des saunas nous permettant de partager d’autres queues ou d’autres culs.
Là encore, nous découvrîmes notre attirance commune pour l’exhibitionnisme en clubs ou au sauna gay… Plus d’une fois, au cours de soirées un peu arrosées, nous nous sommes retrouvés à danser sur des tables basses tout juste revêtus d’un string ou d’un jock !... Toujours l’exhibe !!!
Quelques mois suivant notre rencontre nous décidâmes de nous inscrire dans un club de yoga parisien ou certaines séances tardives étaient réservées au yoga nu entre mecs… Le top !
La découverte de nos corps, sous tous les angles… Je dis bien… tous les angles, je vous assure ! Dans des positions hyper suggestives jusqu’à l’érotisme, les exercices en duos permettant de sentir au plus proche le corps de l’autre, souvent étrangers à notre trio, de 25 à 55 ans, parfois des réactions incontrôlées de sexes qui bandent ou au contraire qui se recroquevillent en fonction des situations, des bites de tous gabarits, des culs lisses ou poilus… Adrien, Brice et moi pouvions tester notre niveau d’exhibe face aux autres hommes, face au coach aussi, un beau black au corps luisant de 38 ans, bâti comme une armoire normande au sexe de 14x5 cm au repos et un petit cul de rêve bien musclé !
Contrairement à ce qu’on imaginait en nous inscrivant à ce cours de yogis nudistes, tous ces hommes ne sont pas homos, un tiers d’entre eux sont des hétéros et mariés pour certains… mais en toute honnêteté ceux-là rechignent rarement le contact charnel masculin très rapproché qu’il nous arrive d’avoir à chaque séance lors d’exercices en binômes… Peut-être même, le recherchent-ils ?
A l’inverse la majorité de la vingtaine de yogis que nous sommes, est gay et ses hommes éprouvent comme nous trois, un plaisir absolu de jouer de nos corps et de goûter le plaisir de voir et même de frôler les peaux de tous ces mecs à poil, exhalant une odeur chaude et musquée en plénitude de leurs mouvements.
Le top du top est lorsque notre Coach Sébastien s’approche de nous pour corriger une mauvaise posture, il n’hésite pas le coquin à coller sa grosse queue inerte et pendante le long de notre corps ou mieux encore, s’il doit par exemple nous corriger en se collant à nous par derrière en callant son membre dans notre raie des fesses, ou alors se positionner droit debout devant nous pour nous remonter la tête lorsque nous sommes en position du cobra ou l’on se retrouve alors, la bouche à moins de cinq centimètres de son gros gland.
Il n’en faut pas moins pour nous déclencher un début d’érection.
D’ailleurs les douches, qui restent optionnelles qui suivent le cours, permettent à quelques-uns de terminer la séance par un savonnage mutuel un peu coquin.
Notre coach, qui lui aussi est pédé comme un phoque, se délecte de cet « Après cours » en lançant des clins d’œil aux « savonnés », il nous est d’ailleurs arrivé plus d’une fois de terminer le cours ainsi sous le jet chaud de la douche avec un partenaire un peu tendu de la queue.
L’établissement n’est pourtant pas catalogué comme un repaire de pédés mais cette pratique est largement comprise et tolérée entre nous... Personnes n’ira s’en plaindre et encore moins de s’en offusquer.
Plus d’une fois nous avons aussi vu des mecs mariés se faire doigter ou branler sous la douche par un autre yogi gay… Et le plaisir semble à chaque fois partagé car ils se laissent aisément séduire par ses mains ou doigts baladeurs… Les coquins !
Ce qui ne les empêche certainement pas d’honorer leur femme le soir même…
On sait tous que les relations d’hommes à hommes sont le fantasme inavoué de nombreux hétéros qui souhaitent « goûter » ce plaisir interdit entre mecs.

Je me suis un peu éloigné de mon récit, mais avouez que ça méritait bien quelques détails croustillants, nous continuons tous les trois nos activités de yoga chaque vendredi soir. Pour ne rien vous cacher nous invitons parfois notre coach Sébastien à pimenter nos soirées chez l’un de nous trois… Sucer un gros mandrin de black de 21x5 c’est un vrai bonheur… Le prendre dans le cul est parfois douloureux mais tellement jouissif !
La règle entre nous est de ne jamais faire allusion en cours à ces rencontres non professionnelles, Seb vit avant tout pour son job de coach yogi… Les affaires de cul doivent rester dans la sphère privée.

Pour revenir à nos passions débridées, l’an passé fin Juillet-début Août nous avions décidé de partir ensemble trois semaines à Ibiza, en nous promettant d’en profiter un max. Effectivement nous nous sommes franchement éclatés, et nous sommes même revenus rincés (pour ne pas dire vidés). Du coup, nous avions décidé de recommencer cette année pour les trois premières semaines d’Août.
La réputation d’Ibiza n’est plus à faire, c’est l’île de la fête, de la débauche, de tous les excès dès lors où l’on va dans ces lieux dédiés ou sur les bonnes plages et de ce côté là… Le choix est large !
Nous avions loué cette fois-ci une grande chambre pour nous trois dans un Hôtel-Club « Men only » que nous avions dégoté sur un site LGBT, un vrai paradis à deux pas de la plage, belle piscine où évoluent de beaux spécimens mâles en quasi permanence, le club compte une soixantaine de chambres avec balcons donnant sur un jardin magnifiquement paysager à la végétation exotique et la grande piscine au design sophistiqué et moderne, ici sous le soleil c’est la « Fée Lation » qui est à l’honneur… Les mecs se sucent et se caressent dans tous les coins, dès le matin en prenant notre petit-déj, il n’est pas rare de profiter d’un bouffage de cul matinal au bord du bassin entre deux ou trois mâles en rut ou en levant les yeux de découvrir un mec se faire prendre en levrette sur un balcon… Le paradis des pédés en sorte !
Il y a aussi de beaux spécimens en tenue sexy ou moule-bite bien ajustés qui se la joue un max pour attirer l’œil de mec en recherche.
Les serveurs, tous des mecs évidemment, jeunes et beaux, nous servent en shorts satinés hyper moulants et top-crops aux couleurs jaunes de l’hôtel-club mettant en valeur leurs pectoraux saillants et leurs anatomies bien dessinées et parfois provoquantes, comment résister à un tel environnement ?
Je ne parle pas des hammams, saunas et salons de massage à disposition où chacun se détend (ou se tend) à volonté, un salon-projection ou les vidéos diffusent en permanence des films gays, tout est fait ici pour satisfaire nos fantasmes coquins entre mâles avertis.
En fin de notre première semaine, lors d’un dîner organisé par la direction au bord du bassin, soirée intitulée en français « Un mâle pour un bien »… Tout un programme !... Alors qu’il faisait une température idéale pour baiser dehors à la lueur des torches éclairant le jardin, de la pleine lune et du ciel bien étoilé, Brice, Adrien et moi après une série de grands verres de sangria bien alcoolisée, nous sommes lancés dans une séance de turluttes et de léchage de raies à cinq mètres des convives, sous leurs applaudissements, certains mecs n’ont pas hésité à nous rejoindre, à la fin nous étions bien une bonne douzaine à nous ébattre, à râler, à rire, à glousser, à gémir, à nous sucer, nous lécher, nous branler, nous rouler des pelles baveuses, nous enculer sans retenue, des jets de sperme n’ont pas tardé à arriver, giclant de tous bords sur nos corps brillants de sueur et sur le dallage de la piscine… Une partouze géante commentée par les convives restés à table, qui nous encourageaient dans nos ébats tout en se paluchant comme des malades… chacun sortant son iPhone pour faire des selfies ou des clichés histoire d’immortaliser ce beau bordel entre mecs… La partouze s’est terminée par un bain de minuit dans la piscine dont les projecteurs immergés permettaient de distinguer parfaitement toutes ces queues bandées et ces couilles pendouillantes entre les cuisses écartées de cette bande d’homos en pleine euphorie.
Décidément ce club nous apportait un plaisir parfait pour assouvir nos pulsions amoureuses ou tout simplement charnelles.
Nous avons vécu à quatre reprises une soirée semblable durant notre séjour… Le pied !...

Les plaisirs et délires de cet Hôtel-Club ont ponctué nos matinées et certaines soirées, mais Ibiza c’est aussi la fête dans les bars, les clubs privés avec des shows érotico-porno, puis les plages et leurs lieux de cruising gay !
C’est ce qui a motivé le titre de mon récit « La plage des sodomites »… nom sorti de mon imagination, qui résume bien le lieu, ses occupants et ses pratiques, là encore le paradis de la communauté gay, loin de tous les tabous.
Bien sûr, nous avions comme l’année d’avant, fréquenté les plages naturistes et principalement celles où les homosexuels de tous poils se retrouvaient pour bronzés nus enlacés dans les bras de leur partenaire entre hommes ou entre nanas, mais avouons qu’il ne se passe pas grand-chose d’excitant par respect ou par pudeur, on voit bien ça et là des nanas se bouffer la chatte ou des fellations plus ou moins discrètes entre mecs, mais ce n’est pas la grande débauche dont nous rêvons tous les trois.
Matéo, le réceptionniste de l’hôtel, à qui nous avions demandé un lieu de bonnes baises, nous avait indiqué une crique difficile d’accès à partir d’une grande plage naturiste très fréquentée et entourée de rochers imposants en guise de frontière naturelle pour marquer qu’au-delà, les amateurs de soleil à poil entraient dans un domaine « Very hot ». Une fois dans cette crique et sur cette petite plage de sable doré et très fin, on discerne une demi-douzaine de sentiers pédestres grimpant dans une sorte d’immense charmille à la végétation intense, sa superficie est très étendue parmi les arbres, broussailles, mini clairières de sable très fin… parfois quelques aménagements spartiates permettant de pratiquer des pauses coquines.
C’est un lieu privilégié pour les gays qui veulent s’éclater sans retenue sur tout ce petit territoire quasi inaccessible par la route et volontairement jamais visité par la Guardia Civil qui connaît parfaitement ce secteur chaud-bouillant, nous avait assuré Matéo.

Nous ne nous sommes pas faits prier pour découvrir ce paradis de mâles en rut, arrivés sur le parking de la grande plage naturiste, on se libère de nos shorts et chemisettes ou tee-shirts, armés de nos sacs à dos et revêtus de nos strings de bain plus que minimalistes, puisqu’ils ne cachent vraiment pas grand-chose… nos raies des fesses et nos sexes sont à peine dissimulés par nos bouts de lycra ridicules… Toujours l’exhibe, c’est notre devise et notre bien-être !!!
Inutile de vous dire combien ces tenues de plage attirent toujours les regards insistants féminins ou masculins qui se délectent en nous matant et de deviner les contenus anatomiques à peine dissimulés et volontairement provoquants.
Lorsque nous arrivons sur cette belle plage naturiste de sable fin, nous découvrons une quantité impressionnante de culs blancs ou bronzés et une minorité de « textiles » qui jouent au beach-volley, se baladent, nagent ou s’exposent allongés aux rayons ardents du soleil. Nous décidons de larguer nos « cache-sexes » et nous retrouver ainsi culs et bites à l’air pour respecter l’exigence des lieux !
Comme indiqué par Matéo nous traversons la longue plage tout en profitant de l’exposition de superbes créatures en tenues d’Adam et Eve, arrivés à environ cinquante mètres avant les grands rochers, nous constatons que cet espace est principalement occupé par des couples gays, mecs ou nanas… On salue quelques beaux mecs qui nous matent au passage et arrivons au pied des gros rochers dont Matéo avait parlé… Et là, cherchant du regard un passage restreint que nous ne trouvions pas, un couple de mecs d’une trentaine d’années qui imaginaient bien ce que nous cherchions, nous indique d’un geste qu’il faut contourner le gros rocher.
Nous les remercions amicalement, contournons le gros rocher et soudain, un passage de moins d’un mètre de large se dessine entre les blocs de granit, un panneau discret est implanté à l’entrée de cet étroit passage « Be careful, men only » !
Nous y étions ! Ici commençait un domaine exclusivement réservé aux baiseurs mâles pour des mâles !
La crique loin des regards indiscrets, heureusement d’ailleurs, car ce lieu qui n’a rien d’ambigu est superbe et bien confiné par une bordure naturelle de rochers de chaque côté et quelques accès étroits et pentus comme indiqués par Matéo à l’arrière permettant d’aller se perdre dans les arbres et les broussailles à la découverte de fellations endiablées, de bouffage de culs gourmands ou de sodomies profondes et gémissantes…
Sur le sable chaud de la crique, une vingtaine d’hommes de tous âges, ne pratiquant pas la bronzette classique, sont en pleines étreintes par couple ou à plusieurs, bienvenue chez les pédés !
Il fait une chaleur excessive qui nous oblige dès l’arrivée à profiter de cette grande piscine naturelle bleue bien transparente, à température idéale, après avoir déposé nos sacs à dos, nous courons toutes couilles battantes nous ébattre comme des gamins pendant une bonne demi-heure.
A notre sortie de l’eau, un couple de jeunes allemands nous demande s’ils pouvaient nous photographier tous les trois, évidemment on se laisse faire sans aucune réticence, on adore se faire prendre… en photo et ailleurs évidemment… Nous nous amusons tous les trois en leur offrant différentes pauses, simulant une sodo, accroupis face à l’objectif leur offrant ainsi une prise de vue idéale sur nos anatomies viriles, nos couilles en contre-jour, moi pompant Adrien en cramponnant la queue de Brice… Ils étaient ravis de notre coopération artistique !
On s’installe un peu plus loin entre un couple de mecs d’une quarantaine d’années couchés sur le ventre et offrant leurs fesses poilues au soleil et un groupe de quatre jeunots d’environ 20/25 ans, de beaux minets français, tourangeaux d’origine, bronzés intégral, les queues raides comme des bouts de bois comme on les a à cet âge-là, qui se suçaient mutuellement avec frénésie… Un spectacle divinement bandant, à son tour Adrien leur a demandé de les filmer avec son iPhone… Ils se sont fait un plaisir à satisfaire sa demande de voyeur invétéré, vidéo qui fut conclue par l’éjaculation abondante du plus jeune dans la bouche et sur les joues de son pote… Un spectacle au top.
Quel lieu magique !
Si j’ai baptisé cette plage… « La plage des Sodomites »… ce n’est pas pour rien, après quelques temps de matage de culs et de queues tout autour de nous, nous décidâmes d’aller explorer le petit bois et les nombreux taillis, nous grimpâmes un sentier au hasard et nous enfonçons pieds nus sur ce sol sablonneux parmi un véritable labyrinthe de petits passages apparemment très fréquentés car parfaitement tracés… Nous n’avions pas marché depuis cinq minutes qu’un mec aux cheveux mi-longs, à genoux pompait un grand black au membre bien calibré tout en se masturbant, nous continuons notre chemin et là c’est un groupe de quatre hommes d’âge mur qui se sodomisait deux par deux en éructant des râles jouissifs… Un peu plus loin un jeune se faisait prendre en levrette les genoux dans le sable par un homme d’une quarantaine d’années… un véritable repaire de tentouses avides de queues et d’anus surchauffés !
Arrivés dans un genre de mini clairière c’est carrément un groupement de six ou sept mecs entourant deux blacks en pleine pénétration, tous ces voyeurs excités et un peu bruyants se paluchant généreusement en espérant certainement prendre la place pour se vider les burnes dans ce beau cul de jeune black à l’allure de salope confirmée…
Ces différents spectacles n’ont pas tardé à nous foutre la trique et c’est moi qui ai chopé Brice et l’ai plaqué le long d’un arbre en m’accroupissant pour lui sucer son membre qu’il n’arrêtait pas de branler tout en marchand depuis un bon quart d’heure, Adrien lui s’est positionné au-dessus de mon corps accroupi pour lui rouler une pelle… A peine cinq minutes se sont écoulées, qu’un homme d’environ cinquante ans s’est baissé derrière Adrien pour lui bouffer le cul en lui introduisant profondément sa langue dans l’anus, dix minutes après nous avons trois voyeurs, arrivés de nulle part, installés en quart de rond pour profiter de nos ébats, l’un d’eux prenant une vidéo avec son portable… Adrien, la raie toute humide se releve et tend aussitôt son cul à l’étranger pour se faire prendre debout en lui tendant une capote qu’il vient d’extraire précipitamment avec les dents de son étui.
Le mec à la vidéo n’a pas perdu une seconde de la sodomie de notre pote.
Vingt minutes après, lorsque chacun se dispersa pour poursuivre son chemin de voyeur, nous décidâmes de filer plus dans les taillis, nous y croisons de nombreux solitaires la queue à demi molle ou d’autres avec une super trique, certains appréciant de se faire palper au passage ou caresser le fessier… de plus en plus excitant ce royaume de la bite, c’est bien ce que nous recherchions mais là ça dépasse largement nos espérances !

Soudain nous arrivons sur un genre de carrefour de sentiers de sable, et au centre huit jeunes à poil installés en rond debout, à priori des espagnols, qui jouent les yeux bandés avec des bandanas de couleur, au centre un mec accroupi doit sucer et tâter chacun d’entre eux en devinant le prénom du sucé, une fois trouvé à qui appartient la bite ou la paire de couilles, l’heureux élu prend la place au centre !
Nous sommes restés près d’une demi-heure, assis sur des troncs d’arbres coupés en appréciant ce jeu érotique hyper bandant entre mecs.
Puis reprenant notre périple de voyeurs à la découverte des lieux et des situations coquines, nous croisons un duo couché sur le sable chaud, le passif jambes exagérément écartées offrant son trou béant dans la position du missionnaire à son amant monté comme un âne dont les burnes viennent taper à chaque coup de boutoir le fessier humide de son partenaire, ils ont pris soin préalablement d’installer leur IPhone sur un trépied pour filmer leurs ébats amoureux.

Vingt mètres plus loin, après les avoir observé quelques instants, nous nous sommes joins naturellement à un groupe de quatre hommes d’une quarantaine d’années qui se suçaient et se bouffaient la raie tout en s’éclaffant de plaisir, Brice fut le premier à aller caresser les fesses du beau barbu du groupe, puis Adrien s’approcha pour palper la paire de couilles rasées et bien pendantes d’un branleur apparemment expérimenté au crâne brillant qui se faisait pénétrer par un beau brun et moi engouffrant sans demander la permission le membre raide du plus jeune d’entre eux, dont le gland turgescent rejetait son abondant liquide pré-séminal par l’excitation des attouchements érotiques de ses potes… Mon péché mignon… Un vrai régal !.. Je le préfère au sperme.

Nos ébats tous les sept ont bien duré trois quarts d’heure, ces quatre mecs furent des partenaires au top pour passer ce bon moment de baise réciproque.
Là encore quelques promeneurs-voyeurs se sont délectés, parfois même en immortalisant les figures que nous leurs offrions avec leurs portables sans cesser nos activités érotiques.
Après cette expédition merveilleuse dans cette végétation dense où les « glands » sont omniprésents… Alors qu’il n’y a pas de chênes !!! Nous redescendons sur la fameuse plage des « Sodomites » où les ébats ont parfois changés de partenaires mais toujours avec une activité sexuelle soutenue !

Deux bateaux sont ancrés à une cinquantaine de mètres du rivage, ils sont destinés à la population de pédés en goguette de cette plage de rêve, pour une mini-croisière au large pour les amateurs de baise en pleine mer, ils peuvent prendre jusqu’à huit passagers, les « commandants de bord » super bien gaulés et bronzés au top niveau nous accueillent en string et casquette de marin, la balade dure environ deux heures…
Ne voulant pas manquer une telle croisière un peu spéciale, nous avons réservé un créneau pour 17h, nous nageons jusqu’au petit yacht et retrouvons cinq autres passagers de nationalité allemande, des beaux spécimens quatre en maillot de bain colorés et un à poil.
Nous avions enfilé nos strings de bain pour nager jusqu’à l’embarcation, on se salue mutuellement en essayant de dialoguer en anglais… Chacun scrutant l’autre d’un petit air vicelard avec un sourire prometteur… Nous savions tous pourquoi nous étions à bord !
Le beau commandant ou capitaine est espagnol, il nous souhaite la bienvenue à bord, aussi en anglais, il délivre son message tout en se palpant négligemment la bosse de son string blanc, ce qui ne manque pas d’attirer le regard des huit passagers, en écoutant les consignes déjà quelques mains baladeuses effleurent les fesses du voisin… C’est un bon signe, la balade en mer devrait bien se passer !
A peine le capitaine a-t-il fait rugir les chevaux qui laissent trace à un bouillonnement à l’arrière du bateau, que les allemands munis auparavant de leurs maillots de bain virent-ils tous ce cache-sexe inutile, nous découvrons avec délice leurs attributs de mâles, grosses bites pour deux d’entre eux, deux de tailles moyennes bien proportionnées et une petite pour le dernier aux couilles bien pendantes… A notre tour nous virons nos strings qui atterrissent, près des leurs, sur la banquette de sky bleue.
Seul notre capitaine reste « habillé »… Il est top sexy le mec, et son string moule parfaitement son contenu, on devine bien sa queue couchée sur la gauche et ses burnes conséquentes.
Après vingt bonnes minutes de navigation et le rivage s’éloignant, nous voici tous à nous pomper, nous branler, nous doigter…. Et immanquablement les deux grosses bites allemandes et notre pote Adrien, les membres bandés comme des ânes entreprennent de se taper un cul, Brice a tendu le sien à l’un des allemands au cheveux longs, fier de son pieu de plus de 20x5, moi j’offre mon anus déjà bien dilaté après un doigtage expert du second gros chibre allemand, un colosse bronzé intégral barbu blond au gland violacé et Adrien après avoir bouffé le cul du jeunot allemand à la bite très fine et aux couilles pendantes, lui enfile ses 18x5 sans peiner, c’est une véritable petite pute ce beau teuton aux cheveux blonds bouclés, un petit cul de rêve bien ferme et surtout un anus bien rond extrêmement ouvert, il doit être la salope du groupe c’est évident, son trou trahi un vrai garage à bites !
Les deux autres mecs alternent à se bouffer le cul et les baloches tout en faisant des vidéos avec leur IPhone.
Chacun notre tour nous sommes allés caresser les fesses du capitaine, certains ont même glisser leur main dans son string blanc pour partager le bonheur de naviguer avec lui et évaluer la valeur du contenu de ce string trop ajusté.
À un moment il a stoppé l’allure de sa croisière, sortit des flûtes et ouvert deux bouteilles de Champagne que nous avons consommer ensemble tout en roulant des pelles à nos compagnons de croisière, notre capitaine proposant même de faire des photos de tout cet équipage de pédés, pour ce faire il a un appareil Nikon fixé derrière son siège avec retardateur, ce qui lui permet de se joindre au groupe qu’il accompagne, ainsi nous avons pu tirer une quinzaine de clichés dans toutes les positions en compagnie de notre beau capitaine, dont une où il a viré son string… en conservant juste sa casquette marine et une autre que j’aime beaucoup et que je conserve précieusement, avec ma queue bien raide dans sa bouche !
Durant notre séjour à Ibiza, nous nous sommes faits deux de ces croisières de partouzes entre mecs, la seconde fois il y avait deux français et trois belges pour nous accompagner et nous avions voguer avec le second capitaine tout aussi sexy qui portait un string bleu ciel extrêmement bien rempli, ce salaud avait une paire de couilles impressionnantes !
La plage des « Sodomites » avait donc aussi sa flotte spéciale des « Sodomites »… Je confirme que nos vacances sur l’île fêtarde nous a comblé de bonheur.
On entend souvent l’expression : « En avoir plein le cul du boulot »… Mais là, nous en avions eu vraiment plein le cul des vacances et c’était bien ce que nous avions recherché…
Vivement l’été prochain où nous notre trio homo sera passé à quatre puisque Grégoire, un yogi de 33 ans qui s’est inscrit à la rentrée à nos séances de yoga nu et à qui nous avons narré en détails notre expédition estivale sur Ibiza, nous a supplié de se joindre à nous… Il coche toutes les cases ce beau pédé : Il est majoritairement actif, il est hyper sexy, il a une queue au-dessus de la moyenne, il pratique le naturisme, c’est un bon vivant et il est adepte de l’exhibitionnisme comme nous !... Ah j’oubliai… Et il baise comme un dieu !
Vive les vacances !!!

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Texte coquin : La plage des Sodomites
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