Exhibition et provocation, notre kiffe !

Récit érotique écrit par Castajl1 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Exhibition et provocation, notre kiffe !
Je me prénomme Fabien, j’ai 31 ans, je suis en couple libre avec Charline une belle blonde de 30 ans, nous nous sommes rencontrés il y a trois ans dans un club libertin parisien dans le 1er arrondissement, je suis comme Charline bisexuel, c’est au cours d’une partie carrée dans un salon intime du club que nous nous sommes découverts, accompagnés d’un jeune couple marié nous nous étions joint à leurs ébats après avoir dialogué longuement au bord de la piste de danse autour d’une bouteille de Champagne…
Quelques minutes auparavant, j’avais invité Charline à danser, elle était venue avec une copine, elle m’avait tapé dans l’œil, durant plus d’une heure je l’avais suivie du regard sur la piste de danse et au salon, sa plastique parfaite, ses fesses rebondies, sa chevelure brune à la garçonne me fascinait, son maquillage sobre, sa tenue hyper sexy, combinaison-short noire extrêmement moulante au dos nu me subjuguait, ses longues cuisses mises en valeur par ce short hyper court et absorbant à la perfection son petit cul et son entrejambe… mais cette coquine n’en finissait pas de rouler des galoches à sa copine et elles se caressaient mutuellement sans retenue, j’avais compris qu’elle n’était pas pour moi… Encore une lesbienne jouant la provoc au look semi masculin avec sa coupe de cheveux courts et son short moulant de déménageur… J’étais dépité, d’autant que dans cette période stérile d’un point de vue rencontre j’étais vraiment venu pour draguer et finir la soirée avec une ou un partenaire.
Ma vie sexuelle s’était brutalement arrêtée quelques semaines auparavant lorsque mon amant Julien m’avait lâché pour une belle norvégienne… Le risque d’être bi c’est qu’on peut rapidement se retrouver cocufié aussi bien par un mec que par une nana !
Et ce soir-là, lorsque je remis les pieds dans ce club libertin, la proie que je recherchais n’avait pas de préférence à mes yeux, j’étais prêt à me taper un beau blond bien gaulé ou une nana allumeuse au look ambigu… Pour être clair je cherchais un plan cul.
Cette belle créature de Charline m’électrisait, j’imaginais aisément que son look hyper bandant pouvait totalement correspondre à un mec qui roulait patins sur patins à sa copine… J’aime me faire ce genre de film… Je me refusais d’imaginer qu’elle pouvait se gouiner avec une autre nana, il faut dire que je suis accro des nanas au look ambigu, plutôt masculin et pourquoi pas androgyne, peu de poitrine, petit cul bien moulé et cheveux courts attire de suite mon attention et mon attirance, il en est de même d’ailleurs pour les beaux mâles blondinets aux cheveux mi-longs et frisés fringués en Jean’s moulant, beaux pectoraux et petit cul galbé… L’ambiguïté me fout la trique et je la recherche très souvent.
Pour en revenir à Charline, j’avais fait en sorte de lui subtiliser sa partenaire de danse, ce qu’elle ne rechigna pas outre mesure, nous nous sommes défoulés sur la piste de longues minutes, puis je l’ai invitée à prendre une coupe et nous avons entamé une conversation, puis au bout d’un quart d’heure je lui ai carrément demandé si elle était lesbienne au vu de mon constat précédent avec sa partenaire… Charline sans hésiter un instant m’avoua qu’elle était bisexuelle et qu’elle n’envisageait pas un instant de laisser passer un bon moment avec une nana ou un beau mec, sa partenaire était juste une copine, intime mais sans fidélité aucune.
J’étais donc fixé… pas de barrière à priori pour la draguer.
Rapidement elle m’avoua qu’elle me trouvait séduisant et plutôt sexy, je lui avouai à mon tour ma bisexualité et l’attirance naturelle qui m’avait guidé vers elle, je lui parle de ma période délicate de célibat forcé… Après quelques flûtes, nos mains commencèrent à s’égarer, nous repartîmes danser puis de retour à notre table, ce jeune couple nous demandant s’il pouvait se joindre à nous, un jeune homme comme nous, d’une trentaine d’années pantalon clair et chemisette blanche bien ouverte mettant en valeur son torse imberbe bien bronzé et sa compagne une élégante brune aux cheveux courts et yeux cristallins revêtue d’une robe noire hyper moulante et ras la moule, nous les avons accueillis avec enthousiasme… Ils se sont assis face à nous sur les poufs de velours. Ce genre de Club permet souvent de découvrir de nouveaux couples adeptes de l’échangisme et c’est bien le but recherché ici… Nos discussions se sont vite orientées sur nos attirances mutuelles et notre pratique de la bisexualité, découvrant que ce jeune beau couple était adepte lui aussi du mélange des genres… Mon regard revenant régulièrement sur l’entrejambe légèrement écarté de cette belle jeune créature qui ne cherchait pas du tout à dissimuler son string de dentelles rouge, de son côté le jeune homme semblait ne pas être indifférent au look coquin de Charline… Chacun se rinçant l’œil sans trop de discrétion, le lieu étant propice au fait !
Une heure plus tard après une succession de flûtes dégustées sur fond de discussion très coquines voire intimes, il ne semblait plus y avoir beaucoup de secret entre nous quatre après nos révélations secrètes, nos pratiques sexuelles et nos fantasmes dévoilés… Nous nous retrouvions d’un commun accord dans un salon privé au velours pourpre, tous les quatre pour des échanges intimes et rapprochés afin de mettre en pratique le sujet de nos discussions toutes fraiches.
C’est là que j’ai découvert une Charline excitée, chaude, voire perverse était vraiment une partenaire accro au sexe, elle bouffait la chatte de Léa au travers de son string de dentelles ou suçait la queue de Brice à qui elle avait dégrafé la ceinture, zippé sa braguette et tiré son boxer blanc Calvin Klein, nos partenaires de sofa aussi bien qu’elle engloutissait ma bite bandée comme un taureau ou se faisait mettre par l’un ou l’autre des mecs sans distinction et dans des gémissements de chienne en chaleur, qu’elle était bonne cette salope !... Quant à Léa, elle aussi avait un bon appétit sexuel la coquine… Nous étions en présence de deux bonnes chiennes… Décidemment cette soirée était doublement positive… Ma rencontre avec Charline et la découverte d’un jeune couple de bons baiseurs totalement décomplexés… Brice aimait autant la bite que Charline, Léa et moi, c’est lui qui m’avait demandé en premier de le sucer, puis je pris le relai pour lui tailler une bonne pipe en retour et par la suite je lui ai offert mon trou sans retenue alors que les deux nanas se gouinaient à grands coups de langues et de doigts inquisiteurs dans leurs chattes dégoulinantes d’excitation.
Après près de deux heures d’ébats chauds et énergiques, de galochages, de suce, de bouffage de culs, suivis de demi-pauses masturbatoires mutuels, nous quittions le « Ring », après avoir enfilés nos vêtements aux relents de sperme et de sueur, nos sous-vêtements en poche, pour reprendre quelques flûtes ultimes et salvatrices. Leurs corps n’avaient plus de secret pour nous et les nôtres pareils… Et moi en prime j’avais conquis Charline et assuré sans retenue qu’elle était « bonne ».
Avant de nous séparer nous nous échangeâmes nos numéros de téléphones et nous sommes à nouveau embrassés et plotés sans réserve mutuellement en nous promettant de nous revoir pour de nouvelles aventures de baises décomplexées et fougueuses comme nous venions de le vivre tous les quatre.
Cette soirée avait été révélatrice pour nous deux avec Charline et ne nous sommes plus jamais quittés, ça fait donc maintenant trois ans que nous vivons ensemble en couple très libre et toujours aussi accro au sexe l’un que l’autre.
Charline est une nymphomane confirmée, il lui faut du sexe, je sais que je ne lui suffis pas, dès qu’elle a une occasion auprès d’une nana ou d’un mec elle n’hésite pas, en général elle ne me cache pas ses aventures, au contraire elle me donne moults détails, c’est une accro à la bite et aux chattes en chaleur, une adepte inconditionnelle de l’exhibition en public, je le suis aussi mais sincèrement elle me bat de plusieurs longueurs sur ce sujet.
Elle adore porter des robes amples ou des jupes courtes durant la belle saison, la majorité du temps elle ne porte pas de petite culotte ou de string… Même à son boulot d’employée de banque, elle n’hésite pas à dire qu’elle veut que sa chatte respire et se tienne prête à toute éventualité… C’est une prévoyante la gamine !
Sous ses leggings c’est pareil, elle ne les choisi que s’ils lui moulent le corps à la perfection, son test lors de l’achat c’elle de s’assurer que le relief de son Mont de Vénus et ses lèvres extérieures soient parfaitement dessinés et que la couture lui rentre bien dans la raie des fesses !... Exhibe quand tu nous tiens !
Lorsque nous sommes ensemble en ville, il faut voir les regards, qu’ils soient masculins ou féminins, fixer son entrejambe ou son petit cul de pétasse, elle ne vit que pour ça, provoquer, s’exhiber et baiser.
Vous l’avez compris Charline est une allumeuse de première et je l’adore ainsi, nos proches amis la connaissent et ne la jugent pas… Parfois, pour ne pas dire souvent, ils en profitent aussi les coquins. Étant en couple libre nous assumons parfaitement notre vie débridée et sans aucun tabou.
Une fois notre pote Rémi au mois de Juillet, s’était pointé seul pour prendre l’apéro, sa femme était partie quelques jours chez ses parents, et la conversation arrive sur le fait que ça faisait dix jours qu’il n’avait pas baisé… Ni une, ni deux… Charline lui a dit devant moi : « Au lieu de te branler tout seul chez toi, si tu veux je peux te vider les burnes, je peux te sucer au jus maintenant mon petit père, ça va te libérer ! »
Rémi, sans trop être surpris, m’avait regardé interrogateur et je lui avais répondu : « Vas-y profites-en puisqu’elle te le propose si gentiment, elle va te pomper et te vider les couilles et ensuite on reprendra un second whisky »
Ce qui fut fait dans la foulée devant moi, mon pote assis en terrasse, le bermuda et le boxer sur les chevilles, jambes écartées et la queue à l’air et entre ses cuisses, à genoux, ma petite vicieuse et pompeuse avait commencé par lui palper les boules et entamé sa fellation, satisfaite d’avoir rapidement réveillé ses 18x4 et décalotté son gland elle le pompa sous mes yeux durant dix bonnes minutes en gorges profondes avant qu’il lui explose en bouche en gémissant par un cri de libération salvatrice… Charline avait avalé son nectar jusqu’à la dernière goutte en lui léchant le gland avec délicatesse pour clore cette délivrance.
Rémi s’était reculotté en la remerciant pour cette pipe assurée avec une technique super bien rodée, il lui avoua même que sa femme pourrait lui demander des conseils car elle suçait selon lui moins bien que ma petite Charline…. Nous avions ensuite comme prévu, dégusté notre whisky et Charline après son cocktail de foutre s’est prise un américano bien frais.
Au moins deux fois par mois et plus si l’occasion se présente nous allons en Club libertin dans la région, nous en fréquentons régulièrement quatre. Il m’arrive parfois d’y aller sans Charline si elle choisit de passer la soirée avec d’autres copains… ou copines.
Dans mes amis j’ai un couple gay et quelques jeunes célibataires aussi homos, il nous arrive assez souvent de nous amuser ensemble à deux ou plusieurs à la maison, dans ce cas Charline aime jouer la candauliste, s’interdisant toute intervention dans nos ébats, en nous matant à poil dans le fauteuil du salon parfois armée d’un gode de belle taille pour entretenir son excitation tout en matant les pipes ou les sodomies entre mecs dans son salon ou dans notre chambre… Voir des mecs entre eux se pomper le dard, se bouffer le cul, se doigter ou se sodomiser la rend hystérique, plusieurs fois c’est elle qui m’a incité en club à baiser un autre type devant elle ou alors me supplier de me faire baiser par un de ses partenaire de soirée.
Comme elle kiffe dur les blacks bien montés, elle se fait un plaisir à me voir me faire démonter le cul avec leur queue en général plus grosse que la moyenne, quant à elle… elle n’est pas contre une double pénétration… Moi dans sa chatte et un black dans le fion… Elle appelle ça l’amour en noir et blanc la cochonne !
Lorsque je dis que nous sommes accro à l’exhibitionnisme ce n’est pas peu dire, l’été il n’est pas rare que nous enfourchions nos vélos pour une promenade en campagne ou en forêt d’une vingtaine de kilomètres, Charline en robe courte et légère sans petite culotte qui exhibe tout en pédalant sa belle chatte épilée sans chercher à la dissimuler bien au contraire et moi avec un short satiné très court et ample aux entrejambes afin de laisser sortir sans aucune retenue un bout de mes 14cm au repos, nous ne cherchons pratiquement jamais à dissimuler nos sexes… Au contraire, lorsque l’on croise des promeneurs adultes sur notre trajet, la plupart sont agréablement surpris voire hilares et d’autre nous insultent ouvertement…. C’est notre kiffe et on s’en amuse comme des gamins.
Charline va souvent faire ses courses en grande surface sans culotte sous sa jupe ou sa robe, elle n’hésite pas à prendre des postures qui facilite la vue de sa chatte, accroupie et jambes écartées, face à un mec qui cherche un produit dans la même allée.
Une fois un client d’une quarantaine d’années qui l’avait repérée avait même sorti son portable pour immortaliser la situation dans le rayon des alcool, Charline accroupie approchant le goulot d’une bouteille de Porto devant son clito entrouvert, en découvrant ce voyeur, elle lui avait offert plusieurs positions pour ses selfies… L’histoire ne dit pas si la femme de ce client avait découvert dans quelles conditions son homme faisaient les commissions !
A la plage si celle-ci n’est pas réservée aux nudistes, elle porte uniquement un string-ficelle qui ne cache que le strict minimum au niveau de son minou… Et sa petite poitrine à l’air ça va de soi.
Moi aussi d’ailleurs, dans ce cas-là, je porte un string minimaliste qui peine à dissimuler mon service trois pièces et qui ne manque jamais d’attirer les regards des mecs ou des nanas… c’est trop top d’éveiller tous ces regards vicelards, l’exhibitionnisme c’est un art que nous maitrisons à merveille tous les deux ! Ceci dit, nous sommes beaucoup plus adeptes des plages naturistes… Là au moins c’est le royaume des voyeurs… Et bien souvent des baiseurs qui tentent avec plus ou moins de discrétion de dissimuler leurs actes coquins des regards alentour.
Parfois, il m’arrive de me rendre sur des lieux de drague gay, que ce soit dans ma région ou sur les lieux de vacances, souvent je m’y rends revêtu juste d’un débardeur et d’un leggings en lycra style cycliste… C’est un super « moule-bite »… un vrai piège à pédé, je ne tarde jamais à trouver des mains baladeuses… Là encore j’aime qu’on me mate, j’y vais principalement pour me faire sucer ou sucer un mec, souvent les voyeurs qui restent en retrait en profitent pour se masturber sans retenue… Il m’arrive de temps en temps de me faire un cul si le feeling est bon.
Aussi parfois dans la rue je porte mon élasthanne noir ou parfois blanc légèrement recouvert d’un T-shirt qui cache à peine ma virilité… C’est fou l’effet que ça fait sur la majorité des passants, rares sont ceux qui ne sont pas attirés par mon entrejambe… Qu’ils apprécient ou non, ça me procure une jouissance exceptionnelle… certains mecs me croisent, me matent et me sourient en se passant lentement la main sur leur braguette… Là c’est le top !
Dans les toilettes d’autoroute, si un mec vient pisser à mes côtés, parfois je me fais un malin plaisir à me reculer de l’urinoir pour lui laisser, s’il le souhaite, mater ma queue, quelquefois certains en profitent pour se branler discrètement, d’autres peuvent être tentés de me la prendre en main et par contre beaucoup terminent de pisser et se barrent rapidement sans prendre le temps de se laver les mains !
Je suis aux anges lorsque quelquefois mais pas assez souvent selon moi, mon exhibe se termine par une pipe furtive.
Pour revenir à ma petite Charline, elle aussi s’amuse parfois à porter en ville un short seamless taille basse et hyper moulant rose ou blanc, sans sous-vêtement évidemment, là encore, afin d’exhiber la forme parfaite de son abricot plutôt proéminent aspirant la couture du short… et en haut un crop-top dégageant parfaitement son ventre plat et bronzé, là le matage de son entrejambe est quasi assuré par tous les badauds… D’autant que son bronzage est parfait jusqu’au pubis, l’ensemble est très bandant… Et je ne vous parle pas de son petit cul de chienne dans ce genre de short provocant séparant à la perfection ses lobes de fesses !... De quoi faire bander un pédé passif, c’est peu dire !
Lorsque nous sommes ensemble j’adore l’accompagner avec un short taille basse en coton éponge couleur chair ou blanc qui est aussi un « moule-bite » parfait et agréable à porter, je peux vous assurer que l’on oriente naturellement les regards des mecs et des nanas et vous ne pouvez pas imaginer combien nous sommes aux anges de porter ces shorts insolents à souhait… Toujours et encore notre kiffe de l’exhibe et de la provocation bienveillante… Un véritable délice d’excitation partagée !... Et soyons honnête, bon nombre de nos voyeurs occasionnels se régalent sans retenue, mêmes des hétéros.
Un an après nous être rencontrés avec Charline, nous étions partis en Thaïlande pour presque quatre semaines de vacances, inutile de spécifier que nous avions envisagé de profiter de notre séjour pour goûter aux plaisirs charnels dont les thaïlandais ont le secret et en particulier les massages érotiques… mais pas que !
Mon fantasme depuis longtemps, que j’avais confié à ma compagne, c’était de baiser une belle ladyboy ou femboy, un beau mec asiatique dans un corps de nana, Charline m’avait avoué qu’elle en rêvait aussi, se faire tringler par la bite d’une femboy bien montée…
Nos recherches sur place avaient été rapidement fructueuses pour répondre à notre fantasme sexuel commun, d’abord nous avons profité des nombreux spectacles érotiques destinés à émoustiller nos sens, puis en se renseignant, les lieux de rencontres de ses femboys étaient accessibles aisément dans certains quartiers chauds et réputés.
Étant tous deux bi, la ladyboy ou femboy répond parfaitement à nos attentes, une belle asiatique plantureuse, charmeuse et féminine équipée d’une bite et d’une paire de couilles c’est le nirvana… C’est du deux en un !
Nous avons donc durant ces semaines de vacances profité à plusieurs reprises de la rondeur délicate et sexy de ces beaux corps asiatiques aux lèvres pulpeuses, aux yeux bridés de rêve et aux peaux lisses et douces, de couleur miel, imberbes, avec des entrejambes garnis de services trois pièces bien bandants et remplis de sève blanche, chaude et visqueuse à souhait que nous rêvions de faire cracher dans nos culs ou sur nos corps. Ces belles créatures mi-femme, mi-homme avec des culs parfaitement accueillants et bien ouverts prêtes à y recevoir des queues de tous gabarits pour leur démonter ces anus ronds et humides rompus à tous les fantasmes de leurs visiteurs ou visiteuses occidentaux nous faisaient baver.
Que ce soit pour se faire sodomiser ou au contraire baiser son ou sa partenaire, elles sont prêtes à tout, ces jeunes putes, certaines sont moyennement pourvues en termes de bite comme une majorité d’asiatiques, mais d’autres par contre mériteraient une distinction particulière qui font office d’exception avec des sexes de belles tailles.
Je vous recommande les vacances à Bangkok !
Des exemples d’exhibe dans des lieux osés ne manquent pas, je pense à la fois où Charline voulais s’acheter un maillot de bain deux pièces pour la piscine et m’avait convaincu de changer le mien par la même occasion, c’était dans un grand Decathlon. Après des recherches longues accompagnées d’hésitations en termes de coupes ou de couleurs… nous décidons d’entrer tous les deux dans la même cabine d’essayage, qui était assez vaste… Elle devait avoir pris quatre tenues à essayer et moi trois maillots différents… A chaque tenue mutuelle, c’était l’occasion de pelotage de cul ou de sexe pour nous assurer de l’effet, du toucher et valider ou non le modèle… Mais une fois nos choix faits et avant de nous rhabiller pour passer en caisse, nous n’avions pas résisté à baiser dans la cabine dont la porte n’était pas franchement hermétique… En fait elle m’avait demandé de la sodomiser debout plaquée sur la paroi latérale…
Notre « essayage » s’en était trouvé un peu prolongé, à tel point qu’une vendeuse s’est rapprochée en nous demandant si nous avions besoin de quelque chose, Charline était totalement excitée au point où je devais lui mettre ma main devant la bouche pour ne pas qu’on entende ses gémissements, moi j’ai terminé par lui larguer ma purée dans son fondement surexcité puis dans une semi urgence nous nous sommes rhabillés, elle avec le cul trempé rejetant le trop plein de sperme et moi la queue à demi bandée et le gland dégoulinant que j’avais dû remballer précipitamment dans mon boxer. En ouvrant la porte de la cabine, la vendeuse nous avait regardé d’un air interrogateur… Je pense qu’elle avait compris pourquoi nos essayages avaient duré plus que la normale.
Cet épisode excitant m’avait rappelé les nombreuses fois où plus jeune je m’étais branlé tout seul en essayant des fringues dans des petites cabines et où je terminais ma masturbation par une éjac sur le miroir de la cabine.
Je pense qu’à l’époque c’était déjà les prémices de mes fantasmes d’exhibitionniste dans des lieux insolites qui de toute façon ne m’ont jamais quitté.
De ce côté-là avec Charline nous sommes en parfaite harmonie.
La semaine dernière, nous étions tombés en panne de lave-linge, le réparateur est venu deux jours après notre appel téléphonique, comme nous vivons en quasi permanence à poil dans notre appartement, c’est moi qui suis allé ouvrir en tenue d’Adam… Le technicien en me découvrant ainsi a eu un mouvement de recul en s’excusant du dérangement, il fut surpris lorsque je lui ai répondu qu’on l’attendait !
Je l’ai accompagné dans la salle de bain au pied du lave-linge, toujours perturbé et désemparé, il s’est mis à démonter l’appareil, et afin de le tranquilliser je suis allé enfiler un short en coton par respect, car j’avais bien compris que la vue de ma bite l’avait perturbé.
Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir quelques instants plus tard, Charline arriver dans la salle de bain, venir se brosser les dents, les seins à l’air et muni d’un string-ficelle minimaliste de dentelles blanches… Il était totalement perturbé le monsieur !... D’autant que ma petite cochonne met bien trois longues minutes pour brosser ses quenottes !
En repartant deux heures et demie après, on le sentait toujours secoué.
Nous lui avons proposé un café avant de partir… Il n’en n’a pas voulu, je pense qu’il avait hâte de raconter à sa femme et ses collègues ce qu’il venait de vivre.
Ce genre de situation nous fait kiffer et nous adorons tous les deux la provoquer d’autant que nous sommes chez nous… Donc libres de nos us et coutumes.
Et pour finir, il y a six mois c’était le livreur de pizza qui avait subi la même surprise, cette fois-ci nous étions tous les deux à poil allongés sur le canapé en l’attendant, la sonnette retenti, je lui ouvre… Il fut évidemment très étonné de me découvrir le service trois pièce à l’air, après lui avoir ouvert la porte d’entrée, je l’ai fait entrer pour le régler, dans le salon où l’on visionnait un film de cul… Bien sûr, je faisais trainer volontairement ma recherche d’argent… Puis deuxième effet Kiss cool, notre jeune livreur ne savait vraiment plus ce qui lui arrivait en découvrant Charline elle aussi à poil assise sur le canapé enroulant ses bras autour de ses genoux et exhibant parfaitement son clito… Tous deux nus comme des vers et moi avec une demi trique et le téléviseur grand écran mural qui diffusait à grands coups de gémissements un trio infernal, deux mecs et une nana au bord d’une piscine, la nana en levrette taillant une pipe à un black bien monté et se faisant démonter le cul par un blond baraqué au corps de rugbyman, le son était suffisamment fort pour profiter pleinement de la scène… Le pauvre n'osait pas nous regarder Charline et moi et évitait de fixer l’écran et le trio de baiseurs qui rugissaient comme des bêtes…
J’ai fini par lui dire en lui remettant l’argent en main : « Vous êtes arrivés au bon moment, dix minutes plus tard c’était ma copine qui subissait le même sort ! »
Il avait esquissé un faux sourire et n’avait qu’une hâte…. Partir de ce baisodrôme au plus vite !
Encore une fois nous sommes partis d’un grand fou rire de satisfaction intense.
Vive l’exhibe !
Quelques minutes auparavant, j’avais invité Charline à danser, elle était venue avec une copine, elle m’avait tapé dans l’œil, durant plus d’une heure je l’avais suivie du regard sur la piste de danse et au salon, sa plastique parfaite, ses fesses rebondies, sa chevelure brune à la garçonne me fascinait, son maquillage sobre, sa tenue hyper sexy, combinaison-short noire extrêmement moulante au dos nu me subjuguait, ses longues cuisses mises en valeur par ce short hyper court et absorbant à la perfection son petit cul et son entrejambe… mais cette coquine n’en finissait pas de rouler des galoches à sa copine et elles se caressaient mutuellement sans retenue, j’avais compris qu’elle n’était pas pour moi… Encore une lesbienne jouant la provoc au look semi masculin avec sa coupe de cheveux courts et son short moulant de déménageur… J’étais dépité, d’autant que dans cette période stérile d’un point de vue rencontre j’étais vraiment venu pour draguer et finir la soirée avec une ou un partenaire.
Ma vie sexuelle s’était brutalement arrêtée quelques semaines auparavant lorsque mon amant Julien m’avait lâché pour une belle norvégienne… Le risque d’être bi c’est qu’on peut rapidement se retrouver cocufié aussi bien par un mec que par une nana !
Et ce soir-là, lorsque je remis les pieds dans ce club libertin, la proie que je recherchais n’avait pas de préférence à mes yeux, j’étais prêt à me taper un beau blond bien gaulé ou une nana allumeuse au look ambigu… Pour être clair je cherchais un plan cul.
Cette belle créature de Charline m’électrisait, j’imaginais aisément que son look hyper bandant pouvait totalement correspondre à un mec qui roulait patins sur patins à sa copine… J’aime me faire ce genre de film… Je me refusais d’imaginer qu’elle pouvait se gouiner avec une autre nana, il faut dire que je suis accro des nanas au look ambigu, plutôt masculin et pourquoi pas androgyne, peu de poitrine, petit cul bien moulé et cheveux courts attire de suite mon attention et mon attirance, il en est de même d’ailleurs pour les beaux mâles blondinets aux cheveux mi-longs et frisés fringués en Jean’s moulant, beaux pectoraux et petit cul galbé… L’ambiguïté me fout la trique et je la recherche très souvent.
Pour en revenir à Charline, j’avais fait en sorte de lui subtiliser sa partenaire de danse, ce qu’elle ne rechigna pas outre mesure, nous nous sommes défoulés sur la piste de longues minutes, puis je l’ai invitée à prendre une coupe et nous avons entamé une conversation, puis au bout d’un quart d’heure je lui ai carrément demandé si elle était lesbienne au vu de mon constat précédent avec sa partenaire… Charline sans hésiter un instant m’avoua qu’elle était bisexuelle et qu’elle n’envisageait pas un instant de laisser passer un bon moment avec une nana ou un beau mec, sa partenaire était juste une copine, intime mais sans fidélité aucune.
J’étais donc fixé… pas de barrière à priori pour la draguer.
Rapidement elle m’avoua qu’elle me trouvait séduisant et plutôt sexy, je lui avouai à mon tour ma bisexualité et l’attirance naturelle qui m’avait guidé vers elle, je lui parle de ma période délicate de célibat forcé… Après quelques flûtes, nos mains commencèrent à s’égarer, nous repartîmes danser puis de retour à notre table, ce jeune couple nous demandant s’il pouvait se joindre à nous, un jeune homme comme nous, d’une trentaine d’années pantalon clair et chemisette blanche bien ouverte mettant en valeur son torse imberbe bien bronzé et sa compagne une élégante brune aux cheveux courts et yeux cristallins revêtue d’une robe noire hyper moulante et ras la moule, nous les avons accueillis avec enthousiasme… Ils se sont assis face à nous sur les poufs de velours. Ce genre de Club permet souvent de découvrir de nouveaux couples adeptes de l’échangisme et c’est bien le but recherché ici… Nos discussions se sont vite orientées sur nos attirances mutuelles et notre pratique de la bisexualité, découvrant que ce jeune beau couple était adepte lui aussi du mélange des genres… Mon regard revenant régulièrement sur l’entrejambe légèrement écarté de cette belle jeune créature qui ne cherchait pas du tout à dissimuler son string de dentelles rouge, de son côté le jeune homme semblait ne pas être indifférent au look coquin de Charline… Chacun se rinçant l’œil sans trop de discrétion, le lieu étant propice au fait !
Une heure plus tard après une succession de flûtes dégustées sur fond de discussion très coquines voire intimes, il ne semblait plus y avoir beaucoup de secret entre nous quatre après nos révélations secrètes, nos pratiques sexuelles et nos fantasmes dévoilés… Nous nous retrouvions d’un commun accord dans un salon privé au velours pourpre, tous les quatre pour des échanges intimes et rapprochés afin de mettre en pratique le sujet de nos discussions toutes fraiches.
C’est là que j’ai découvert une Charline excitée, chaude, voire perverse était vraiment une partenaire accro au sexe, elle bouffait la chatte de Léa au travers de son string de dentelles ou suçait la queue de Brice à qui elle avait dégrafé la ceinture, zippé sa braguette et tiré son boxer blanc Calvin Klein, nos partenaires de sofa aussi bien qu’elle engloutissait ma bite bandée comme un taureau ou se faisait mettre par l’un ou l’autre des mecs sans distinction et dans des gémissements de chienne en chaleur, qu’elle était bonne cette salope !... Quant à Léa, elle aussi avait un bon appétit sexuel la coquine… Nous étions en présence de deux bonnes chiennes… Décidemment cette soirée était doublement positive… Ma rencontre avec Charline et la découverte d’un jeune couple de bons baiseurs totalement décomplexés… Brice aimait autant la bite que Charline, Léa et moi, c’est lui qui m’avait demandé en premier de le sucer, puis je pris le relai pour lui tailler une bonne pipe en retour et par la suite je lui ai offert mon trou sans retenue alors que les deux nanas se gouinaient à grands coups de langues et de doigts inquisiteurs dans leurs chattes dégoulinantes d’excitation.
Après près de deux heures d’ébats chauds et énergiques, de galochages, de suce, de bouffage de culs, suivis de demi-pauses masturbatoires mutuels, nous quittions le « Ring », après avoir enfilés nos vêtements aux relents de sperme et de sueur, nos sous-vêtements en poche, pour reprendre quelques flûtes ultimes et salvatrices. Leurs corps n’avaient plus de secret pour nous et les nôtres pareils… Et moi en prime j’avais conquis Charline et assuré sans retenue qu’elle était « bonne ».
Avant de nous séparer nous nous échangeâmes nos numéros de téléphones et nous sommes à nouveau embrassés et plotés sans réserve mutuellement en nous promettant de nous revoir pour de nouvelles aventures de baises décomplexées et fougueuses comme nous venions de le vivre tous les quatre.
Cette soirée avait été révélatrice pour nous deux avec Charline et ne nous sommes plus jamais quittés, ça fait donc maintenant trois ans que nous vivons ensemble en couple très libre et toujours aussi accro au sexe l’un que l’autre.
Charline est une nymphomane confirmée, il lui faut du sexe, je sais que je ne lui suffis pas, dès qu’elle a une occasion auprès d’une nana ou d’un mec elle n’hésite pas, en général elle ne me cache pas ses aventures, au contraire elle me donne moults détails, c’est une accro à la bite et aux chattes en chaleur, une adepte inconditionnelle de l’exhibition en public, je le suis aussi mais sincèrement elle me bat de plusieurs longueurs sur ce sujet.
Elle adore porter des robes amples ou des jupes courtes durant la belle saison, la majorité du temps elle ne porte pas de petite culotte ou de string… Même à son boulot d’employée de banque, elle n’hésite pas à dire qu’elle veut que sa chatte respire et se tienne prête à toute éventualité… C’est une prévoyante la gamine !
Sous ses leggings c’est pareil, elle ne les choisi que s’ils lui moulent le corps à la perfection, son test lors de l’achat c’elle de s’assurer que le relief de son Mont de Vénus et ses lèvres extérieures soient parfaitement dessinés et que la couture lui rentre bien dans la raie des fesses !... Exhibe quand tu nous tiens !
Lorsque nous sommes ensemble en ville, il faut voir les regards, qu’ils soient masculins ou féminins, fixer son entrejambe ou son petit cul de pétasse, elle ne vit que pour ça, provoquer, s’exhiber et baiser.
Vous l’avez compris Charline est une allumeuse de première et je l’adore ainsi, nos proches amis la connaissent et ne la jugent pas… Parfois, pour ne pas dire souvent, ils en profitent aussi les coquins. Étant en couple libre nous assumons parfaitement notre vie débridée et sans aucun tabou.
Une fois notre pote Rémi au mois de Juillet, s’était pointé seul pour prendre l’apéro, sa femme était partie quelques jours chez ses parents, et la conversation arrive sur le fait que ça faisait dix jours qu’il n’avait pas baisé… Ni une, ni deux… Charline lui a dit devant moi : « Au lieu de te branler tout seul chez toi, si tu veux je peux te vider les burnes, je peux te sucer au jus maintenant mon petit père, ça va te libérer ! »
Rémi, sans trop être surpris, m’avait regardé interrogateur et je lui avais répondu : « Vas-y profites-en puisqu’elle te le propose si gentiment, elle va te pomper et te vider les couilles et ensuite on reprendra un second whisky »
Ce qui fut fait dans la foulée devant moi, mon pote assis en terrasse, le bermuda et le boxer sur les chevilles, jambes écartées et la queue à l’air et entre ses cuisses, à genoux, ma petite vicieuse et pompeuse avait commencé par lui palper les boules et entamé sa fellation, satisfaite d’avoir rapidement réveillé ses 18x4 et décalotté son gland elle le pompa sous mes yeux durant dix bonnes minutes en gorges profondes avant qu’il lui explose en bouche en gémissant par un cri de libération salvatrice… Charline avait avalé son nectar jusqu’à la dernière goutte en lui léchant le gland avec délicatesse pour clore cette délivrance.
Rémi s’était reculotté en la remerciant pour cette pipe assurée avec une technique super bien rodée, il lui avoua même que sa femme pourrait lui demander des conseils car elle suçait selon lui moins bien que ma petite Charline…. Nous avions ensuite comme prévu, dégusté notre whisky et Charline après son cocktail de foutre s’est prise un américano bien frais.
Au moins deux fois par mois et plus si l’occasion se présente nous allons en Club libertin dans la région, nous en fréquentons régulièrement quatre. Il m’arrive parfois d’y aller sans Charline si elle choisit de passer la soirée avec d’autres copains… ou copines.
Dans mes amis j’ai un couple gay et quelques jeunes célibataires aussi homos, il nous arrive assez souvent de nous amuser ensemble à deux ou plusieurs à la maison, dans ce cas Charline aime jouer la candauliste, s’interdisant toute intervention dans nos ébats, en nous matant à poil dans le fauteuil du salon parfois armée d’un gode de belle taille pour entretenir son excitation tout en matant les pipes ou les sodomies entre mecs dans son salon ou dans notre chambre… Voir des mecs entre eux se pomper le dard, se bouffer le cul, se doigter ou se sodomiser la rend hystérique, plusieurs fois c’est elle qui m’a incité en club à baiser un autre type devant elle ou alors me supplier de me faire baiser par un de ses partenaire de soirée.
Comme elle kiffe dur les blacks bien montés, elle se fait un plaisir à me voir me faire démonter le cul avec leur queue en général plus grosse que la moyenne, quant à elle… elle n’est pas contre une double pénétration… Moi dans sa chatte et un black dans le fion… Elle appelle ça l’amour en noir et blanc la cochonne !
Lorsque je dis que nous sommes accro à l’exhibitionnisme ce n’est pas peu dire, l’été il n’est pas rare que nous enfourchions nos vélos pour une promenade en campagne ou en forêt d’une vingtaine de kilomètres, Charline en robe courte et légère sans petite culotte qui exhibe tout en pédalant sa belle chatte épilée sans chercher à la dissimuler bien au contraire et moi avec un short satiné très court et ample aux entrejambes afin de laisser sortir sans aucune retenue un bout de mes 14cm au repos, nous ne cherchons pratiquement jamais à dissimuler nos sexes… Au contraire, lorsque l’on croise des promeneurs adultes sur notre trajet, la plupart sont agréablement surpris voire hilares et d’autre nous insultent ouvertement…. C’est notre kiffe et on s’en amuse comme des gamins.
Charline va souvent faire ses courses en grande surface sans culotte sous sa jupe ou sa robe, elle n’hésite pas à prendre des postures qui facilite la vue de sa chatte, accroupie et jambes écartées, face à un mec qui cherche un produit dans la même allée.
Une fois un client d’une quarantaine d’années qui l’avait repérée avait même sorti son portable pour immortaliser la situation dans le rayon des alcool, Charline accroupie approchant le goulot d’une bouteille de Porto devant son clito entrouvert, en découvrant ce voyeur, elle lui avait offert plusieurs positions pour ses selfies… L’histoire ne dit pas si la femme de ce client avait découvert dans quelles conditions son homme faisaient les commissions !
A la plage si celle-ci n’est pas réservée aux nudistes, elle porte uniquement un string-ficelle qui ne cache que le strict minimum au niveau de son minou… Et sa petite poitrine à l’air ça va de soi.
Moi aussi d’ailleurs, dans ce cas-là, je porte un string minimaliste qui peine à dissimuler mon service trois pièces et qui ne manque jamais d’attirer les regards des mecs ou des nanas… c’est trop top d’éveiller tous ces regards vicelards, l’exhibitionnisme c’est un art que nous maitrisons à merveille tous les deux ! Ceci dit, nous sommes beaucoup plus adeptes des plages naturistes… Là au moins c’est le royaume des voyeurs… Et bien souvent des baiseurs qui tentent avec plus ou moins de discrétion de dissimuler leurs actes coquins des regards alentour.
Parfois, il m’arrive de me rendre sur des lieux de drague gay, que ce soit dans ma région ou sur les lieux de vacances, souvent je m’y rends revêtu juste d’un débardeur et d’un leggings en lycra style cycliste… C’est un super « moule-bite »… un vrai piège à pédé, je ne tarde jamais à trouver des mains baladeuses… Là encore j’aime qu’on me mate, j’y vais principalement pour me faire sucer ou sucer un mec, souvent les voyeurs qui restent en retrait en profitent pour se masturber sans retenue… Il m’arrive de temps en temps de me faire un cul si le feeling est bon.
Aussi parfois dans la rue je porte mon élasthanne noir ou parfois blanc légèrement recouvert d’un T-shirt qui cache à peine ma virilité… C’est fou l’effet que ça fait sur la majorité des passants, rares sont ceux qui ne sont pas attirés par mon entrejambe… Qu’ils apprécient ou non, ça me procure une jouissance exceptionnelle… certains mecs me croisent, me matent et me sourient en se passant lentement la main sur leur braguette… Là c’est le top !
Dans les toilettes d’autoroute, si un mec vient pisser à mes côtés, parfois je me fais un malin plaisir à me reculer de l’urinoir pour lui laisser, s’il le souhaite, mater ma queue, quelquefois certains en profitent pour se branler discrètement, d’autres peuvent être tentés de me la prendre en main et par contre beaucoup terminent de pisser et se barrent rapidement sans prendre le temps de se laver les mains !
Je suis aux anges lorsque quelquefois mais pas assez souvent selon moi, mon exhibe se termine par une pipe furtive.
Pour revenir à ma petite Charline, elle aussi s’amuse parfois à porter en ville un short seamless taille basse et hyper moulant rose ou blanc, sans sous-vêtement évidemment, là encore, afin d’exhiber la forme parfaite de son abricot plutôt proéminent aspirant la couture du short… et en haut un crop-top dégageant parfaitement son ventre plat et bronzé, là le matage de son entrejambe est quasi assuré par tous les badauds… D’autant que son bronzage est parfait jusqu’au pubis, l’ensemble est très bandant… Et je ne vous parle pas de son petit cul de chienne dans ce genre de short provocant séparant à la perfection ses lobes de fesses !... De quoi faire bander un pédé passif, c’est peu dire !
Lorsque nous sommes ensemble j’adore l’accompagner avec un short taille basse en coton éponge couleur chair ou blanc qui est aussi un « moule-bite » parfait et agréable à porter, je peux vous assurer que l’on oriente naturellement les regards des mecs et des nanas et vous ne pouvez pas imaginer combien nous sommes aux anges de porter ces shorts insolents à souhait… Toujours et encore notre kiffe de l’exhibe et de la provocation bienveillante… Un véritable délice d’excitation partagée !... Et soyons honnête, bon nombre de nos voyeurs occasionnels se régalent sans retenue, mêmes des hétéros.
Un an après nous être rencontrés avec Charline, nous étions partis en Thaïlande pour presque quatre semaines de vacances, inutile de spécifier que nous avions envisagé de profiter de notre séjour pour goûter aux plaisirs charnels dont les thaïlandais ont le secret et en particulier les massages érotiques… mais pas que !
Mon fantasme depuis longtemps, que j’avais confié à ma compagne, c’était de baiser une belle ladyboy ou femboy, un beau mec asiatique dans un corps de nana, Charline m’avait avoué qu’elle en rêvait aussi, se faire tringler par la bite d’une femboy bien montée…
Nos recherches sur place avaient été rapidement fructueuses pour répondre à notre fantasme sexuel commun, d’abord nous avons profité des nombreux spectacles érotiques destinés à émoustiller nos sens, puis en se renseignant, les lieux de rencontres de ses femboys étaient accessibles aisément dans certains quartiers chauds et réputés.
Étant tous deux bi, la ladyboy ou femboy répond parfaitement à nos attentes, une belle asiatique plantureuse, charmeuse et féminine équipée d’une bite et d’une paire de couilles c’est le nirvana… C’est du deux en un !
Nous avons donc durant ces semaines de vacances profité à plusieurs reprises de la rondeur délicate et sexy de ces beaux corps asiatiques aux lèvres pulpeuses, aux yeux bridés de rêve et aux peaux lisses et douces, de couleur miel, imberbes, avec des entrejambes garnis de services trois pièces bien bandants et remplis de sève blanche, chaude et visqueuse à souhait que nous rêvions de faire cracher dans nos culs ou sur nos corps. Ces belles créatures mi-femme, mi-homme avec des culs parfaitement accueillants et bien ouverts prêtes à y recevoir des queues de tous gabarits pour leur démonter ces anus ronds et humides rompus à tous les fantasmes de leurs visiteurs ou visiteuses occidentaux nous faisaient baver.
Que ce soit pour se faire sodomiser ou au contraire baiser son ou sa partenaire, elles sont prêtes à tout, ces jeunes putes, certaines sont moyennement pourvues en termes de bite comme une majorité d’asiatiques, mais d’autres par contre mériteraient une distinction particulière qui font office d’exception avec des sexes de belles tailles.
Je vous recommande les vacances à Bangkok !
Des exemples d’exhibe dans des lieux osés ne manquent pas, je pense à la fois où Charline voulais s’acheter un maillot de bain deux pièces pour la piscine et m’avait convaincu de changer le mien par la même occasion, c’était dans un grand Decathlon. Après des recherches longues accompagnées d’hésitations en termes de coupes ou de couleurs… nous décidons d’entrer tous les deux dans la même cabine d’essayage, qui était assez vaste… Elle devait avoir pris quatre tenues à essayer et moi trois maillots différents… A chaque tenue mutuelle, c’était l’occasion de pelotage de cul ou de sexe pour nous assurer de l’effet, du toucher et valider ou non le modèle… Mais une fois nos choix faits et avant de nous rhabiller pour passer en caisse, nous n’avions pas résisté à baiser dans la cabine dont la porte n’était pas franchement hermétique… En fait elle m’avait demandé de la sodomiser debout plaquée sur la paroi latérale…
Notre « essayage » s’en était trouvé un peu prolongé, à tel point qu’une vendeuse s’est rapprochée en nous demandant si nous avions besoin de quelque chose, Charline était totalement excitée au point où je devais lui mettre ma main devant la bouche pour ne pas qu’on entende ses gémissements, moi j’ai terminé par lui larguer ma purée dans son fondement surexcité puis dans une semi urgence nous nous sommes rhabillés, elle avec le cul trempé rejetant le trop plein de sperme et moi la queue à demi bandée et le gland dégoulinant que j’avais dû remballer précipitamment dans mon boxer. En ouvrant la porte de la cabine, la vendeuse nous avait regardé d’un air interrogateur… Je pense qu’elle avait compris pourquoi nos essayages avaient duré plus que la normale.
Cet épisode excitant m’avait rappelé les nombreuses fois où plus jeune je m’étais branlé tout seul en essayant des fringues dans des petites cabines et où je terminais ma masturbation par une éjac sur le miroir de la cabine.
Je pense qu’à l’époque c’était déjà les prémices de mes fantasmes d’exhibitionniste dans des lieux insolites qui de toute façon ne m’ont jamais quitté.
De ce côté-là avec Charline nous sommes en parfaite harmonie.
La semaine dernière, nous étions tombés en panne de lave-linge, le réparateur est venu deux jours après notre appel téléphonique, comme nous vivons en quasi permanence à poil dans notre appartement, c’est moi qui suis allé ouvrir en tenue d’Adam… Le technicien en me découvrant ainsi a eu un mouvement de recul en s’excusant du dérangement, il fut surpris lorsque je lui ai répondu qu’on l’attendait !
Je l’ai accompagné dans la salle de bain au pied du lave-linge, toujours perturbé et désemparé, il s’est mis à démonter l’appareil, et afin de le tranquilliser je suis allé enfiler un short en coton par respect, car j’avais bien compris que la vue de ma bite l’avait perturbé.
Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir quelques instants plus tard, Charline arriver dans la salle de bain, venir se brosser les dents, les seins à l’air et muni d’un string-ficelle minimaliste de dentelles blanches… Il était totalement perturbé le monsieur !... D’autant que ma petite cochonne met bien trois longues minutes pour brosser ses quenottes !
En repartant deux heures et demie après, on le sentait toujours secoué.
Nous lui avons proposé un café avant de partir… Il n’en n’a pas voulu, je pense qu’il avait hâte de raconter à sa femme et ses collègues ce qu’il venait de vivre.
Ce genre de situation nous fait kiffer et nous adorons tous les deux la provoquer d’autant que nous sommes chez nous… Donc libres de nos us et coutumes.
Et pour finir, il y a six mois c’était le livreur de pizza qui avait subi la même surprise, cette fois-ci nous étions tous les deux à poil allongés sur le canapé en l’attendant, la sonnette retenti, je lui ouvre… Il fut évidemment très étonné de me découvrir le service trois pièce à l’air, après lui avoir ouvert la porte d’entrée, je l’ai fait entrer pour le régler, dans le salon où l’on visionnait un film de cul… Bien sûr, je faisais trainer volontairement ma recherche d’argent… Puis deuxième effet Kiss cool, notre jeune livreur ne savait vraiment plus ce qui lui arrivait en découvrant Charline elle aussi à poil assise sur le canapé enroulant ses bras autour de ses genoux et exhibant parfaitement son clito… Tous deux nus comme des vers et moi avec une demi trique et le téléviseur grand écran mural qui diffusait à grands coups de gémissements un trio infernal, deux mecs et une nana au bord d’une piscine, la nana en levrette taillant une pipe à un black bien monté et se faisant démonter le cul par un blond baraqué au corps de rugbyman, le son était suffisamment fort pour profiter pleinement de la scène… Le pauvre n'osait pas nous regarder Charline et moi et évitait de fixer l’écran et le trio de baiseurs qui rugissaient comme des bêtes…
J’ai fini par lui dire en lui remettant l’argent en main : « Vous êtes arrivés au bon moment, dix minutes plus tard c’était ma copine qui subissait le même sort ! »
Il avait esquissé un faux sourire et n’avait qu’une hâte…. Partir de ce baisodrôme au plus vite !
Encore une fois nous sommes partis d’un grand fou rire de satisfaction intense.
Vive l’exhibe !
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