Une saison estivale avec des colocs de rêve ! - histoire érotique

Je me prénomme Sébastien, Seb pour les intimes, j’ai 28 ans, j’occupe depuis quelques années le job de saisonnier en hôtellerie / restauration de Mai à Octobre en bord de mer et mi-Novembre à mi-Avril en station de montagne, ce genre de job est très demandé et comme je ne rechigne pas sur le boulot dès lors qu’il est bien rémunéré, ceci m’a permis de trier mes employeurs depuis ces dernières années et surtout garnir correctement mes finances.
Mais la problématique que tous les saisonniers rencontrent c’est le logement… Rares et chers !
L’an passé en Juin, j’ai fait connaissance à Saint Cyprien d’un collègue serveur, Marvin, 26 ans, qui depuis est devenu mon compagnon intime, où nous nous sommes retrouvés à bosser dans un bel hôtel-Spa, nous avions à cette époque, trouvé à nous loger ensemble pour pas trop cher dans un bungalow de bien basse qualité dans un camping bien moyen et éloigné de notre job.
Bref, nous avons survécu à ce standing de basse qualité et surtout appris à nous connaître très intimement… Au début j’ai cru que c’était un pédé pur et dur du fait de son look un peu ambigu, cheveux châtain clairs longs, lui couvrant les épaules, boucles d’oreilles, des cils de nanas, une bouche hyper sensuelle et bâti comme un surfer australien avec un petit cul à faire pâlir plus d’un pédé, en fait je l’ai de suite trouvé craquant et puis nous nous sommes découverts rapidement être tous les deux bi et plutôt chauds sexuellement !
Cette découverte fut très opportune pour occuper fort agréablement nos quelques temps de repos parmi nos emplois du temps surbookés. D’abord tous les deux, en rentrant tard le soir après notre journée souvent chaude et harassante, après une bonne douche réparatrice… Nous nous retrouvions dans le même lit ou en terrasse du bungalow pour parler sexe, nos conquêtes et surtout nous enlacer pour de longs ébats entre mecs, parfois langoureux parfois plus hard, j’étais heureux d’être tombé sur un beau mec bien bandant et bi c’était le pied ! Avec les hommes, tous deux étant versatiles, nous nous comportions comme de vraies tapettes en rut entre nous et je peux vous assurer qu’il aime la bite et surtout qu’il sait bien se servir de la sienne…
Malheureusement ou heureusement ??? Nous n’avons eu que rarement l’occasion d’offrir nos queues à des nanas durant la saison, donc nos moments de détente et de sexe furent majoritairement partagés tous les deux à quelques exceptions près où nous avons pu nous éclater en trio avec une nana favorable aux ébats à trois et acceptant les pratiques bi à savoir que les mecs qui la tringlait pouvaient aussi pratiquer la sodomie entre eux et la cochonne elle adorait, nous l’avions invitée quelquefois durant la période d’été !
La saison estivale passée, nous nous étions promis de nous taper plus souvent des nanas qui accepteraient la « cohabitation » à trois…. Ou plus exactement la « Coha BITE ation » !!!
La période hivernale à La Plagne nous avait offert quelques bonnes soirées de baise avec deux nanas chaudes et gourmandes de bites, l’une travaillait comme serveuse dans l’hôtel où nous bossions et l’autre, une de ses copines, allemande, et adepte de plans cul qui travaillait dans un magasin de locations de skis. Le gérant de l’hôtel nous avait mis à disposition un petit studio pour deux à trois personnes, nous nous en sommes accommodés… même à quatre sans aucun problème !
Ces deux nanas, Léa et Mila ne pensaient qu’à baiser, elles adoraient se bouffer la chatte entre elles, se goder avec des gabarits en silicone au-delà de la moyenne, nous sucer, nous branler et surtout se faire tringler par les deux trous… de vraies salopes surtout Mila l’allemande qui adorait les éjacs faciales et se délectait d’avaler nos spermes ! Elles se délectaient aussi de nous voir nous sodomiser Marvin et moi et venaient se joindre à nos ébats masculins pour nous lécher la raie ou nous palper les couilles pendant qu’on se la mettait ou se la recevait profondément.
Nos emplois du temps nous laissaient quelques heures dans l’après-midi, c’est principalement entre 15h et 17h que nous profitions de cette pause pour nous ébattre sans aucun tabou.

Mais pour en revenir à notre dernière saison d’été, nous nous étions promis de dégoter un hébergement un peu plus sympa que l’année précédente avec un standing correct. Marvin et moi avions commencé nos recherches dès le mois de Décembre en se donnant une distance maximum de 15km de l’hôtel qui nous embauchait pour la seconde année.
Nous avions fait passer des annonces sur des sites bi mais aussi gay, annonçant clairement la couleur : « Deux potes bi TBM employés saisonniers en hôtellerie-restauration sur St Cyprien de Mai à Octobre prochain cherchent hébergement avec coloc féminines bi partageuses et très coquines pour prolonger nos soirées après le taf. Annonce sérieuse et motivée, réponse attendue sur….. »
Nous avons reçu cinq réponses dans la semaine qui a suivi l’annonce… C’était super, il nous restait à sélectionner les deux heureuses élues et ensuite partir à la recherche d’un hébergement répondant à nos attentes financières et dans le rayon attendu.
Concernant le choix des prétendantes, nous sommes rapidement tombés d’accord avec Marvin, Célia 23 ans et Romane 25 ans semblaient correspondre à nos critères, très mignonnes, l’une parisienne, châtain cheveux longs très féminine qui pratique la gymnastique à haut niveau et le yoga, puis la seconde une savoyarde aux cheveux courts brune à l’allure plus masculine qui est inscrite dans un club de natation et pratique la course à pied, elles recherchaient toutes les deux des emplois de vendeuse ou serveuse dans le même secteur que nous, elles nous ont confirmé être bi chacune dans leurs messages séparés et nous avouaient sans trop le cacher pour chacune d’entre elles, être ouvertes à des aventures sexuelles pour pimenter leurs vies.
Nous avons ensuite longuement échangé sur WhatsApp tous les quatre après avoir créé notre groupe « BiCyp »… un condensé de Bisexuels St Cyprien… Il s’est avéré que nous semblions avoir tirer les bonnes nanas… Le terme me plait bien !
Dialogues ouverts et parfois hot, échanges de photos au début très soft mais rapidement en dévoilant de façon sexy nos corps et anatomies, à part moi et Marvin qui étions ensemble, Romane et Célia ne se connaissaient pas, l’une vivant en banlieue ouest de Paris et la seconde à Chambéry.
Leur point commun, elles aimaient se taper aussi bien des mecs que des nanas et avaient déjà participé à des soirées bi, en club ou en gang bang privé.
Hummmm nous étions fiers de notre recrutement !
En janvier, par l’intermédiaire d’un ami vivant à Montpellier, nous avions trouvé une location dans un petit village de l’arrière-pays à une demi-heure de St Cyp, un petit pavillon meublé avec deux petites chambres, salle d’eau avec douche à l’italienne, cuisine et une petite salle de séjour agrémenté d’un mini jardinet pour 1200€ tout compris par mois, ce qui représentait 300€ chacun, nous avons accepté sans rechigner cette rare proposition, les filles étaient OK. Pour nous déplacer ma Clio de 2002 fera l’affaire.
Entre temps Romane et Célia ont obtenu sans difficulté sur ma reco la validation de leur emploi temporaire dans le même Hôtel-Spa qui galérait depuis quelques temps pour combler le manque de personnel pour assurer service et ménage pour la saison.
Ainsi nous pouvions aborder cette période estivale avec optimisme, hébergement satisfaisant et colocs féminines ouvertes aux aventures bi… Le rêve !

Impatients de voir arriver le mois d’Avril… Nous nous retrouvâmes tous les quatre à 9h00 du matin le 2 Avril à l’Hôtel comme convoqués par la Direction.
Marvin était embauché dans les cuisines selon sa formation de cuistot (Il devait maîtriser sa chevelure de gonzesse par un chignon), Célia et Romane au service à table et/ou préparation des chambres et enfin moi au restaurant en alternance avec la tenue du bar en binôme avec un jeune martiniquais plutôt minet bien craquant couleur café au lait, beaucoup de charme et super sympa qui se prénommait Miguel.
Ayant travaillés ici l’an passé, le gérant était confiant et aussi rassuré que les filles lui soient recommandées par nous deux… Il était loin de se douter que notre recrutement était plus basé sur les capacités des nanas à bien baiser que leurs capacités à être expertes dans le domaine de l’hôtellerie de luxe !

La veille nous avions découvert notre petit nid, sans être opulent ce petit pavillon nous convenait parfaitement, propre et plutôt bien équipé, les deux chambres et les lits de 160 équipés de matelas pratiquement neufs nous promettaient de belles heures de baise… Les filles se voyaient déjà s’ébattre toutes les deux devant nous, histoire de nous faire baver de désir et surtout de faire connaissance de leurs anatomies mutuelles qu’elles allaient se dévoiler toutes les deux pour la première fois !
En nous installant, leurs réactions et remarques déjà pleines de sous-entendus coquins auguraient de bonnes soirées.
Romane d’ailleurs, dont le look à la garçonne ne me laissait vraiment pas indifférent… En effet j’ai un faible pour les nanas de type garçon manqué, elle n’hésita pas à nous dire sans détours :
- « J’espère que vous n’allez pas nous décevoir les mecs et que vous assurerez sans faille… Les photos de vos attributs sur WhatsApp nous ont bien fait rêver toutes les deux… Mais maintenant on demande à voir en live ! »
Et Célia de renchérir :
- « Oui je suis bien d’accord avec Romane, être bien membrés c’est bien… Mais savoir s’en servir en est une autre… J’en sais quelque chose ! »
Elles éclatent de rire toutes les deux comme deux gamines très moqueuses, nous laissant cois devant ces propos d’allumeuses bien décidées à en découdre avec nos bites ainsi moquées !
J’ai demandé à Célia pourquoi elle nous dit qu’elle en savait quelque chose, elle me répondit direct :
- « J’ai eu un copain durant plus de six mois qui avait une petite bite, ou du moins pas un gourdin qui fait fantasmer… Mais je peux vous assurer qu’il baisait à la perfection, comme quoi on peut être monté léger et assurer et à l’inverse avoir une queue de black et nul au lit ! »
Puis elle file dans la chambre et rapporte de sa valise un gode silicone noir bien veiné d’au moins 22x5 et elle nous regarde tous les deux en nous narguant…
- « De ce que j’ai pu voir, vous n’allez pas nous offrir les mêmes gabarits les mecs, moi je me le mets au moins une fois par semaine, bien lubrifié il rentre comme dans du beurre dans mon anus ou dans ma petite chatte ! »
Tous deux, nous lui avons avoué que nous serions moins généreux en gabarit mais pas minables pour autant.

Le décor était maintenant planté, nous avions six mois de baise assurés devant nous, entre mecs et nanas, entre filles et entre garçons…

Les premiers jours nous ont surtout permis de nous caler en termes d’horaires, lever à 6h00 pour être à 7h00 au taf, coupure entre 15h00 et 17h30 et le soir, fin du service à 23h00… retour à notre gîte, douche et ensuite tout était permis !

Nos premières discussions nous ont permis de mieux nous connaître, nous nous étions fixés comme règle qu’on ne se cacherait rien, qu’il n’existerait aucun tabou entre nous, que nous accepterions sans retenue nos modes de vies et modes vestimentaires, que chacun mettrait la main à la pâte au gîte… Et la main au cul de qui on voulait, quand on voulait, qu’on pouvait vivre à poil, en tenue hyper légère, sexy ou provocante et surtout ne jamais faire preuve de jalousie entre nous, nous avions la jeunesse pour nous et surtout l’envie de vivre notre sexualité au maximum et sans retenue… Et accessoirement nous devions assurer pleinement nos jobs respectifs à l’hôtel afin de ne pas se faire dégager pour incompétence !
Forts de ces concepts acceptés de nous quatre, il nous restait de vivre à fond cette saison estivale prometteuse.

En ce qui me concerne je n’ai pas tardé à confesser à Romane que je la trouvais hyper bandante de par son look de garçon manqué, ses cheveux coupés à la garçonne, sa poitrine plate, ses épaules carrées, elle était limite pour moi un beau minet un peu efféminé, en un mot elle me foutait la trique rien que l’imaginer me tendre son cul et penser que je la pénétrerai à coup sûr en pensant enculer un jeune minet passif et bien salope comme je les aime… C’est mon kiff !

Célia eu pratiquement la même confession en lui avouant que son trip était de faire l’amour avec une nana au look de mec, elle nous a dit être souvent attirée par des nanas ou mecs au look ambigu.

Marvin avait prévenu les deux filles qu’il lui fallait pratiquement un cul tous les jours au pire tous les deux jours, qu’il soit féminin ou masculin et qu’il n’était pas fan lorsqu’il devait enfiler une capote… d’ailleurs il n’en n’avait jamais sur lui.
Effectivement je confirme, c’est un queutard de première mon pote… J’en sais quelque chose moi aussi puisque mon anus s’avale régulièrement ses 18x4 !... De plus il est très endurant, beaucoup plus que moi. Ceci dit, s’il adore être l’actif de service, il aime aussi jouer la lope et se faire prendre comme une vraie gonzesse, je dois avouer que lorsque je le prends en levrette avec ses cheveux longs et son anus dilaté comme une chienne j’ai vraiment l’impression de sodomiser une nana !... Et il le sait le coquin, d’autant qu’il gémit comme une petite pute à chaque coup de queue.
Le fait d’être versatiles tous les deux nous permet de varier les plaisirs et nous en usons au maximum.
Moi je ne déteste pas enfiler de temps à autre un string dentelles noire et des bas pour assurer un rôle de salope, ce qui permit à Célia de me dire qu’elle se fera un plaisir de me goder lorsque je serai dans cette tenue.
A ce sujet Célia avait glissé dans ses bagages deux ou trois beaux godes en silicone de tailles conséquentes, Romane un gode ceinture et des plugs acier et diamant… Ces petites chiennes avaient prévu de belles soirées !

Nous avons avoué à nos deux colocs que notre point commun avec Marvin, c’était aussi de mater deux nanas se bouffer la chatte ou se goder devant nous, l’occasion pour nous de nous interdire d’intervenir dans leurs ébats en jouant la carte du candaulisme et parfois sous forme de jeu, nous nous interdisons alors de nous palucher devant une telle scène érotique en assurant nos rôles de voyeurs et en pariant sur qui éjaculera le premier !... Nous adorons ça, nous l’avons aussi pratiqué plusieurs fois lors de gang bangs entre mecs c’est hyper bandant et super frustrant de regarder sans participer un couple faire l’amour. Après cette annonce coquine, Romane sorti de sa valise deux paires de menottes en nous assurant qu’elle pourra nous attacher à une chaise pour nous faire vivre ce délicieux supplice et ainsi nous faire cracher notre nectar dans ces conditions de voyeur soumis les mains menottées dans le dos et nos gourdins bandés à mort afin de n’avoir aucune possibilité de nous branler en les matant s’ébattre toutes les deux…. Le programme nous convenait parfaitement… Décidemment nous avions su recruter nos deux colocs qui avaient tout de bonnes salopes bien branchées sexe et qui faisaient preuve de philogynie entre elles !

Le second soir de retour vers 23h30 au gite les nanas prirent leur douche ensemble puis ce fut notre tour avec Marvin de nous savonner mutuellement et nous vîmes Célia en train de faire une vidéo avec son portable en nous expliquant qu’elle adorait voir des mecs sous la douche se nettoyer en se branlant et se savonner profondément la raie des fesses.
Il faut dire que nous avions mis le respect de l’hygiène de chacun dans le top des recommandations de vie commune, de ce fait la douche fonctionnait souvent.

Pratiquement dès que nous arrivions dans notre nid estival, nos fringues tombaient et c’est à poil ou tout juste munis d’un cache-sexe minimaliste que nous cohabitions jusqu’au lendemain matin à l’heure de la toilette.
Romane et Célia n’usaient pas beaucoup leurs petites culottes car chaque matin elles enfilaient leurs jupes noires de service mais oubliaient tous les jours ou presque d’enfiler un mini slip à dentelles, un tanga ou un string, comme nous l’a confirmé Célia, c’est très excitant de servir les clients la chatte à l’air sans que le client ne se doute de notre petit secret intime.

Toutes les deux étaient épilées au niveau du pubis, Romane avait juste conservé un « ticket de métro » bien noir et peu fourni, quant à Célia son abricot était assez conséquent et les lèvres légèrement ressorties, ces petites cochonnes avaient pris l’habitude de se lécher la chatte chaque matin avant de prendre leur café… N’y tenant plus avec Marvin nous leur avons rapidement demandé de leur en faire autant chaque matin, ce qu’elles ont accepté immédiatement… et je peux vous assurer que lécher un clito avant le café matinal c’est vraiment top !
Mais huit jours après, elles nous ont demandé toutes les deux de nous sucer en contre partie aussi chaque matin, ce qui rapidement a fait évoluer nos petits-déjeuners en buffet de chatte et de bites humides… Un remède efficace pour bien débuter la journée de travail !... Nous avions une langue en alternance un jour Romane me suçait et Célia assurait la fellation de Marvin et le lendemain elles changeaient de queue, nous faisions en sorte malgré tout de ne pas aller jusqu’à décharger notre nectar dans la bouche de ses demoiselles… On se réservait ce divin privilège pour les fin de soirées.

Notre gite qui avait un petit carré de verdure à l’arrière nous permettait d’utiliser les transats pour profiter de nous relaxer en rentrant du boulot. Nous étions encadrés par un pavillon de chaque côté, un couple de personnes âgées à droite qui sortaient peu et se couchait tôt et à gauche un homme seul, la quarantaine qui n’hésitait pas à se rincer l’œil, même le soir, dès lors que l’un d’entre nous sortait à poil dans notre jardinet, ce qui ne nous gênait absolument pas car adeptes des exhibes tous les quatre c’était plutôt sympa voire excitant d’autant que les filles l’ont surpris plus d’une fois le short baissé qui se paluchait en les espionnant derrière ses thuyas.

En journée, lorsque nous croisions l’une ou l’autre à la réception ou en terrasse du bar nous nous délections de savoir que nos deux petites chiennes avaient le cul à l’air sous leur jupe de service… Avec une irrésistible envie de leur glisser un doigt humide dans la chatte.

Certains soirs à peine rentrés au gîte et pas encore filées sous la douche Romane et Célia soulevant leur jupe noire glissaient leur langue gourmandes de lesbiennes pour se bouffer la chatte sans retenue… Adorable spectacle que Marvin immortalisa plusieurs fois avec son iphone.

Nombreuses fois les filles nous ont laissé nous ébattre avec Marvin comme deux pédés, ces petites coquines y prenaient un grand plaisir et n’hésitaient pas à commenter en live nos relations intimes ou nous filmer, c’est bien là l’avantage d’être bi, en fonction de l’humeur, de nos pulsions sexuelles, de nos excitations mutuelles, nous pouvions atteindre le nirvana et jouir entre mecs, entre nanas ou en mixte ce qui, il faut bien le reconnaître, occupait le plus souvent nos choix.
Lorsque nos scènes avaient été filmées, on se repassait les séquences sur la TV du gîte… Des grands moments de bonheur entre nous, puisque nous avions été « acteurs » de ces activités sexuelles et « Producteur » de ces vidéos porno amateur, l’occasion aussi de commenter les positions ou les actions du genre :
« On voit bien que tu aimes la bite », « Tu as tout d’une bonne salope », « Tu à l’air d’aimer le sperme », « Tu gémis comme une chienne en chaleur », « Tu bandes comme un âne », « Comme toi j’adore les faciales », « Tu aimes te faire lécher le cul en profondeur cochonne »… Pour ma part j’aime qu’on me filme lorsque je baise ou me fait baiser, si le mec ou la nana est OK, je mets mon iPhone sur un pied et le laisse tourner, c’est hyper bandant de revisionner les scènes quelque temps après !

Romane et Célia sont dans le même trip, du coup nous avons quelques heures de baise dans nos vidéothèques histoire d’agrémenter quelques soirées apéro entre nous ou entre amis !

Les séances à quatre furent évidemment les plus nombreuses durant notre séjour, nos deux nanas gourmandes de chattes étaient aussi totalement accros de bites, toutes deux très souples nous ont offert des positions que nous n’avions pas forcément testé auparavant avec mon pote.
Je l‘ai déjà dit, mais Romane me faisait un effet dingue de par son look masculin, lorsque je la sodomisais, acte qu’elle adorait cette petite chienne, je la prenais en levrette je m’imaginais vraiment bourrer le cul d’un beau minet, je lui ai dit plusieurs fois et lorsqu’elle me tendait son cul de chienne en rut elle me disait à chaque fois : « Allez Seb, viens enculer ton jeune minet préféré… espèce de petit pédé ! »… Ce qui avait pour effet de m’exciter encore plus.
Célia, elle, était une grande jouisseuse dès lors qu’on lui léchait le clito et l’anus à trois langues, elle mouillait de façon intense en gémissant par petits cris d’extase indescriptibles, très résistante lors des pénétrations il nous arrivait de nous relayer avec Marvin pour la satisfaire pleinement, elle aimait qu’on lui étale notre sperme sur les reins, sur les fesses et dans sa raie… Puis ensuite nous incitait à le lécher.

Romane tout comme moi adorait les éjacs faciales, c’est donc très souvent que les pénétrations par mon pote se soldaient en final par des jets bien fournis de son foutre chaud et visqueux sur nos visages et la bouche grande ouverte pour avaler le divin nectar de ce branleur de Marvin qui s’activait ardemment sur son membre raide au gland totalement décalotté et bien rouge après nous avoir ramoné les entrailles à Romane ou à moi.

Un soir, alors que nos nanas allongées sur le tapis du salon alternaient entre se bouffer le minou et se goder mutuellement avec leurs jouets de silicone et moi filmant leurs ébats… Marvin leur demanda si elles avaient déjà subi une double pénétration… Et les réponses ne se sont pas faites attendre, elles ont cessé sur le champ leur jeu de gouines et nous annoncèrent :
- « Non, me faire baiser et en sucer une en même temps j’ai déjà pratiqué, mais jamais eu cette occasion, mais j’avoue que j’ai bien envie de m’en prendre une dans chaque trou en même temps… Ça doit être top excitant et c’est un fantasme que j’aimerai réaliser ! » dit Célia.
- « Moi si, une fois dans un club échangiste, le mec qui m’accompagnait avec un allemand d’une trentaine d’années un peu éméché… Ils m’ont démontée les salauds, je couinais comme une guenon mais alors quel pied ! J’espère bien que vous allez nous offrir ce plaisir messieurs ! » nous lança Romane avec enthousiasme.

Marvin et moi n’avions pas eu souvent l’occasion de le pratiquer, peut être quatre à cinq fois chacun, mais leur demande et leur attente étant si gentiment demandées et clairement attendues… Après nous être rapidement concerté du regard, Marvin déjà à poil et moi mon jock valdinga illico-presto sur la table basse, nous les avons rejoint sur le tapis en vue d’en prendre une des deux pour satisfaire ses deux trous, Romane n’hésita pas à se porter volontaire pour commencer et déjà chaude pour accueillir nos deux membres, elle demanda à Célia de filmer cette double intro en lui confiant son IPhone :
- « Je n’ai encore aucune vidéo de mon cul et ma chatte pris en même temps… ça va compléter ma vidéothèque perso ! » dit-elle à Célia en rigolant.

Pour commencer chacune de nos collocs entamèrent une fellation sur chacun d’entre nous, rapidement nos queues à demi-molles se sont dressées rien qu’à l‘idée d’une promesse de pénétration en commun, nous bandions très fort et nos deux suceuses s’activèrent sur nos membres bien raides et bien veinés pendant dix bonnes minutes, ensuite nos trois langues se succédèrent dans l’entrecuisse de Romane qui gémissait déjà toute jambes écartées couchées sur le dos, son anus bien mouillé par nos baves se dilatait à vue d’œil et son clito commençait à crier famine déjà trempé !
Marvin s’allongea sur le dos, sa queue énorme dressée vers le ciel, Romane s’accroupi face à lui en le chevauchant et en guidant la matraque de mon pote pour se l’enfiler dans sa chatte déjà bien humide, sa position à demi-couchée sur lui, super excitante m’offrant son anus en attente de mon membre, à ce moment Célia vint lui emmancher doucement le gode black de 22x5 dégoulinant de gel… Romane couinait déjà par la pénétration de Marvin qui la limait jusqu’à ce que ses couilles viennenent en butée sur ses fesses et l’anus bien dilaté avalait sans rechigner l’énorme gode manipulé par Célia… Après une bonne série de va-et viens dans ce cul excité, elle sorti le zob en silicone m’offrant ainsi un anus largement ouvert et parfaitement rond, je n’avais aucue difficulté à entrer dans cette caverne érotique chaude et déjà lubrifiée, nous étions tous deux à l’assaut de ce corps surexcité, nos bites la ramonaient par ses deux trous… Les gémissements de Romane nous faisaient bander comme des ânes, nos couilles venaient lui claquer les fesses à chaques coups de boutoir… et Célia comme annoncé, à poil, nous filmait d’une main et se masturbait la chatte de l’autre, elle nous prenait sous tous les angles cette coquine… cette double pénétration a bien duré entre dix et quinze minutes, les cris de Romane devaient s’entendre en extérieur tellement ils étaient intenses, soudain Romane nous pria de sortir d’elle pour que nos deux bites bien raides lui éjaculent sur le visage, nous étions au bord du largage tous les deux, Romane se vrilla et s’étala sur le dos pour nous offrir son visage écarlate et suant… Et tous les deux pratiquement en même temps arrosions par nos jets nourris et puissants son minois de petite pute aux anges, rapidement ses yeux, sa bouche, ses joues, ses épaules furent maculées de nos spermes mélangés… Célia se régalait de ses prises de vues de nos ébats débridés… Romane n’en resta pas là, puisqu’elle entreprit dans la foulée de nettoyer les outils en nous léchant les glands turgescents et avalant les dernières gouttes de sperme et nous malaxant les testicules… Tous deux Marvin et moi étions totalement vidés après ce burinage à double-entrées, nos membres dégonflés nous nous sommes affalés sur le tapis de sol, nous nous sommmes roulés tous deux une bonne pelle comme deux pédés en guise de satisfaction réciproque et la suite se déroula sous la douche avant de grignoter avant le coucher… Il était déjà une heure et demie du matin… Le réveil fut douloureux !

Evidemment, cette scène s’est reproduite quelques jours plus tard… Nous avons pris d’assaut les deux trous de Célia suivant le scénario semblable qu’avait subi Romane quelques jours auparavant, à la différence que cette fois-ci c’est moi qui avais pris la chatte de Célia et Marvin assura avec faste la sodomie de notre colocataire aux cheveux longs et à l’appétit sexuel aiguisé ! Mais comme cette cochonne voulait aussi avec une pine dans la bouche, c’est Romane avec son gode-ceinture qui lui a rempli la bouche, Célia fut comblée (c’est le moins que l’on puisse dire) et durant cette séance de limage de cul, chatte et bouche Célia doigtait profondément la chatte de sa copine, la baise des trous s’est terminée par une décharge directe dans les entrailles de Célia pour nous deux, lorsqu’on s’est retirés son anus et son vagin recrachaient le surplus de foutre blanc sur le tapis du salon… Les deux trous avaient pris cher !

Ces quelques récits retracent bien les six mois de colocation que nous avons vécus, pour ma part c’était bien la première fois où je me vidais les couilles à cette cadence, le matin nous arrivions souvent à l’hôtel avec des cernes sous les yeux !

Nos deux petites cochonnes nous avaient mises au défit de les baiser durant le service à l’hôtel, pour ne pas prendre de risque de se faire virer au début de la saison c’est à la mi-septembre un jour où les membres de la direction était à une réunion en ville que nous avons organisé une mini partouze tous les quatre dans la lingerie, les filles n’ayant pas de culottes étaient toutes prêtes à accueillir nos belles queues bien bandées, le seul qui était dans la confidence était mon collègue de bar, le martiniquais Miguel, lequel m’avait juré de faire le gué durant notre intermède de baise, à la seule condition puisqu’il connaissait mes dérives sexuelles côté mec… que j’accepte qu’il me suce car m’avait-il avoué que je le faisais fantasmer par mes récits coquins et il n’avait jamais taillé de pipe à un mec mais rêvait de le faire un jour… C’était loccasion unique.
Evidemment, je n’avais pas le droit de lui refuser une telle demande, aussi surprenante fut-elle… J’ai accepté cette « fellation-supplice » pour le soir même, et je me suis aperçu qu’il avait une succion parfaite pour un débutant, il n’a pas osé avaler ma purée, mais je l’ai abondemment inondé par belles giclées blanches sur sa peau café au lait, heureusement qu’il avait pris soin de retirer sa chemisette blanche !... Nous l’avons refait deux autres fois par gourmandise… Il y avait bien pris gout le coquin.
Notre baise hétéro dans la lingerie de l’hôtel s’était bien déroulée nous avions pénétré nos deux colocs couchées dans les draps entassés destinés à partir au lavage en imaginant qu’ils étaient déjà très certainement tachés de sperme par les clients de l’hôtel… Rien que cette idée nous avait excité !

Plusieurs fois dans la saison comme promis à Célia, j’ai revêtu leurs tenues sexy de sous-vêtements de nanas, ma queue dépassant largement de leur string de dentelles, sous-tif et bas noirs, et elle se défoulait en me sodomisant à fond avec le gode-ceinture toujours à disposition prêt à servir sur la table du salon et évidemment Marvin à chaque fois en profitait pour enculer son pote travesti…. Hummm être bi c’est trop top…. Car on peut basculer en mode pédé immédiatement !!!

Voici donc comment nous avons survecu sexuellement à notre saison estivale, inutile de vous dire que se fut la meilleure période que nous ayons partagé sans aucun heurt, avec une totale complicité, avec des nanas qui aiment la bite et les minous et des mecs avides de queue, de couilles et de cul… Elle n’est pas belle la vie !

Je ne peux que vous conseiller ce type de collocation… C’est trop bandant !