Le mari de Radia part en voyage, les bêtises commencent - histoire érotique

Les 10 premiers jours après notre mariage, mon mari n’a pas travaillé. Tous les soirs il y a eu des petites fêtes pour continuer les célébrations nuptiales mais nous avons quand même eu souvent l’occasion de nous retrouver qu’à deux. Je n’ai plus du tout la sensation d’être un vide couille mais plutôt une femme épanouie sexuellement. Mon mari est très demandeur de moment câlin mais moi encore plus alors je me masturbe régulièrement.

Malheureusement la « lune de miel » touche à sa fin et demain mon mari part quelques jours en déplacement pour son travail. Le soir nous faisons l’amour, je le suce un peu mais j’ai encore du mal à le prendre bien en bouche comme il aimerait. Pendant ce temps il me tripote la chatte mais jusqu’à présent il ne jamais fait lecher, il joue uniquement avec ses doigts et surtout en surface.

Ensuite il monte sur moi et me pénètre en me caressant les seins. Il se penche pour embrasser mon visage et mon cou pendant que son sexe fait des allers retours en moi. Là aussi j’aimerai varier les plaisirs, mais il me pénètre uniquement quand je suis en dessous et sur le dos alors que j’ai envie d’essayer d’autres positions: l’andromaque, la levrette… et même la sodomie (maintenant que j’ai un libre accès à internet je me cultive).

Malgré tout il a compris comment mon corps fonctionne et me donne beaucoup de plaisir. Quand ses mouvements deviennent plus virils, la bite de mon mari sort de temps en temps, j’en profite pour essayer de changer de positions ou de trou mais il revient toujours au même endroit. Comme à chaque fois, quand il sens la jouissance monter, il met mes jambes sur ses épaules et titille mon clito.

J’adore quand ses doigts maltraitent mon petit bouton, ça me fait vite monter au septième ciel même si je n’apprécie pas trop ce qu’il fait à mes seins. Je sais qu’il aime quand j’enserre sa queue qui me ramone alors je contracte mes muscles vaginaux. Il se met à gémir, mes cris suivent son rythme et je viens au moment où son premier jet cogne ma paroi vaginale.

Je sens son sexe se ramollir dans ma moule qui dégouline surtout qu’il continue ses vas et viens. Ensuite mon mari vient s’allonger à côté de moi et me prend dans ses bras. Il s’endort rapidement, se retourne sur le côté et commence à ronfler. Je sens son sperme couler sur mes cuisses, ça m’excite tellement que je masturbe jusqu’à jouir une nouvelle fois.

Je finis par m’endormir moi aussi, le lendemain quand je me réveille, je suis seule dans mon lit. Immédiatement l’odeur de sexe me monte au nez et m’excite, malheureusement mon homme ne sera pas la pendant presque une semaine. Je me contente donc de ma main pour me faire du bien avant de filer à la salle de bain.

Quand je descends prendre mon petit déjeuner, la femme qui fait le ménage et la cuisine me dit que le lave vaisselle est en panne. Elle a déjà contacter le réparateur qui ne pourra venir que demain en fin de journée. Elle me demande si je veux qu’elle reste plus tard pour le recevoir. Je lui dis que je peux m’en charger, qu’elle n’a pas besoin de rentrer tard chez elle juste pour ça.

Je me rend très vite compte que seule je m’ennuies, j’appelle la deuxième femme de mon père pour sortir ensemble mais elle n’est pas libre. Je n’ai pas vraiment d’amies, je connais pas mal de fille de mon âge mais nous n’avons pas les mêmes intérêts. Je finis donc par faire du shopping seule mais ce n’est pas trop excitant sauf quand je rentre dans un magasin de lingerie.

J’essaye plusieurs style de soutien gorge mais je m’attarde plus sur les culottes en dentelles. J’ose même essaye un string, quand je me regarde dans le miroir j’adore les fesses que ça me fait. Du coup j’en essaye plusieurs autres et j’en achète 6 en me disant que peut être avec mon mari s’intéressera à mes fesses.

Le lendemain je tourne dans le jardin et je veux commencer à arranger quelques rosiers. Un homme vient me voir et me dit d’arrêter qu’il s’occupera après de tout ça. Je me retourne et comprends que mon mari a engagé un jardinier, il aurait pu au moins prendre un homme plus jeune! Je lui dit que j’ai envie de m’en occuper mais il m’en empêche.

Je sens que la journée va être longue et surtout que lui et moi on va pas s’entendre! Le matin je traine en pensant à mon mari et au plaisir physique duquel je suis privée depuis maintenant deux jours. Je suis trop excitée, il faut que je pense à autre chose alors je descends aider la cuisinière. Elle est très sympathique, je me dit que si ma mère était toujours là elle serait du même genre.

Nous discutons bien ensemble pendant que nous cuisinons ensemble et même le repas que nous partageons. Je pense que je peux m’en faire une allier et c’est pas plus mal. Dans l’après-midi je monte m’allonger et je lis un livre, quand j’arrive au moment où le héros couche avec une belle brune, je ne peux m’empêcher de me caresser jusqu’à jouir.

Je m’assoupis sur mon livre et je suis réveillée par Fatima (la cuisinière) qui m’annonce qu’elle part après s’être excusé, elle ne savait pas que je dormais. Elle rajoute que le diner est prêt, qu’il faut juste le réchauffer à petit feu et que je ne dois pas oublier que le réparateur doit dans une heure. Elle quitte ma chambre puis la maison alors que je vais prendre une bonne douche pour me réveiller.

Je traine un peu encore dans le lit puis je vais à la salle de bain prendre une douche et me préparer. Alors que je suis en peignoir entrain de me coiffer, on sonne à l’interphone. Je descends pour aller répondre, c’est le plombier j’ouvre le portail j’arrange bien mon peignoir parce qu’en dessous je porte uniquement un de mes nouveaux string et je vais lui ouvrir.

Je vois approcher un beau jeune homme qui doit avoir 3 ou 4 ans de plus que moi, il a la peau plutôt matte. Ses cheveux sont courts, il porte une petite barbe et a un regard très noir, je remarque tout de suite que sous t-shirt moulant il est plutôt bien musclé. Alors que je l’inspecte de haut en bas j’ai l’impression qu’il est très bien pourvu à l’entrejambe. En le voyant avancé je me dis qu’il sera le deuxième homme qui me touchera et je sors une de mes jambes pour la lui montrer.

Je défait un peu ma ceinture pour laisser aussi apparaitre ma poitrine dans l’échancrure. Quand il est à ma hauteur il ne peut plus regarder ma gambette mais louche sur mes seins. Je le laisse un peu admirer le paysage, malgré sa peau foncée il rougit, je le fais rentrer et lui indique la cuisine en lui demandant s’il veut boire quelque chose. Il me répond:« Non merci, madame »
Je m’installe sur un des tabouret autour de l’ilot central et je le regarde travailler. Je dois dire que quand il force pour dévisser et que je vois ses muscles saillants je sens que ça frémi dans mon bas ventre. Quand il se penche pour rentrer son torse dans le lave vaisselle et qu’il fait ressortir son joli petit cul, bien comprimé dans son pantalon, je me sens de plus en plus excitée.

Alors que ça fait une demi heure que je fantasme sur son corps, il se relève, ferme le lave vaisselle et le met en route. Il me dit qu’il le fait tourner en cycle rapide pour vérifier si tout marche bien, du coup je lui repropose à boire et il me demande un thé. Alors qu’il s’installe sur un des autres tabouret je vais mettre de l’eau à chauffer.

Quand je me déplace je fais des grands pas pour dévoiler le plus possible de mes jambes nues sous mon peignoir. Je lui apporte d’abord un verre, puis le sucre, une cuillère et enfin la théière en prenant bien soin, à chaque fois, de me pencher le plus possible pour lui faire admirer mes seins. Je ne vois pas s’il plonge son regard dans ma poitrine mais vu la bosse dans son pantalon mon manège doit lui plaire.

Je finis par m’installer en face de lui et boire moi aussi un thé. Je ne sais pas si c’est le manque de sexe mais depuis que je l’ai vu je très envie de faire l’amour avec lui. Maintenant que je l’ai bien chauffé, je ne sais plus quoi dire ni quoi faire pour qu’il aille plus loin. Au bout d’un moment j’en ai marre d’entendre uniquement le bruit de la machine qui tourne alors je lui demande son prénom.

« Mustapha Madame »Je lui dit que je m’appelle Radia, mais je ne sais pas quoi dire d’autre alors je décale un peu mon tabouret et je commence à tapoter mes jambes pour faire tomber les pans de mon peignoir et lui dévoiler à nouveau mes cuisses. Pour toute réponse j’ai le droit comme réponse:« Madame, j’ai une femme! »
Je commence par lui répondre qu’il peut m’appeler Radia, c’est vrai qu’aujourd’hui j’habite une belle maison mais il y a seulement 3 semaines j’étais encore à la Médina. Il a un air très étonné alors pour le mettre encore plus mal à l’aise j’ajoute que nous sommes seuls et qu’il peut se mettre à l’aise et je lui fais un clin d’oeil. Au Maroc si une femme fait un clin d’oeil à un homme le message est sans équivoque, Mustapha en est bouche bée.

Il profite des bips de la machine à laver pour retourner à son travail mais je vois nettement à son pantalon que je lui fais de l’effet. Alors qu’il vérifie tout je vais derrière lui, il ne remarque pas ma présence. Quand il se relève pour me dire que c’est réparé il se retrouve à quelques centimètres de moi et baisse immédiatement la tête. Il me demande de lui indiquer la salle de bain pour qu’il se lave les mains.

Pendant qu’il se savonne, j’enlève mon peignoir et lui dis:« J’ai besoin de prendre une douche. »Quand je suis sûre qu’il me regarde bien dans le miroir je commence à faire descendre tout doucement mon string et je me penche de plus en plus pour bien lui montrer mon cul. Quand je me relève l’eau coule toujours sur ses mains mais lui me dévore du regard.

Je me penche bien pour tester la chaleur de la douche puis je rentre dans la cabine sans fermer le rideau. Je prends une éponge sur laquelle je mets du savon et la pose sur mon cou. Ensuite je la fais descendre sur ma poitrine, je passe régulièrement d’un sein à l’autre, Mustapha a enfin éteint l’eau et m’admire assis sur les toilettes, quand va t il enfin se décider à me toucher!

Alors que maintenant l’éponge s’occupe ardemment de mon entrejambe je le regarde droit dans les yeux et lui dis:« Tu aimes ce que tu vois? »Il ne dit rien et fait seulement oui de la tête, Mustapha ne bouge toujours pas alors je lui tends l’éponge et lui demande de venir me laver le dos.

Il avance lentement vers moi, je suis presque obligé de lui mettre l’éponge dans la main mains et je me retourne. Je prends appuies sur le mur et me cambre doucement en écartant bien les jambes. Il monte sa main le plus haut possible et commence à me savonner, il prend du temps pour aller plus bas mais il le fait enfin.

Quand ses mains se posent sur mes fesses je me dandine pour encore plus le motiver. Comme il ne s’aventure pas tellement plus je me retourne vers lui et lui dis:« Déshabilles toi, tu vas mouiller tes habits! »Lui qui a été jusqu’à présent timide et trop doux m’attrape par la taille, me faire sortir de la douche et me dit:« Ta douche peut attendre, viens! »
J’ai tout juste le temps d’éteindre l’eau qu’il attrape ma main et me tire derrière lui jusqu’au salon. Il me pousse plutôt violemment sur le canapé, je commence à avoir peur de son changement de comportement. Encore plus quand je vois son sourire sadique et qu’en plus il m’ordonne:« Mets toi par terre à genoux devant moi! »
C’en est trop, je me lève, le regarde droit dans les yeux et je lui dis mais sans crier:« Je ne suis pas ta chienne! Je n’aime pas comme ça! »Son visage se radoucit, il pose sa main sur ma joue et me caresse doucement en rapprochant son visage vers le mien.

Il me rassure pas ses caresses, du coup quand ses lèvres se posent sur les miennes, j’ouvre la bouche et laisse rentrer sa langue. Mon mari m’a souvent embrassé mais jamais passionnément comme Mustapha, j’adore ça! Alors que nos langues continuent de danser, il pose sa main droite sur mon sein, je sens que mon coeur bat la chamade et lui aussi puisqu’il décolle sa bouche et me dit:« Tu es stressée? Tu veux que j’arrête? »
Pour le faire taire je l’embrasse à nouveau et cette fois c’est moi qui rentre ma langue dans sa bouche. J’attrape sa main et la pose sur mon sein. Au bout d’un moment je me décolle, l’attrape par la main et lui dis:« Allons dans mon lit on sera plus à l’aise. »Cette fois c’est moi qui le tire par la main en montant les escaliers.

Une fois dans la chambre, je ferme la porte et le déshabille entièrement et très rapidement parce que j’ai vraiment envie de voir ma deuxième bite. Là voilà enfin, elle est très différente de celle de mon mari. Sa queue est bien moins longue mais beaucoup plus large, il est beaucoup plus poilu que mon homme ce qui me fait penser qu’il doit s’entretenir!

Je l’admire un moment avant de prendre ce large pieux dans mes deux mains. Je leur fait parcourir cette nouvelle queue en montant et descendant très lentement. Ensuite je descends mes doigts sur ses couilles pour les tâter et j’embrasse son gland. Il veut me l’enfoncer dans la bouche mais je ne suis pas prête à sucer surtout surtout un sexe aussi large qui continue de gonfler entre mes doigts.

Du coup je me soulève un peu et je glisse son sexe entre mes seins que je plaque bien. Je vais coulisser sa large tige entre ma poitrine mais rapidement Mustapha remplace mes par les siennes, qu’il presse plus fort et baise les seins. A chaque fois que son gland arrive à la hauteur de ma bouche je l’embrasse ou le lèche ce qui l’excite encore plus. Plus il fait glisser sa bite sur ma poitrine plus il sert mes seins autour de son membre. Rapidement je sens que ça commence à chauffer alors je me lève et le pousse vers le lit.

Mustapha s’allonge sur le dos, je viens m’assoir sur son visage et je pose ma chatte dégoulinant d’excitation sur sa bouche, son nez se glisse entre mes fesses. Je le laisse un moment faire aller et venir sa langue sur mes grandes lèvres que je sens déjà bien ouverte puis je me penche pour attraper sa queue que je branle.

Alors que sa bouche est sur mon clito, il soulève son bassin pour que je le suce. Je décide de quand même essayer alors j’ouvre la bouche mais il rentre trop brusquement en moi, j’en ai un haut le coeur. Je me mets à tousser, il me soulève et m’assoie et me tapote le dos en s’excusant.

Quand je reprends bien ma respiration il m’allonge sur le dos et vient se glisser entre mes cuisses. Sa langue se glisse directement entre mes grandes lèvres, une fois qu’il ouvre les petites il me pénètre avec sa bouche. Mustapha fait tournoyer sa langue dans mon con.

J’ai l’impression de devenir folle, je prends un plaisir fou. Mon mari m’a déjà tripoter mais jamais comme ça! Je ne croyais jamais ressentir un tel bonheur mais quand il pose deux doigts sur mon petit bouton le plaisir monte encore d’un cran. Alors qu’il continue à me baiser avec sa langue il se met à étirer mon clito, je monte directement au septième ciel.

J’ai envie d’hurler mon plaisir et comme nous sommes seuls je me laisse aller et j’appuie sur sa tête avec mes deux mains pour le plaquer encore plus contre mon pubis. Sa bouche commence à se calmer et moi aussi par contre il rentre un doigt dans mon con. Il le fait rentrer et sortir doucement puis le tourne en moi comme pour étirer mes chairs. Rapidement il est rejoint par un deuxième doigt et ensemble ils suivent le même scénario.

Alors que je sens mon plaisir remonter de plus en plus il retire son index et son majeur d’un coup de ma chatte. Puis il s’agenouille, toujours entre les cuisses et met mes pieds sur ses épaules. Il empoigne sa queue, me caresse un peu le sexe du bout du gland et me pénètre. Son mouvement est trop brusque du coup il me fait mal, bien que je manifeste ma douleur il continue à me ramoner vigoureusement.

J’ai l’impression que mon vagin est écartelé par sa bite très large. Je me caresse le clito pour oublier la douleur et ça marche parce que j’apprécie de plus en plus sa queue en moi. Maintenant que je suis totalement détendue de la moule son épaisseur me donne un tel plaisir que je sens la jouissance arriver de nouveau. Je contracte légèrement mes muscles pour rajouter du plaisir mais s’en ai trop je ne peux pas me retenir de jouir une deuxième fois.

Quand Mustapha sent que mon orgasme redescend il se retire tout aussi brutalement qu’il est rentré et revient entre mes cuisses pour encore une fois me lécher. Sa bouche est accompagnée de deux de ses doigts qui rentre et sorte de moi de plus en plus rapidement. Au bout de quelques minutes de ce traitement il retire ses doigts doucement et replaque mes jambes contre son corps musclé.

Cette fois il me possède très doucement, une fois qu’il est au fond il s’immobilise un moment avant de ressortir entièrement. Il repositionne son gland et le fait rentrer encore plus énergiquement, quand il est entièrement en moi il ne bouge pas mais ressort plus rapidement que la fois d’avant. Il continue son manège une bonne vingtaine de fois. Je mouille tellement sur sa queue que des fois elle dérape et son gland monte masser mon clito.

Mustapha retourne me bouffer la moule, cette fois accompagné de 3 doigts qu’il n’a aucun problème à faire rentrer. J’adore quand sa bouche et ses doigts s’occupe de moi, je prends un pied fou mais je suis triste que mon mari ne me réserve jamais de tels traitements. Quand son visage abandonne mon entrejambe et qu’il m’attrape par les pieds je fais un gros mouvement pour le dégager.

J’en ai marre de seulement faire l’amour sur le dos alors je le plaque contre le lit et je monte sur lui. J’empoigne sa large bite et me soulève juste au dessus de son corps. Je place moi même son gland à l’entrée de ma grotte et je m’assois tout doucement sur lui. Une fois que mes fesses sont contre ses cuisses j’ondule mon bassin pour bien profiter des sensations.

Je plaque mes mains sur son torse, je monte mais très peu et me laisse redescendre sur son pieu. Je recommence pour à nouveau sentir le sexe de Mustapha aller et venir en moi mais plus je continue plus je fais des grands mouvements et rapides. Ca fait du bien de se sentir prise dans une autre position, sa queue titille des parties de mon vagin qui je crois n’ont encore jamais été exploré.

Je le chevauche comme une folle je crois même que je vais jouir une troisième fois alors que lui est toujours raide depuis plus d’une heure sans faillir. J’ai l’impression que mes petites lèvres sont étirées au maximum, je les sens bien plaquer sa tige et j’adore le plaisir que mes donnent ses veines. Je me met à contracter tous mes muscles de l’entrejambe pour augmenter la pression d’un cran et le faire venir en moi.

Malheureusement ou plutôt heureusement je cède la première, je sens comme un feu d’artifice dans mon ventre. Je ne contrôle plus ma vulve qui enserre encore plus le sexe qui va et vient en moi. Alors que mon corps convulse de désir je sens les veines de Mustapha gonfler ce qui me donne encore plus de plaisir.

Il éjecte une première giclée qui en venant s’écraser au fond de ma chatte augmente encore plus mon excitation. Je n’arrive pas à m’empêcher de crier, mes mains serrent encore plus fort sa poitrine. Je sens à nouveau ses veines s’agiter en moi et un deuxième jet me fouetter à l’intérieur. Puis un troisième, un quatrième… il va m’inonder le ventre mais sentir sa bite tressaillir en moi prolonge mon orgasme.

Je n’en peux plus, je m’assoie complètement sur lui alors que je sens une septième giclée, certes moins puissantes que les précédentes, me tapisser le vagin. Je remue du bassin pour prolonger son plaisir parce qu’il est encore très raide alors que mon mari débande rapidement après avoir fini d’éjaculer. Je reste un moment dans cette position mais je desserre mes mains sur son torse.

Puis je me soulève tout doucement alors que je sens une énorme quantité de liquide couler de mon vagin. Un flot tombe sur ses poils pubiens et sa queue alors que je sens encore des gouttes perler sur mes lèvres intimes. Mustapha m’attrape par la taille et me secoue délicatement pour continuer à faire couler sa semence de ma moule. Je suis en sueur et lui aussi mais je suis épuisée de tout ce plaisir que ma donner mon plombier.

Je m’allonge à coté de lui et pose ma tête sur son épaule, son bras serre mon corps contre le mien, je sens son jus couler le long de ma cuisse. En respirant je remarque que l’odeur de son sperme est très différentes de celle de mon mari. Je réalise aussi qu’il est allongé du coté de mon époux et ça me fait des frissons partout mais nous finissons par nous endormir sans même éteindre la lumière. Heureusement que demain c’est le jour de congé de Fatima, du coup on aura du temps pour encore s’amuser à notre réveil….