Le mous de novembre.2016

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le mous de novembre.2016 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Le mous de novembre.2016
Résumé: Notre amie Mariza se joint à moi pour offrir à mon mari un anniversaire inoubliable.


Résumé des épisodes précédents :

Caline et moi avons enfin fait la connaissance de 2 personnes qu'on intègre avec plaisir dans nos jeux libertins pour partager nos orgasmes.

L'histoire est ce qu'il y a de plus authentique, je romance pour la rendre excitante.

___________________

— Allô, Mariza ?
— Oui, c’est moi !
— Salut... C'est Caline... La femme de Hamed ! Ça fait un moment qu’on s’est vues... Vous allez bien, vous ?
— Oui, tout va bien. Et toi ?
— Tout est OK, j’ai fini d’emménager, je commence tout juste à émerger de toutes les choses que j’avais à faire.
— Ça tombe bien que tu émerges : je t’appelle parce que le 3 du mois prochain, c’est l’anniversaire de Hamed, et je crois que j’ai une idée pour une surprise qui pourrait lui faire plaisir.
— Si tu m’en parles, je me doute un peu du genre d’idée.
— Je crois que tu vois juste. C’est tout simple : quand il rentre du boulot, il y a deux femmes dans son lit. Après, on improvise.
— Simple et efficace ! Et je crois pouvoir anticiper que je suis l’une de ces deux femmes.

Le style de cette nana est direct. Les deux femmes conviennent de se retrouver chez nous le jour J à 18 h, pour être sûres d’être là quand le mec né il y a 44ans rentrera du travail, vers 18 h 30.

Quelques jours avant la date, ma femme me dit qu'elle voudrait m’inviter à sortir le soir de mon anniversaire, mais que le lieu sera une surprise. L’important, c’est que je dois m’arranger pour ne pas avoir à rester tard au bureau, comme cela arrive parfois.
De son côté, Caline prends une demi-journée de congé, histoire de préparer un peu la soirée. Comme elle n'avait pas prévu de sortir, elle doit nous préparer à dîner : charcuterie, gambas... Champagne au frais, et bien sûr, un gâteau et des bougies.

Caline est tout juste prête quand Mariza se présente, un paquet emballé à la main. Elles se font une chaste bise sur le pas de la porte. Mariza entre, pose son sac à main et son paquet, elles s'éteignent avec fougue. Les deux femmes retrouve avec joie le corps de l'une contre le corps de l'autre et elles s'embrassent pendant un bon moment, jouant avec leurs langues, laissant leurs mains se balader par-dessus leurs vêtements. Avant que cela aille plus loin, Caline souffle à l’oreille de son amie :

— Attends une minute, juste un petit truc ou deux.

Elles ont du mal à se séparer, mais elles savent que ce n’est que temporaire. Je cache les affaires de Mariza dans la chambre de ma fille pour les camoufler à mon regard. Elles scotchent au mur deux flèches en papier coloré pour m'indiquer le chemin que je suis supposé suivre pour que mes pas finissent par franchir le pas la porte de notre chambre. Mariza propose :

— Tu crois pas que ce serait encore mieux si tu étais seule dans le lit ? Quand il arrivera, il te voit, il se dit que tu as décidé de l’accueillir chaleureusement avant de l’emmener au resto. Et alors, au moment où il s’y attend le moins, je sors de la salle de bains et je me jette sur lui. Enfin, sur vous.
— Une surprise en deux temps ? Excellente idée ! Why not ? Bon, en attendant, il faut qu’on se mette en tenue !

Elles rient, car en l’occurrence, la tenue est on ne peut plus simple : nues comme Ève. Elles se déshabillent rapidement, en prenant soin de ranger leurs vêtements dans un placard. Leurs mouvements, rapides et précis, n’ont rien d’un strip-tease évocateur. Pourtant, Caline ne peux m’empêcher d’admirer le corps de Mariza qu'elle connaît à la fois si peu et pourtant aussi intimement. Mariza la regarde aussi, de haut en bas. Puis leurs yeux se croisent, elles se fixent réciproquement quelques longues secondes...
Les mains de Caline se souviennent des courbes des seins de Mariza, de ses hanches, et du doux contact de sa chatte imberbe.
Comme deux aimantes, elles se approchent l’une de l’autre, franchissons le mètre qui les sépare. Le contact de leurs peaux les fait frémir de désir. Elles ne peuvent s'empêcher de de s'embrasser et de caresser. Les mains de Mariza font naître toute une gamme de sensations sur le corps de ma chérie. Dans les airs on peut déjà sentir l'odeur saoulante du parfum de leur excitation. Leurs ventres, leurs seins se touchent, se frottent et elles basculent sur le lit, roulant l’une sur l’autre en riant. Quand cela finit, Mariza est sur le dos. Seins contre seins, ventre contre ventre, elles échangent un long baiser.

Je m’écarte pour la caresser. Je pose ma main sur son mont de Vénus. Elle soupire et tend une main vers mes seins. Elles se contorsionnent pour pouvoir se caresser les fesses... Puis la main de Mariza descend derrière la cuisse de Caline et parvient à son sexe, s’y immisce.
Tout à coup, Mariza se fige et lance :

— Joyeux anniversaire, Hamidou !

Caline ne m’avait pas vu arriver car trop occupée... Je suis soufflé par le spectacle qu'elle m'offrent. Je m’écrie :

— Ciel, ma femme avec une femme 0!

Caline répond:

—Joyeux anniversaire, mon chéri !
— Hé, mais on dirait que la fête a commencé sans moi !
— Euh, oui… Mais on été juste entrain de faire des échauffements !
— En fait, on est carrément très chaudes, complète Mariza. Tu viens ?
— J’arrive, mais vous pouvez continuer vos exercices d'excitation mutuelle.

Je ne mets pas plus de dix secondes pour me mettre en tenue de combat pendant lesquelles les deux occupantes du lit avaient repris leurs caresses. Même si cette interruption a eu peu d'effet dans la montée de ces dames vers la colline des plaisirs, elles n'ont pas tardé pour retrouver le chemin qui mène vers la jouissance.
Je n'avais autre option, que de les rejoindre, avec un sexe déjà à moitié dressé. Je m’allonge auprès de ces deux corps. Mariza se jette comme une affamée sur mon sexe et me prodigue une fellation qui mérite que des respects tellement je bande. Et d'une main elle caresse la fente humide de ma chérie qui commence à souffler dans l'air des mots de plaisir.

Je caresse longuement les seins de Mariza qui s'active comme il se doit sur la bête qui développe ses muscles entre mes cuisses.
Se sentant délaissée, Caline se relève et vient retrouver sa copine qui ne veut pas lâcher son point d'encrage.
Elle vient frôler de ses mains, de ses seins, le dos de cette suceuse de verge. Et sans plus tarder, elle investit de deux doigts la grotte, toute aussi humide, de Mariza et commence à la masturber avec délectation. Cette dernière gémit et se cabre de plus en plus. Mon plaisir monte doucement, mais c’est Mariza qui arrive en premier, au plus haut. Elle pompe de plus en plus profondément mon sexe, m'arrachant des râles de plaisir. J’ai l’impression qu’elle ne contrôle plus rien, elle jouit au rythme que nous lui imposons. Elle respire à grand-peine tout en engloutissant à fond ma bite.
Sentant venir l’explosion des sens de l'hispanique, Caline intensifie sa pénétration digitale dans le con de ma surprise du jour. Voyant, vibrant avec l'intensité de cet orage orgasmique je ne manque pas de crier mon bonheur en déchargeant toutes les réserves de mes bourses, tandis que Mariza se tend en un orgasme sonore. J’ai envie d’applaudir le grandiose spectacle que nous venons de vivre. Les doigts de Caline toujours plantés dans le vagin de notre amant, est stupéfaite par cette déflagration sonore. Elle était prise de "court" n'étant même pas encore aux abords de son plaisir, mais elle ne semble pas vraiment frustrée. Le plus important pour elle c'est mon plaisir !
Le sien viendra quand il viendra et il sera magnifique !
Je décrète qu’une pause nous fera du bien. Caline se lève, et se dirige vers la cuisine. Elle va installer la table pour le dîner d’anniversaire de son mari. Tout est déjà prêt, elle n’a plus qu’à poser les assiettes, les verres et les couverts, sortir les plats et le champagne. Mariza et moi la rejoignons nus comme un ver. Nous l’aidons à dresser la table, et nous dînons tous les trois.

___________________


Qui ne serait pas heureux comme moi de partager ce repas avec deux, aussi belles déesses qui, dès qu’elles se lèvent, exhibent leurs fesses en se trémoussant, en bombant le haut de leurs corps et donnant des envies que le plus prude des papes ne pourrait y résister. Bien entendu, la conversation ne s’oriente pas vers la conjoncture économique ou les évolutions de la littérature contemporaine.
Je m’attendais à ce que la soirée soit un énième classique restaurant romantique... etc... Comme les 15 derniers que j'ai passé avec Caline, mais voilà et je remercie ma chérie pour la surprise. Je remercie aussi Mariza de s’être prêtée au jeu. Elle me répond qu’elle est fière que mon épouse ait pensé à elle pour compléter le tableau. Elle est fière, et contente, car elle nous avoue être un peu en manque de sexe :

— En fait, j’ai été sage comme une nonne depuis notre séance ensemble, et je réalise que c’était il y a deux mois, déjà... C’est vrai que j’ai été très occupée avec mon emménagement, mon nouveau poste, et je suis pas beaucoup sortie. Je fréquente seulement quelques collègues, qui sont sympas, mais je pense pas qu’ils deviendront de véritables amis. Encore moins des amis comme vous, ajoute-t-elle avec malice.
— Tu peux geindre, réponds ai-je, mais ne compte pas sur nous pour te plaindre : roulée comme tu es, tu peux avoir n’importe quel homme à tes pieds. T’as juste à faire ton choix. Et pour ce qui est des femmes et je ne pense pas que Caline dira le contraire !
— Je vous remercie du compliment, répond Mariza, mais le mec le plus craquant que j'ai eu la chance de connaître dans cette capitale est déjà pris. Ceci dit, son épouse – qui est canon, aussi – a eu, lui aussi, la bonne idée de la partager avec moi... Je sais pas si je me fais bien comprendre ?
— C’est bon, je crois qu’on a pigé, dis-je en riant.
— Mais une fois tous les deux mois, c’est pas mon rythme biologique. Et Victor a beau faire de son mieux, mais c’est quand même pas kif-kif !

Caline et moi demandons en même temps :

— Victor ?
— Ah oui, c’est vrai je vous en ai pas encore parlé. Victor, c’est mon vibromasseur.
— Ah, OK, fais-je en riant.
— T’as l’air étonnée. Tu pensais pas que j’en avais un, ou bien, tu sais pas de quoi il s’agit ?
— Je sais ce que c’est, tout de même. Mais je dois reconnaître que j’en ai jamais utilisé. Dit Caline.
— Ah oui ? Je pensais que toutes les femmes avaient au moins testé. En tout cas, elles devraient. Tu as jamais eu envie, en te masturbant, d’être pénétrée ?
— Si, et maintenant que tu m’en parles, je me rappelle que je suis même passée à l’acte une fois, il y a assez longtemps. J’étais célibataire. J’avais une grosse envie, qui m’a prise soudain, pendant que je faisais des courses. Alors j’ai acheté un concombre, que j’ai choisi, ni trop gros ni trop petit, et bien dur, exprès pour ça. En rentrant, je suis directement allée dans ma chambre, j’ai enfilé une capote sur le concombre, et je me suis fait plaisir avec. C’était plutôt bien, je dirais... Mais j’ai pas renouvelé l’expérience, je sais pas pourquoi. Faut croire que mes mains me suffisent. Toi, tu dirais que tu préfères avec un vibro qu’avec tes mains ?

Elle hésite.

— Préférer, c’est pas le mot... C’est plutôt... Différent... Un peu comme... Faire l’amour avec une femme ou avec un homme. Je me sers pas de mon Victor à tout bout de champ, à vrai dire. Je l’utilise... En fonction de mon désir du moment. Parfois, je mets pas en route les vibrations, je l’utilise simplement comme un godemiché. Ou bien je le fais vibrer, mais sans le faire entrer, juste sur le clito... Et... Sur la question "mieux qu’avec les mains"... Je dirais que tenir le vibro, ça ne mobilise qu’une main, ça t’empêche pas de faire ce que tu veux avec l’autre... Bref, pour moi, c’est vraiment une façon supplémentaire de se donner du plaisir. Avoir un vibro dans la table de nuit, c’est une possibilité offerte. Le choix, c’est ça qui est le mieux, non ?

Caline se tourne vers moi, et me demande d’un coup :

— Tu veux bien te lever ?

Sans bien comprendre, je m’exécute. Dès que je suis debout, Caline et Mariza éclate de rire, et moi avec : comme je l’avais prévu, la conversation que nous venons d’avoir m'a excité. Je reprends :

— Tu vas devoir patienter un peu, mon chéri, il y a un dessert.

Tout le monde est émoustillé, alors le repas ne traîne pas. Nous sacrifions quand même à la tradition : gâteau, bougies, chanson de joyeux anniversaire, remise de cadeaux, champagne. Ceci fait, nous regagnons la chambre. Mariza propose, en s’adressant à Caline :

— Comme c’est son anniversaire, on devrait le laisser choisir ce qu’on fait, non ?
— Bonne idée... Hamidou... Qu’est-ce qui ferait plaisir à mon homme ?

Je ne réfléchis pas bien longtemps :

— Je vais avoir l’air très classique, mais pour commencer, je choisis une fellation à deux bouches !

Mariza me pousse sur le lit, et elles prennent mon sexe, à moitié en érection, d’abord dans leurs mains. Caline tire un peu Mariza vers moi, et lui frotte le gland de mon zob contre ses seins. Son initiative est couronnée de succès : je vois avec plaisir ma bite caresser les mamelons dressés de Mariza. Puis, ma coquine se sert de sa langue pour lécher le bout du sexe de son mari, en alternance avec les seins de l'hispanique nana qui est dans notre lit. Bien dure, Caline prend ma queue dans sa bouche, tandis que Mariza me lèche les couilles. Puis, elles échangent : Mariza suce pendant que Caline lèche. Elles alternent ainsi un bon moment, me provoquant de longs gémissements... Je les supplient d’arrêter :

— C’est trop bon, mais j'ai une idée pour la suite.
— C’est toi qui décides !
—Caline... Je voudrais que tu t’allonges sur le dos, et vous vous mettez en soixante-neuf.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Elles s'installent en position. Leurs minous ne tardent à mouiller pendant la séance de lèchouillage... Mariza le fait divinement bien et Caline s’applique à lui donner du plaisir en retour. Je les regarde plusieurs minutes, puis mes mains viennent compléter leurs caresses. Nous laissons monter notre plaisir, je tiens mon sexe dressé dans sa main. Je m’approche du sexe de Mariza, pose mon gland à l’entrée du son garage à quéquettes. La langue de Caline, passe des lèvres du sexe de mon amante à l’extrémité de mon sexe. Je sens qu'elle est au comble de son excitation.
Je commence à m’introduire, petit à petit. Je suis accueillis par un vagin bien disposé, bien préparé par les coups de langue d'une experte.
J’ai une scène érotique en gros plan : Caline lèche la jonction entre deux sexes. Mariza a mis son doigt bien au fond de la moule à ma femme, augmentant mon excitation.
Et moi je bourre à fond, ce con tout chaud.

Mariza a encore la tête sur les épaules, fait maintenant jouir avec deux doigts, qui sont logés en Caline comme une bite, lui faisant parcourir de délicieuses arabesques dans mon vagin. Je donne de grands coups de reins tout en tenant Mariza aux hanches...
Je m'imagine que du bout de sa langue, glissée à la jonction des deux sexes, Caline, doit sentir très distinctement les pulsions de mon éjaculation.

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Je ressors une bouteille de champagne, et nous finissons la soirée en bavardant tranquillement. Après le départ de Mariza, Caline et moi avons profité d’une bonne nuit de sommeil.


À découvrir notre prochaine évasion sexuelle...

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