Le petit accrochage - histoire érotique

Comme toujours, mes histoires sont toutes de pures fictions et fantasmes, mais cette fois je ne parle pas de moi, j’utilise des personnages fictifs :
Amélie, jeune femme de 29 ans, divorcées de Denis, qui lui a préféré un autre homme, mais très bon père pour leur fille de 4 ans, Zoé.
Chloé, la meilleure copine d’Amélie, voir même un peu plus dans les moments de disette sexuelle trop longue. Chloé a 26 ans, célibataire endurcie, elle aime autant les hommes que les femmes.
Nous sommes vendredi et le week-end pointe son nez. Comme souvent, lorsque Zoé est gardée par son père, et que Chloé n’a pas d’autres obligations ailleurs, souvent des plans cul, les deux copines se retrouvent pour passer un moment ensemble.
C’est pour ça qu’Amélie n’arrête pas de regarder sa montre, impatiente que la semaine se termine et de retrouver sa copine.
Mais est-ce qu’Amélie est vraiment impatiente de revoir Chloé ou plutôt pour lui raconter ce qui lui est arrivé depuis leur dernière rencontre ?
Amélie arrive enfin sur le parking et aperçois Chloé appuyée contre sa voiture.
Elle se dit en elle-même
-Elle est à croquer, avec sa mini-jupe qui lui remonte haut sur les cuisses, pour un peu on verrait la culotte, si tenter qu’elle en ai mis une !
Amélie embrasse Chloé, déverrouille la voiture, s’installe au volant et démarre promptement.
Tout au long du chemin, Amélie se demande comment elle va aborder le sujet qui la préoccupe depuis déjà plusieurs Jours. Elle sait que Chloé est très ouverte et prête à faire plein d’expériences, mais là Amélie redoute la réaction de son amie.
Chloé se rend compte de la gêne d’Amélie et la questionne :
-Mais qu’as-tu aujourd’hui ? Je te sens nerveuse ? Des problèmes au boulot ?
-Non, répond un peu timidement Amélie
-Alors s’il n’y a rien, arrête de faire cette tête !
Enfin, elles arrivent à l’appartement d’Amélie et là, Chloé insiste :
-Alors Amélie, tu la craches ta pilule, qu’est ce qui se passe ? Tu es enceinte ?
-Non, non répond vivement Amélie, assieds-toi, je vais tout te dire. On prend un petit apéro et je te raconte.
-Ok, je t’écoute
Amélie sert deux verres de vin blanc, prend place en face de Chloé et, après s’être raclé la gorge, commence son récit.
-Voilà, la semaine dernière avec Zoé nous sommes allées faire quelques courses et sur le chemin du retour, j’ai percuté une voiture devant moi.
-Et c’est pour un petit accrochage que tu te mets dans tous ces états ?
-Non, laisse-moi parler sans m’interrompre, s’il te plait.
Sur le moment, j’ai eu un peu peur que le conducteur de l’autre voiture soit très en colère.
Je sors de ma voiture, et, à ce moment, je vois arriver un monsieur avec une très belle barbe blanche et un grand sourire aux lèvres.
-Bonjour, il n’y a pas grand-chose, rassurée vous ! me lance-t-il en s’approchant de moi, on ne va pas rester là pour le constat, on gêne trop la circulation.
Je le regarde et l’écoute à peine, je ne sais pas ce qui se passe, mais j’ai comme des picotements dans le ventre.
Il poursuit :
-Un peu plus loin, il y a une grande surface avec un parking et une galerie marchande, on pourra faire le constat un buvant un café.
Je réponds un vague, d’accord, je vous suis.
Arrivés dans la galerie marchande, nous nous installons à une table.
Nous commandons deux cafés et un petit chocolat pour Zoé.
Je ne peux détacher mon regard de ce monsieur d’un âge déjà avancé, je me pose la question, quel âge a-t-il ? 60, 65 ans ? Je le trouve beau avec cette barbe blanche et ce sourire qui ne le quitte jamais. Je suis en train de rêvasser lorsque nos consommations arrivent et que mon compagnon de table m’annonce :
-Ca y est, j’ai terminé.
Sa voix chaude me fait retomber sur terre, sans pour autant faire cesser les picotements, bien au contraire, ceux-ci gagnent même mon petit minou qui, je le sens commence à s’humidifier.
Je me fustige en me tournant vers Zoé :
Eh, arrête tes bêtises et occupe-toi de Zoé !
-Laissez, je vais m’occuper d’elle pendant que vous relisez le constat et le signez
Cette voix, me fait vibrer, et là, je sens plus que des picotements, je sens que je mouille ma culotte.
Je signe le document sans vraiment le regarder, j’avale mon café, je remarque, quand même que ma fille fait plein de sourires à Pierre (et oui, malgré tout, j’ai pu lire son prénom sur le constat) qui lui fait boire son chocolat.
Je dis au revoir à Pierre, quitte le bistrot pendant qu’il va régler la note.
-Et, c’est juste pour ça que tu faisais une tête pareille ! Juste parce que tu as mouillé ta culotte en regardant un vieux monsieur qui te plaisait ? Tu croyais quoi, que je serais surprise ! Je sais que tu aimes les vieux, s’exclame Chloé
-Mais, je n’ai pas fini
-Ah ! Il y a une suite ?
-Oui, si tu me laisses continuer
-Ok, mais avant, je veux bien un autre verre de blanc, s’il te plait
Amélie ressert deux verres et reprend son récit
-Tout aurait pu s’arrêter là, mais voilà !
Mercredi dernier, comme chaque mercredi, je n’avais pas Zoé et j’avais pris ma journée. J’étais tranquillement en train de classer un peu du papier, mettre de l’ordre dans mes comptes, quand le carillon de la porte d’entrée retentit. Je regarde par l’œilleton et, qu’elle n’est pas ma surprise, Pierre est là. Instantanément, les picotements me reprennent.
J’ouvre la porte et Pierre me dit :
-Bonjour, excusez-moi de vous déranger, mais je suis venu vous rapporter ça !
-Ah ! Mon stylo !
-Vous l’avez oublié sur la table l’autre jour.
-Merci ! Mais ne restez pas à la porte, entrez, je vous en prie
Je l’invite à s’assoir là où tu es en ce moment, et j’ai du mal à rester sereine, je sens ma chatte qui mouille et mon tee-shirt a du mal à cacher mes tétons qui durcissent de plus en plus
-Je vous offre quelque chose, un café, un verre de vin
Il me répond avec un léger trémolo dans la voix que je ne lui connaissais pas, serait-il lui aussi troublé ?
-Je, je veux bien un petit café
Je me précipite à la cuisine et reviens avec les boissons.
Je me penche en avant pour déposer la tasse devant Pierre et je remarque que son regard vient explorer mon décolleté, ce qui a le don de m’exciter un peu plus. C’est à ce moment-là, que je constate la déformation de son pantalon juste en haut de ses cuisses, je n’y tiens plus et le questionne immédiatement :
-Ils vous plaisent ?
Il bafouille en retour
-Co…, comment ?
-Mes seins, ils vous plaisent ?
Un peu gêné, il me répond
-Euh ! Pardonnez-moi, je n’ai pas pu résister
J’enlève mon tee-shirt et lui dévoile mes seins dardant fièrement leur pointe
-Et comme ça, ils vous plaisent toujours
-Oh oui, répond-t-il, j’ai très envie de les sucer, de les lécher, de les peloter
-Alors, allez-y !
Alors, il se lève de son fauteuil et, me prenant dans ses bras, me dépose un long baiser sur la bouche, nos langues se cherchent, finissent par se trouver et entament une folle sarabande.
Pendant ce temps, ses mains ne restent pas inactives. De la droite, il me caresse le sein gauche, le malaxe, en pince le téton qui est maintenant dur comme une petite pierre, alors que sa main gauche caresse mes fesses et bientôt vient explorer mon entre-jambe à travers mon petit short.
Je glousse, je suffoque et à mon tour, je glisse ma main vers le bas de son ventre et je sens sa queue déjà très dure qui palpite d’impatience, bien trop à l’étroit dans sa cachette.
Je descends le long de son corps et, une fois à la bonne hauteur, je défais la ceinture de son pantalon que je fais glisser sur ses cuisses, puis je fais subir le même sort à son boxer mais plus lentement et soudain, comme un diable qui sort de sa boite, sa bite me saute au visage. Doucement, je la caresse, l’entoure de mes doigts. Alors j’entends Pierre dire dans un râle de plaisir :
-Oh, oui ! Branle-moi !
N’écoutant que mon devoir (au combien agréable), je commence à faire des allers et retours sur sa bite tendue. Ne pouvant plus résister, je lui lèche le gland et gobe sa queue.
-Ah ! Oui, c’est trop bon !
-Tu me fais mouiller avec ton histoire, intervient Chloé en glissant la main entre ses cuisses, ma culotte (donc elle en avait une pour une fois) est toute trempée.
Amélie, elle aussi toute émoustillée, sent son entre-jambe s’humidifier de plus en plus, et ce n’est pas de voir Chloé qui se masturbe qui va arranger les choses, surtout que cette dernière se lève, retire son tee-shirt découvrant ses seins nus et leurs pointes dressées qu’elle caresse, et très vite la culotte imbibée de cyprine, glisse le long de ses jambes fuselées pour rejoindre le sol ,découvrant ainsi sa jolie petite chatte complètement épilée.
Alors que Cloé se branle de plus en plus fort, s’astique le clito, introduit un puis deux doigts au fond de sa grotte intime. Amélie a du mal à résister à ce spectacle très excitant, puis gémit :
-Arrête, je ne vais pas pouvoir continuer à raconter, j’ai la chatte en feu, hum
-Fous toi à poil que j’éteigne l’incendie avec ma langue
Aussitôt dit, aussitôt fait, Amélie se déshabille très rapidement et invite Chloé à la rejoindre sur le canapé
-Viens, bouffe moi la moule !!!
Chloé ne se fait pas prier et vient s’agenouiller entre les cuisses très largement ouvertes d’Amélie, et sa langue commence à lécher le clitoris puis les grandes lèvres qu’elle écarte avec sa main gauche pour pouvoir pénétrer le plus profond possible dans cette grotte maintenant dégoulinante. Amélie se tortille sur le canapé en gémissant :
-Oh ! Ouuuuuuuuuuuuuui vas-y, c’est trop bon !
La langue de Chloé continue d’aller et venir une fois au plus profond de la chatte, une fois sur le clito et même sur le petit cul d’Amélie, ce qui a pour effet d’exciter encore plus cette dernière
-Ah ! Tu vas me faire jouir, salope. Donne-moi ta chatte que je puisse me régaler de ton jus
-Ok, répond Chloé, allonge toi sur le dos
Amélie se couche sur le dos, chatte totalement offerte et Chloé la chevauche tête bêche pour un 69 endiablé.
Les langues lèchent, virevoltent, s’enfoncent aussi loin que possible dans les vagins qui ne cessent d’envoyer, l’un comme l’autre, des petits jets de cyprine, elles vont même explorer les petites rondelles étoilées essayant de se frayer un passage dans les petits culs.
Et soudain, Chloé hurle son plaisir :
-Ah ! huuuuuuuuuuuuum, vas-y, je vais jouir, oh ouuuuuuuuuuuui
A ce moment-là, son vagin se contracte plusieurs fois et lâche sa jouissance dans la bouche d’Amélie qui lèche encore plus fort ce minou ruisselant avant, qu’à son tour, elle décharge toute sa sève dans la bouche de Chloé.
Après s’être mutuellement nettoyer la chatte, elles se laissent aller, l’une à côté de l’autre afin de récupérer.
Tout à coup, Amélie fait surface et se rend compte que Chloé dort profondément. Elle secoue doucement sa copine qui a du mal à sortir du sommeil
-As-tu faim ?
-Oh oui, l’amour ça creuse ! répond Chloé
-D’accord, on mange un bout. Et après je te raconte la suite ?
-Après, je crois que je vais dormir. Tu pourrais me la raconter demain ? Si la fin est aussi excitante que le début, ça nous promet encore des bons moments.
-Tu as raison, je prépare un encas et au lit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Si la suite vous intéresse, faites moi le savoir, j’essaierai de l’écrire rapidement.
Merci chères lectrices et chers lecteurs
Papy Charly