le réveil d'un autiste, Barbara 2

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : le réveil d'un autiste, Barbara 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
le réveil d'un autiste, Barbara 2
Après Audrey, sa sœur Barbara.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.


Barbara
Ceci fait, elle fait glisser les bretelles de son haut, pour rester en soutien-gorge, se demandant si son cousin est perturbé par ce qu'il voit. Il pose alors les mains sur ses seins. Ça l'électrise légèrement, mais son inactivité lui rendit très vite ses esprits. Elle lui explique alors :
- Il ne suffit pas de poser ses mains gros bêta. Il faut masser aussi, et il vaudrait mieux que tu les poses directement sur ma peau. Là, je ne sens rien.
- T'es sûre que ça ne te gêne pas ?
- Si je te le dis gros malin, elle l’encourage avec un sourire.

Suite :
Il dégrafe le soutif pour avoir un peu de place pour placer ses mains et remonte lentement la courbe des seins. Il prend pleinement conscience de la situation et entame un léger mouvement circulaire de plus en plus rapide. Elle a réussi à démontrer à Narcisse qu'il peut se montrer maitre de son désir et s’occuper de celui de sa partenaire. Bien sûr, ce n'est qu'un début, il y a encore beaucoup d'efforts à faire, mais elle est certaine qu’il deviendra un amant exceptionnel quand il vaincra cette barrière qui barre la route à son propre plaisir. Elle fera tout pour cela, y étant personnellement intéressée pour apaiser ses propres besoins sexuels. Mais pour le moment elle compte surtout bien profiter de la merveilleuse bite lorsque le désir vient agacer sa chatte.
-Embrasse mes bouts, demande-t-elle. J'aime tellement quand on m'embrasse les seins.

Il entoure le torse de sa cousine de son bras, écrasant ainsi le sein prisonnier à la chair satinée contre son visage, tétant cette mamelle gonflée tel un petit enfant. Sous la succion de son mamelon, Barbara ressent une onde de bonheur l'envahir, elle a toujours apprécié ce genre de caresse, et ça, depuis sa puberté, les premières fois avec ses sœurs qui connaissaient cette zone érogène ne s’en privaient pas de l'utiliser, la rendant folle d'excitation. Aujourd'hui, Narcisse a pris leur place et la succion un peu hésitante n’est pas aussi affolante, n'en est pas moins fort voluptueuse.
Le corps parcouru de frissons sensuels, Barbara accentue son déhanchement, faisant ainsi coulisser plus rapidement sa peau le long du membre viril tendu. Toutes les terminaisons sexuelles de son vagin distribuent des ondes voluptueuses crées par le frottement incessant du gland uniquement séparé par ce malheureux tissu, de son corps en sueur.

Sa jupe est maintenant tout à fait retroussée et les doigts masculins glissent dessous, sur ces fesses rondes, fermes et si douces, faisant descendre le collant.
-Tu ne devrais pas faire ça !
Mais son regard dit tout le contraire. Une fois le collant enlevé, Narcisse ne veut plus s’arrêter là, sa joue frôle maintenant les cuisses, ses lèvres se délectent de la peau sucrée et de la chaleur qui provient du slip de sa cousine. Elle fait l’offusquée.
– Non, arrête ! Mais ses doigts agrippent les cheveux de Narcisse. Il écarte le slip et découvre la fine et belle toison déjà toute humide. Barbara sait que plus rien ne pourrait l’arrêter maintenant.
-Sers-toi de ta langue Narcisse, suce-moi la chatte.

En bon petit soldat, il enfourne sa langue entre les lèvres du sexe de sa cousine, découvrant qu’elle trouve son plaisir autrement. Il aime aussi cette autre façon de la sentir mouiller. Il suce cette excroissance, comme un petit sexe, qui s’allonge et durcit, il attaque son clito avec un appétit féroce, pendant que ses mains écartent les fesses et qu’un de ses doigts rencontre un autre puit et s’enfonce dans son anus.
Narcisse la boit carrément alors qu’elle n’arrête pas de répéter son prénom en lui disant d’arrêter mais en pressant ses mains sur la tête de son tourmenteur.
Sa voix est plus douce et plus saccadée et finit dans un murmure.
-Aaahhh Narcisse, Narc….

Prise par la montée du plaisir à l'intérieur de ses entrailles, sur le point d'envahir la totalité de son corps, elle ressent soudain un choc émotionnel. Narcisse vient d'enfoncer l'un de ses doigts dans son anus. Décontenancée devant cet attouchement auquel elle ne s'attendait pas, elle s'immobilise. Comment Narcisse a pu songer à ce genre de pénétration et se permettre une telle audace ? Mais comme cette introduction anale lui procure un plaisir insolite, mais sublime, elle s'abandonne au bien-être que lui procure cette sodomisation digitale. Avec le COVID. Il y a si longtemps qu'un doigt, autre que le sien, n'était venu se loger en cet orifice !
Affolé par la réaction inattendue de Barbara, il s'immobilise à son tour, le doigt fiché dans le cul de sa cousine en présumant qu'il n'aurait jamais dû oser cette introduction non conventionnelle. Il redoute des reproches mérités de la part de sa partenaire. Peut-être va-t-elle le repousser et lui dire de regagner sa chambre ? Aussi, avec beaucoup de précautions, il tente de retirer son doigt du cul outrageusement investi mais une résistance inattendue des muscles anaux l’en empêche avec insistance, Narcisse remue son doigt avec plus d'audace dans l'orifice anal qui se relâche doucement. La pénétration de son majeur dans le cul accueillant arrache un gémissement à sa cousine.

Le visage enfouit entre les cuisses moites, Narcisse améliore cet attouchement qui semble tant plaire à Barbara. Il n'en revient pas qu’elle puisse ressentir un tel plaisir à cette introduction. Dans ses fantasmes les plus osés, il croyait que seul le sexe féminin amène la femme au plaisir. En serait-il de même s’il enfonçait sa queue dans ce sanctuaire inimaginable pour lui. Mais il constate combien Barbara apprécie cette pénétration si particulière. Oserait-il remplacer son doigt par sa verge ?
Sa tête blottie entre les cuisses de Barbara, le visage de Narcisse ruisselle de cyprine. Il n’en peut plus, ayant l’impression que son sexe va exploser. Barbara se remet doucement de cet orgasme mais a encore faim, faim est un vain mot. C’est sa chatte qui réclame son dû.
Après des caresses pour la faire redescendre dans les tours, elle glisse sa main dans le pantalon du survêt de Narcisse, ses doigts saisissent le sexe érigé et commence à le masturber pendant qu’il caresse les seins de sa cousine.

C’est alors que Barbara le repousse, lève une jambe et pose son pied sur le lit, lui montrant le chemin de son entrejambe et sa fine toison. Sa main glisse le long de sa cuisse pour se poser sur son pubis qu’elle caresse langoureusement. Les lèvres vaginales s’écartant de plus en plus, elle introduit son index, le ressort et se le met en bouche avant de le replonger plus profondément dans sa chatte. Elle met un deuxième doigt, puis un autre, puis sa main se met à aller de plus en plus vite dans sa fente. Après un moment, elle se cambre d’un coup et pousse un doux gémissement de plaisir puis jette un coup d’œil en direction du sexe de son cousin, tendu comme jamais, lui sourit et fait un mouvement de tête, comme une invitation.
La bite courbée glisse doucement maintenant entre les cuisses féminines, le gland mafflu entrouvre le sexe de sa cousine. Narcisse prend la direction des opérations. Il la bascule sur le lit et elle se retrouve les seins dans les draps et les genoux sur le parquet, lui offrant sa croupe. Elle lui tend son petit cul et il ne se fait plus prier. Il la pénètre d’un coup et la ramone sans ménagement tout en lui caressant les fesses de ses mains. Quel pied ! Cela explose dans le ventre de Barbara. Tout le bas de son corps est douloureux du plaisir qui monte, elle ne tarde pas à jouir sous son pilonnage. Il sent le manchon brûlant du sexe de sa cousine lui enserrer la verge. Le plaisir est décuplé depuis ses bourses jusqu'à ses entrailles mais son cerveau se refuse toujours à lui faire connaître l’extase.

Alors qu'il se démène passionnément, profitant du va-et-vient de sa croupe, Barbara perçoit soudain un vide à l'intérieur de son vagin affamé. La queue qui la pilonnait s'est échappée de sa chatte liquéfiée. Lançant vivement une main entre ses cuisses, elle empoigne la verge gluante de ses sécrétions vaginales.
-« Frérot », ta queue est toute poisseuse, se gausse-t-elle. J'aime avoir ton beau chibre dans ma chatte, c'est si bon quand ton gros bout tape tout au fond... Hhhuuummm, c'est un vrai régal...
Mais au moment où elle s'apprête à replacer le sabre toujours aussi gonflé entre les grandes lèvres de sa vulve, une pensée perverse et incongrue lui traverse l'esprit et il ne lui faut qu'un dixième de seconde pour la mettre en application, ne réalisant pas encore ce qui l’attend. Elle frotte le gourdin courbé sur sa fente et le remonte plus haut vers son anus pour continuer son manège. Après avoir humidifié sa rondelle, elle place à son entrée le bout de la virole et pousse doucement… ¬
-Allez ! Sodomise-moi en douceur, je suis sûr que tu vas adorer ça…

Le jonc toujours aussi vigoureux pénètre peu à peu sa rondelle, son anneau musclé se détend à peine, ne laissant que le gland se faufiler et qui reprend aussitôt la frontière passée qui l’a tant compressé les quelques millilitres de sang qu’il avait perdu. Les fesses en l’air, à la merci de l’énorme mandrin, son excitation est à son comble. Barbara écarte de ses mains ses fesses et pousse en arrière dès qu’elle sent son anus se distendre enfin. Le défonce-cul s’insinue toujours plus loin, s’installe, prenant lentement sa place, glisse doucement dans son conduit anal qui n’a jamais été à telle fête.
Enculée jusqu’à la garde dans cette drôle de position, quasiment nue. Sous cette pénétration anale dont elle a été privée depuis le début du confinement par son « Jules », Barbara ressent un immense bonheur, son anus n'a rien perdu de son élasticité, il est toujours capable d'accepter un membre viril, si dur et si imposant soit-il, et celui de Narcisse a la première place du podium, question gabarit. Lorsque la totalité de la longue verge courbe se trouve enfoncée dans son conduit anal, elle s'immobilise, afin de s'habituer à cette présence incongrue à l'intérieur de son rectum :
-Tu vois Narcisse, lance-t-elle... Ta queue peut s’enfoncer dans mon cul... Tu me sodomises.
Empale-moi ! Empale ta queue dans mon beau petit cul ! Ton mandrin me perfore, défonce mon intimité, frappe tes couilles sur ma fente, fiche-toi au tréfonds de moi ! Putain de merde ce que je dérouille mais n’arrête surtout pas !

Le plaisir est tel qu’elle explose et crie de plaisir, le supplie de la prendre à fond, de la pourfendre comme la dernière des traînées, comme une chienne. Narcisse recommence son travail de sape comme dans la chatte. Il la pilonne, la pistonne, l’encule de toutes ses forces avec toute la vigueur de sa jeunesse et de sa force, son léger autisme abolissant tout blocage mental. Est-ce que le fait d’enculer sa cousine le stimule encore plus ? Il ne le sait pas lui-même... A grands coups de reins, il l’empale, jouant du pouvoir sexuel de cette queue qui ne faillit jamais, ressortant presque de l’anus dilaté, le gland au bord du cratère dilaté puis repart au fond de ce boyau. Barbara ne cherche pas à retenir sa jouissance qui une nouvelle fois la terrasse et l’encourage dans sa mission.
-Pine moi avec ton sabre, donne des coups d’estoc, et à la fin embroche-moi toujours plus loin, toujours plus fort !!!

Tous ces encouragements amplifient encore le désir de Narcisse, qui ressent une onde de plaisir lui irradier le bas-ventre. Cette pénétration qu'il avait commencé quelques minutes plus tôt avec un de ses doigts est tout autre, et c’est Barbara qui lui offre cette nouvelle et merveilleuse opportunité de donner du plaisir à une femme. Le fourreau qui enserre sa verge est non seulement moins brûlant, mais aussi beaucoup plus étroit, plus resserré. A la pensée que sa verge est complètement fichée dans ce cul, ses sens s'affolent, lui procurant un début d'orgasme. Mais malgré ses efforts sur sa libido, il ne parvient toujours pas à l’éjaculation libératrice. Le bas-ventre et les reins tétanisés, il implore Barbara
d'une voix faible.
-Excuse-moi mais je n’en peux plus, je suis vidé, il faut que je me repose.

Barbara elle aussi est complètement exténuée et déçue dans son for intérieur de n’être-pas arrivée à amener Narcisse au Nirvana. Il faudra qu’elle demande à Audrey si elle aussi n’a pas mieux réussi. Ils restent allongés un grand moment. La queue perd enfin lentement du volume encore brillante des secrétions vaginales de Barbara.
Comme sa sœur, elle s’évertue plusieurs fois à corriger ce problème, mais rien n’y fait.

A suivre. Rose et Margo.

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