Le réveil d'un autiste, Tatiana 1 - histoire érotique

Faisons connaissance avec la mère de toutes ces débauchées.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie

Tatiana

(Narcisse)Elles sont toutes reparties. Je suis bien seul maintenant mais j’ai changé, beaucoup changé.
A tout bout de champ, je me mets à bander, repensant à toutes ces fois où je me suis fait branler, sucer, pomper, broyer la bite par des chattes affamées. Je ne pense plus qu’à ça.
Dès qu’elle le peut, je rejoins Lou et la saute des heures entières pour son plus grand plaisir. Mais ça me suffit à peine, je lorgne maintenant vers ma mère adoptive, essayant de la provoquer, de lui montrer qu’un mâle en rut en manque de jument à couvrir sommeille en moi.

Suite : Tatiana.
Ce virus me fait peur, si peur que je n’ai même pas trop profité que toutes mes filles soient présentes sous mon toit, m’isolant presque dans mon appartement et les laissant profiter seules de tout le confort des chambres d’hôtes comme du jacuzzi. Pourtant avec mon éducation finlandaise, c’est un lieu de réunion sans tabou. Même pour les courses, je me fais livrer et j’ai été étonnée que Narcisse accepte d’aller seul à la pharmacie. Et d’ailleurs je me demande pourquoi il y retourne si souvent.
J’ai remarqué que son comportement a beaucoup changé pendant ce confinement. Il a pris de l’assurances et ses cousines ne le traitent plus comme l’esclave de service corvéable à merci. D’ailleurs même pour elles, je vois bien que leur comportement s’est beaucoup modifié, elles recherchent sa présence, se chamaillent même à son propos.
Cela fait maintenant des mois que mon mari Hervé est bloqué en Chine et vu la façon dont l’état chinois traite son peuple, j’ai bien peur de ne pas le revoir de sitôt. J’ai toujours été fidèle avec lui, comme avec mon premier mari, mais je dois dire que je suis en manque de sexe. Ce n’est pas que je sois une folle de sexe, mais je me languis de sa bite, de cette queue qui m’a donné tant de plaisir, bien plus grosse que celle d’Ulrich, mon défunt premier mari.

Les mois passent. Je me retrouve donc de nouveau seule avec Narcisse, nous retrouvons notre train-train quotidien et je vois qu’il porte maintenant des boxers bien plus fun. Sûrement l’œuvre d’une de ses sœurs. Depuis que Narcisse a été adopté, elles le considèrent comme leur frère. Cela lui moule sa verge que je sais de bonne taille mais que je n’ai jamais vu en érection malgré nos bains communs au jacuzzi ou par des rencontres fortuites à la salle de bain ou dans la salle de massage.
Comme je fais maintenant beaucoup de choses par internet, je plante régulièrement mon ordi et fais appel à Narcisse. Il m’explique le problème et comme je ne suis pas en face de l'écran pour suivre ses indications, je m'assois sur sa cuisse droite pour suivre ses explications. Je bouge un peu du popotin pour être mieux positionnée mais je suis perturbée, je sens quelque chose durcir sous mes fesses. Ce ne peut pas être ? Noonnn !!! Mais si, je ne vois que ça. C'est sa verge, la queue en érection de Narcisse. Mais ça voudrait dire qu'il bande enfin ? Je baisse un peu les yeux et vois entre mes cuisses son pantalon de survêtement qui ne peut cacher la bosse qui le déforme. Comment peut-il avoir une verge si longue pour que je puisse voir ça en étant assis sur lui ? Je suis perturbée mais n’en laisse rien paraître écoutant d'une oreille distraite les explications qu'il me donne.

Quelques jours après, nous nous retrouvons les deux en même temps dans la salle de bain où comme à son habitude il n’a aucune pudibonderie ni tabou à se promener complètement nu. Je constate alors que ses organes génitaux sont complètement épilés et que son bas-ventre a été en partie tondu. Sûrement encore un coup de ses cousines. Comme je suis sous la douche je ne peux rien faire d'autre que continuer de me savonner sous son regard. D'habitude il ne fait pas cas de moi mais là son regard ne me quitte pas. J’assiste de nouveau à un miracle, je vois sa verge se gonfler, prendre ses aises, grandir et grossir en arrivant à l'horizontale. Je crois que son érection va s'arrêter là mais il n'en est rien. Son chibre devient de plus en plus courbe, pointant vers le haut et continue son ascension. Il ne se touche pourtant même pas pour arriver à la plus fantastique érection que je n'ai jamais vu de mes propres yeux.
Je vous ai dit que son oncle Hervé était plutôt très bien monté mais c'est peu dire en comparaison à ce que j'ai sous les yeux. Comment mon bébé peut-il avoir un tel chibre ?
Je ne savais pas qu’un pénis pouvait s'allonger de la sorte. Comme je fais l’indifférente, je le vois se tourner vers le lavabo pour faire ses ablutions mais la glace de la salle de bain me renvoie son image de profil et je vois effarée qu’en moins d'une minute, son sexe redevient une chose flasque entre ses cuisses.
Comment peut-il bander et débander si vite sans même se toucher ? Je subodore que mes filles y sont sûrement pour quelque chose, que ce sont elles qui ont fait de Narcisse, mon bébé plein d'innocence ce véritable faune. Elles n'ont quand même pas osé ? Je me le demande…

J’ai souvent des problèmes de douleur dans les épaules et Narcisse me masse pour atténuer les douleurs. Je suis étendue sur la table de massage et je lui demande de venir, il sort de la douche après une séance de muscu et sans même se revêtir vient se positionner devant ma tête.
Je ferme les yeux, il commence son massage avec ses mains sur mes épaules et ça me fait le plus grand bien. J'ai mon visage à hauteur de son bas-ventre sans que ça ne le gêne le moins du monde et quand je rouvre les yeux, je constate affolée et pour la deuxième fois la croissance exponentielle de son engin. Dans les secondes qui suivent, je vois sa large verge progresser en direction de mon visage. Les centimètres de ce gros sexe qui ne s’arrête pas de grandir provoquent un léger mouvement d’émoi chez moi. La verge de Narcisse arrête sa course à quelques centimètres seulement de mon visage, entourée à sa base de deux gros testicules tout aussi imposants.
Je garde le temps de quelques secondes la bouche en « O », choquée et surprise par l’imposante taille de ce membre presque filial si proche de mon visage.
L’énorme phallus en pleine érection qui pointe dans ma direction a repris cette forme si caractéristique, comme celle d'un sabre de cosaque. Combien mesure-t-il ? Je ne le sais pas. Je n'ai pas le compas dans l’œil, mais elle doit bien faire cinq centimètres de plus que celle d’Hervé. Mais ce qui m'effraie le plus, c'est le diamètre aux dimensions hors-norme de ce mandrin qui dégage énormément de puissance.
Comment peut-on faire rentrer un tel cylindre entre ses cuisses ? Ma chatte n’y résisterait pas.
Mais à quoi je pense ? Je suis en manque de sexe mais pas à ce point-là… enfin c'est ce que je croyais. Stimulée par une telle vue, j'avance mon bras droit et commence à promener le bout de mes doigts sur toute la longueur de cette énorme virgule. Ma caresse est légère mais je ressens avec excitation la douceur de cette longue trique qui pulse sous mes doigts. Après quelques allers-retours, j'ose enfin refermer ma main autour du phallus de mon bébé. Je suis une mauvaise mère bien qu’il ne soit pas vraiment mon fils en faisant cela mais je ne peux m’empêcher de commencer à le masturber. Je me rends alors encore plus compte de l’imposante épaisseur de ce membre puisque mon pouce et mon index n’arrivent pas à se toucher, il manque plusieurs centimètres. Je prends aussi conscience que ma main couvre à peine le tiers de la longueur de ce sexe exceptionnel. J’en mouille la table de massage.
Je commence un léger mouvement de va et vient sur cette verge brûlante qui réchauffe ma main et la peau souple et fine de ce membre me permet de ressentir la dureté de l’acier de son chibre. Je garde un rythme lent et doux, ressentant par la même occasion toute la puissance que dégage cet étonnant pénis courbe. Je mouille terriblement, excitée par la situation. Je l’entends me demander comme une supplique entre deux gémissements.
-Touche mes boules, oui continue, c’est comme dans un rêve.

Satisfaite autant qu’effondrée de constater que l’excitation de Narcisse est encore montée d’un cran, je continue mon petit jeu de caresses en y adjoignant ma seconde main qui n’est évidemment pas de trop sur un tel pal.
- Oh oui « maman », encore ! grogne-t-il entre ses dents.

A suivre : Tatiana