Le Roy 05 Jaffa

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
  • • 614 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
  • • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 462 886 visites.
Récit libertin : Le Roy 05 Jaffa Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 038 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le Roy 05 Jaffa
Le Roy 05
Jaffa



J'étais déprimé, au bord des larmes, je rentrais chez moi en rasant les murs. Ça faisait trois mois, trois mois complets, trois mois longs et sans fin et l'espoir de me voir libérer disparaissait.

Je n'avais plus la force d'attendre, je n'avais plus la force d'espérer. C'est à ce moment que j'ai renoncé. C'était bon, je resterais comme ça le reste de ma vie, je ne serai jamais vraiment un homme, je n'avais jamais touché à une femme et ça ne se produirait pas. J'aurais bien aimé moi …

Surtout que les filles justement, elles me tournaient autour. J'étais devenu très beau, j'avais un corps parfait, plein de muscles un peu partout. Attention pas difformes, pas de ces bras plus gros que les cuisses, pas avec des pectoraux gros comme des fesses. Je gardais un corps mince et élégant mais mes muscles couraient sous ma peau et étaient bien dessinés.

Mon frère avait le même corps, un peu moins musclé mais à peine, normal lui il pouvait évacuer son surplus d'énergie, surtout que sa femme était très … Oui très … Mais bon je ne vous en dirai pas plus c'est ma belle sœur …

Ces jours comme celui-ci ou je n'avais pas le moral je me réfugiais au milieux de mes moutons. J'avais réussi à économiser neuf pièces d'or, Il m'en avait demandé combien déjà ? Sept, il me semble. ' C'est bon ! ' me dijais-je je pourrais le payer mais.

Et c'est là que je fondais en larmes. Je pouvais le payer mais il ne viendrait pas, il avait eu un accident, il avait été volé, il était mort, il ne viendrait plus jamais, et personne ne savais ou était ma clé. C'est à ce moment que j'entendais la voix de mon frère.

– Mais qu'est ce que tu fabriques Flèsh, ton marchand vient d'arriver, je reviens du marché il en train de s'installer.

Je ne vous dit pas, je prenais ma bourse, il y avait largement assez d'argent pour le payer. J'étais entièrement nus avec ma bourse autour du cou et je courais vers le marché.

Je ne le trouvais pas tout de suite puis j'ai retrouvé Jaffa.

– Salut Flesh ! Me lançait-il. Alors ça s'est bien passé pour toi ?

Il était nu, il portait toujours son dispositif.

– Ton père est là lui demandais-je. J'ai l'argent.
– Oui il est là, tu sais on a souvent pensé à toi.

En se dirigeant vers le stand de son père, on prenait le temps de discuter. Il prenait des nouvelles. Lui n'avait pas retiré son dispositif, son père ne voulait pas.

– Je suis un branleur, c'est ce que me dit mon père à chaque fois que je lui demande de me libérer. En fait je crois que je vais porter le dispositif très longtemps, jusqu'à mon mariage, au moins jusqu'à mon mariage. Et en plus mon père ne veux pas que je me marie. Jusqu'à ma majorité au moins, mes trente ans, il me reste encore une dizaine d'année.

Le marchand me recevait avec un grand sourire.

– J'ai l'argent ! Lui disais-je en versant dans la paume de ma main le contenu de ma bourse, les neuf pièces d'or.

D'un geste rapide et précis il les attrapait, c'était un marchant expérimenté. Je voulais protester mais en me regardant droit dans les yeux …

– Tu veux ta clé ou pas ? Me demandait-il d'un ton sec.

Là je restais sans voix. Je voulais tellement ma clé que je laissais faire. Il continuait.

– Il te faut aussi un ceinturon, tu verras un ceinturon avec une cage à bite ça habille et ça fait tout de suite très chic …

Jaffa m'ajustait un très beau ceinturon, un ceinturon de luxe et ma queue réagissait avec force au contacte de ses doigts doux et rapide sur ma peau. Il y accrochait un poignard couvert de petites pierres brillantes. C'est vrai que ça avait de l'allure.

– Tu peux aussi porter un harnais. Rajoutais le marchant. Tu as assez d'argent pour cela mais là par contre c'est sans la cage à bite, une cage à bite avec un harnais ça fait péquenot tu peux pas imaginer, ce n'est pas fashion mais pas fashion du tout.

Sans attendre Jaffa m'enfilait un harnais de luxe, un très bel objet, dans la sangle horizontale il y avait aussi une poche. On pouvait aussi y fixer une cape, c'était tout de suite mieux que de l'accrocher autour du cou.

Ils me laissaient m'admirer un moment dans le miroir. Puis …

– Je ne vais pas te laisser partir comme ça, un harnais, comme je te disais ça ne va pas du tout avec une cage à bite et si je te la retire maintenant je pense que tu ne vas pas pouvoir te contrôler.

Jaffa me déshabillait. Je ne gardais que la cage à bite.

– Mon fils va t'accompagner il te retirera la cage à bite chez toi.

Jaffa avait fait un paquet et était déjà prêt à m'accompagner. Il était vraiment beau, ses doigts était doux et je me souvenais la douceur de sa peau et de sa langue. Le marchand avait raison sur un point, si on m'avait retiré la cage à bite je n'aurais jamais pu me contrôler. À l'intérieur c'était la pression maximum et mon dispositif avait tendance à se relever. Je ne pouvais rien y faire.

Je me calmais un peu en traversant la place. Jaffa marchait juste à côté de moi. Je me sentais mieux, c'était dans ma tête, dans mon corps rien n'avait changé mais dans ma tête, je me sentais bien. La pression dans ma cage restait élevée mais ça ne me dérangeait plus. Je savais que j'allais être libéré, je m'imaginais me branlant pendant le reste de la journée, après c'est sûr, après seulement je retrouverais ma sérénité et mon self-control.

On discutait, Jaffa avait juste vingt ans, il avait deux ans de plus que moi. Son père lui avait mis le dispositif quatre ans plus tôt. C'était un branleur, c'était peut être un branleur mais c'était un branleur qui ne se branlait plus depuis plus de quatre ans.

Il était devenu suceur et avait fini par aimer tout particulièrement de faire défoncer le cul.

Son père n'était pas toujours commode.

Nous arrivions chez moi, je faisais entrer Jaffa dans ma maison, j'avais une pièce pour moi tout seul, mon frère s'était installé chez les parents de sa femme, ils avaient beaucoup de place. Jaffa ouvrait le paquet qu'il transportait et m'enfilait le harnais.

– Tu es très beau avec ce truc sur toi, et en plus tu n'auras plus besoin de de déplacer avec ta bourse, il y a une poche dans la sangle là.

Il me présentait l'objet tout en me l'essayant. Ses doigts étaient particulièrement doux et me chatouillaient, il me faisait bander. Il agrafait ensuite la cape au harnais, c'était une belle, une très belle cape avec une capuche que je pouvais relever sur ma tête.

Il en venait enfin au ceinturon, il ne se privait pas de me caresser le torse, les reins, une mains glissait même sur mes fesses et une autre sur le haut de mes cuisses et descendait jusqu'à mes couilles. Je me retrouvais tout habillé et beau comme un prince.

( Bein quoi, vous ne trouvez pas qu'il était tout habillé là ? Un harnais, une cape, un ceinturon … Bon il y avait encore le poignard qui était sur la table et à la rigueur des sandales montantes … Je ne sais pas ce qu'il vous faut ? ... note de l'auteur )

Jaffa était à genoux devant moi, il me caressait les cuisses, le haut des cuisses, dans sa cage je bandais comme un fou, ma queue savait qu'elle allait être libérée et déjà semblait prête à fêter l'événement. Trois mois s'étaient passés. Le dernier plaisir que j'avais reçu, c'était Jaffa qui me l'avait donné et le prochain … Ça semblait bien être Jaffa qui allait me le donner.

Avec des gestes experts il ouvrait la cage, il fallait aller vite sinon je risquait avec mon érection, de me retrouver coincé avec l'anneau à la base de mon sexe, mais avant même que je réagisse il avait retiré tout le dispositif et je me retrouvais avec la bite qui se relevait.

Jaffa m'encourageait avec la douceur de ses doigts, il se promenaient sur mon corps, sur mon sexe, il approchait son visage et ma queue que je n'avais pas vu depuis trois mois, disparaissait entre ses lèvre, j'avais envie de hurler de plaisir. C'était tellement bon. C'était doux, c'était chaud, c'était humide et il y avais cette caresse incroyable sur mon gland, sa langue sur mon gland me rappelait comment c'était bon. J'avais presque oublié.

Son visage continuait à s'approcher, et son nez s'écrasait sur mon ventre, ma queue s'écrasait au fond de sa gorge. Je manquais d'air, je prenait sa tête à deux mains et je suivais ses mouvements. Il s'enfonçait, je le suivais, il se retirait, je l'accompagnais. Avec douceur je lui caressais les joues.

J'ai un peu peur que vous ne vous fassiez des idées sur nos mœurs. On n'était pas des débauchés, et moi c'était la deuxième fois que je me faisais sucer. On se baladait à poil, mais il ne fallait pas bander en public. Jeunes on pouvait se branler entre nous, mais uniquement entre garçons. Les filles arrivaient presque toutes vierges à leur mariage. Enfin vierges c'était rare parce que dans les semaines qui précédaient le mariage le jeune couple se laissait un peu aller. Ma belle sœur par exemple accoucherait seulement huit mois après son mariage, mais bon, sur ce détail tout le monde fermait les yeux.

Attention ne vous méprenez pas sur nous, en fait on était très prudes. J'allais avoir dix huit ans et j'étais encore puceau. A part les branlettes entre copains, à ce stade de l'histoire vous savez tout de ma sexualité …

Alors déçus, vous vous attendiez à plus croustillant ? Désolé !

Reprenons notre histoire. Jaffa, lui remarquez devait certainement être un peu plus débauché … Jaffa donc, savait ce qu'il faisait et il le faisait bien, ma queue glissait dans sa bouche avec une facilité déconcertante, elle n'avait pas diminué en taille, un moment j'en avais eu un peu peur, elle était toujours énorme mais ça ne semblait pas le déranger.

Je ne sais pas comment il faisait ça, mais je sentais des caresses de quelque chose de doux et mou en permanence, quand il avançait son visage vers moi ou quand il relevais la tête.

Je lui caressais les cheveux, ils étaient courts, ils étaient doux, c'était comme une brosse très douce en soie. J'étais debout devant lui, il était à genoux devant moi, j'étais tout habillé, il était nu. Je me laissais aller et par moment je lâchait un coup de bassin, ma queue allait alors directement s'écraser au fond de sa gorge, par réflexe il reculait la tête et il reprenait.

Je me sentais bien, tellement bien que je continuais à me laisser aller, je m'abandonnais totalement et maintenant j'appuyais sur sa tête au moment ou je lui donnais un coup de bassin, puis j'appuyais de plus en plus fort, il résistait et tentait par réaction de se dégager puis il y renonçait. Il tentait alors d'encaisser et de tenir.

À ce moment je lui appuyais alors sur la tête de toutes mes forces, ma queue qui était pourtant énorme disparaissait totalement son nez s'écrasait sur mon ventre et ses lèvres suçaient alors la base de ma queue.

Quand je le relâchais, il reculait sa tête, il était tout rouge, il reprenait son souffle et reprenait. Il en voulait, ce devait être le manque. Ça faisait plus de quatre ans, moi j'avais été en manque pendant trois moi, et déjà je ne vous dit pas mais je commençais à avoir des idées bizarres, je commençais à rêver que je me faisait défoncer le cul et que j'y prenais goût.

Les coups de bite que je lui donnais dans la bouche étaient violents et sans prévenir je le retenais fermement et je jutais dans sa gorge, il a encaissé, il n'a pas protesté, il n'a pas râlé, il a tout avalé c'est tout.

Je lui crachais plusieurs giclées bien denses, bien riches, j'avais du stock, depuis plusieurs mois j'avais fait des réserves.

Je me sentais mieux. Il se relevait, je lui donnais un baiser, il avait l'air surpris. Il avait laissé ma queue toute propre, elle était humide mais à part ça il n'y avait aucune trace de ce que nous venions de faire.

Ça m'avait coûté cher cette histoire, ça me servirait de leçon. Mais là c'est vrai que je m'en moquais, je me sentais tellement bien que je m'en moquais totalement !


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

Tout est bien qui finit bien ? Jaffa ne va-t-il avoir droit à un remerciement plus consistant ? Merci pour cette série si bien troussée.



Texte coquin : Le Roy 05 Jaffa
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Charly Chast

Hétéro Ep 03 Moi, très passif - Récit érotique publié le 26-04-2024
Hétéro Ep 02 Mais très actif - Récit érotique publié le 25-04-2024
Hétéro Ep 01 Mais pas trop - Récit érotique publié le 23-04-2024
Coloc Ep03 Deux autres colocataires - Récit érotique publié le 22-04-2024
Coloc Ep02 Des colocs chaleureux - Récit érotique publié le 21-04-2024
Coloc Ep01 Un appartement somptueux - Récit érotique publié le 19-04-2024
Jean Marc Ep01 : Un pote de régiment - Récit érotique publié le 17-04-2024
Les apparences 02 sont trompeuses - Récit érotique publié le 16-04-2024
Les apparences 01 - Récit érotique publié le 14-04-2024
Branlette au sport Ep08 Il faudrait que tous ... - Récit érotique publié le 13-04-2024