Le Roy 18 Un ange gardien en arme

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Roy 18 Un ange gardien en arme Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 18 Un ange gardien en arme
Le Roy 18
Un ange gardien en arme


Les petites mains ne me payeraient pas pour avoir soutenu le projet de leur chef, ou d'un de leurs chefs, je ne sais pas vraiment. Leur soutient, ça peut toujours servir, leurs culs ça aussi, ça peut faire plaisir mais de l'argent. Là il ne fallait pas rêver.

Plusieurs personnes nous avaient regardé, peut être pas depuis le début. Il me semble bien que nous étions seuls quand il avait commencé à me sucer la queue. Mais nous étions dans un endroit ouvert et on ne pouvait pas contrôler la présence ou le passage des membres du premier cercle, des petites mains, ou encore des garde du second cercle.

Mon regard croisait celui du jeune garde que j'avais remarqué le jour ou j'avais pris mes fonction. Il était encore plus beau que la première fois. Je ne sais pas ce qui avait changé en lui, il portait toujours sa cage à bite, un plastron en cuir sur son torse, une cape, un ceinturon avec une épée et un casque. Son plastron qui le mettait très en valeur s'arrêtait juste en dessous de son nombril.

Il avait un regard un peu triste. C'est peut être ça qui me touchait et me faisait penser que quelque chose avait changé en lui. Il avait juste l'air triste. Je le regardais directement dans les yeux, il me saluait et venait me voir.

– Monseigneur ! Me disait-il. Puis-je vous être utile ?
– Mais pourquoi tu m’appelles monseigneur ? Lui répondais-je.
– Vous être membre du premier cercle et ne portez pas de cage de chasteté. On m'a appris que le premier cercle étaient les proches du rois. Et justement … n'êtes vous pas un proche du roi.

On ne s'était vu qu'une fois et il se souvenait de moi. Remarquez moi aussi je me souvenais de lui. Il était tellement beau. A cet instant je sentais qu'il allait me demander quelque chose, peut être d'intervenir auprès du roi. Et je me sentais très volontaire, sa requête, je la porterais à bout de bras s'il le fallait. Ce petit gars me plaisait et j'étais à bien des efforts pour lui être agréable.

– Vous savez, Monseigneur …
– Appelle moi Flesh s'il te plaît, tout le monde m'appelle Flesh.
– Bien Monsieur Flesh …
– C'est pas encore ça mais c'est déjà mieux .

Il reprenait et m'expliquait qu'on avait ordonné aux nouveaux garde de se trouver un référent parmi le premier cercle.

J'ai pas tout compris là …

Il était nouveau, et encore plus que moi. Ça faisait à ce moment un mois que j'étais arrivé à la cour. Je ne connaissait pas encore tous les détails du fonctionnement de la cour. Chaque membre du premier cercle avait un garde qui le suivait de très près. Et quand je dis suivais, il faut prendre le mot au premier degré.

J'avais bien remarqué qu'un garde me surveillait de près mais je croyais que c'était un peu de zèle de la part de la sécurité. En fait j'avais déjà un garde mais comme c'était du provisoire personne n'avait jugé jugé bon de me le présenter.

Ce petit jeune, il était plus jeune que moi, m'avait choisi. Il était arrivé à la cour le matin même, il avait fait un passage rapide environ un mois plus tôt, c'est à ce moment que nous nous étions remarqué. Il y avait cinq fois plus de gardes du second cercle que de membre du premier. Un garde par membre, les autres gardes était rattachés au roi.

Je le regardait dans les yeux, il y avait de la douceur dans ces yeux. Je touchais du regard son corps en commençant par son cou, ses épaules, ses bras. Il était comme tous les hommes ici, finement musclé mais c'était du sérieux. Son plastron dessinait les muscles qui devaient se trouver en dessous.

Son plastron laissait paraître le bas de son ventre, il avait un ceinturon militaire auquel était accroché un poignard et un glaive. Et c'était des vrais, là ça ne rigolait pas. Il portait le casque réglementaire et une cape épaisse qui s'arrêtait au niveau de ses fesses. Il portait des sandales de marche maintenues par de longs lacets.

J'avais envie de le prendre dans mes bras et déjà je recommençais à bander fermes. Surtout au moment ou mes yeux tombaient sur son dispositif de chasteté. Je me disais à ce moment qu'on aurait plus dû l'appeler petite bite que petite main.

En fait il était habillé lourdement, c'était son statut de militaire qui l'imposait, moi j'étais nu, j'étais toujours nu et je me trouvais très à mon aise. Je bandais ferme. Dans ce monde on pouvait, on ne devait pas se masturber, c'est tout. Je bandais ferme, c'était à cause de ce jeune soldat qu'on mettait à ma disposition. Il était tellement beau,tellement sexy.

Je repensais au projet que j'avais de me marier avec une femme et de prendre également un époux chaste ( pour ceux qui le sauraient pas, c'est permis si le second époux porte une cage à bite permanente), je me disais que ce jeune soldat ferait un excellent second époux. C'est vrai que je voyais de moins en moins Jaffa. Ni lui ni moi ne dormions tous les soir dans ma chambre.

Je me retrouvais à partir de ce moment avec un ange gardien beau comme un dieu et armé jusqu'aux dents. Ta Basse, il s'appelait Ta Basse et le temps de se faire repéré par mes courtisans et lui aussi se faisait courtiser. C'était une manie au sein de la cour du roi, c'était un jeu d'alliances et de soutiens. Il faisait comme moi, il découvrait les coutumes locales ...

Tous les jours pendant deux heures le matin et autant l'après midi il me laissait et retrouvait son régiment pour l'entraînement au combat. Je suis allé les voir une fois et je ne vous dis pas mais ça ne rigole pas. Avec moi Ta basse était adorable mais je ne voudrais pas être à la place de celui qui me chercherait des problèmes. Il savait se défendre et il était là pour ma sécurité.

Le reste du temps, tout le reste du temps il était présent. Il ne dormait pas dans ma chambre mais dans le couloir. C'était le règlement, mais le règlement était là pour me protéger, je pouvais le tordre comme je voulais aussi je ne le laissait pas dormir dans le couloir.

Rapidement je lui proposait mon lit. Il répondait positivement à cette invitation en me faisant un large sourire.

Il serait mon garde du corps personnel pendant les cinq ans de ma présence ici. Alors pourquoi attendre pour se rapprocher.

Le premier soir ou je l'ai vu retirer son plastron, j'étais aux anges, il était encore plus beau. Il y avait bien tous les muscles qu'on pouvait s'attendre à trouver. Il n'en manquait pas et sa peau était d'une incroyable douceur. Certains membres du premiers cercle s'épilaient le corps, moi je plaisais comme j'étais, et certains gardes du second cercle aussi.

Il se déshabillait lentement, remarquez, même lentement ça allait vite. Il posait son casque, accrochait sa cape. Le plastron était la plus grosse partie, il le déposait sur le sol à côté du lit. Il plaçait son ceinturon pour l'avoir toujours à porté de mai, les sandales était plus longues à retirer, à cause des lacets qui n'en finissaient pas.

Régulièrement il me regardait et me souriait, je souriais aussi. Il était au repos, moi j'étais au garde à vous. Enfin ma queue était au garde à vous. Sa bite semblait protester de sa situation derrière ses barreaux et ses couilles se balançaient, bien grosse, bien pleines.

Ensuite je le prenais dans mes bras, il refermait les siens sur mes reins me tirait vers lui avec force, mais avec aussi une certaine douceur et beaucoup de tendresse.

Ses lèvres étaient suaves contre les miennes et nos langues se livraient à un combat de douceur.

Je l'embrassait sur les épaules, il en faisait de même. Je continuais sur son torse, il me suivait sur mon torse. Je descendais encore un peu et là commençait une sorte de combat plein de douceur, ce serait à celui qui donnerait le plus de baisers à l'autre.

C'est toujours lui qui gagnait, c'est normal remarquez, il y avait des baisers que moi, je ne pouvais lui donner. Sa cage à bite m'en empêchait. Rien ne l'empêchait de me sucer la queue, de me donner des baiser sur mon gland, de passer sa langue sur ma queue et de me la prendre dans la bouche.

Je me limitais à lui caresser les couilles et à les lui tripoter. Je les léchais aussi et ça il appréciait. Je les prenais dans ma bouche et le faisais frémir. Il me rendait mes caresses, ce que je lui faisait,il me le faisait. Mais lui pouvait en faire plus.

Pendant que ma queue s'enfonçait dans sa bouche, mes mains le caressaient, ses mains me caressaient, nos bras glissaient sur le corps de l'autre. Il y avait à découvrir. Il n'avait pas de muscle uniquement sur le torse et le ventre mais partout sur tout le corps, sur tous les membres et il en avait quatre. Je prenais le temps de les découvrir, et c'était un peu comme si il en avait bien plus.

Un instant nous étions face à face, dans les bras de l'autre à nous embrasser, et la seconde suivante je me retrouvais à lui gober les couilles pendant que lui me suçais la queue. On se retournait de nouveau, sans même s'en rendre compte et c'était son dos que je caressais et embrassait. Ou alors c'était lui qui me caressait le dos.

Son corps était chaud et sentait bon le grand air et l'aventure. C'est vrai que c'était un soldat.

Il avait des fesses magnifiques, totalement dépourvues de poil, à peine un léger duvet à peine visible. Mais elles était fermes, et j'aimais tout particulièrement, arrivé à un moment de nos ébats, les ternir fermement entre mes mains et les embrasser en les mordant, mais sans lui faire mal.

Ses couilles ne se balançaient plus, la pression dans la cage les maintenaient bien serrée, elle se contractaient et formaient une gosse boule bien dure.

On se retournait de nouveau et de nouveau je me retrouvais avec la queue écrasée au fond de sa gorge, je suffoquais alors que c'est lui qui aurait dû manquer d'air.

Je laissais faire, je gémissais de plaisir et je laissais faire, il me faisait trembler de plaisir, et par moment je ne me contentait pas de gémir. Par moment je hurlais de plaisir.

Tiens pendant que j'y pense je me permet de vous rappeler la configuration des lieux. C'était de petites chambres sans fenêtre qui ouvraient sur un large couloir, dans lequel on trouvait des sortes de niche pour les soldats, et qui n'avaient pas de portes …

Tout ça pour vous dire qu'on nous entendait de loin !

On bougeait de plus en plus il me retournait, je le retournais, on semblait de battre mais sans, surtout sans, essayer de nous faire mal. Je finissais en rigolant par me retrouver en position dominante.

Il était allongé sur le ventre, j'étais assis sur ses fesses. Je me décalais et me retrouvais assis sur ses cuisses. D'un mouvement je me retrouvais à genoux entre ses cuisse. J'avais ses fesses que je trouvais si belle à porté de main, enfin à ma disposition.

Là rapidement je me lubrifiait la queue et lui lubrifiait efficacement le cul. J'y glissait deux doigts d'un coup avant de les agiter contre sa prostate.

Là c'est lui qui hurlait !

Je retirais mes doigts et sans prévenir, remarquez il m'avait vu venir, je lui enfonçait ma queue jusqu'à la garde. Je suis comme ça moi quand je suis bien excité !

Il a alors poussé un cri qui à sans doute fait tremblé la moitié du bâtiment mais sans essayer de se dégager. Il est comme ça lui quand il est excité.

Je me laissais tomber de tout mon poids sur son dos et je commençais à faire rouler mon bassin. À chaque mouvement je poussais ma queue bien à fond dans son cul, il gueulait, puis je la retirais. Le mouvement n'était pas très ample mais il râlait de plus en plus fort.

Je me redressais et continuais à lui limer le cul avec un peu plus de force. J'entrais et je sortais ma queue de son cul sur plus de longueur. Il gueulait encore plus fort.

Et pour finir, je le retenais avec force et à genoux tous les deux, je le tirais vers moi en avançant le bassin avec force et le repoussais en me retirant. C'est sans aucune retenue que je me lâchais et lui limait le cul. Je râlais, il gueulait et je continuais.

Les coups devenaient violents et je sentais le plaisir venir, c'est malgré tout d'un coup que je jouissais et que j'éjaculais en même temps. J'ai crié moi aussi, puis je me suis laissé retombé sur lui.

Je sentais tous ses muscles se contracter une dernière fois avant de devenir tout mous.

C'est à ce moment qu'on entendait des applaudissement, je me retournait il y avait la tête de tous mes camarades a la porte de ma chambre qui nous regardaient et qui avaient apprécié le spectacle.


A suivre



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