Le Roy 19 Un marchant de passage

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Roy 19 Un marchant de passage Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 19 Un marchant de passage
Le Roy 19
Un marchant de passage


Je ne faisais rien comme tout le monde, c'est tout moi ça ! La relation que je créais avec Ta Basse, mon garde personnel, était très particulière.

Nous les membre du premier cercle avions droit de cuissage sur les petites mains, ça vous le saviez. Nous avions aussi droit de cuissage sur les garde chaste, du second cercle, mais elle était occupé et avait une mission de surveillance. Toutefois si le garde était d'accord pendant son temps libre … Ce n'était pas interdit. Et mon garde n'avait rien contre.

Il était beau mon garde, je n'en revenais pas, c'est lui qui m'avait choisi. Je lui plaisait, il faut dire qu'il me plaisait aussi. Il aurait fallu être difficile pour ne pas tomber sous le charme.

Excepté pendent ses heures d’entraînement à l'art du combat, il me suivait partout et peu à peu devenait mon porte parole, mon secrétaire. Pour m'approcher quand j'étais trop sollicité, c'est lui qui faisait le filtrage et ne laissait pas tout le monde m'approcher.

Nous ne dormions pas tous les soirs ensemble. On nous déconseillait d'entretenir une relation trop exclusive. Nous pouvions baiser qui nous voulions, pendant notre temps libre, c'est à dire pendant que nous ne servions pas directement le roi. C'est à dire le plus souvent. Il y avait toujours plusieurs premier cercles auprès du roi mais c'était par roulement.

Peu à peu au cours des semaines on s'organisait. On suivait l'exemple des plus anciens. Suivis par notre ange gardien, enfin le mien était vraiment beau comme un ange, on déambulait dans la grande salle de réception pendant les heures ou elle était ouverte. Il y avait des centaines de personnes qui y passaient tous les jours. Il choisissait un membre du premier cercle, sollicitait un entretien auprès de leur garde, puis, si l'entretient était accepté pouvait lui expliquer ce qui les ennuyaient.

Le plus souvent ce n'était pas bien grave et nous pouvions arbitrer sans difficulté. Si le sujet était plus grave on sollicitait l'arbitrage d'une petit main qui tranchait. Mais si l'affaire était grave, on en référait à une petite main de haut rang qui était en fait un juge.

Souvent on nous demandait une intervention auprès du roi. Nous pouvions discuter très librement avec lui, quand nous étions à son service immédiat, pendant les repas par exemple, il y avait toujours quatre premier cercle à la table du roi, et aucun autre témoin …

Pendant les moments de détente, quand le roi sortait son cheval et partait chevaucher sur les rebord de l'île royale, ceux qui l'accompagnaient se retrouvaient dans la même situation. Il était très facile pour nous de trouver un moment pour parler avec le roi, et c'était alors sans protocole, sans formalité.

Régulièrement il y avait des marchants qui passaient dans la région et qui tentaient de vendre leur camelotes à la cour. Je me souviens de ce jour ou un marchant était reçu dans la salle du trône. C'était un marchant de tissus, je voyais les sourires dans la salle. S'il y a bien une chose que le roi n'a pas besoin, c'est bien de vêtements. Il a tout ce qu'il lui faut mais c'est surtout qu'il n'en porte pas, comme chacun d'entre nous d'ailleurs. Le marchant avait aussi quelques bijoux, genre bracelets et broche pour fixer les capes.

Les malles avaient été déposées à quelques mètres au pied du trône, les tissus étaient répartis, exposés pour les rendre attractif.

– Votre seigneurie. Commençait le vendeur en s'inclinant devant le roi. J'ai ici tout ce qui pourra plaire à un roi. Les plus beaux tissus, vous pourrez vous faire confectionner les plus beaux vêtements qui …

Les fous rires parcouraient la salle et le vendeur ne savait plus trop s'il devait continuer ou s'arrêter. Le roi décrochait alors la bouche de sa cape et se levait. Le marchant restait tétanisé quand il a vu que le gode sur lequel le roi était assis et ne bougeait plus. Le roi était alors complètement nu, il n'avait sur lui que sa cage à bite et sa couronne.

Je crois que c'est à ce moment là que le marchant a compris qu'il avait dit une ânerie. Le roi regardait attentivement le contenu des caisses, les étoffes étaient belles en effet mais.

– Ce sont là de très belles étoffes mais, c'est vrai que par moment je me sens un peu dévêtu là. Faisait remarquer le roi sur un ton amusé.
– Je suis confus. Répondait le marchant. Je vous prie d'accepter toutes mes excuses ! Répétait le marchant qui avait l'air vraiment confus.

Finalement le roi qui était très sympathique lui achetait une très belle boucle de cape avant de se retirer dans ses appartements. Je m'approchais.

– Quelqu'un vous a fait une plaisanterie ? Demandais je au marchant.
– On m'avait dit qu'ici je trouverais à ventre mes étoffes facilement.
– Elles sont magnifiques en effet mais, ici nous nous habillons toujours très légèrement.
– C'est ce que je vois ! Me répondait-il en me regardant des pieds à la tête en s'arrêtant sur ma bite.

Je ne sais pas pourquoi tous les gens que je rencontre arrêtent leur regard sur ma queue, quand je suis en érection je veux bien, mais ce n'était pas le cas. Et puis, je … Non pardon j'allais dire une bêtise … Oui en effet, je ne portais absolument rien sur moi excepté mes cheveux, mais ça, ça ne compte pas.

– Tu devrais essayer de vendre tes étoffes au marché, c'est sur la grand place juste derrière le palais royal.

J'appelais Ta Basse et lui demandais la sacoche. Je m'étais organisé et maintenant j'avais une sacoche que mon gardien portait. J'en sortais un laissez-passer pour lui donner une place sur ce marché. Je commençais à avoir quelques relations à cette époque. Tout le monde rigolait et se moquait du marchant.

Sur cette île il y avait des femmes, des couples, des enfants. C'était une île tout à fait ordinaire. Il n'y avait qu'au palais royal qu'il n'y avait que des hommes. Et sur la place il trouverait à vendre ses étoffes, les habitants de l'île étaient en général relativement aisés.

Quelques jours plus tard c'est un jeune homme qui venait me voir, il parvenait à m'approcher parce qu'il avait le fameux laissez-passer.

– Monseigneur me disait-il, je viens de la part de mon maître qui m’envoie pour remercier en vous remettant ce modeste petit cadeau.

Il me donnait un magnifique bracelet en or. Il n'était pas très gros mais réalisé avec délicatesse et grand art. Je savais que je pourrais le revendre, j'avais des cadeaux de ce genre régulièrement.

Il était jeune et très beau, pudique il portait une tunique. Je me souvenais en avoir eut une du même genre. Sa tunique s'ouvrait depuis son cou jusqu'à son nombril, s'arrêtait juste en dessous de sa bite, je ne parvenait pas à savoir s'il portait une cage à bite ou pas.

– Veux tu rester un petit moment avec moi, tu me raconteras tes voyages.

Il acceptait l'invitation, je l'entraînais dans un endroit plus discret, privé même. Il me suivait, Ta Basse gérait mon absence. Oui je sais c'est pas sérieux un garde du corps qui laisse son patron seul avec un inconnu … Mais enfin on était dans un endroit parfaitement sécurisé, tout ces trucs, c'est juste pour le protocole.

Quand je me retournais, je bandais et je voyais la surprise du jeune homme dans ses yeux.

– Je lui souriais, ça ne te fais pas peur ? Lui demandais-je.

J'avais un brusque envie de tendresse, je ne sais pas ce qui me plaisait chez ce jeune homme, il était beau c'est vrai mais des hommes magnifiques j'en voyais des centaines par jours. Celui-ci m'avait fait perdre mon self-control, c'était pas un drame mais là je ne pouvais vraiment plus me calmer. Je décidais donc de céder à la tentation. C'était plus simple.

Sans lui demander son avis, c'est vrai, mais sans le contraindre non plu. Je glissais ma main sous sa tunique. J'ai senti comme un frissonnement, il n'a pas tenté de me repousser, il a juste tremblé, très légèrement et il s'est approché de moi.

J'étais nu,entièrement nu, en face de lui et je bandais. Il bandais aussi et sa bite apparaissait sous sa tunique qu'elle relevait. J'étais renseigné, il ne portait pas de cage à bite.

Ça m'excitait encore plus, c'est vrai que, depuis que j'étais arrivé à la cour, je ne rencontrait pas grand monde qui n'en portait pas. À par mes camarades du premier cercle, et on n'était pas plus de soixante, tout le monde portait un dispositif de chasteté. C'était agréable de découvrir un nouveau corps qui n'en avait pas.

J'avais brusquement envie de sucer une queue. C'est pas souvent que ça me prend remarquer. C'était la nouveauté, et aussi sa beauté. Je me mettais à genoux devant lui, soulevais sa tunique qu'il retirait par le haut, et prenais sa queue dans la bouche. Il avait une belle queue de taille moyenne. Nous étions tous hors norme dans le premier cercle. Ça me changeait. C'est vrai qu'une grosse queue on n'a pas forcément envie de la sucer mais là, elle était plus petite, un peu plus petite.

Il aimait, ça ne faisait aucun doute, les gémissements qu'il n'essayait même pas de retenir le prouvaient. Il me caressait les cheveux avec douceur. Par moment il saisissait ma tête et se laissait aller. Il avançait son bassin et m'enfonçait sa queue bien à fond.

Rapidement le naturel devait revenir, c'est moi qui d'habitude me fait sucer ! Et puis, je veux bien sucer, à l'occasion … Mais me faire enculer ça, il n'en est pas question.

C'est lui qui se mettait à genoux devant moi, je bandais ferme. Il me caressait la queue comme pour tâter, elle se redressait avec force bien à la verticale. Il me la saisissait avec douceur, me masturbait quelques secondes et me la penchait vers le bas pour pouvoir me la prendre dans la bouche.

Rapidement elle glissait dans sa gorge, il appuyait son visage contre mon ventre, et même s'il n'arrivait pas à tout avaler d'un coup, il ne se décourageait. Ensuite c'était que du bonheur. Je sentais sa langue sur mon gland, elle tournait autour encore et encore. Par moment sa queue ne bougeait plus, ensuite elle tentait de se glisser dans le petit trou au bout de ma queue. La sensation était forte, j'appuyais sur sa tête.

A chaque tentative ma queue s'enfonçait un peu plus profond dans sa gorge. Quand son nez s'écrasait sur mon ventre, c'était comme une victoire. Je lui retenais fermement la tête en lui donnant quelques coup de bassin dans la bouche.

Il finissait par se dégager, c'est vrai que là j'y allais peut être un peu fort. Je ne connaissais pas son endurance moi et puis d'habitude, c'est un détail auquel je ne prêtait aucune attention. D'habitude, j'enfonçais ma queue dans la gorge du mec et elle rentrait. C'est tout.

J'aimais bien le faire avec le Roi. Il avalait bien le roi, là le petit jeune manquait d 'expérience. Je le relevais en passant mes mains sous ses bras. On s'enlaçait, on se caressait avec un extraordinaire douceur. Au moins, il était doux et câlin.

Il glissait dans mes bras, sa peau était douce, son corps était ferme et sa queue aussi mais je n'y accordait que peu d'importance. Je le faisais tourner sur lui même. Un peu plus loin, trois de mes camarades du premier cercle nous regardaient. Ils bandaient aussi maintenant.

Quand le petit jeune, je l'appelle comme ça parce que je ne sais pas comment il s'appelait, se retrouvait dos contre moi je le serrais très fort dans mes bras. Je lui caressais le corps mais là je lui tâtais et lui tripotais les couilles.

Je l'embrassais dans le cou, il se laissait faire. Là encore il gémissait de plaisir. Un peu plus loin un de mes camarades du premier cercle enculait déjà tranquillement une petite main qui passait par là et qui n'avait probablement rien demandé, les deux autres se faisait sucer la queue par deux autres petites mains qui eux non plus n'avait probablement rien demandé à personne.

Je plaçais une main sur son ventre et appuyais doucement sur sa nuque, il se penchait en avant, il se retenait à un meuble. Il était nu, entièrement nu devant moi. Je lui caressais les couilles, glissais mes mains entre ses cuisses, m'attardais sur ses fesses avec douceur, rien ne me pressait.

Nous étions dans une grande salle, à la vue de tous, les visiteurs ne venaient que si un d'entre nous les invitait. La salle était délimitée par les arches ouvertes et on pouvait nous voir de loin, les visiteurs en particulier nous regardaient. Ceux qui en étaient à leur première visite étaient les plus surpris, les autres avaient déjà vu ce spectacle, c'était tous les jours.

Je lui lubrifiait généreusement le cul, je le sentais se raidir et déjà il respirait plus fort. Je prenais bien le temps de le préparer en lui glissant un puis deux doigts dans le cul. Je sentais son anus se contracter puis se détendre avant de se contracter de nouveau. Je m'en amusais, je le relevais contre moi, refermais un bras autour de son cou et avec l'autre main j'agitais deux doigts dans son cul. Il se cambrait et tremblait déjà de plaisir.

Je retirais ma main et rapidement je glissais ma queue à la place. C'était chaud, c'était lisse, ça glissait mais il s'est cambré. J'étais pas l'axe, le gland et le bout de ma queue est entré mais le reste coinçait un peu, j'ai poussé, il a hurlé.

J'ai alors retiré mon bras, il est retombé en avant et se cramponnait à un meuble, ma queue entrait violemment bien à fond. Il hurlait de nouveau.

Un peu plus loin trois de mes camarades du premier cercle enculait tranquillement trois petites mains qui passaient par là et qui n'avaient certainement rien demandé à personne.

Je saisissais alors le petit jeune par les hanches et le tirais vers moi avec force. Et je maintenais ma queue bien à fond dans son cul. Il réagissait et ma queue ressortait, je le tirais vers moi, il gémissait. C'est vrai qu'il était étroit le petit gars. Il était beau et ses charmes avaient réveillé en moi un désir que je ressentais tous les jours. Tous les jours c'était donc une bonne raison pour ne pas faiblir.

Je me retirais avec vigueur avant de le tirer de nouveau vers moi, je lui limais le cul. Il gémissait, ses gestes devenaient incontrôlables, ils les agitait pour garder son équilibre, pour se retenir, pour m'écarter mais c'était sans effets.

C'est moi qui le retenais. Et lui un peu en s'appuyant sur le dossier du fauteuil qu'on avait trouvé. Je lui limais le cul avec régularité et force. Il gémissait. Je m'amusais comme un petit fou. Les mecs ici ont tellement l'habitude de se faire enculer que ça rentre tout seul. Là je sentais que ça résistait, ça ne n’empêchait pas de forcer, de bien lubrifier et de forcer.

Il faisait une grimace, je savais ce qu'il ressentait, on m'avait déjà fait le coup et je n'avais pas vraiment aimé. Mais je m'en moquais. J'étais dans l'antre du plaisir de ceux qui peuvent jouer avec leur queue, et justement j'avais la queue libre.

Je la voyais disparaître, puis réapparaître, je l'enfonçais et la ressortais. Je sentais son cul me masser fermement mon gland puis le reste de ma bite sur toute sa longueur. Il fallait forcer et je forçais.

Peu à peu, le plaisir montait. Il serrait les fesses et son cul par la même occasion. Il devenait encore plus étroit. J'aimais bien, c'était un peu nouveau pour moi et brusquement, sans prévenir j'ai senti le plaisir exploser au bout de ma queue, j'ai éjaculé dans son cul. Il a gueulé, je contractais ma queue et lui s'en rendait compte. Je jutais et je lui balançais quelques coups de queue dans le cul, quelques coups de bassin particulièrement forts contre ses fesses.

Je le serrais fort contre moi, il se tortillait, je l'avais brusquement redressé contre moi et de nouveau il n'était plus dans l'axe.

Un peu plus loin trois de mes camarades s'essuyaient la queue, ils avaient eux aussi pu conclure et me lançaient quelques sourires complices. Je faisais comme eux, je m'essuyais moi aussi … pendant que le petit jeune repartait . Il avait sa tunique sur le bras et un liquide blanc coulait de son cul.


A suivre



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