Le Rut
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Le Rut
jpj, 9/2012
Sur Solaris il faut prendre garde car les humains de ce monde sont différents de nous. On appelle ça le rut solarien.
Les Solariens sont bien des êtres humains, ils sont de notre espèce : ils sont inter-féconds avec nous et la progéniture issue d'un accouplement n'est pas stérile.
Ca me rappelait les cours de génétique au collège : le cheval et l’âne ne sont pas de la même espèce car leur progéniture, le mulet ou le bardot, est stérile. Ils ne peuvent pas former souche.
Sur Solaris, les gens sont exactement comme nous de tête et de corps. Je dirais même que leurs femmes sont super-bandantes, avec des formes féminines très accentuées, des fesses callipyges, la taille fine, les seins lourds. Enfin moi je trouve, et j'aime.
Mais faut faire gaffe car ils ont une particularité génétique qui a disparu chez les Terriens : ils sont encore, comme la plupart des espèces dans le monde galactique, soumis au rut !
Ca n'a l'air de rien mais ça change complètement les rapports sociaux.
Chez nous, les femmes sont toujours disposes. Je veux dire, prêtes à baiser. Bien sûr le mot « indisposée » existe mais c'est bidon : on a tous pu observer que rien n'arrête une femme qui a envie, surement pas le fait d'avoir ses règles.
Le mot indisposée est une invention des femmes pour dire qu'elles préfèreraient, ce jour là, se faire mettre par quelqu'un d'autre ou même ne pas se faire mettre du tout. C'est pas flatteur pour le mec mais c'est comme ça.
En revanche, chez nous, quand la femme ouvre les cuisses, c'est vraiment qu'elle l'a choisi, avec le mec en question et le jour dit.
Imaginez une civilisation différente soumise au rut, comme les chiens, les cerfs, les papillons...
Deux périodes :
le quotidien banal, affligeant, sans rien, sans envie, sans souhait, sans pulsion, sans même un regard intéressé vers l'autre.
le rut durant lequel on ne peut rien contre un instinct reproductif tous azimuts, la femme ouverte à toutes les opportunités, l'homme obsédé, tel DSK, à fourrer tout ce qui passe pour y poser sa graine.
A Solaris il y a des règles fortes, des lois, qui régissent le comportement social, assises sur cette particularité.
Chacun, homme ou femme porte un badge, un peu comme la dame au camélia. Un badge pendu sur le poitrail mais aussi en tête des email, en intro vocale des appels téléphoniques, des lettres, de tout. Ils appellent ça un flag et celui-ci indique l'état de rut ou non. On commence enfant et on finit vieillard en vert et, adulte, on alterne rouge et bleu.
La règle est que l'on doit absolument s'abstenir de solliciter sexuellement un gars ou une fille en rouge. Car ils ne pourraient pas résister à la pulsion.
Dan et moi, quand on a reçu notre ordre de mission pour paramétrer les zigomars sur Solaris, et qu'on a lu ces trucs de rut dans le routard de la planète, on s'est regardés en rigolant. Dan et moi on est des voyous et fiers de l'être !
Leurs gonzesses on allait se les tirer sans états d'âme et se casser discrétos vite fait après.
Quinze jours de boulot et seize nuits de baise qu'on allait s'offrir. Le problème des intervalles n'a pas de secret pour nous.
Il a fallu passer en hiber pour le voyage et au réveil on est toujours un peu flapi question testo.
A l'usine ils nous ont badgés ingénieurs et ça c'est bon pour attendrir les filles : ya plus qu'à les cueillir, mures.
Dan m'a dit, te fatigue pas avec les bleues, nous on se spécialise dans les rouges. Mais faut ruser pour pas que les matous locaux se méfient, on n'a qu'à rajouter un ticket bleu sur notre badge d'ingénieurs.
Aussitôt dit, aussitôt fait, miracle de l'adaptation darwinienne, nous portions des badges bleus et n'avions d'yeux que pour les Solariennes en rouge et les indigènes s'en apercevaient même pas... bluffés qu'ils étaient de nos badges bleus made in France
Je vous dis pas le tableau. On n'a même pas eu assez de post pour laisser nos coordonnées génétiques à toutes ces filles.
On vous racontera cette affaire sur le prochain bulletin galactique, là on est pressés car on a une brigade solarienne au cul. Le plus rigolo c'est que sur Solaris on les appelle « les bleus » car ils n'en n'ont pas (Brassens est connu jusque là-bas)
Sur Solaris il faut prendre garde car les humains de ce monde sont différents de nous. On appelle ça le rut solarien.
Les Solariens sont bien des êtres humains, ils sont de notre espèce : ils sont inter-féconds avec nous et la progéniture issue d'un accouplement n'est pas stérile.
Ca me rappelait les cours de génétique au collège : le cheval et l’âne ne sont pas de la même espèce car leur progéniture, le mulet ou le bardot, est stérile. Ils ne peuvent pas former souche.
Sur Solaris, les gens sont exactement comme nous de tête et de corps. Je dirais même que leurs femmes sont super-bandantes, avec des formes féminines très accentuées, des fesses callipyges, la taille fine, les seins lourds. Enfin moi je trouve, et j'aime.
Mais faut faire gaffe car ils ont une particularité génétique qui a disparu chez les Terriens : ils sont encore, comme la plupart des espèces dans le monde galactique, soumis au rut !
Ca n'a l'air de rien mais ça change complètement les rapports sociaux.
Chez nous, les femmes sont toujours disposes. Je veux dire, prêtes à baiser. Bien sûr le mot « indisposée » existe mais c'est bidon : on a tous pu observer que rien n'arrête une femme qui a envie, surement pas le fait d'avoir ses règles.
Le mot indisposée est une invention des femmes pour dire qu'elles préfèreraient, ce jour là, se faire mettre par quelqu'un d'autre ou même ne pas se faire mettre du tout. C'est pas flatteur pour le mec mais c'est comme ça.
En revanche, chez nous, quand la femme ouvre les cuisses, c'est vraiment qu'elle l'a choisi, avec le mec en question et le jour dit.
Imaginez une civilisation différente soumise au rut, comme les chiens, les cerfs, les papillons...
Deux périodes :
le quotidien banal, affligeant, sans rien, sans envie, sans souhait, sans pulsion, sans même un regard intéressé vers l'autre.
le rut durant lequel on ne peut rien contre un instinct reproductif tous azimuts, la femme ouverte à toutes les opportunités, l'homme obsédé, tel DSK, à fourrer tout ce qui passe pour y poser sa graine.
A Solaris il y a des règles fortes, des lois, qui régissent le comportement social, assises sur cette particularité.
Chacun, homme ou femme porte un badge, un peu comme la dame au camélia. Un badge pendu sur le poitrail mais aussi en tête des email, en intro vocale des appels téléphoniques, des lettres, de tout. Ils appellent ça un flag et celui-ci indique l'état de rut ou non. On commence enfant et on finit vieillard en vert et, adulte, on alterne rouge et bleu.
La règle est que l'on doit absolument s'abstenir de solliciter sexuellement un gars ou une fille en rouge. Car ils ne pourraient pas résister à la pulsion.
Dan et moi, quand on a reçu notre ordre de mission pour paramétrer les zigomars sur Solaris, et qu'on a lu ces trucs de rut dans le routard de la planète, on s'est regardés en rigolant. Dan et moi on est des voyous et fiers de l'être !
Leurs gonzesses on allait se les tirer sans états d'âme et se casser discrétos vite fait après.
Quinze jours de boulot et seize nuits de baise qu'on allait s'offrir. Le problème des intervalles n'a pas de secret pour nous.
Il a fallu passer en hiber pour le voyage et au réveil on est toujours un peu flapi question testo.
A l'usine ils nous ont badgés ingénieurs et ça c'est bon pour attendrir les filles : ya plus qu'à les cueillir, mures.
Dan m'a dit, te fatigue pas avec les bleues, nous on se spécialise dans les rouges. Mais faut ruser pour pas que les matous locaux se méfient, on n'a qu'à rajouter un ticket bleu sur notre badge d'ingénieurs.
Aussitôt dit, aussitôt fait, miracle de l'adaptation darwinienne, nous portions des badges bleus et n'avions d'yeux que pour les Solariennes en rouge et les indigènes s'en apercevaient même pas... bluffés qu'ils étaient de nos badges bleus made in France
Je vous dis pas le tableau. On n'a même pas eu assez de post pour laisser nos coordonnées génétiques à toutes ces filles.
On vous racontera cette affaire sur le prochain bulletin galactique, là on est pressés car on a une brigade solarienne au cul. Le plus rigolo c'est que sur Solaris on les appelle « les bleus » car ils n'en n'ont pas (Brassens est connu jusque là-bas)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super, j'ai vibré à la lecture de votre récit.