Le soumis de Lise
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le soumis de Lise
Le soumis de Lise
Après cette première nuit de Lise en pluralité masculine, avec moi en spectateur candauliste (lire les amis de Lise, partie une et deux), nous avons décidé elle et moi de passer une bonne partie de la matinée au lit, une fois que les deux partenaires de jeux furent repartis.
Lise est comblée, elle a été baisée comme jamais par ces deux mâles en rut et moi j’ai participé comme voyeur, j’ai également été convié à la lécher pendant qu’ils la prenaient à tour de rôle ; ça m’a convenu parfaitement, même si j’en ai été relativement troublé.
J’ai aussi découvert une facette de Lise que je ne connaissais pas, une femme qui s’est révélée adepte du plaisir.
Là, elle dort à côté de moi, un agréable sourire de contentement aux lèvres, radieuse.
Je vais prendre une douche et je descends en peignoir à la cuisine, préparer un petit en cas. J’entends Lise sous la douche, elle vient me rejoindre, elle est en nuisette, désirable comme jamais, un sourire coquin illumine son visage.
- Tu sais, il faut que je te parle, cette nuit m’a révélé quelque chose.
- Que se passe-t-il ?
- J’ai adoré ce que nous avons fait, je ne pourrai plus m’en passer dorénavant, je suis désolée.
- Pas de problème, explique moi, (je lui fais, un peu surpris tout de même).
- Je veux d’autres expériences, avec d’autres hommes, je veux goûter à plein d’autres queues, mais je te veux avec moi, toujours.
- Ben…. Oui, si c’est ton choix, je suis surpris quand même par son assurance et de la façon directe de m’en parler.
- Il y a autre chose, j’ai plutôt adoré ta façon de te comporter, un peu soumis à nous trois durant la nuit. J’aimerais poursuivre, si tu as envie bien sûr.
- Tu voudrais que je devienne ton soumis ? ….. et cocu avec ça ? Je joue le grand étonnement mais au fond de moi je sais que la chose est acquise, irrémédiablement.
Lise est déterminée et moi je sens intuitivement que c’est ce que je veux, c’est au fond de moi depuis longtemps.
- Ok ma chérie comment tu vois la chose ?
- Par moments, lorsque je le déciderai tu devras te soumettre à moi, sexuellement surtout. Tu devras me satisfaire, m’obéir, notamment quand nous serons avec d’autres hommes. Tu devras m’appeler Madame et me vouvoyer.
Elle a déjà bien avancé dans sa réflexion la coquine, à ce que vois. Je souris car cela me convient mais je ne le lui avoue pas directement.
Pris au jeu je m’entends répondre « Oui Madame, tout ce que vous voudrez ».
C’est parti cette fois-ci, je sais que nos relations vont changer à partir de cet instant, j’ai donné mon plein accord à cette belle femme que j’adore, que je vénère.
- Bien, va au salon, mets-toi à poil et à genoux, tu m’attends !
- Oui Madame, et je m’exécute. Je retire mon peignoir. Elle remonte à l’étage, je fais ce qu’elle m’a ordonné, ma queue se dresse, preuve que le jeu a bien pris.
Elle redescend bientôt et vient vers moi. Pour marquer le coup, je crois, elle porte la tenue avec laquelle elle a accueilli Pierre et Luc, ses amants d’une nuit : elle n’a plus sa nuisette mais sa jupe courte en cuir, le chemisier qui laisse déborder sa généreuse poitrine, des bas noirs et ses escarpins. Comme convenu je suis nu, à genoux, une formidable érection témoignant de mon excitation. Je ne peux m’empêcher de fixer ses deux mamelles gonflées et ses tétons épais qui se dressent.
Elle me tourne autour, me frôle de sa jupe en cuir.
- Je vois que ça te plaît, tu aimes ça n’est ce pas, mon cocu, car tu es mon cocu maintenant, je vais faire de toi ce que je veux.
- Oui ….Madame
- Parfait, (elle s’approche de moi, prend ma tête et l’appuie contre le cuir de sa jupe) viens te frotter un peu, lèche moi ce cuir, petit cocu. »
Je fais ce qu’on m’ordonne, m’abandonnant sans retenue aux désirs de cette belle maîtresse. Je sais que le point de non-retour est atteint, je lui appartiens désormais et j’en suis heureux.
Elle poursuit un moment, puis relève sa jupe et m’ordonne : « Donne-moi du plaisir avec ta langue comme tu sais si bien le faire ».
Je fourre ma tête entre ses cuisses qu’elle a bien écartées, je constate l’absence d’une culotte, ma langue commence à explorer les lèvres de sa chatte lisse, déjà bien humide. Je m’enivre du parfum de son sexe, les images de notre folle nuit m’assaillent, les queues puissantes de ces deux hommes la défonçant sans arrêt me reviennent à l’esprit ainsi que ses cris de plaisir. Ses lèvres s’écartent elles sont longues alors que ma langue s’y glisse.
Je commence à me masturber, à lui bouffer la chatte comme un fou.
- Qu’est-ce que tu fabriques, je ne t’ai pas permis de te branler, mets tes mains dans le dos. Et lèche moi doucement, non mais quel incapable ! Je vais te corriger tu vas voir. Allez lèche ta maîtresse comme il faut !
Je fais ce qu’elle m’ordonne, fou de désir et de frustration, mais j’ai accepté mon rôle et je tiens à bien le jouer.
Lise m’appuie sur la tête, à travers la jupe, et ondule du bassin, frottant sa belle chatte contre mon visage et ma langue. Elle se tourne, me présente ses fesses et m’ordonne de les embrasser avant d’exiger que je lui lèche son petit trou. Je ne l’avais jamais fait, mais ça me comble et je m’applique, elle se penche en avant, la jupe se tend et colle ma tête dans son cul.
- Vas-y le cocu, lèche fort, profite encore un peu car tu vas avoir une bonne surprise tout à l’heure.
Je redouble d’efforts, Lise commence à gémir, je sais que je suis dans le vrai.
Elle se dégage.
- Ca suffit, on va faire autre chose, ne bouge pas !
Elle s’en va pour revenir avec la ceinture de mon peignoir.
- Debout, tourne-toi, mains dans le dos.
J’obéis, désireux de bien faire. Elle m’attache les mains dans le dos, me fait avancer pour pouvoir m’attacher à la rampe de l’escalier. Elle avance une chaise, s’assied face à moi, et s’empare de ma queue raide. Sans dire un mot elle me branle, méthodiquement, d’un air complètement désintéressé. Je me tortille de plaisir mais c’est de courte durée.
Elle saisit de l’autre main mes couilles et les tire brutalement vers le bas, la branlette s’interrompt et je prends deux bonnes claques sur ma queue.
J’esquisse un mouvement de retrait mais la garce tire fort sur mes testicules.
- Reste là le cocu, je vais m’amuser avec toi, tu vas voir ce que tu vas prendre pour m’avoir mal servie tout à l’heure !
- Mais ça fait mal, je couine.
Deux autres aller-retour sur ma bite, l’autre main qui me triture les testicules.
- Pardon, Madame, je m’excuse, je souffle.
- C’est mieux ça, je préfère.
Elle continue son petit jeu, elle me branle systématiquement puis me claque la verge à toute volée, ses yeux fixant les miens, un sourire narquois sur ses jolies lèvres. J’ai mal et j’éprouve en même temps un plaisir très particulier à me retrouver à la merci de ma Lise. Elle a changé, c’est le moins que l’on puisse dire. Elle s’amuse ainsi un bon moment, puis me demande :
- Qu’est-ce qu’on dit à sa maîtresse ?
- Merci, merci, Madame.
Je bande toujours très fort, curieusement. Elle me ramène au salon, me dit de m’allonger sur le dos, les mains toujours attachées dans le dos.
Elle déballe ses seins que j’adore, ils sont gonflés d’excitation. De belles poires bien tendues.
Elle s’allonge au-dessus de moi et me présente ses tétons gonflés.
- Suce, tu sais que j’aime ça, et applique toi.
Je donne tout ce que je peux, je lèche, je suce ses mamelles généreuses, ses bouts gros et durs, je l’entends gémir au-dessus de moi.
- Et maintenant la chatte, je veux jouir sur toi, tu m’entends.
Elle relève sa jupe, s’agenouille sur mon visage, de face pour bien voir. Je sors ma langue et elle s’empale dessus, c’est dur de tenir la distance. Elle se penche en arrière, me saisit les tétons et les tord.
- Donne-moi bien ta langue, mon cochon !
Je rue mais elle continue, impitoyable. Elle me chevauche la bouche, ses lèvres longues et gonflées se frottent sur ma bouche, mon nez.
- Suce-moi, lèche, ça vient, allez cocu, je te baise bien là, tu aimes ça je le sais mon petit soumis adoré.
Je remue la tête pour accentuer encore le mouvement, des jets de cyprine m’inondent d’un seul coup. Madame me prend par les cheveux pour encore mieux coller ma bouche avide contre son sexe et elle râle son orgasme.
- Ah, c’est bon, continue, encore, encore.
Ses coups de bassin me cognent la tête au sol, qu’importe, je jouis intellectuellement avec elle, je suis tellement heureux de mon nouveau statut de cocu soumis, ma maîtresse est formidable. Elle se frotte sur moi, sans relâche, c’est violent mais tellement bon.
Elle se relâche enfin, se relève et s’écroule dans le fauteuil.
- Tu t’es bien rattrapé là, tu vas avoir le droit de te finir, viens que je te détache.
Elle se moque gentiment quand je galère pour me relever, elle me détache les mains, je dois lui servir un verre. Tranquillement installée dans son fauteuil préféré elle m’ordonne de venir devant elle et me dit de me masturber.
- Mais tu fais comme je te dis, annonce-t-elle.
Je commence, toujours bien bandé, je suis un peu gêné tout de même mais le spectacle de ses seins, de ses cuisses ouvertes sur une chatte humide de plaisir m’encourage.
- Commence doucement,
J’obéis et me frotte lentement le gland. Elle m’ordonne de la regarder dans les yeux.
- Vas-y accélère, ça me paît de te regarder t’astiquer comme un collégien.
Je rougis mais le plaisir commence à monter, je signale à Madame que je ne tiendrai plus longtemps, elle me dit d’arrêter et m’envoie deux claques sur la bite, ça calme.
- Recommence doucement, et retiens-toi nom d’une pipe, je veux profiter un peu du spectacle.
Elle joue ainsi avec moi de longues minutes, me rappelant au passage le plaisir qu’elle a pris avec ses deux amants d’un soir.
- Allez cocu, finis toi, viens sur mes seins.
Je m’approche, je deviens fou à me branler de la sorte, je me masturbe à toute vitesse maintenant, le plaisir monte de mon bas-ventre, violent.
Des jets de sperme viennent souiller les seins tendus de Madame, ça n’en finit pas, mes genoux tremblent d’un plaisir inconnu, je suis totalement à sa merci, je le sais.
- C’est bien, c’était un bel orgasme que tu m’as montré là, maintenant il faut que tu viennes nettoyer, lèche-moi tout ça, allez !
Quelle honte, je dois lécher mon propre sperme sur la poitrine de Madame mais je suis incapable de refuser et je m’exécute, honteux et en même temps heureux comme jamais de la tournure des évènements.
Lise joue son rôle à la perfection et elle en retire, je suis sûr, un énorme plaisir.
Avant de clôturer notre séance elle m’annonce encore que d’ici une semaine je devrai lui procurer un nouvel amant, un bel étalon comme elle dit, qui va la baiser devant moi.
- Je te réserve une belle surprise, tu verras.
Puis elle me saute au cou et m’embrasse tendrement. Je l’adore ! Elle est devenue ma maîtresse, je suis son soumis.
Après cette première nuit de Lise en pluralité masculine, avec moi en spectateur candauliste (lire les amis de Lise, partie une et deux), nous avons décidé elle et moi de passer une bonne partie de la matinée au lit, une fois que les deux partenaires de jeux furent repartis.
Lise est comblée, elle a été baisée comme jamais par ces deux mâles en rut et moi j’ai participé comme voyeur, j’ai également été convié à la lécher pendant qu’ils la prenaient à tour de rôle ; ça m’a convenu parfaitement, même si j’en ai été relativement troublé.
J’ai aussi découvert une facette de Lise que je ne connaissais pas, une femme qui s’est révélée adepte du plaisir.
Là, elle dort à côté de moi, un agréable sourire de contentement aux lèvres, radieuse.
Je vais prendre une douche et je descends en peignoir à la cuisine, préparer un petit en cas. J’entends Lise sous la douche, elle vient me rejoindre, elle est en nuisette, désirable comme jamais, un sourire coquin illumine son visage.
- Tu sais, il faut que je te parle, cette nuit m’a révélé quelque chose.
- Que se passe-t-il ?
- J’ai adoré ce que nous avons fait, je ne pourrai plus m’en passer dorénavant, je suis désolée.
- Pas de problème, explique moi, (je lui fais, un peu surpris tout de même).
- Je veux d’autres expériences, avec d’autres hommes, je veux goûter à plein d’autres queues, mais je te veux avec moi, toujours.
- Ben…. Oui, si c’est ton choix, je suis surpris quand même par son assurance et de la façon directe de m’en parler.
- Il y a autre chose, j’ai plutôt adoré ta façon de te comporter, un peu soumis à nous trois durant la nuit. J’aimerais poursuivre, si tu as envie bien sûr.
- Tu voudrais que je devienne ton soumis ? ….. et cocu avec ça ? Je joue le grand étonnement mais au fond de moi je sais que la chose est acquise, irrémédiablement.
Lise est déterminée et moi je sens intuitivement que c’est ce que je veux, c’est au fond de moi depuis longtemps.
- Ok ma chérie comment tu vois la chose ?
- Par moments, lorsque je le déciderai tu devras te soumettre à moi, sexuellement surtout. Tu devras me satisfaire, m’obéir, notamment quand nous serons avec d’autres hommes. Tu devras m’appeler Madame et me vouvoyer.
Elle a déjà bien avancé dans sa réflexion la coquine, à ce que vois. Je souris car cela me convient mais je ne le lui avoue pas directement.
Pris au jeu je m’entends répondre « Oui Madame, tout ce que vous voudrez ».
C’est parti cette fois-ci, je sais que nos relations vont changer à partir de cet instant, j’ai donné mon plein accord à cette belle femme que j’adore, que je vénère.
- Bien, va au salon, mets-toi à poil et à genoux, tu m’attends !
- Oui Madame, et je m’exécute. Je retire mon peignoir. Elle remonte à l’étage, je fais ce qu’elle m’a ordonné, ma queue se dresse, preuve que le jeu a bien pris.
Elle redescend bientôt et vient vers moi. Pour marquer le coup, je crois, elle porte la tenue avec laquelle elle a accueilli Pierre et Luc, ses amants d’une nuit : elle n’a plus sa nuisette mais sa jupe courte en cuir, le chemisier qui laisse déborder sa généreuse poitrine, des bas noirs et ses escarpins. Comme convenu je suis nu, à genoux, une formidable érection témoignant de mon excitation. Je ne peux m’empêcher de fixer ses deux mamelles gonflées et ses tétons épais qui se dressent.
Elle me tourne autour, me frôle de sa jupe en cuir.
- Je vois que ça te plaît, tu aimes ça n’est ce pas, mon cocu, car tu es mon cocu maintenant, je vais faire de toi ce que je veux.
- Oui ….Madame
- Parfait, (elle s’approche de moi, prend ma tête et l’appuie contre le cuir de sa jupe) viens te frotter un peu, lèche moi ce cuir, petit cocu. »
Je fais ce qu’on m’ordonne, m’abandonnant sans retenue aux désirs de cette belle maîtresse. Je sais que le point de non-retour est atteint, je lui appartiens désormais et j’en suis heureux.
Elle poursuit un moment, puis relève sa jupe et m’ordonne : « Donne-moi du plaisir avec ta langue comme tu sais si bien le faire ».
Je fourre ma tête entre ses cuisses qu’elle a bien écartées, je constate l’absence d’une culotte, ma langue commence à explorer les lèvres de sa chatte lisse, déjà bien humide. Je m’enivre du parfum de son sexe, les images de notre folle nuit m’assaillent, les queues puissantes de ces deux hommes la défonçant sans arrêt me reviennent à l’esprit ainsi que ses cris de plaisir. Ses lèvres s’écartent elles sont longues alors que ma langue s’y glisse.
Je commence à me masturber, à lui bouffer la chatte comme un fou.
- Qu’est-ce que tu fabriques, je ne t’ai pas permis de te branler, mets tes mains dans le dos. Et lèche moi doucement, non mais quel incapable ! Je vais te corriger tu vas voir. Allez lèche ta maîtresse comme il faut !
Je fais ce qu’elle m’ordonne, fou de désir et de frustration, mais j’ai accepté mon rôle et je tiens à bien le jouer.
Lise m’appuie sur la tête, à travers la jupe, et ondule du bassin, frottant sa belle chatte contre mon visage et ma langue. Elle se tourne, me présente ses fesses et m’ordonne de les embrasser avant d’exiger que je lui lèche son petit trou. Je ne l’avais jamais fait, mais ça me comble et je m’applique, elle se penche en avant, la jupe se tend et colle ma tête dans son cul.
- Vas-y le cocu, lèche fort, profite encore un peu car tu vas avoir une bonne surprise tout à l’heure.
Je redouble d’efforts, Lise commence à gémir, je sais que je suis dans le vrai.
Elle se dégage.
- Ca suffit, on va faire autre chose, ne bouge pas !
Elle s’en va pour revenir avec la ceinture de mon peignoir.
- Debout, tourne-toi, mains dans le dos.
J’obéis, désireux de bien faire. Elle m’attache les mains dans le dos, me fait avancer pour pouvoir m’attacher à la rampe de l’escalier. Elle avance une chaise, s’assied face à moi, et s’empare de ma queue raide. Sans dire un mot elle me branle, méthodiquement, d’un air complètement désintéressé. Je me tortille de plaisir mais c’est de courte durée.
Elle saisit de l’autre main mes couilles et les tire brutalement vers le bas, la branlette s’interrompt et je prends deux bonnes claques sur ma queue.
J’esquisse un mouvement de retrait mais la garce tire fort sur mes testicules.
- Reste là le cocu, je vais m’amuser avec toi, tu vas voir ce que tu vas prendre pour m’avoir mal servie tout à l’heure !
- Mais ça fait mal, je couine.
Deux autres aller-retour sur ma bite, l’autre main qui me triture les testicules.
- Pardon, Madame, je m’excuse, je souffle.
- C’est mieux ça, je préfère.
Elle continue son petit jeu, elle me branle systématiquement puis me claque la verge à toute volée, ses yeux fixant les miens, un sourire narquois sur ses jolies lèvres. J’ai mal et j’éprouve en même temps un plaisir très particulier à me retrouver à la merci de ma Lise. Elle a changé, c’est le moins que l’on puisse dire. Elle s’amuse ainsi un bon moment, puis me demande :
- Qu’est-ce qu’on dit à sa maîtresse ?
- Merci, merci, Madame.
Je bande toujours très fort, curieusement. Elle me ramène au salon, me dit de m’allonger sur le dos, les mains toujours attachées dans le dos.
Elle déballe ses seins que j’adore, ils sont gonflés d’excitation. De belles poires bien tendues.
Elle s’allonge au-dessus de moi et me présente ses tétons gonflés.
- Suce, tu sais que j’aime ça, et applique toi.
Je donne tout ce que je peux, je lèche, je suce ses mamelles généreuses, ses bouts gros et durs, je l’entends gémir au-dessus de moi.
- Et maintenant la chatte, je veux jouir sur toi, tu m’entends.
Elle relève sa jupe, s’agenouille sur mon visage, de face pour bien voir. Je sors ma langue et elle s’empale dessus, c’est dur de tenir la distance. Elle se penche en arrière, me saisit les tétons et les tord.
- Donne-moi bien ta langue, mon cochon !
Je rue mais elle continue, impitoyable. Elle me chevauche la bouche, ses lèvres longues et gonflées se frottent sur ma bouche, mon nez.
- Suce-moi, lèche, ça vient, allez cocu, je te baise bien là, tu aimes ça je le sais mon petit soumis adoré.
Je remue la tête pour accentuer encore le mouvement, des jets de cyprine m’inondent d’un seul coup. Madame me prend par les cheveux pour encore mieux coller ma bouche avide contre son sexe et elle râle son orgasme.
- Ah, c’est bon, continue, encore, encore.
Ses coups de bassin me cognent la tête au sol, qu’importe, je jouis intellectuellement avec elle, je suis tellement heureux de mon nouveau statut de cocu soumis, ma maîtresse est formidable. Elle se frotte sur moi, sans relâche, c’est violent mais tellement bon.
Elle se relâche enfin, se relève et s’écroule dans le fauteuil.
- Tu t’es bien rattrapé là, tu vas avoir le droit de te finir, viens que je te détache.
Elle se moque gentiment quand je galère pour me relever, elle me détache les mains, je dois lui servir un verre. Tranquillement installée dans son fauteuil préféré elle m’ordonne de venir devant elle et me dit de me masturber.
- Mais tu fais comme je te dis, annonce-t-elle.
Je commence, toujours bien bandé, je suis un peu gêné tout de même mais le spectacle de ses seins, de ses cuisses ouvertes sur une chatte humide de plaisir m’encourage.
- Commence doucement,
J’obéis et me frotte lentement le gland. Elle m’ordonne de la regarder dans les yeux.
- Vas-y accélère, ça me paît de te regarder t’astiquer comme un collégien.
Je rougis mais le plaisir commence à monter, je signale à Madame que je ne tiendrai plus longtemps, elle me dit d’arrêter et m’envoie deux claques sur la bite, ça calme.
- Recommence doucement, et retiens-toi nom d’une pipe, je veux profiter un peu du spectacle.
Elle joue ainsi avec moi de longues minutes, me rappelant au passage le plaisir qu’elle a pris avec ses deux amants d’un soir.
- Allez cocu, finis toi, viens sur mes seins.
Je m’approche, je deviens fou à me branler de la sorte, je me masturbe à toute vitesse maintenant, le plaisir monte de mon bas-ventre, violent.
Des jets de sperme viennent souiller les seins tendus de Madame, ça n’en finit pas, mes genoux tremblent d’un plaisir inconnu, je suis totalement à sa merci, je le sais.
- C’est bien, c’était un bel orgasme que tu m’as montré là, maintenant il faut que tu viennes nettoyer, lèche-moi tout ça, allez !
Quelle honte, je dois lécher mon propre sperme sur la poitrine de Madame mais je suis incapable de refuser et je m’exécute, honteux et en même temps heureux comme jamais de la tournure des évènements.
Lise joue son rôle à la perfection et elle en retire, je suis sûr, un énorme plaisir.
Avant de clôturer notre séance elle m’annonce encore que d’ici une semaine je devrai lui procurer un nouvel amant, un bel étalon comme elle dit, qui va la baiser devant moi.
- Je te réserve une belle surprise, tu verras.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo, je vais m empressé de lire la suite.
;)
;)
Une belle complicité!
Super et bien écrit.
prochaine étape tu vas sucer ses amants et plus si affinités!!
cela est une belle histoire et prouve que la femme est maitre du jeu cela me guide vers la
suprematie feminine et pas honte de le dire et la suite je l attend
suprematie feminine et pas honte de le dire et la suite je l attend