Lise, mon copain et moi
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Lise, mon copain et moi
Lise, mon copain et moi
Quelques jours ont passé depuis notre séance de soumission au patron du sex-shop, une expérience inoubliable pour nous deux.
Cela nous a projetés dans une autre dimension, Lise et moi Renaud son amant.
Nous avons des relations amoureuses, sexuelles normales la plupart du temps, mais il arrive également que je sois le soumis de Lise pour quelques jours, une soirée.
Lise aime se donner à d’autres hommes, avec mon accord, je dirais ma bénédiction. Je suis alors son cocu, soumis à ses moindres désirs et ça me convient parfaitement.
Depuis deux jours elle a mis mon sexe en cage, une cage de chasteté s’entend, dont elle garde la clé. Elle devient la maîtresse absolue de ma sexualité et c’est un jeu entre nous deux absolument fantastique.
Ce matin je vais faire des courses au marché, tranquille, et subitement un gars m’interpelle :« Hé, mais c’est Renaud, salut, et bien ça alors, ça fait un bail ! »Je me retourne, un type grand, bronzé, bien baraqué, mon âge environ, me fait des grands signes de la main. Ce n’est que lorsqu’il enlève ses lunettes que je le reconnais.
Francis, un ami de longue date que j’avais perdu de vue depuis au moins quinze ans. Nous avons joué ensemble dans la même équipe de foot, fait les quatre cent coups à l’armée et voilà qu’on se retrouve au marché du vendredi matin. On évoque les souvenirs et je l’invite spontanément à venir passer la soirée à la maison.
Je téléphone à Lise pour lui annoncer la nouvelle, elle ne connaît pas du tout Francis. Tu verras, je lui dis, c’est un type extrêmement sympa. Lise est ok, évidemment.
Comme j’avais fait une photo de Francis je la montre à Lise, une fois de retour des courses.
Elle voit ce type sportif, ne faisant pas son âge, les traits carrés, bronzé, style aventurier. Francis est plus grand que moi et il a toujours su prendre soin de son corps, une aisance et un charme naturel dont j’ai toujours été un peu jaloux.
Je vois tout de suite qu’il lui plaît, elle me confirme d’ailleurs dans son style direct et sans fioritures.
« Qu’est ce que j’aimerais passer un moment avec lui, tu crois qu’il serait partant ? »Me souvenant du passé commun que j’ai eu avec lui, j’assure à Lise qu’il est assez joueur, qu’il aime s’amuser et qu’il aime les femmes.
Lise nous a préparé une belle soirée, excellente cuisinière elle a mis les petits plats dans les grands, tout pour plaire à notre ami.
Elle s’est faite belle. Maquillage léger, escarpins pas trop hauts et une combinaison. Elle est coquine dans sa combinaison léopard, on devine ses seins lourds. Des bretelles fines laissent nues ses admirables épaules, et le haut de son dos. La combinaison est bien moulée, on devine si on regarde bien, les lèvres bien faites de son sexe à travers le tissu. Je sais d’emblée que Lise a une idée derrière la tête. Elle m’a d’ailleurs bien spécifié que pour l’instant je garderai ma cage de chasteté. Francis n’est pas de marbre non plus et je sais que Lise joue gagnant avec cette tenue.
On sonne, je vais ouvrir. Francis porte un jeans, une chemise blanche ouverte sur son torse velu, le frimeur, une veste Armani noire, des chaussures sport brunes, la classe. Il m’avait expliqué le matin qu’il travaillait toujours pour une compagnie pétrolière et qu’il voyageait pas mal.
Lise vient l’accueillir, toute frémissante, belle et désirable. Mon Francis écarquille les yeux en la voyant, il lui fait une bise appuyée, le coquin et lui offrant le bouquet qu’il a ramené.
Nous passons au salon, je sers les apéritifs, Lise ramène les amuse-bouche qu’elle a confectionnés. Nous bavardons du passé, de nos aventures communes, Lise nous écoute et rit à nos blagues d’écoliers. Je suis vraiment ravi de l’avoir retrouvé, par contre il ne perd pas Lise des yeux. Je retrouve le dragueur que je connaissais autrefois, ses jolis yeux bruns la déshabillent depuis qu’il est arrivé, je le connais bien. Je sais aussi que par respect pour son pote, ça s’arrêtera là.
Nous passons à table, le repas est délicieux, Lise a fait des merveilles, je vais chercher une autre bouteille. En revenant je vois les deux assis face à face, riant, les yeux dans les yeux, le courant passe bien à ce que je vois ! Lise se trémousse comme elle sait si bien le faire, l’autre n’en perd pas une, elle m’excite bien également.
Je vais mettre un peu de musique douce, nous passons au salon, j’ai un peu la tête qui tourne, les deux autres également d’ailleurs, peu importe, la soirée est cool, je suis heureux de revoir mon ami d’autrefois. Malgré notre âge il n’a rien perdu de son charisme, il nous parle de ses voyages, de ses expériences dans le monde entier, des femmes qui sont toutes différentes, toutes belles. Lise est sous le charme, je sers un vieux cognac que je réserve aux circonstances exceptionnelles, c’en est une. L’euphorie retombe un peu, la soirée est bien avancée, Lise manifeste le désir d’aller se reposer. Elle semble fatiguée, elle baille
Francis dit qu’il se fait tard, qu’il devrait rentrer. Je l’encourage à prendre un dernier verre avec moi et je lui explique qu’il n’est pas question qu’il prenne la route avec ce qu’il a picolé.
Je réussis à le convaincre de passer la nuit dans la chambre d’amis. Lise écoute, intéressée et intervient en me disant :- Mais attention rappelle-toi que la chambre d’amis n’est pas disponible en ce moment, nous avons enlevé le lit.
- Flûte j’avais oublié et le nouveau lit ne vient que la semaine prochaine.
- Il est exclu que Francis reparte en voiture, c’est trop risqué, que faire ?
- Seule solution, qu’il dorme dans notre lit, ce dernier, large de 2,20 m, devrait être suffisant.
- Oui je ne vois pas d’autre solution.
Francis a écouté avec intérêt notre conversation, il nous dit qu’il pourrait dormir à même le sol dans la chambre d’amis, moi je lui dis que c’est hors de question et Lise approuve.
Alors que nous buvons, elle propose que, avant de faire dodo, nous nous douchions. Elle dit qu’elle ira la première et donc elle nous laisse, monte l’escalier et va dans la salle de bain à l’étage qui est entre la chambre d’amis et la chambre à coucher.
Elle redescend en nuisette. Francis et moi avons le souffle coupé. Une nuisette rose, fine, transparente et courte. On voit ses seins, ses aréoles, ses tétons. On devine son sexe lisse, sans toison. Et très naturellement, elle s’installe sur le canapé et dit à Francis que c’est à son tour. La douche est prête. Ce dernier monte, il découvre la vaste salle de bain, se douche, et entouré d’une serviette autour de la taille il redescend. Lise le fixe avec attention et intérêt. Je le regarde aussi. Il a mûri, son corps s’est enrobé mais il a gardé une belle musculation et surtout un corps poilu. Il se rassied aussi et je reverse à boire.
C’est alors que Lise dit « Vous avez vu l’heure, il est temps d’aller au lit. Renaud, je te laisse débarrasser le séjour, ranger la cuisine, vérifier si tout est bien fermé. Et pense aussi à la douche avant de nous rejoindre au lit ! » Elle se lève, lui aussi, ils montent….
Le temps de tout ranger, de me doucher il se passe bien 30 minutes quand, nu, j’entre dans la chambre. La lumière est tamisée, j’avance vers le lit. Ils sont couverts par un drap, Lise est face à moi, couchée de côté, Francis est derrière elle, collé à elle je crois. Ils me regardent. Je suis honteux car si Lise sait, Francis, lui, il découvre ma cage de chasteté que je porte depuis quelques temps. Je n’ai pas pu la retirer, c’est Lise qui en a la clé. Il ne dit rien. Je soulève un peu le drap et me glisse dans le lit me couchant aussi de côté, mais face à Lise. En soulevant le drap j’ai vu que mon copain avait posé une main sur un sein de Lise.
Pendant quelques minutes, c’est le silence, puis Lise engage la conversation avec Francis mais je sens bien que c’est pour moi.
- Renaud, tu vois j’ai profité de ton absence pour demander à ton ami de me tenir pour réchauffer mon corps.
- C’est vrai, et sache Renaud que j’ai découvert chez Lise un corps merveilleux, une peau douce, tu m’avais caché qu’elle était si harmonieuse.
- Francis, arrête de me complimenter et joue plutôt avec mon téton que tu as entre tes doigts.
- Tu aimes cela, super moi aussi j’aime malaxer tes gros seins et étirer tes tétons.
- Alors fais-le, passe ton autre bras sous moi et attrape mes deux mamelles.
Et moi qui écoute et moi qui m’excite et mon sexe qui veut se tendre sans succès. Il est emprisonné. J’ai mal mais en même temps j’aime cette sensation. Je tire sur le drap qui descend et je découvre la poitrine de Lise. Je vois les deux grosses mains de mon ami qui malaxent les mamelles de ma femme. Cette dernière a les yeux grands ouverts, à ses mimiques je comprends qu’elle aime. Comme moi et mon sexe qui veut bander et qui me tiraille !
L’incroyable se produit, Lise jouit rien qu’avec ses seins qui sont maltraités par de gros doigts, elle ne se gêne pas pour gémir et dire « Oui, oui, continue, encore ». Elle se calme et reprend la conversation cette fois-ci avec moi.
- Alors mon petit soumis, tu as apprécié ?
- Oui ma chérie tu sais bien que j’aime quand tu as du plaisir.
- Sache que ton ami est formidable, il sait comment s’occuper des nichons d’une femme. Et toi comment va ton quiqui ?
- Ca va, ça va bien que……- Ne soit pas gêné, Francis a vu ta cage, je lui en avais parlé avant ta venue. Alors tu as pu jouir ?
- Non je suis trop serré je crois mais je voudrais bander. J’avais mal, un mal mélangé de plaisir.
- Si tu es gentil je te libèrerai plus tard.
Lise me prend ma main, alors que Francis continue à lui caresser ses « outres ». Elle la pose sur mon ventre et me dit « Caresse-moi aussi ». Que je suis heureux, je n’hésite pas, et caresse, tourné face à elle, son ventre qu’elle rentre bien, je descends sous le nombril, j’atteins sa fourche des cuisses qu’elle desserre. Je glisse mon doigt entre, je descends, arrive à son clitoris et plus bas je sens (je crois rêve) quelque chose de dur entre ses lèvres écartées. Le temps de réaliser. Oui c’est bien cela, elle a entre les lèvres, dans son sexe, une queue, la grosse queue de Francis. Je réalise qu’ils ont la position dite de la cuillère. Lui derrière elle, collé à elle, son vit au chaud.
Elle sait que je sais, alors tout simplement elle dit à mon ami « Bouge un peu, travaille-moi » et je remarque qu’elle tend ses fesses vers lui. Je vois qu’il la prend par les hanches et commence à cogner. Il a libéré ses seins, j’en profite pour les prendre en main et à mon tour de les « torturer ». Elle apprécie, je vois cela à ses gémissements qui se transforment en hurlements, elle jouit une nouvelle fois.
Je lâche ses seins, ses tétons n’ont jamais été avec moi aussi proéminents. Elle tend sa main vers la table de nuit où elle avait posé son collier avec la clé. « Approche, je vais te libérer ». C’est fait, elle enlève la cage de chasteté et d’un coup mon sexe, libre, se tend. Il est dur, long, quel soulagement. Je remarque que Francis est encore planté en elle, il n’a donc pas encore éjaculé et elle qui dit « Francis, refais-moi jouir et toi Renaud, caresse mon petit bouton ». C’est avec fierté que je le fais, je tourne autour du clitoris très dur et en même temps je sens une masse de chair coulisser dans le vagin. Il a vraiment un épais sexe, mon ami.
Les coups de queue de Francis sont de plus en plus forts, violents, tout le corps de Lise est secoué et moi, d’une main je dégage son clito et de l’autre main je le taquine. Francis pousse un cri, il vient d’éjaculer en elle, des jets de cyprine sortent de la fente de Lise et inondent mes doigts ; moi-même, sans que je ne me touche, je gicle et mon sperme s’étale sur le ventre de notre femelle. Celle-ci crie, gesticule, se débat, puis s’apaise et se calme, épuisée. « Merci mes deux mâles, ce fut incroyable, Renaud, éteins la lumière et dormons un peu. » Elle s’allonge sur le dos, mon ami et moi nous nous allongeons. Nous sommes de part et d’autre d’elle, tournés vers elle, chacun ayant posé une main sur son corps, lui sur ses seins, moi sur son sexe. Le sommeil nous prend.
Je dors mal, je sens Lise apaisée à côté de moi ; Francis, lui roupille comme un bébé. Il a toujours su s’adapter à toutes les situations. Je m’endors enfin, un bon gros sommeil.
Il commence à faire jour, j’émerge tranquillement et la soirée me revient. A côté de moi, ça s’agite, j’ouvre les yeux et là, je réalise. Ma nana est sur mon copain, elle bouge doucement son bassin, gémit, il l’enlace, la serre sur elle et fourre sa langue dans sa bouche. Petite pointe de jalousie, mais vite dissipée ; avec Lise nous sommes d’accord, elle peut avoir tous les hommes qu’elle veut, et là c’est mon copain, un mec que j’apprécie beaucoup et qui me le rend.
Lise s’est rendue compte que j’étais réveillé, elle me fait signe : « Francis me fait beaucoup de bien, tu veux participer mon chou, caresse moi, partout où tu veux ».
Elle accélère le mouvement, ondule du bassin, halète « oui, oui, c’est bon, prends moi, prenez moi mes chéris, allez y ».
Francis commence à bien l’entreprendre, il accompagne les mouvements de Lise par de gros coups de reins, elle lui crie comme c’est bon.
Je me mets à genoux, à côté d’eux, Lise me fait signe de venir devant elle. Tout en chevauchant Francis elle me prend dans sa bouche, avale ma queue bien profond et me suce au rythme de sa baise. Je vais lui jouir dessus, je ne veux pas, pas encore, je me dégage et recommence à la caresser, je pousse sur ses hanches, ses fesses pour accompagner le mouvement. Elle est tellement trempée de plaisir que la bite de mon ami glisse hors du vagin, spontanément je m’en saisis et le replante dans la chatte de Lise qui gémit de bonheur. Dans mon élan je caresse le petit trou de la belle, elle apprécie, soulève sa croupe et attend, le dard de Francis bien planté en elle.
Timidement je pousse mon index dans son cul, tout est tellement lubrifié, ça rentre tout seul, Lise gémit : « Oui, comme ça c’est bon. Vas-y doucement »Je sens la grosse bite de Francis, à travers. La chevauchée reprend, j’agite mon doigt dans le cul de Lise, elle me guide, ravie. « Mets moi deux doigts mon chéri, c’est trop bon ».
Je m’exécute et nous baisons Lise, par devant, par derrière, elle crie sans arrêt, jouit sans retenue et finit par rouler sur le côté, comblée.
Nous les deux mecs nous sommes toujours bien bandés, Lise s’en rend compte, se marre, s’assied au bord du lit et nous invite à nous mettre debout, devant elle.
« J’ai envie de vos deux queues dans ma bouche, ça vous dérange ? »
Ben non, entre potes. Nous sommes debout, côte à côte, nos queues dressées. Lise s’en empare, les branle doucement, frotte les deux glands l’un contre l’autre en nous regardant de son air coquin. Puis elle nous lèche comme elle sait si bien le faire avant de nous mettre dans sa bouche, les deux glands ensemble et se met à les sucer. C’est vachement bon, Francis lui dit, et nous nous baissons un peu, chacun se saisit d’un sein que nous travaillons bien fort, sachant comment Lise apprécie le traitement. Elle nous suce ainsi, longtemps, elle se régale de ces deux bites offertes à sa gourmandise, puis :« Allez les gars, venez dans ma bouche, je vous veux, je veux goûter votre jus ! »
On se regarde et nous commençons à nous branler sur la langue, dans la bouche de notre Lise. Elle nous regarde, nous encourage du regard, je viens le premier.
Des jets puissants s’échappent de ma verge et vont se perdre au fond de la gorge de ma belle. Son regard malicieux m’indique combien elle est heureuse de la situation, je me retire après avoir frotté encore un peu mon gland sur sa joue.
Francis accélère, son gland est rouge d’excitation, il indique à Lise que ça y est, elle le prend en bouche et suce fort, rapidement, pour le finir, il la prend par la tête et éjacule longuement.
La coquine boit tout, elle est magnifique ; apaisée elle se couche sur le dos, nous nous mettons de part et d’autre pour lui prodiguer de tendres caresse, en remerciement du plaisir qu’elle nous a donné. Elle est radieuse« Renaud, j’aimerais que Francis passe la journée avec nous, s’il veut bien »
Le regard appuyé qu’elle nous lance ne dupe personne, elle en veut encore !
Quelques jours ont passé depuis notre séance de soumission au patron du sex-shop, une expérience inoubliable pour nous deux.
Cela nous a projetés dans une autre dimension, Lise et moi Renaud son amant.
Nous avons des relations amoureuses, sexuelles normales la plupart du temps, mais il arrive également que je sois le soumis de Lise pour quelques jours, une soirée.
Lise aime se donner à d’autres hommes, avec mon accord, je dirais ma bénédiction. Je suis alors son cocu, soumis à ses moindres désirs et ça me convient parfaitement.
Depuis deux jours elle a mis mon sexe en cage, une cage de chasteté s’entend, dont elle garde la clé. Elle devient la maîtresse absolue de ma sexualité et c’est un jeu entre nous deux absolument fantastique.
Ce matin je vais faire des courses au marché, tranquille, et subitement un gars m’interpelle :« Hé, mais c’est Renaud, salut, et bien ça alors, ça fait un bail ! »Je me retourne, un type grand, bronzé, bien baraqué, mon âge environ, me fait des grands signes de la main. Ce n’est que lorsqu’il enlève ses lunettes que je le reconnais.
Francis, un ami de longue date que j’avais perdu de vue depuis au moins quinze ans. Nous avons joué ensemble dans la même équipe de foot, fait les quatre cent coups à l’armée et voilà qu’on se retrouve au marché du vendredi matin. On évoque les souvenirs et je l’invite spontanément à venir passer la soirée à la maison.
Je téléphone à Lise pour lui annoncer la nouvelle, elle ne connaît pas du tout Francis. Tu verras, je lui dis, c’est un type extrêmement sympa. Lise est ok, évidemment.
Comme j’avais fait une photo de Francis je la montre à Lise, une fois de retour des courses.
Elle voit ce type sportif, ne faisant pas son âge, les traits carrés, bronzé, style aventurier. Francis est plus grand que moi et il a toujours su prendre soin de son corps, une aisance et un charme naturel dont j’ai toujours été un peu jaloux.
Je vois tout de suite qu’il lui plaît, elle me confirme d’ailleurs dans son style direct et sans fioritures.
« Qu’est ce que j’aimerais passer un moment avec lui, tu crois qu’il serait partant ? »Me souvenant du passé commun que j’ai eu avec lui, j’assure à Lise qu’il est assez joueur, qu’il aime s’amuser et qu’il aime les femmes.
Lise nous a préparé une belle soirée, excellente cuisinière elle a mis les petits plats dans les grands, tout pour plaire à notre ami.
Elle s’est faite belle. Maquillage léger, escarpins pas trop hauts et une combinaison. Elle est coquine dans sa combinaison léopard, on devine ses seins lourds. Des bretelles fines laissent nues ses admirables épaules, et le haut de son dos. La combinaison est bien moulée, on devine si on regarde bien, les lèvres bien faites de son sexe à travers le tissu. Je sais d’emblée que Lise a une idée derrière la tête. Elle m’a d’ailleurs bien spécifié que pour l’instant je garderai ma cage de chasteté. Francis n’est pas de marbre non plus et je sais que Lise joue gagnant avec cette tenue.
On sonne, je vais ouvrir. Francis porte un jeans, une chemise blanche ouverte sur son torse velu, le frimeur, une veste Armani noire, des chaussures sport brunes, la classe. Il m’avait expliqué le matin qu’il travaillait toujours pour une compagnie pétrolière et qu’il voyageait pas mal.
Lise vient l’accueillir, toute frémissante, belle et désirable. Mon Francis écarquille les yeux en la voyant, il lui fait une bise appuyée, le coquin et lui offrant le bouquet qu’il a ramené.
Nous passons au salon, je sers les apéritifs, Lise ramène les amuse-bouche qu’elle a confectionnés. Nous bavardons du passé, de nos aventures communes, Lise nous écoute et rit à nos blagues d’écoliers. Je suis vraiment ravi de l’avoir retrouvé, par contre il ne perd pas Lise des yeux. Je retrouve le dragueur que je connaissais autrefois, ses jolis yeux bruns la déshabillent depuis qu’il est arrivé, je le connais bien. Je sais aussi que par respect pour son pote, ça s’arrêtera là.
Nous passons à table, le repas est délicieux, Lise a fait des merveilles, je vais chercher une autre bouteille. En revenant je vois les deux assis face à face, riant, les yeux dans les yeux, le courant passe bien à ce que je vois ! Lise se trémousse comme elle sait si bien le faire, l’autre n’en perd pas une, elle m’excite bien également.
Je vais mettre un peu de musique douce, nous passons au salon, j’ai un peu la tête qui tourne, les deux autres également d’ailleurs, peu importe, la soirée est cool, je suis heureux de revoir mon ami d’autrefois. Malgré notre âge il n’a rien perdu de son charisme, il nous parle de ses voyages, de ses expériences dans le monde entier, des femmes qui sont toutes différentes, toutes belles. Lise est sous le charme, je sers un vieux cognac que je réserve aux circonstances exceptionnelles, c’en est une. L’euphorie retombe un peu, la soirée est bien avancée, Lise manifeste le désir d’aller se reposer. Elle semble fatiguée, elle baille
Francis dit qu’il se fait tard, qu’il devrait rentrer. Je l’encourage à prendre un dernier verre avec moi et je lui explique qu’il n’est pas question qu’il prenne la route avec ce qu’il a picolé.
Je réussis à le convaincre de passer la nuit dans la chambre d’amis. Lise écoute, intéressée et intervient en me disant :- Mais attention rappelle-toi que la chambre d’amis n’est pas disponible en ce moment, nous avons enlevé le lit.
- Flûte j’avais oublié et le nouveau lit ne vient que la semaine prochaine.
- Il est exclu que Francis reparte en voiture, c’est trop risqué, que faire ?
- Seule solution, qu’il dorme dans notre lit, ce dernier, large de 2,20 m, devrait être suffisant.
- Oui je ne vois pas d’autre solution.
Francis a écouté avec intérêt notre conversation, il nous dit qu’il pourrait dormir à même le sol dans la chambre d’amis, moi je lui dis que c’est hors de question et Lise approuve.
Alors que nous buvons, elle propose que, avant de faire dodo, nous nous douchions. Elle dit qu’elle ira la première et donc elle nous laisse, monte l’escalier et va dans la salle de bain à l’étage qui est entre la chambre d’amis et la chambre à coucher.
Elle redescend en nuisette. Francis et moi avons le souffle coupé. Une nuisette rose, fine, transparente et courte. On voit ses seins, ses aréoles, ses tétons. On devine son sexe lisse, sans toison. Et très naturellement, elle s’installe sur le canapé et dit à Francis que c’est à son tour. La douche est prête. Ce dernier monte, il découvre la vaste salle de bain, se douche, et entouré d’une serviette autour de la taille il redescend. Lise le fixe avec attention et intérêt. Je le regarde aussi. Il a mûri, son corps s’est enrobé mais il a gardé une belle musculation et surtout un corps poilu. Il se rassied aussi et je reverse à boire.
C’est alors que Lise dit « Vous avez vu l’heure, il est temps d’aller au lit. Renaud, je te laisse débarrasser le séjour, ranger la cuisine, vérifier si tout est bien fermé. Et pense aussi à la douche avant de nous rejoindre au lit ! » Elle se lève, lui aussi, ils montent….
Le temps de tout ranger, de me doucher il se passe bien 30 minutes quand, nu, j’entre dans la chambre. La lumière est tamisée, j’avance vers le lit. Ils sont couverts par un drap, Lise est face à moi, couchée de côté, Francis est derrière elle, collé à elle je crois. Ils me regardent. Je suis honteux car si Lise sait, Francis, lui, il découvre ma cage de chasteté que je porte depuis quelques temps. Je n’ai pas pu la retirer, c’est Lise qui en a la clé. Il ne dit rien. Je soulève un peu le drap et me glisse dans le lit me couchant aussi de côté, mais face à Lise. En soulevant le drap j’ai vu que mon copain avait posé une main sur un sein de Lise.
Pendant quelques minutes, c’est le silence, puis Lise engage la conversation avec Francis mais je sens bien que c’est pour moi.
- Renaud, tu vois j’ai profité de ton absence pour demander à ton ami de me tenir pour réchauffer mon corps.
- C’est vrai, et sache Renaud que j’ai découvert chez Lise un corps merveilleux, une peau douce, tu m’avais caché qu’elle était si harmonieuse.
- Francis, arrête de me complimenter et joue plutôt avec mon téton que tu as entre tes doigts.
- Tu aimes cela, super moi aussi j’aime malaxer tes gros seins et étirer tes tétons.
- Alors fais-le, passe ton autre bras sous moi et attrape mes deux mamelles.
Et moi qui écoute et moi qui m’excite et mon sexe qui veut se tendre sans succès. Il est emprisonné. J’ai mal mais en même temps j’aime cette sensation. Je tire sur le drap qui descend et je découvre la poitrine de Lise. Je vois les deux grosses mains de mon ami qui malaxent les mamelles de ma femme. Cette dernière a les yeux grands ouverts, à ses mimiques je comprends qu’elle aime. Comme moi et mon sexe qui veut bander et qui me tiraille !
L’incroyable se produit, Lise jouit rien qu’avec ses seins qui sont maltraités par de gros doigts, elle ne se gêne pas pour gémir et dire « Oui, oui, continue, encore ». Elle se calme et reprend la conversation cette fois-ci avec moi.
- Alors mon petit soumis, tu as apprécié ?
- Oui ma chérie tu sais bien que j’aime quand tu as du plaisir.
- Sache que ton ami est formidable, il sait comment s’occuper des nichons d’une femme. Et toi comment va ton quiqui ?
- Ca va, ça va bien que……- Ne soit pas gêné, Francis a vu ta cage, je lui en avais parlé avant ta venue. Alors tu as pu jouir ?
- Non je suis trop serré je crois mais je voudrais bander. J’avais mal, un mal mélangé de plaisir.
- Si tu es gentil je te libèrerai plus tard.
Lise me prend ma main, alors que Francis continue à lui caresser ses « outres ». Elle la pose sur mon ventre et me dit « Caresse-moi aussi ». Que je suis heureux, je n’hésite pas, et caresse, tourné face à elle, son ventre qu’elle rentre bien, je descends sous le nombril, j’atteins sa fourche des cuisses qu’elle desserre. Je glisse mon doigt entre, je descends, arrive à son clitoris et plus bas je sens (je crois rêve) quelque chose de dur entre ses lèvres écartées. Le temps de réaliser. Oui c’est bien cela, elle a entre les lèvres, dans son sexe, une queue, la grosse queue de Francis. Je réalise qu’ils ont la position dite de la cuillère. Lui derrière elle, collé à elle, son vit au chaud.
Elle sait que je sais, alors tout simplement elle dit à mon ami « Bouge un peu, travaille-moi » et je remarque qu’elle tend ses fesses vers lui. Je vois qu’il la prend par les hanches et commence à cogner. Il a libéré ses seins, j’en profite pour les prendre en main et à mon tour de les « torturer ». Elle apprécie, je vois cela à ses gémissements qui se transforment en hurlements, elle jouit une nouvelle fois.
Je lâche ses seins, ses tétons n’ont jamais été avec moi aussi proéminents. Elle tend sa main vers la table de nuit où elle avait posé son collier avec la clé. « Approche, je vais te libérer ». C’est fait, elle enlève la cage de chasteté et d’un coup mon sexe, libre, se tend. Il est dur, long, quel soulagement. Je remarque que Francis est encore planté en elle, il n’a donc pas encore éjaculé et elle qui dit « Francis, refais-moi jouir et toi Renaud, caresse mon petit bouton ». C’est avec fierté que je le fais, je tourne autour du clitoris très dur et en même temps je sens une masse de chair coulisser dans le vagin. Il a vraiment un épais sexe, mon ami.
Les coups de queue de Francis sont de plus en plus forts, violents, tout le corps de Lise est secoué et moi, d’une main je dégage son clito et de l’autre main je le taquine. Francis pousse un cri, il vient d’éjaculer en elle, des jets de cyprine sortent de la fente de Lise et inondent mes doigts ; moi-même, sans que je ne me touche, je gicle et mon sperme s’étale sur le ventre de notre femelle. Celle-ci crie, gesticule, se débat, puis s’apaise et se calme, épuisée. « Merci mes deux mâles, ce fut incroyable, Renaud, éteins la lumière et dormons un peu. » Elle s’allonge sur le dos, mon ami et moi nous nous allongeons. Nous sommes de part et d’autre d’elle, tournés vers elle, chacun ayant posé une main sur son corps, lui sur ses seins, moi sur son sexe. Le sommeil nous prend.
Je dors mal, je sens Lise apaisée à côté de moi ; Francis, lui roupille comme un bébé. Il a toujours su s’adapter à toutes les situations. Je m’endors enfin, un bon gros sommeil.
Il commence à faire jour, j’émerge tranquillement et la soirée me revient. A côté de moi, ça s’agite, j’ouvre les yeux et là, je réalise. Ma nana est sur mon copain, elle bouge doucement son bassin, gémit, il l’enlace, la serre sur elle et fourre sa langue dans sa bouche. Petite pointe de jalousie, mais vite dissipée ; avec Lise nous sommes d’accord, elle peut avoir tous les hommes qu’elle veut, et là c’est mon copain, un mec que j’apprécie beaucoup et qui me le rend.
Lise s’est rendue compte que j’étais réveillé, elle me fait signe : « Francis me fait beaucoup de bien, tu veux participer mon chou, caresse moi, partout où tu veux ».
Elle accélère le mouvement, ondule du bassin, halète « oui, oui, c’est bon, prends moi, prenez moi mes chéris, allez y ».
Francis commence à bien l’entreprendre, il accompagne les mouvements de Lise par de gros coups de reins, elle lui crie comme c’est bon.
Je me mets à genoux, à côté d’eux, Lise me fait signe de venir devant elle. Tout en chevauchant Francis elle me prend dans sa bouche, avale ma queue bien profond et me suce au rythme de sa baise. Je vais lui jouir dessus, je ne veux pas, pas encore, je me dégage et recommence à la caresser, je pousse sur ses hanches, ses fesses pour accompagner le mouvement. Elle est tellement trempée de plaisir que la bite de mon ami glisse hors du vagin, spontanément je m’en saisis et le replante dans la chatte de Lise qui gémit de bonheur. Dans mon élan je caresse le petit trou de la belle, elle apprécie, soulève sa croupe et attend, le dard de Francis bien planté en elle.
Timidement je pousse mon index dans son cul, tout est tellement lubrifié, ça rentre tout seul, Lise gémit : « Oui, comme ça c’est bon. Vas-y doucement »Je sens la grosse bite de Francis, à travers. La chevauchée reprend, j’agite mon doigt dans le cul de Lise, elle me guide, ravie. « Mets moi deux doigts mon chéri, c’est trop bon ».
Je m’exécute et nous baisons Lise, par devant, par derrière, elle crie sans arrêt, jouit sans retenue et finit par rouler sur le côté, comblée.
Nous les deux mecs nous sommes toujours bien bandés, Lise s’en rend compte, se marre, s’assied au bord du lit et nous invite à nous mettre debout, devant elle.
« J’ai envie de vos deux queues dans ma bouche, ça vous dérange ? »
Ben non, entre potes. Nous sommes debout, côte à côte, nos queues dressées. Lise s’en empare, les branle doucement, frotte les deux glands l’un contre l’autre en nous regardant de son air coquin. Puis elle nous lèche comme elle sait si bien le faire avant de nous mettre dans sa bouche, les deux glands ensemble et se met à les sucer. C’est vachement bon, Francis lui dit, et nous nous baissons un peu, chacun se saisit d’un sein que nous travaillons bien fort, sachant comment Lise apprécie le traitement. Elle nous suce ainsi, longtemps, elle se régale de ces deux bites offertes à sa gourmandise, puis :« Allez les gars, venez dans ma bouche, je vous veux, je veux goûter votre jus ! »
On se regarde et nous commençons à nous branler sur la langue, dans la bouche de notre Lise. Elle nous regarde, nous encourage du regard, je viens le premier.
Des jets puissants s’échappent de ma verge et vont se perdre au fond de la gorge de ma belle. Son regard malicieux m’indique combien elle est heureuse de la situation, je me retire après avoir frotté encore un peu mon gland sur sa joue.
Francis accélère, son gland est rouge d’excitation, il indique à Lise que ça y est, elle le prend en bouche et suce fort, rapidement, pour le finir, il la prend par la tête et éjacule longuement.
La coquine boit tout, elle est magnifique ; apaisée elle se couche sur le dos, nous nous mettons de part et d’autre pour lui prodiguer de tendres caresse, en remerciement du plaisir qu’elle nous a donné. Elle est radieuse« Renaud, j’aimerais que Francis passe la journée avec nous, s’il veut bien »
Le regard appuyé qu’elle nous lance ne dupe personne, elle en veut encore !
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