Lise Ahmed et Karim - histoire érotique

Une semaine s’est écoulée depuis notre week-end un peu particulier avec notre soumis. Nous avions loué un chalet isolé, j’avais fait venir pour la circonstance un type qui adore se soumettre, Lise en a bien profité, moi aussi d’ailleurs, elle en a fait son jouet sexuel pendant deux jours, le type est reparti, comblé je pense.
Il faut dire que Lise et moi entretenons des relations bien particulières. Elle est dominante dans notre couple. D’un commun accord, elle a le droit et le privilège de s’envoyer tous les mecs dont elle a envie, je lui organise la plupart de ses rendez-vous. En plus je suis soumis à ses moindres désirs lors de ces rencontres, un vrai cocu soumis, consentant, heureux de son sort. Et cela fonctionne à merveille.

Ce matin elle me remet à l’esprit son aventure avec Ahmed, notre jardinier marocain, un beau mâle bien servi par la nature, qui l’avait comblée à merveille il y a quelque temps.
Elle aimerait renouveler la chose, me rappelant au passage qu’elle avait encouragé Ahmed à revenir avec un de ses amis si possible. Elle m’embrasse tendrement : « Tu vas bien pouvoir m’organiser ça mon trésor », dit-elle alors que d’une main ferme elle s’empare de mon sexe bandé à travers mon pantalon.

Les désirs de Madame sont pour moi des ordres, je téléphone à Ahmed, lui explique que pour sa prochaine séance de jardinage chez nous, Lise voudrait d’abord lui expliquer le travail et je l’invite à passer en fin de semaine. Je l’encourage à venir avec un autre homme, ajoutant que Madame est gourmande. Il comprend, il rigole, m’indique que son cousin Karim sera partant et que Madame ne sera pas déçue.

Nous sommes samedi, jour prévu pour la fameuse séance de jardinage.
Lise est excitée depuis le matin, elle me tourne autour, me chauffe, mais je la connais bien ça fait partie de son jeu.
Les deux types doivent arriver dans très peu de temps maintenant. Lise me prend par la main, m’entraîne vers la salle de bain. Je dois exhiber ma queue, je bande évidemment. Elle prend un linge, de l’eau froide, ça calme mes ardeurs. Elle en profite pour me poser la cage de chasteté que nous avions achetée au sex-shop, un sacré souvenir également pour elle et moi !
« C’est comme ça mon chéri, tu seras un peu puni, au moins au début », un bisou sur ma joue et elle se met la clé du cadenas autour du cou.
« Va au salon les accueillir, je vais me faire belle, surprise pour toi aussi ». Punaise la garce, je m’exécute.

Les deux lascars arrivent, pas du tout équipés pour le jardinage.
Ahmed est un grand gaillard, costaud, les yeux bleus de berbère, un charme fou. Il me présente Karim, son cousin. Celui ci est plus petit, trapu, les yeux bruns, noirs, beaucoup plus jeune que Ahmed. Je le sens un peu impressionné par la situation, on se salue, je les fais entrer. Ahmed connait les lieux, il est détendu, son cousin semble plus réservé.

Nous patientons au salon. On parle jardinage, arbres à tailler, haies à raccourcir, j’ai envie de me marrer vu le cocasse de la situation. Lise se fait attendre, mais c’est elle la star du jour, pas vrai ! Ma cage me gêne déjà dans mon pantalon, ma queue voudrait grossir à l’idée de ce qui va se passer, mais elle est comprimée dans sa prison. Un bel outil de domination, je dois dire.

Et Lise fait son apparition. Elle est magnifique. Un chemisier blanc à manches courtes, transparent, laissant deviner ses beaux seins emprisonnés dans un joli soutien-gorge quart de seins qui les fait bien saillir. Ses aréoles et ses tétons sont dégagés, ils sont nus.
Elle porte une jupe mi-longue, en tissu, fendue très haut, qui laisse entrevoir ses belles jambes gainées dans des bas qui ont un liséré blanc. Elle a des escarpins . Elle a fait fort.
Ahmed pousse un sifflement admiratif, Karim se fend d’un « Oh la vache ». Lise sourit et descend l’escalier lentement, une reine !
Elle vient faire la bise aux deux mecs, Karim roule des yeux ébahis, il ne s’attendait pas à ça.
« Sers nous un verre, chéri, allons qu’est ce que tu attends ! »Mon rôle est défini, clarifié, je suis au service de Madame à partir de maintenant, je m’en doutais un peu. Elle passe de l’un à l’autre, les effleure, les fixe, elle les allume carrément, la coquine. Ahmed connaît, il joue le jeu, sourit, se laisse bien faire, esquisse des gestes osés. Karim, bien que prévenu je pense, danse d’un pied sur l’autre, maladroit.

Lise s’assoit, invite les garçons de part et d’autre d’elle sur le canapé. Je ramène les boissons, vais mettre un peu de musique douce.
Lise pose son verre, met ses mains sur les cuisses des deux hommes et commence une lente caresse. Très vite Ahmed se tourne vers elle et lui caresse également les jambes, à travers le tissu de la jupe. Je suis debout, en retrait, dans un coin, fasciné comme à chaque fois. Je suis un voyeur.

Karim est beaucoup plus direct, il attaque carrément la poitrine de Lise en ouvrant le chemisier. Sa main se pose sur ses seins gonflés par le soutien-gorge quart de seins pour une exploration détaillée. Lise apprécie, elle se cambre bien, s’offre totalement aux deux hommes, les yeux clos. Son souffle s’accélère, trahissant son excitation.
Ahmed a passé sa main sous la jupe et caresse les jolies cuisses de Lise, elle écarte les jambes, docile.
Karim me regarde, je l’encourage d’un clin d’œil, il passe sa main dans les bonnets du sous-vêtement et palpe les nichons de la belle. Gémissement de plaisir, les lèvres de Lise s’ouvrent, elle me jette son regard de défi que je connais bien et qui veut dire : « Regarde comme je vais bien me faire baiser devant toi. » Ma bite cogne contre les parois de la cage.

Tous les trois s’enhardissent, les comportements se précisent. Karim a écarté les pans du chemisier, les seins de Lise lui sont offerts, il se penche et commence à lécher les tétons, il les prend rapidement en bouche et suce, Lise adore je le sais. Elle appuie sur la tête du garçon, le guide, lui caresse les cheveux. Ses yeux me fixent, elle sait que ça m’excite à mort.

Ahmed a plongé ses deux mains sous la jupe de Lise, je devine qu’une de ses mains a déjà investi sa petite culotte. Elle commence à bien onduler du bassin, les yeux mi clos. L’ambiance est électrique, c’est parti.

Les garçons déshabillent Lise, entre deux caresses, elle s’abandonne. Plus de soutien gorge, ses deux nichons, lourds et gonflés, ballottent sous les mains de Karim. Ahmed entreprend de lui enlever la culotte, elle lui sourit : « Allez, vas y mon coquin, régalez vous tous les deux, toi, approche, couche toi ! ». La dernière injonction est pour moi.

Je viens m’allonger devant le canapé, Lise se met au dessus de mon visage et pose sa chatte bien humide sur ma bouche. Les deux coquins se lèvent aussi, se déshabillent complètement. Je connais la morphologie d’Ahmed, musclé, plutôt longiligne, bien proportionné. Sa queue est toujours aussi belle, longue, épaisse, bandée évidemment. Le gland bien décalotté. Il le présente à Lise qui l’embouche avec un grognement de plaisir. Ahmed lui prend la tête et guide son mandrin au fond de la gorge de ma salope.
Elle commence à bien couler, folle d’excitation, j’adore, je lape ce jus de plaisir avec délice. Elle sait aussi que je raffole de ces situations où elle me domine complètement, où elle m’humilie devant d’autres hommes. On se connaît bien, c’est du plaisir brut que nous nous offrons l’un à l’autre.

J’entrevois Karim, à poil lui aussi. Plus petit, une musculature épaisse, un peu enveloppé néanmoins. Par contre sa bite est épaisse, plus courte que chez Ahmed mais un sacré morceau, comme Lise les aime. Il la lui présente aussi.

Agenouillée sur moi, sa chatte bien collée sur mon visage, Lise suce ces deux bites offertes avec entrain ; elle parvient même à prendre les deux glands en bouche, je sais que c’est une de ses folies. Je lèche, je suce sa chatte, mais je ne veux pas lui procurer d’orgasme. Adroitement je la maintiens au bord, elle gémit, s’agite sur moi, je vois les queues disparaître au fond de sa bouche, elle lèche les glands, les mecs respirent fort. Lise est adroite, j’en sais quelque chose, une vraie bonne suceuse, j’envie les types. Mais ma petite queue est bien prisonnière, d’ailleurs j’aperçois la clé du cadenas entre les seins de Lise, suspendue à son collier.
Son bassin tremble, sa belle chatte s’agite furieusement sur ma bouche maintenant, j’enfonce ma langue dans son vagin, aussi loin que je peux. L’orgasme arrive, malgré moi, elle jouit, elle gicle, elle me coule dessus, des petits jets de cyprine inondent ma bouche, je bois tout, j’aime.

Les garçons relèvent Lise à présent, ils l’installent sur le canapé, à genoux, ses bras reposent sur le dossier. Je reste couché au sol. Je vois ses mamelles qui pendent, ses tétons qui ont rallongé.
Ahmed se met derrière elle, lui prend les fesses et la pénètre, d’un seul coup, fermement et bien à fond. Petit cri de Lise qui se termine par « Oh oui, c’est bon ».
Il pose ses deux mains sur ses hanches et commence à la baiser, lentement mais bien au fond à chaque coup de rein. Lise apprécie, chaque secousse est accompagnée d’un petit cri et de ses gros lolos qui se balancent. Karim lui, se branle, puis il va se mettre de l’autre côté du canapé, il donne sa grosse bite à sucer. Lise ne se fait pas prier. Elle ouvre sa jolie bouche et se laisse baiser comme ça, un devant, l’autre derrière.
Je n’en perds pas une miette, couché en dessous.

Ahmed m’ordonne de venir mettre ma tête entre les cuisses de Lise. « Toi tu lèches », il me dit. Je me mets en position, avec plaisir. Ma bouche trouve les lèvres du sexe de Lise, la queue d’Ahmed frôle mon visage et je contribue à l’orgasme de ma belle, comme je peux car ma belle jouit une nouvelle fois. Mon sexe comprimé me fait mal, comme j’aimerais me branler et je sais que Lise est consciente de tout ça, en arrière plan du plaisir qu’elle prend avec ces deux coquins.
Ils échangent les rôles plusieurs fois. Ils la défoncent bien, comme elle aime, elle les encourage d’ailleurs, ce qui nous excite bien.

Fatigué de ma position inconfortable, je viens m’asseoir sur le canapé. Je peux voir en même temps les deux bites défoncer ma bienaimée, l’une dans la chatte, l’autre dans la bouche.
Lise est folle de plaisir, elle grogne, accompagne les coups de reins des deux baiseurs, comme elle peut.
Sa main vient me caresser la poitrine, elle saisit mes tétons, les tord, puis elle empoigne ma queue à travers la cage, mes couilles aussi, pour ne plus les lâcher. Elle serre, elle compresse.
Ça fait mal mais je sais qu’elle a envie de ça, me posséder encore plus, à travers son plaisir, et j’aime, je la laisse faire. Ma queue emprisonnée est triturée au rythme des coups de reins de ses amants. Je regarde, je subis, ma queue commence à couler sous le traitement, du sperme goutte hors de la cage, j’éprouve beaucoup de plaisir, Lise hurle le sien.

Les deux coquins se mettent un peu en retrait, laissent souffler Lise. Elle se tourne vers moi, m’embrasse à pleine bouche et me met deux claques sur mes couilles, les deux mecs rigolent.
Je suis invité à me pousser un peu, Karim s’assied sur le canapé, prend la nuque de Lise.

« Madame, suce-moi ! ». Il lui montre le chemin, Lise se remet ce chibre en bouche, jusqu’à la garde. Il faut dire que Karim lui appuie bien sur la tête, elle manque de s’étrangler.
Ahmed lui a fourré deux doigts dans la chatte et la branle bien, elle recommence à gémir :« Oh oui, mes deux salauds, encore, regarde bien, cocu ce qu’ils me font ! ». Je n’en perds pas une miette.

Elle se met sur Karim, à califourchon, il l’embroche et lui suce les tétons, par la même occasion. Ahmed s’attaque à son cul, l’index a déjà disparu dans le petit trou de Lise, elle laisse faire, la salope, je devine ce qui va suivre.

Elle ondule bien sur la bite de Karim, elle mouille abondamment, chaque aller retour déclenche un bruit de succion éloquent, sa chatte aspire le gros pieu du marocain.
Ahmed se place derrière elle, la main sur les fesses, son gland à l’entrée sa jolie petite rondelle, elle ne bouge plus. « Oui c’est ça, vas-y, encule moi mon trésor ! » dit-elle.

Je m’approche, la bite du jeune homme pénètre doucement le cul de ma belle, un petit cri de contentement, Ahmed pousse encore, il y est, il possède son cul.
Les deux la pilonnent maintenant en cadence, les orgasmes se succèdent, Karim ne lâche pas ses seins, il suce fort, elle aime, je sais. Elle crie son plaisir, elle halète, elle transpire.

Ahmed lui baise le cul, rapidement, puissamment. Il a agrippé fermement ses hanches, ses coups de reins claquent contre les fesses de Lise, elle crie son bonheur sans arrêt.
Ahmed, le premier, se dégage, il se branle contre le cul de Lise, des jets de sperme puissants viennent lui arroser les reins, la raie de son cul bien défoncé.
Puis c’est au tour du cousin, il se dégage, retourne Lise, approche sa bite gonflée de son visage, frotte le gland contre ses joues, ses lèvres et se branle furieusement. Il met un peu de temps à se finir, Lise attend la récompense, bouche entrouverte, le souffle court.
Il lui éjacule brusquement sur le visage, un peu dans la bouche, les yeux de Lise en prennent aussi, elle rigole, la coquine.

On se regarde tous les quatre. « Merci les garçons, c’était vraiment formidable ». Ils se rhabillent, contents, fiers, prennent congé en me jetant un drôle de regard. Je sais qu’ils ne comprennent pas les relations que j’ai avec Lise, peu importe. Ils partent et c’est Karim qui dit à Lise qu’il aimerait bien passer quelques jours chez elle ! Elle rougit, referme la porte.

Elle s’approche de moi par derrière, m’enserre de ses jolis bras, me caresse : « A nous deux maintenant », elle m’ôte la cage, je bande illico. Elle m’embrasse, me câline comme souvent après ses ébats torrides avec d’autres, j’adore cela. Elle commence à me masturber tendrement, lentement, je dois mettre mes mains dans le dos et me laisser faire. C’est bon, elle est douée mais ça je le sais. Plusieurs fois l’orgasme est imminent, mais elle s’arrête, elle me fait languir. C’est dur pour moi.

Cette fois c’est la bonne, je sens que je vais bien jouir, non, elle s’arrête encore brusquement. Non !!! Ses doigts frôlent encore un peu mon sexe, et là mon sperme monte dans mon canal urinaire, mais au lieu de jaillir il s’écoule misérablement le long de mon gland. « Voilà, mon chéri, on s’arrête là.»
J’ai envie de hurler de rage, Lise reprend ma queue, je n’ai pas débandé, curieusement. Elle recommence à me masturber, c’est délicieux. Elle me maintient longtemps puis elle me procure enfin un orgasme fulgurant, ses doigts courent le long de ma tige, infatigables. Le reste de mon jus sort maintenant en saccades, je tremble sur mes jambes, elle me branle encore et encore puis elle me finit par de tendres caresses sur ma queue bien éprouvée.
Je n’ai jamais connu une pareille jouissance, je serre Lise contre moi, reconnaissant, elle m’embrasse, me remercie de tout ce que je lui permets de vivre. On se prend une bonne douche, tous les deux, c’est agréable. Je l’invite au restaurant, elle me saute au cou, je l’aime.
Mais que me réserve-t-elle encore ? J’ai hâte de découvrir d’autres situations érotiques.