LIse et son esclave

- Par l'auteur HDS RenaudetLise -
Auteur couple.
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Récit libertin : LIse et son esclave Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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LIse et son esclave
Lise est mon amante, ma maîtresse dans tous les sens du terme. Elle est devenue une libertine accomplie et je m’en accommode très bien, au point de lui trouver de nouveaux amants, des situations insolites dont elle raffole.
Nous publions régulièrement nos aventures sur un site spécialisé, Lise se régale des commentaires des lecteurs.
Dernièrement nous avons reçu un retour qui l’a bien interpellée, celui d’un admirateur qui souhaitait se mettre à ses bottes, devenir en quelque sorte son esclave. Comme nous avions loué un petit chalet en montagne pour le week-end à venir, elle me suggère de le faire venir, elle aimerait goûter à cette nouvelle expérience.

Nous voici à notre destination, le chalet est confortable, isolé sur un grand terrain, un chemin de terre y accède. Il n’y a pas de voisins proches. Il est dans une grande clairière, entouré de la forêt. Lise s’installe, fait le tour du bâtiment, la salle de bain est superbe, la chambre équipée d’un grand lit. Nous nous installons au salon, je lui sers un verre, une voiture approche.
Cela doit être l’homme que j’ai fait venir, le jouet pour Lise, c’est ainsi qu’il s’est lui même défini dans nos échanges de mails préalables.

On sonne, un type de taille moyenne, la cinquantaine, se présente à nous.
Comme sur les photos, il est un peu enveloppé, propre sur lui, chemise, jean, un visage un peu poupon, une petite barbe, un peu dégarni. C’est moi qui le reçois et le fait entrer. Lise est assise, elle a mis une jupe blanche courte et un haut rouge, cœur croisé comme elle aime. Elle a des escarpins rouges assortis à son haut qui est très décolleté. De son fauteuil elle le scrute sans un mot, elle est déjà dans son rôle. Le type est un peu intimidé, danse d’un pied sur l’autre « Bonjour ».
- Pour toi ce sera bonjour maîtresse, ou Madame, lui c’est maître ou Monsieur. Toi nous t’appellerons esclave, tu as compris.
- Oui, maîtresse.

Le gars entre dans le jeu. Ce ne doit pas être sa première comme soumis, il a trop vite compris son rôle. Lise le fait avancer, elle se lève et va fouiller dans un sac qu’elle a ramené, je découvre également le contenu. Elle en sort un gros collier en cuir, fait signe à l’esclave de s’approcher et lui passe autour du cou, elle serre un peu.
- C’est pour bien te montrer ce que tu es devenu, tu vas être notre chien pendant deux jours, compris !
- Oui maîtresse.

Le ton est clair, le type est rentré dans son rôle. Lise se remet dans son fauteuil, moi aussi, le mec reste debout au milieu de la pièce. Lise rigole, lui ordonne de mettre de la musique. Il s’exécute, trouve l’appareil et tombe sur un air de Norah Jones. Jazzy, lancinant.
- Vas-y, petit esclave, amuse-nous, fais un strip tease mais vas doucement, mets-toi à poil pour ta maîtresse.

Curieusement, sans rechigner, il commence une danse devant nous, déboutonne lentement sa chemise qu’il enlève et nous découvrons une poitrine velue. Lise me regarde, sourit, ça lui plaît comme début, je suis ravi, je sens qu’on va passer un bon moment.
Notre esclave continue, il est torse nu, bien conservé malgré ses rondeurs. Il quitte ses chaussures, un peu maladroitement mais je n’aurais pas fait mieux. Il déboutonne son pantalon, nous fait languir en vrai pro. Lise pose sa main sur mon entrejambe et commence à me masser la queue à travers le pantalon, ne quittant pas l’esclave des yeux. Il s’en aperçoit aussi, évidemment. Le voilà en slip et chaussettes, il bande bien, il a un gros sexe vu la tension de son slip. Je vois Lise qui semble impressionnée. Elle bouge ses jambes, sa jupe remonte un peu, je vois le liséré de ses bas blancs retenus par un porte-jarretelle.

Le moment est arrivé, il se met dos à nous, baisse doucement son dernier rempart et nous dévoile un cul ferme, étroit, encore bien musclé. Il se déhanche un peu, le bougre et se retourne avec une lenteur calculée.
La main de Lise se crispe sur ma queue car elle découvre un vrai bijou. Une tige bien courbée vers le haut, un gland turgescent, rouge vif, des veines bien saillantes sur le dard dressé. Et des bourses très grosses et pleines. De longs poils, certains grisonnants entourent son intimité. L’esclave esquisse un petit sourire, sûr de son effet.
- Rien que pour vous, ose-t-il dire.

Lise lui fait signe d’approcher, lui ordonne de mettre les mains dans le dos, hou là, je connais la suite. Sans crier gare elle lui assène deux claques puissantes sur la queue dressée, le gars ne peut retenir un gémissement de douleur.
- Qu’est-ce que tu crois, esclave, tu parles quand on te demande, va à la cuisine nous préparer le dîner, tu trouveras tout ce qu’il faut ; tu sais cuisiner j’espère !

L’esclave se dépêche d’obéir, il a compris je crois. Il sort, légèrement courbé en avant, sa queue lui fait mal, je pense. Restés seuls, Lise s’occupe un peu de moi, elle malaxe mon sexe à travers le pantalon, moi aussi je bande bien mais je n’ai pas les dimensions de l’esclave. C’est bon et douloureux un peu quand même. Je reste son soumis, malgré tout, elle tient à me le rappeler également.
Elle ouvre ses cuisses sur sa jolie jupe blanche. Celle-ci remonte et je découvre la peau nue de ses cuisses bien fermes, son porte-jarretelle et, oh surprise, elle ne porte ni culotte, ni string. Sa chatte dodue est devant moi, déjà luisante d’humidité. « Viens me faire du bien, mon chou ».

Ses désirs sont, pour moi, des ordres. Je me mets en position, à genoux entre ses cuisses et j’entreprends un léchage de sa chatte, comme elle aime. Je lèche doucement ses grosses lèvres, m’insinue de temps en temps dans son vagin, tournoie autour de son clitoris gonflé.
Je sais que pour finir je dois enfoncer mes deux doigts et bien lui doigter la chatte, sucer son clitoris et insister jusqu’à l’orgasme, en cherchant son point G qui est si sensible. Ça secoue bien ma maîtresse, elle est radieuse, toujours après un bon plaisir. Ses cris ont du s’entendre dans la cuisine. Elle se relève trempée, ne se lave pas et descend sa jupe pour être de nouveau correcte.

Nous passons à table, elle fait mettre à l’esclave un petit tablier blanc, il est mignon avec sa bite qui tend le tissu, qui balance quand il se déplace, il ne débande pas de tout le repas et sa bite volumineuse se devine sous le tissu. Evidemment il ne mange pas.
Lorsque nous avons terminé, Lise lui ordonne de se mettre devant nous et de se branler, sans éjaculer. Pour corser l’affaire il doit se masturber fort pendant que Lise compte jusqu’à dix, puis il a un temps de répit avant que ça ne recommence. S’il jute il sera puni.

Il tient longtemps le bougre mais nous savons tous qu’il finira par venir. A sept, un râle sort de sa bouche« Oh, non, désolé Madame ». Des jets puissants s’échappent de la verge gonflée à l’extrême et vont se perdre sur le parquet. Lise lui ordonne sur le champ de tout lécher, je dois surveiller la manœuvre.

Pendant ce temps elle farfouille dans son sac, en retire une paire de menottes, une laisse, une cravache.
Notre veinard d’esclave se retrouve les bras attachés dans le dos, la laisse est fixée au collier, il doit se mettre à genoux, je dois tenir la laisse du chien, comme dit Lise en riant.
Elle commence par lui tourner autour, la cravache effleure son dos, ses fesses.
« Tends ton cul maintenant et tu comptes ».
Il s’exécute. Sa tête touche le plancher, il tend sa croupe. Le premier coup lui arrache un petit cri de douleur, Lise module ses frappes, ça doit rester un jeu.
« Tu ne dois pas gueuler, tu dois compter, idiot », elle rigole.
Il se prend comme ça quelques séries de dix, son cul est rouge vif au bout de la séance.
Lise le laisse reprendre ses esprits, il se couche sur le tapis, essoufflé.

Maîtresse enlève son haut, elle se retrouve poitrine à l’air. Ses seins, gonflés par l’excitation ondulent lascivement à chaque pas. L’autre découvre les mamelles, il n’en perd pas une miette, je sais que c’est calculé, quelle coquine. Il rebande comme un âne, moi aussi d’ailleurs. C’est vraiment Lise qui dirige la soirée, quelle femelle !

Nous nous resservons une coupe, Lise dans un fauteuil lui ordonne de venir lui lécher ses pieds, d’embrasser ses chevilles. Il se couche devant elle et s’attelle à la tâche, il fait ça plutôt bien. Lise en profite pour lui donner des petits coups sur son dos, ses flancs, rien de méchant, juste pour l’humilier. A sa tête je vois bien que c’est son truc, il aime ça le cochon.
Quant à moi elle me demande de m’occuper de ses seins. Je palpe donc avec gourmandise les mamelles offertes, les embrasse, les suce, je pince les tétons. Je bande bien aussi, elle me demande de me mettre à l’aise.

Nous voilà nus tous les trois. Lise a aussi retiré sa jupe et elle est en bas et porte-jarretelle blancs. Elle a enlevé ses escarpins et me caresse la queue pendant que je suce ses tétons. L’esclave lui baise les chevilles, elle ronronne de contentement.



Lise lui ordonne à présent de se mettre assis, devant le canapé, sa tête rejetée en arrière. Il se démène, étant toujours attaché, Lise l’encourage par quelques coups de cravache. Lorsqu’il est enfin en place, elle s’assied sur son visage, l’étouffant entre ses fesses, elle lui ordonne de lécher, la cravache lui cingle sa bite gonflée. Il se tortille dans tous les sens, Lise se moque de lui. Elle me fait signe d’approcher et saisit ma verge, l’attire vers sa bouche et commence à bien me sucer. C’est dément. Je suis super excité, elle est vraiment géniale notre maîtresse, je vois comme elle est excitée, elle doit bien lui couler dessus à l’autre qui est en-dessous d’elle. De temps en temps elle arrête la fellation pour bien lui cravacher son dard et ses couilles, il déguste, mais il est venu pour ça.

A présent elle se lève, me regarde, prend ma queue et la tire vers le visage trempé de mouille de notre esclave, elle frotte ma bite contre sa bouche, « Oh non ! pas ça ». Elle me regarde et me sourit, je n’ose rien lui refuser. Docile, l’esclave me lèche le gland, le sexe. Lise a pitié de moi, elle s’installe à califourchon sur la tête du soumis et me demande de la baiser au-dessus de lui. Je préfère ça, je m’enfonce dans la chatte offerte et je commence des va et vient dont elle raffole, mes couilles battant contre la bouche du soumis ; ce cochon sort la langue pour me les lécher ! Je ne peux m’empêcher de le dire à Lise, ça l’excite bien je crois.

Je baise Lise, fort, sachant qu’elle aime ainsi. De temps en temps je me dégage pour qu’elle se frotte sur le visage de l’esclave. Je sens qu’il aimerait se branler, mais il a toujours les mains attachées dans son dos. On baise bien comme ça, c’est super bon, Lise jouit plusieurs fois, elle s’amuse bien.
« Tu vas lui éjaculer sur la tronche, à notre esclave », me fait-elle.
Je ne me fais pas prier, encore quelques bons coups de reins au fond de Lise puis je saisis ma queue et je me finis sur la figure de l’esclave. Il en prend partout, la bouche bien sûr, les yeux, les cheveux, j’essaie de lui en mettre un maximum. Il encaisse bien.

Lorsque j’ai terminé Lise se redresse et frotte la chatte sur lui, longuement, les yeux mi clos. Je suis à côté d’elle, je lui caresse ses nichons tendus de plaisir. Elle m’embrasse fougueusement, bien collée contre la figure de son esclave. Lui, je l’entends déglutir, sucer tous ces jus qu’on lui offre. Nous nous écroulons tous les deux sur le canapé, l’esclave toujours au sol, sa tête est luisante de sperme et de cyprine.
- Eh bien, on t’a joliment arrangé, qu’est ce qu’on dit ?
- Merci maîtresse, merci maître.

Lise se lève, va lui mettre deux gentilles petites claques. « On va encore un peu s’amuser avec toi, ce n’est pas terminé ». Elle me demande un rafraîchissement, on se met dans le canapé, l’autre toujours au sol, menotté, sa bite laissant échapper un mince filet de jus, il est excité le pauvre.

Je demande à Lise ce qu’elle a prévu encore.
« Surprise !… » répond-elle.
Elle dit à notre jouet de se mettre à genoux. De son côté elle retourne fouiller dans son sac pour en ressortir un magnifique gode ceinture, noir, veiné à souhait.
Elle l’agite sous le nez de l’esclave : « Pour toi, mon joli ».
Elle lui enduit le cul de lubrifiant, assise sur son dos, lui a la tête écrasée par terre, je me masturbe dans mon coin, voyeur. Lise met son gode ceinture, je l’aide à bien ajuster les sangles. Elle lui passe le gode sur le visage puis l’enfonce au fond de sa gorge. Elle l’oblige à bien sucer.

Puis elle se met en position, à genoux derrière notre lopette, le gode à l’entrée de son cul luisant. Elle pousse, ses mains agrippent les hanches du soumis, je vois son trou s’ouvrir et Lise le pénètre inexorablement. « Je vais te défoncer le cul, ma salope ». Je n’en reviens pas, je me branle, Lise encule ce mec à la perfection. Elle alterne les longues poussées avec des coups de reins violents et rapides. L’autre ne sait jamais ce qui va arriver, il déguste bien mais je sais aussi qu’il prend son pied, à sa manière.

De temps en temps Lise fait une pause, son gode bien enfoncé dans le cul de l’autre, elle en profite pour lui malaxer sans ménagement ses testicules, il crie, il gémit, rien n’y fait. Elle le possède totalement. Elle m’invite à me mettre derrière elle. « Prends-moi en même temps ».
Je m’enfonce en elle et elle se plie à ma cadence, enculant le type au rythme que j’impose moi. Je jouis très rapidement, c’est sublime, je n’ai jamais rien vécu de pareil. On s’écroule tous les deux sur notre esclave. On se sépare enfin.

Lorsque Lise a récupéré, elle lui ordonne de s’asseoir sur une chaise. On lui attache les chevilles et le torse contre le siège. Prisonnier le gars ! Lise prend une autre chaise, s’assied devant lui et commence à le masturber, il s’agite, il aime, mais il ne peut rien faire, attaché comme il est.
Elle entreprend de le branler, lentement, méthodiquement, il devient fou, il souffle fort. Elle fait des pauses savamment calculées. L’autre n’en peut plus au bout de longues minutes de ce traitement, Lise est ravie de ce qu’elle lui inflige.
« S’il vous plaît, maîtresse, je voudrais venir, s’il vous plaît… », il implore, il supplie, Lise ne lui répond même pas, elle continue le traitement, impitoyable. De mon côté je m’astique allègrement aussi en les regardant. Elle l’amène ainsi au bord de l’orgasme, plusieurs fois, sans aller au bout. Il sanglote carrément, c’est trop pour lui. Lise, attentive, le surveille.

Ça y est, je sens qu’il va jouir, Lise s’en rend compte aussi, elle arrête tout, il souffle, gémit, sa queue bat toute seule elle est tendue, on attend. Au bout de quelques secondes un flot de sperme coule de son gland et se perd sur ses cuisses, ça coule, ça coule, il n’en peut plus. Il voudrait se masturber, il voudrait qu’on le masturbe. Il n’en est rien. Puis ça se calme, plus rien, il arrête de couler mais il ne débande pas. Lise attend encore puis elle recommence à le branler, un rythme lent et régulier. Elle l’amène de nouveau au bord de l’éjaculation, elle le laisse retomber, recommence. La tête de notre esclave ballotte de droite à gauche, elle le rend dingue, complètement. Il nous refait un orgasme pourri, du sperme qui coule timidement de sa queue, et puis fini.

Lise l’entreprend une troisième et dernière fois, ce coup-ci elle le fait vraiment jouir, le type explose, il a encore des restes qui jaillissent de ce sexe torturé à l’extrême par cette coquine.
Non seulement elle le fait bien venir cette fois-ci, mais elle continue ensuite de le branler. Le type supplie, secoue sa chaise, crie grâce, elle persiste à le branler jusqu’à ce que sa verge devienne flasque. Pour couronner le tout, elle lui balance une claque dans les couilles, le type hurle, mais derrière il remercie Maîtresse du plaisir qu’elle lui a procuré.

Lise satisfaite d’elle-même s’en va prendre un bain, je détache le soumis qui s’écroule au sol, vidé, c’est le moins que l’on puisse dire.

Lise m’avouera plus tard qu’elle a trouvé cette façon de faire jouir un mec sur Internet, qu’elle avait une folle envie d’essayer et que la réalité lui avait plu au-delà de toute espérance.

Elle m’a promis de peaufiner la technique sur moi, une prochaine fois. J’ai hâte d’y être.
Notre esclave, lorsqu’il nous quitte, remercie Lise de ce qu’elle lui a fait subir et il lui demande même de l’inviter à nouveau une autre fois.

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