Lise, soumise à un couple

- Par l'auteur HDS RenaudetLise -
Auteur couple.
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Récit libertin : Lise, soumise à un couple Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lise, soumise à un couple
Depuis le départ de Claude et notre folle nuit avec lui, la vie habituelle a repris son cours, travail, courses, petites virées au restaurant, avec ma Lise. Nous sommes amants tous les deux, avec des relations qui se sont un peu bonifiées avec le temps, je dirais.
D’un commun accord Lise est devenue une libertine accomplie, elle adore par-dessus tout avoir des relations avec d’autres partenaires, je l’aide souvent à chercher le ou les heureux élus. J’assiste ou je participe aussi quelquefois, c’est Lise qui décide. Je suis, dans ces occasions, son cocu, son soumis. Nous adorons tous les deux ces jeux un peu particuliers, il faut bien le dire.

Lise avait été particulièrement sensible à une séance de baise avec le patron d’un sex-shop ; il l’avait un peu malmenée et elle avait bien aimé. Je sens qu’elle est de plus en plus tentée par une rencontre au cours de laquelle elle endosserait, elle aussi, le rôle d’une parfaite soumise. Elle me l’a avouée à plusieurs reprises, c’est en me voyant soumis, qu’elle est tentée de connaitre les mêmes sensations, mais côté féminin.

Discrètement j’en avais fait part au patron du sex-shop, pour voir avec lui s’il n’avait pas un plan qui pourrait coller dans ce sens, avec les nouvelles envies de Lise.
Ce matin, au boulot, je reçois un sms sur mon téléphone, discrètement je le consulte. C’est le patron du fameux sex-shop, il peut nous mettre en relation avec un couple dominateur, nous ne serons pas déçus s’empresse-t-il de rajouter.

A la maison je montre le sms à Lise, elle est ravie, mais aussi un peu angoissée, c’est nouveau quand même. Nous nous donnons la journée avant de transmettre notre réponse qui finalement est positive.
Le patron joue l’intermédiaire, le couple nous contacte quelques jours après.
Si nous sommes prêts à jouer le jeu, ils vont nous donner leur adresse, les grandes lignes, à nous d’indiquer clairement nos limites, ils précisent bien que tout se fera dans le respect et les limites de chacun, ça nous rassure.

Le grand soir est arrivé, nous nous présentons pour 21h à l’adresse indiquée. Nous sommes plutôt nerveux tous les deux, Lise en robe noire courte, assez moulante, moi en veston, chemise, pantalon noir sur mes jolis mocassins. Lise a choisi sa tenue avec un soin tout particulier. Elle voulait que la robe soit en simili cuir et qu’elle se « ferme » au niveau du cou, par une sorte de bandeau, comme si elle avait un collier. Mais cela fait une grande « goutte d’eau » au niveau de la poitrine, donc un décolleté vertigineux. Ses épaules sont aussi dégagées. Et pour accompagner la robe, elle a choisi des bas gris et des escarpins noirs.

C’est une belle maison de maître, isolée, sur un joli parc bien entretenu. Des gens aisés assurément. On sonne, le couple vient nous ouvrir. Lui un bel homme, cheveux noirs bouclés, longs, teint basané. Il est grand, mince, 45 ans je pense, nettement plus jeune que nous. Il est tout de noir vêtu, chemise en soie, pantalon de cuir, grosses chaussures, impressionnant.
Elle est du même âge je pense, élancée, une robe longue ouverte sur le côté, décolleté laissant deviner deux seins fermes, pas trop grands, bien dressés vers le haut.

Nous nous installons au salon, ils nous offrent un verre.
- Vous avez trouvé facilement ?
- Oui, aucun problème.
- Nous sommes bien d’accord, vous savez pourquoi vous êtes là.
- Oui pas de souci non plus, nous sommes prêts.
- Vous connaissez le mot de sécurité, si vous voulez arrêter, vous le prononcez et tout s’arrête.
- Oui nous le savons.

La femme se lève, s’éloigne et revient avec deux colliers en cuir.
« On va vous mettre ça et à partir de là vous nous appartiendrez pour la nuit ».
Lise me regarde, prend une profonde inspiration, je la sens bien excitée, j’ai mon cœur qui bat. La femme m’ajuste le collier, je respire son parfum, je bande dans mon caleçon. Son mec passe le collier autour du joli cou de Lise.
« Debout, et à poil, vite ».
C’est lui qui donne l’ordre, on s’exécute, nos habits tombent, on est là, debout, nus, maladroits. Nos hôtes restent assis, nous observent, nous font marcher, tourner.
« Ils sont bien conservés pour leur âge », dit la femme à son homme. C’est vrai que nous sommes d’alertes sexagénaires, aimant tous les plaisirs de la vie.

La femme se lève, me saisit par le collier et m’ordonne de me mettre à quatre pattes, Je me vois, honteux, mon sexe dur qui est sous moi. Lise doit faire de même. Je la vois, rouge de honte, avec ses mamelles de mature qui « regardent » le sol. On doit les suivre ainsi pour arriver devant une porte, à côté de leur garage me semble-t-il. Ils nous font entrer, toujours à quatre pattes. Mince alors, le patron du sex-shop m’avait prévenu, mais là je suis étonné !

Un vrai donjon SM : croix de St André contre un mur, table avec des mousquetons, des lanières, à un autre mur tout un attirail de cravaches, badines, des pinces, des anneaux au plafond et au sol. Je suis impressionné, Lise également, encore plus que moi je pense.
La femme m’ordonne de lever mes bras, d’écarter les jambes. Habilement elle m’attache au plafond et au sol, ça y est je suis livré au bon vouloir de ces gens. Je me retrouve nu, sans défense.
Pour Lise c’est pareil, le type l’attache bras en croix à des anneaux qui pendent du plafond. Sa femme fixe une barre aux chevilles de ma belle qui a les jambes toutes écartées, le tout fixé au sol. Elle est à leur merci.

Sans un mot, ils nous tournent autour, de la musique s’élève discrètement, je crois reconnaître « Era ». La femme me frôle de ses mains, me caresse, me touche le corps, je bande très fort, mon sexe est décalotté. Je regarde Lise, elle me regarde, yeux dans les yeux. Le gars fait pareil avec elle, il passe ses mains sur ses fesses, sur son ventre, il taquine ses tétons et câline son dos. Elle se tortille, elle bouge mais elle est bien attachée.

Sans crier gare je prends une claque sur mon cul, une deuxième, troisième. Elle est derrière moi et m’administre une fessée d’anthologie. Lise continue à être caressée mais elle ne peut détourner son regard de moi, elle regarde mon supplice. J’ai les larmes qui montent, le cul en feu, la femme continue, je gémis. « Ta gueule, chien ». Je me tais.
Elle est derrière moi, maintenant elle se colle à moi, passe ses bras et mains autour de mes flancs et me saisit les tétons, elle les tourne, les pince. Douleur et plaisir alternent.

En face son mec est en train de pétrir les gros seins de Lise, sans arrêt, il pince les mamelons, tire dessus, il se frotte à Lise. Je sais que ça la rend dingue ce genre de traitement.
Maintenant sa femme m’agrippe la queue et me branle sauvagement, rien de sympa, elle frotte le gland, à sec, je déguste. Puis elle me gifle la queue et recommence la fessée. Je serre les dents. Lise se fait gifler ses nichons gonflés maintenant, à droite, à gauche, par en-dessous, puis il recommence à les triturer, il tire dessus, Lise crie, rien à faire il continue. Elle crie mais ne demande pas qu’il arrête.
Les deux nous « torturent » ainsi un bon moment, ça fait mal mais curieusement ça reste supportable, dans les limites comme c’était prévu. Une douleur excitante, une douleur-plaisir.
Ils nous lâchent enfin et sortent, sans un mot.
Lise a des larmes qui coulent, je l’interroge : « tu veux arrêter ? ». Elle secoue la tête et souffle : « Non, c’est trop bien et si nouveau pour moi». Elle m’envoie un baiser.

Les deux reviennent, changés. Madame est pratiquement nue mais a revêtu une tenue de dominante : quelques lanières autour des cuisses, des seins, dans le dos. Des bottes cuissardes, un vrai canon. Elle doit faire du sport la dame, ventre plat, des fesses bien fermes, une paire de seins dressés, durs, pas trop grands, en forme de pomme. Et des tétons très bruns, presque noirs, longs et épais. Sa chatte est rasée par en-dessous mais sur le dessus il reste une broussaille bien entretenue.
Lui porte un boxer fendu, sa queue épaisse, longue, bien dégagée. Une paire de couilles gonflées complètent le tableau. Son corps musclé est bronzé, poilu à souhait. Il a des poils non seulement sur les bras et la poitrine mais aussi sur les épaules et sur les jambes. Une virilité arrogante se dégage de ce mâle.

Avec Lise on se regarde, je crois que c’est bien parti là. Tous les deux s’approchent d’elle, la femme derrière, lui devant. Il lui caresse l’intérieur des cuisses, remonte, attaque sa chatte déjà luisante. La femme lui pétrit le cul puis elle saisit les seins, pince, tord. Ils n’arrêtent pas et entreprennent Lise ainsi un long moment. Elle se trémousse, gémit, et moi je regarde, ma queue se tend, je crois que mon gland commence à couler. Lise est en transe.
Lise se met à crier maintenant sous le traitement qu’on lui inflige. Ses seins sont rouges, je crois qu’il a trouvé le clitoris de Lise, il le fait jaillir entre deux doigts et le frotte, le triture avec l’autre main. Les deux se regardent, se sourient, contents du résultat. Ils soumettent Lise, sans arrêt, elle crie, supplie, elle jouit plusieurs fois je pense.

La dominatrice vient vers moi maintenant, me saisit la queue, les couilles et tire vers l’avant, je grogne, elle me lâche puis me reprend. Elle continue à s’amuser ainsi pendant que son mec doigte Lise. Il lui a enfoncé deux, puis trois doigts au fond de son sexe et la baise furieusement, sans répit, avec sa main. Lise le supplie d’arrêter, ça l’excite encore plus.
« Allez, vieille salope, jouis, jouis, c’est ça que tu voulais, on va te baiser, cochonne, salope ! ».

Quand il sort ses doigts, des jets de cyprine giclent au sol. C’est pour les lui fourrer dans la bouche, elle doit les lécher. Puis il recommence. Lise sanglote de plaisir, de bonheur.
Pendant tout ce temps la femme tire sur ma queue et mes couilles, sans relâche.
« Alors vieux salaud, ça te plaît ça, hein, regarde la jouir la cochonne ».
Ils nous lâchent enfin, vont se servir un verre dans un coin de la pièce et nous ignorent complètement. Lise tremble encore, je pense qu’elle va s’arrêter, on se regarde, elle me sourit. J’ai compris, elle aime, elle en veut encore. J’ai mal aux couilles et à ma queue mais j’avoue que j’aime aussi.

Les deux reviennent, ils vont détacher Lise et lui ordonnent d’attendre, debout les mains dans le dos. Ils font descendre du plafond un genre de harnais, avec une poulie, Lise doit se mettre dessus, ses jambes sont remontées, sanglées et attachées au harnais, cuisses largement ouvertes, idem pour ses bras. Elle est maintenant allongée sur le dos, attachée dans une espèce de balançoire, elle est complètement offerte. Ils la font balancer, tourner, elle est à nouveau pincée, triturée de partout.
Le mâle se positionne au-dessus de son visage, sa queue frotte contre la bouche de Lise.
« Ouvre et suce ! »
Une claque sur le sein vient ponctuer l’ordre. Lise ouvre grande sa bouche, il engouffre sa bite au plus profond de la gorge, lui prend la tête et commence d’amples mouvements de va et vient dans la bouche de ma nana. Elle grogne, manque s’étrangler.
« Suce, je te dis, salope ! », il continue à lui maltraiter les nichons. Les bruits de déglutition de Lise m’affolent, il va l’étouffer le con !

La femme me toise, narquoise, des coups commencent à me tomber dessus, avec une badine souple que je n’avais pas vue. Le dos, le cul et de temps en temps le ventre et la queue. C’est dur, je chauffe de partout. Lise continue de sucer le gars.
Il se dégage et va chercher quelque chose, mince, il revient avec un god de belle taille, noir, des picots sur le tour. Il l’enfonce dans la chatte luisante de Lise, il entre facilement, il le met en marche, elle gémit, de plaisir je pense. Et il retourne lui fourrer son mandrin dans la bouche. Sous l’action du vibromasseur, Lise ne tarde pas à jouir, elle jette son bassin vers le haut, s’agite dans tous les sens. Elle crie, elle hurle son plaisir.
Il lui baise la bouche, toujours et encore.

La femme arrête enfin le traitement qu’elle m’inflige.
« Je t’ai bien rougi dis donc, allez, tu vas aller lécher ta salope ».
Elle me détache pour me remettre des menottes dans le dos, je dois aller me mettre à genoux entre les cuisses de Lise, elle lui ôte le vibromasseur, la chatte coule sans arrêt. La femme me prend la tête et la pousse sans ménagement vers le sexe grand ouvert de Lise. J’ouvre ma bouche, je mets la langue et je suce, je lèche ce sexe déjà tellement éprouvé.
« Allez vas y, bouffe lui la chatte ».
Lise continue à se faire baiser la bouche, carrément, par le dominateur. Mon visage se noie dans son sexe grand ouvert, ses lèvres sont gonflées, rouges, je la suce comme un fou, incapable de me retenir.
Je sens qu’on me saisit les couilles et la bite par derrière, l’autre main m’appuie toujours sur la tête. Je vais éjaculer, mais non elle s’arrête. Je dois m’écarter et je vois les mains de cette femme frotter la chatte de Lise, le clitoris est complètement décalotté, elle l’astique sauvagement pendant qu’elle doigte Lise de son autre main. Mon visage est à quinze centimètres, le clapotis de ce sexe ravagé me rend dingue, Lise se cambre, l’autre se retire et me pousse en avant. Je prends une giclée de cyprine, puis une deuxième sur mon visage, ma bouche.
« Ouvre, avale ! », je m’exécute, anéanti. J’avale, j’aime.

Le jeu s’arrête, enfin. Lise sanglote mais je sais que c’est à cause de l’intensité de ce qu’elle vient de découvrir. Je suis à genoux, entre ses cuisses, trempé.
« Ils ne sont pas mauvais, les vieux pervers, ils encaissent bien, qu’est ce que tu en penses ? », dit la femme à son compagnon.
« Oui, pas mal, je vais bien la baiser maintenant, fais-toi sucer si tu veux », qu’il lui répond, comme si on n’existait pas.

Elle s’installe confortablement dans un fauteuil, son verre à la main, ouvre ses cuisses et me fait signe, j’ai compris. Je rampe vers elle, sur les genoux, elle me saisit aux cheveux et me fourre la tête entre ses jambes. Elle est trempée, de mouille, bien excitée malgré son allure hautaine. Je me mets au défi de la faire jouir. Je promène ma langue sur les lèvres de sa chatte, j’aspire, ma langue vient titiller son clitoris bien gonflé. Je la sens tressaillir, je ralentis, je vais la faire attendre. Adroitement je reprends mon jeu, elle commence à onduler du bassin : « Oui, comme ça, continue mon salaud, fais plaisir à ta maîtresse. »
Ça me plaît bien.
Pendant ce temps je perçois du coin de l’œil le type qui a enfilé Lise. Il se tient aux lanières du harnais et imprime à l’ensemble de furieux mouvements d’avant en arrière. Sa grosse queue empale à fond la chatte de Lise, elle pousse un cri que je connais bien, à chaque poussée, elle jouit continuellement je crois, sans jamais retomber. Il la baise vraiment bien. Le claquement de ses couilles contre les fesses de Lise témoigne de l’ardeur qu’il met à la défoncer.
Sa femme commence à bien gémir aussi, son sexe m’inonde la bouche d’une mouille chaude et abondante.
« Prends-lui le cul », suggère-t-elle à son homme, dans un souffle. Un cri rauque de Lise, je sais qu’il l’encule profondément, elle crie son bonheur sans arrêt.
« Oui, oui, prends-moi, vas-y baise-moi le cul ».

Il accélère encore, Lise hurle, j’accentue la pression de ma langue sur le clito de la dame, elle part dans un orgasme fulgurant, elle agrippe mes cheveux, m’appuie à me faire mal contre sa chatte dégoulinante, ses cuisses tremblent, je persévère jusqu'à ce qu’elle me repousse, anéantie ; je suis content de moi.
Le type est en train de se finir sur Lise, son sperme gicle sur le ventre, les seins de ma belle.
La femme se relève, m’emmène contre le visage de Lise et me branle au-dessus de sa bouche.
Je suis excité comme un fou, sous le traitement je jouis rapidement.
« Ouvre ! » Lise est invitée à me boire, elle ouvre ses lèvres, la femme dirige adroitement les jets dans la gorge de Lise, elle lui barbouille la figure avec les restes.
Puis elle me détache, je dois détacher Lise, tremblante.

Ils s’en vont prendre une douche puis se couchent dans un beau lit, à côté de cette pièce.
Nous devons dormir sur le tapis au pied de leur lit. Au milieu de la nuit le couple commence à s’agiter, ils se caressent au-dessus de nous. Avec Lise on s’autorise à jeter un œil.
Illico ils nous ordonnent de venir entre leurs jambes, Lise doit sucer le type et moi à côté je lèche madame. Quand ils sont bien excités nous devons nous agenouiller au pied du lit pour les regarder baiser avec interdiction de nous toucher. Ce n’est pas trop un problème, surtout pour Lise, vu ce qu’elle a pris, elle est encore toute fatigué.

Au petit matin ils nous proposent une douche, pour eux cela va s’arrêter là nous informent-ils.
Un copieux petit déjeuner nous attend à la cuisine, nous sommes invités à le prendre avec eux.
On bavarde, ils nous demandent comment c’était pour nous. Lise avoue que pour une découverte c’était sensationnel, elle a adoré et les remercie. Finalement nous les trouvons très sympathiques. Nous prenons congé, à une autre fois peut-être, qui sait.

Sur le chemin du retour Lise s’endort, un joli sourire aux lèvres.
Qu’est ce qu’elle est belle !

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