Les amis de Lise partie deux - histoire érotique

Les amis de Lise partie deuxAprès un premier bel orgasme pour Lise et Luc (voir partie un) elle emmène tout le monde à l’étage, dans sa chambre. Il y a là haut un grand lit confortable qui se prêtera admirablement à la suite des opérations.
Lise me demande d’un air coquin de monter une bouteille de champagne et trois verres. Je les laisse partir, Lise en tête et les deux autres qui la suivent avec une vue imprenable sur son joli cul. Luc rebande déjà, le salaud. Moi je vais à la cuisine faire le service comme on me l’a demandé.
Je monte dans la chambre avec trois verres et une belle bouteille, Lise est allongée sur le lit, bras en croix, les cuisses grandes ouvertes. Les deux garçons sont à genoux de part et d’autres de son joli visage et lui prodiguent des caresses sur tout le corps, ils ont posé leurs deux belles queues sur le visage de Lise et lui caressent les joues avec. Elle sort sa langue et lèche les deux glands qu’on lui offre, les yeux mi clos.
Pierre pose une main entre ses cuisses et lui caresse doucement la chatte luisante de plaisir, Luc pétrit les seins et pince les tétons, les fait rouler entre ses doigts.
« on va bien te baiser maintenant ma belle »- oh oui, allez y, prenez moi - je vais te défoncer ma salope, lui fait Pierre.
- Prends moi, baise moi mon salaud !

Je n’en reviens pas, je sers les trois verres mais tout le monde s’en fout. Pierre se met en place, à genoux entre les cuisses de Lise. Luc se place au dessus de sa tête et lui tient les chevilles, les jambes bien relevées. Le gland bien gonflé de Pierre se frotte dans la raie de Lise, les lèvres de sa chatte sont gonflées à souhait, elle brûle d’envie de se faire prendre.
Pierre s’introduit en elle, doucement. Il pose ses mains sur l’intérieur de ses cuisses et commence à la ramoner. Lentement d’abord, ses mouvements de bassin s’accentuent progressivement. Il la baise profond.
Luc : « tu aimes comme il te baise, je vais te mettre mes couilles à lécher. »Il se met au dessus de la figure de Lise et lui pose les couilles sur la bouche, elle entreprend le lécher, sucer ces deux bijoux offerts.
Pierre accélère le mouvement, il pilonne à présent ce sexe offert, Lise accompagne ses coups de boutoir de petits cris de plaisir, Luc se fait lécher les couilles et il apprécie.
« il te baise bien mon copain, dis le ! »Lise : oui j’adore, prenez moi comme vous voulez, baisez moi !
Pierre s’active encore, Lise hurle son bonheur, et moi dans mon coin je me branle alertement, complètement subjugué. Je participe à la jouissance de Lise, étrangement.
Un, deux orgasmes de la belle, Pierre s’active encore puis il se dégage et se finit sur le ventre de Lise, elle en prend partout, de longs jets lui arrivent entre ses seins, je sais qu’elle adore.
Pierre s’écroule sur le lit à côté d’elle, mais Luc prend la relève. Il retourne Lise, lui cale un coussin contre le ventre, croupe relevée il la pénètre sans ménagement et la baise sauvagement. Il la plaque contre les draps, Lise jouit en continu, je m’approche et me met sur le lit, Lise prend conscience de ma présence, ses doigts agrippent mes testicules et dans un souffle elle m’ordonne : « branle toi, finis toi sur moi ». Je m’exécute, j’ai mal aux couilles, elle serre fort. Luc continue à la baiser comme un fou, son pubis claque contre les fesses rebondies de Lise.
Je finis par éjaculer, je dirige tant bien que mal les jets sur le dos de Lise, Luc finit par jouir aussi, il se perd entre les fesses de la belle et s’écroule sur elle, anéanti.
Lise sanglote de plaisir et de bonheur mêlés, je ne l’ai jamais vue ainsi, un pur régal pour moi, je suis heureux du plaisir qu’elle a eu.
Les trois trinquent ensemble au bout d’un moment, je me sens un peu exclu, jaloux, frustré mais en même temps comblé.
« Les garçons dorment avec moi cette nuit, tu veux bien prendre la chambre d’amis ».
La sentence est tombée, un peu honteux je m’exécute et je laisse le trio seul pour la nuit.
J’ai beaucoup de mal à trouver le sommeil, un sentiment étrange m’envahit, jalousie ?, frustration ? et en même temps une excitation sans pareille.
Je me branle bien un peu, imaginant les trois se donnant du plaisir, Lise, ma Lise, jouissant sous les caresses de ces deux mâles que nous venons juste de rencontrer. Quelle coquine tout de même, je ne la pensais pas capable de jouir à ce point, de s’abandonner au plaisir comme elle vient de le faire devant moi. Je suis heureux pour elle, et bien content d’avoir pu assister à ses ébats il faut bien l’avouer.
Au milieu de la nuit, vers le matin plutôt, des cris de jouissance me tirent d’un sommeil agité.
« Oui, oui, encore, baisez-moi, prenez-moi ! » c’est Lise qui hurle de la sorte.
N’y tenant plus je vais voir par la porte entr’ouverte. Lise est à genoux, à même le sol de la chambre, nue, ses gros seins qui pendent et empalée sur la queue de Luc. Son bassin s’agite frénétiquement d’avant en arrière. Pierre debout devant elle lui tient la tête, il a enfoncé son dard épais dans la jolie bouche de ma Lise et lui baise littéralement la gorge.
Je m’approche et fasciné j’assiste au spectacle. De plaisir, Lise ouvre et serre ses poings, ses belles mamelles sautent de concert avec l’agitation de sa croupe sur la queue qui la possède.
N’y tenant plus je m’approche encore et je commence à m’astiquer ma queue bien dure, Pierre me remarque et me lance, goguenard, un clin d’œil moqueur ; du coup je ne sais plus trop ce que je fais là.
Il se dégage et me dit : « Puisque tu es là, rends-toi utile, viens couche-toi sur le dos ».
Complètement abasourdi je m’exécute. Les deux compères placent Lise en 69 au-dessus de moi, Pierre se met derrière elle et l’enfile, juste au-dessus de ma figure. Ses couilles se balancent au-dessus de mon visage au rythme de ses coups de reins dans la chatte dégoulinante de Lise. Le spectacle est fascinant, je bande tellement que ça en devient douloureux. C’est le moment que choisit Lise pour m’empoigner par les couilles, et complètement soumis à ces trois baiseurs, je serre les dents pour ne pas crier.
Au bruit de succion je devine que Luc, lui, a remis son vit dans la bouche, d’ailleurs il l’encourage de la voix : « Allez ma salope, suce bien, tu l’aimes ma queue, hein. »Pierre se dégage, appuie sur la croupe de Lise et la pousse sur mon visage, je suce la chatte de ma salope, elle coule, sa cyprine est claire et abondante, j’avale son plaisir sans retenue.
Les garçons changent, c’est Luc qui vient la défoncer au-dessus de moi, Pierre va se faire sucer, Lise me pétrit les testicules, elle est complice de ces deux salauds qui la défoncent à tour de rôle.
Ils changent encore plusieurs fois, à chaque fois je dois lécher le sexe trempé de ma Lise, complètement soumis. Elle crie son plaisir, les orgasmes se succèdent, je crois qu’elle jouit sans arrêt.
Les mecs finissent par éjaculer sur elle, l’un sur son dos et dans la raie de son cul et de son sexe, une partie me coule sur le visage, le sperme est mêlé au jus de plaisir de Lise.
L’autre lui jouit au visage et étale sa crème, comme d’habitude, avec son gland.
Lise lâche enfin mes boules et s’écroule sur moi. Elle me tient tendrement. Que je suis heureux !
Au bout d’un moment, ayant repris ses esprits, elle me demande, la salope, d’aller préparer le petit déjeuner. Complètement soumis, je m’exécute sans dire un mot.
A l’étage je les entends rigoler sous la douche, curieusement ça me provoque une ultime érection.
Le petit déjeuner se déroule de façon étrange, nous sommes nus les quatre, Lise plaisante avec ses amants tout en me lançant de tendres regards. Je ne sais plus quoi penser.
Les deux hommes se rhabillent commandent un taxi pour retourner à la gare, à mon grand soulagement.
Après leur départ Lise m’invite à monter dans la chambre, on se met au lit, elle se love contre moi. « Merci mon chéri, tu es formidable ! ».
Très émus tous les deux on finit par s’endormir, serrés l’un contre l’autre.