Les archives Ep03 Retour au bureau
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 683 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 615 026 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 900 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les archives Ep03 Retour au bureau
Les archives Ep03
Retour au bureau
Mon absence avait duré quelques heures mais ce n'était pas suffisant pour pour me mettre en retard, enfin un peu bien sûr pour la journée mais rien qui ne puisse se rattraper en une journée.
Distraitement je me massait les couilles. L'anneau tirait sur la peau, et même si ce n'était pas vraiment désagréable, c'était tout de même un peu bizarre. Je n'avais pas encore eu d'érection depuis que j'avais quitté le bureau de contrôle, le bureau de l'infirmier.
Je le revoyais dans sa tenue très professionnelle, je le revoyais sans sa tenue avec son dispositif, il était beau, il était sexy et c'est à ce moment que j'ai ressenti ma cage se refermer autour de ma queue. Rapidement j'avais l'impression que ma queue se faisait étrangler par la cage.
J'avais un grand miroir sur un mur, je me mettait en face et je baissais mon pantalon. Ce n'était pas une impression, ma queue était étranglée dans sa cage. Toutefois ce n'était pas douloureux et, c'était étrange, la pression restait douce et même si le dispositif n'était pas totalement confortable, il n'était pas non plus inconfortable.
C'était un entre deux. Plaisant et déplaisant à la fois. Rassurant et inquiétant. Attirant et repoussant. Doux et dure. Mais c'était surtout à chaque fois que j'y pensait totalement frustrant. Frustrant avec délectation.
Je me regardais du haut en bas, j'avais retiré tous mes vêtements et je me caressais le corps. Je me tripotais les couilles qui pendaient lourdement sous la cage, je découvrais ma cage.
Il y avait de nombreux trous d'aération, il fallait pouvoir assurer une hygiène parfaite sans jamais le retirer. J'avais plusieurs mois pour décider si je le gardais ou pas. C'est là que j'ai décidé de le garder. La pression qui enveloppait ma queue, cette douce pression m'avait décidé.
La cage se relevait et se balançait devant moi en suivant les battements de mon cœur. Des bourrelets de peau se formaient à chaque trou d'aération et la peau était douce à ces endroits là.
Je faisais une tentative de masturbation, mais là c'était une grande déception. La cage terriblement bien ajustée ne bougeait, ne glissait pas d'un millimètre sur ma queue, la peau elle-même ne pouvait pas glisser et interdisait toute plaisir. Au contraire même, ça devenait très désagréable. Surpris, je n'insistais pas.
C'est à ce moment précis que je décidais de ne pas garder le dispositif, j'en ferais une expérience, mais une expérience qui ne durerait pas.
Mon cœur battait fort, mon excitation sexuelle était à son sommet. Je me tripotais les couilles, c'est à peu près tout ce qui me restait. Mais ce n'était pas pareil.
Je restais à poil, enfin j'étais presque à poil. Eh oui presque, je prenais conscience que désormais ce serait presque, ce petit truc de quelques centimètres de surface ferait que jamais je ne serais de nouveau totalement à poil, ce serait toujours presque.
Je vaquais à mes occupations, je m'installais à mon bureau et me mettait à trier, classer, scanner … Je faisais mon boulot. Je travaillais à poil et c'était terriblement stimulant. Je rattrapais finalement mon retard dans la journée.
L'heure de rentrer sonnait. J'étais à poil vautré sur mon fauteuil, mon travail terminé, tout mon retard rattrapé. Je décidais de m'habiller, je ne mettais pas de sous vêtement. C'est en sortant que je revoyais l'infirmier, je me souvenais que lui non plus n'en avait pas et je voulais faire l'expérience de cette sensation. Il n'y aurait aucune réaction incontrôlable de ma par.
Finalement je me sentais bien.
Je rentrais chez moi, je ne pensais qu'à une chose, je ne sentais qu'une chose, ma cage à bite ! Je me dirigeais vers la sortie, l'infirmier me voyait, il me faisait signe avec un large sourire.
On se rejoignait, on se serrait la main.
– Alors ça se passe bien ?
– Oui mais c'est bizarre.
– Pas de douleur ?
– Non pour ça non, ça va !
– Pas de gêne ?
– Bein un peu quand même !
– Si c'est juste un peu, c'est très bien. Il faut parfois un certain temps pour le corps accepte ce truc. Moi je l'ai senti pendant trois mois, il me gênait, il ne me faisait pas mal mais je le sentais.
J'étais sous le charme, il avait vraiment un très beau visage. Il avait changé de vêtements et portait maintenant des vêtements de ville. On ne voyait rien, on ne pouvait même pas deviner qu'il portait une cage à bite.
– Je t'offre un verre ? Me proposait-il.
Bien sûr j'acceptais, il était tellement craquant. Je l'imaginais entièrement nu comme il était dans mes bras quelques heures plus tôt. Je me souvenais de la douceur de sa peau, de ses baisers et de son petit cul, étroit, chaud et doux.
Je bandais, j'en profitais pour me regarder dans une vitrine et constatait rassuré qu'on ne pouvait rien deviner de la présence de ce nouveau sous-vêtement. Mais là moi, je le sentais vraiment.
Je sentais ma queue de nouveau se faire étrangler dans sa cage. Ce n'était pas douloureux, toujours pas, mais par moment ça devenait effrayant. Je ne savais pas comment le dispositif réagissait, ou plutôt, comment mon corps allait réagir avec ce dispositif.
On s'installait dans le coin d'un bar, on pouvait discuter tranquillement.
– Tu penses le garder ?
– Bien sûr, j'adore ce boulot. Je suis tranquille dans mon sous sol et personne ne vient m'embêter.
– Tu sais j'ai bien aimé quand tu m'as enculé.
Je me sentais un peu embarrassé, et je pense que j'ai légèrement rougi. Il l'a vu.
– Ça ne va pas te manquer ?
– Je sais pas. Mais je vais le garder, ça c'est sûr.
– Au fait pendant que j'y pense, j'ai oublié un petit détail. Un bon d'achat pour … il me disait la suite dans le creux de l'oreille … un godemichet !
Là je sursautais et le regardais avec interrogation. Il pouffait de rire et continuait.
– Mais c'est pas une blague, je sais ils sont bizarres à la direction. Ils te font mettre ta queue en cage et t'offrent une queue en plastique.
– Pour les hommes mariés … Marmonnais-je.
– Je ne sais pas, peut être. Il n'est pas tard, si ça te tente on peut passer au magasin, il y a un supermarché du sexe à deux pâtés de maisons.
C'était une idée ça. Et je disais oui. On terminait tranquillement notre verre, il me donnait des conseils. Et surtout me disait de ne pas m'inquiéter tout se passait toujours tout seul.
– Dis moi, tu vois passer tous les nouveaux qui mettent ce dispositif, il y en a beaucoup que reviennent pour le retirer ?
– En fait depuis cinq ans que je suis à ce poste, je n'en ai pas vu un seul.
– Pas un seul ?
– Non, il y a bien le grand blond à l'accueil de ton service. Marié trois enfants bientôt quatre, il le retire tous les deux ans pour les vacances d'été. Il en profite pour faire un gosse à sa femme … Il m'amuse beaucoup celui-là.
On s'est ensuite rendu au magasin. C'était incroyable je travaillais dans le quartier et je n'aurais jamais soupçonné son existence. La façade était minuscule, tout juste la largeur d'une épicerie, mais une fois passé la porte …
Il me conduisait au premier étage et là … Je vous jure qu'il y avait le choix.
– Comme tu peux voir, il y a toutes les tailles. Tiens celle-ci est à peu près de ta taille.
– Je préférerais un peut plus gros … si possible.
– C'est comme tu veux.
En rigolant il en prenait un énorme.
– Comme ça ?
– Mais non, là tu t'es trompé, ça c'est un tabouret !
On rigolait pendant un moment et finalement, j'en choisissais un gros, raisonnablement gros mais gros.
– C'est pour enfiler ton compagnon, ou ta compagne ?
– Je n'ai ni l'un ni l'autre.
– Tu peux aussi t'en servir pour toi. Je veux dire sur toi.
– C'est une idée ça. Tu sais je suis surtout passif.
– C'est pour ça que tu veux garder ta cage ?
– Pas si fort on pourrait nous entendre.
– Ici, ça n'a pas d'importance! Me répondait-il en rigolant.
Ensuite il me proposait de venir l'essayer chez lui, il m'expliquait qu'il habitait dans le quartier.
Nous y étions en moins de dix minutes.
Aussitôt arrivé, il retirait son blouson, sa chemise, ses chaussures, ses chaussettes, enfin tout quoi, son pantalon aussi. Il n'avait pas de sous vêtements, je m'en doutais mais là je le voyais. Je retirais rapidement mes vêtements.
Il s'approchait de moi, je devinais qu'il devait y avoir de la pression dans sa cage, en tout cas dans la mienne c'était la pression mais vous savez tous que la pression c'est soit les pneus soit la bière, sinon c'est pas toujours bien. Là c'était pas bien du tout.
Certes il y avait un certain confort, on le dit. Certes ce n'est pas douloureux mais c'est pas bien quand même. Là je décidais de ne pas garder mon dispositif plus que nécessaire.
Comme ça je pourrais toujours revenir le voir et l'enculer joyeusement. Pan dans l'cul ! Comme j'aime bien le dire …
Pour le moment on se faisait un câlin, un gros câlin. Il m'embrassait avec une certaine passion, avec douceur, on se prenait dans les bras avec force mais sans aucune violence. Je caressais son corps il caressait le mien et on prenait tout notre avant d'arriver au sexe de l'autre, je finissais par lui tripoter les couilles, il me rendait la politesse. Puis il me présentait un gode.
Il avait des bretelles pour le fixer.
– Tu le mets ou je le mets ?
– Toi, c'est ton tour.
– Mais tu as des bretelles pour le fixer toi. Lui faisais-je remarquer pendant qu'il se le fixait.
– Toi aussi, tu verras dans le tien il y a aussi les lanières. Ce ne sont pas des bretelles. Avec tu peux le fixer devant pour enculer quelqu'un ou dans ton dos pour bien le maintenir dans ton cul.
Je le regardais avec un sourire et un gros pincement au cœur. Il avait fière allure, il avait brusquement une belle grosse queue devant lui. Il me faisait envie.
– Alors tu en penses quoi ? Maintenant tu me donnes ton cul ? Me disait-il.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Retour au bureau
Mon absence avait duré quelques heures mais ce n'était pas suffisant pour pour me mettre en retard, enfin un peu bien sûr pour la journée mais rien qui ne puisse se rattraper en une journée.
Distraitement je me massait les couilles. L'anneau tirait sur la peau, et même si ce n'était pas vraiment désagréable, c'était tout de même un peu bizarre. Je n'avais pas encore eu d'érection depuis que j'avais quitté le bureau de contrôle, le bureau de l'infirmier.
Je le revoyais dans sa tenue très professionnelle, je le revoyais sans sa tenue avec son dispositif, il était beau, il était sexy et c'est à ce moment que j'ai ressenti ma cage se refermer autour de ma queue. Rapidement j'avais l'impression que ma queue se faisait étrangler par la cage.
J'avais un grand miroir sur un mur, je me mettait en face et je baissais mon pantalon. Ce n'était pas une impression, ma queue était étranglée dans sa cage. Toutefois ce n'était pas douloureux et, c'était étrange, la pression restait douce et même si le dispositif n'était pas totalement confortable, il n'était pas non plus inconfortable.
C'était un entre deux. Plaisant et déplaisant à la fois. Rassurant et inquiétant. Attirant et repoussant. Doux et dure. Mais c'était surtout à chaque fois que j'y pensait totalement frustrant. Frustrant avec délectation.
Je me regardais du haut en bas, j'avais retiré tous mes vêtements et je me caressais le corps. Je me tripotais les couilles qui pendaient lourdement sous la cage, je découvrais ma cage.
Il y avait de nombreux trous d'aération, il fallait pouvoir assurer une hygiène parfaite sans jamais le retirer. J'avais plusieurs mois pour décider si je le gardais ou pas. C'est là que j'ai décidé de le garder. La pression qui enveloppait ma queue, cette douce pression m'avait décidé.
La cage se relevait et se balançait devant moi en suivant les battements de mon cœur. Des bourrelets de peau se formaient à chaque trou d'aération et la peau était douce à ces endroits là.
Je faisais une tentative de masturbation, mais là c'était une grande déception. La cage terriblement bien ajustée ne bougeait, ne glissait pas d'un millimètre sur ma queue, la peau elle-même ne pouvait pas glisser et interdisait toute plaisir. Au contraire même, ça devenait très désagréable. Surpris, je n'insistais pas.
C'est à ce moment précis que je décidais de ne pas garder le dispositif, j'en ferais une expérience, mais une expérience qui ne durerait pas.
Mon cœur battait fort, mon excitation sexuelle était à son sommet. Je me tripotais les couilles, c'est à peu près tout ce qui me restait. Mais ce n'était pas pareil.
Je restais à poil, enfin j'étais presque à poil. Eh oui presque, je prenais conscience que désormais ce serait presque, ce petit truc de quelques centimètres de surface ferait que jamais je ne serais de nouveau totalement à poil, ce serait toujours presque.
Je vaquais à mes occupations, je m'installais à mon bureau et me mettait à trier, classer, scanner … Je faisais mon boulot. Je travaillais à poil et c'était terriblement stimulant. Je rattrapais finalement mon retard dans la journée.
L'heure de rentrer sonnait. J'étais à poil vautré sur mon fauteuil, mon travail terminé, tout mon retard rattrapé. Je décidais de m'habiller, je ne mettais pas de sous vêtement. C'est en sortant que je revoyais l'infirmier, je me souvenais que lui non plus n'en avait pas et je voulais faire l'expérience de cette sensation. Il n'y aurait aucune réaction incontrôlable de ma par.
Finalement je me sentais bien.
Je rentrais chez moi, je ne pensais qu'à une chose, je ne sentais qu'une chose, ma cage à bite ! Je me dirigeais vers la sortie, l'infirmier me voyait, il me faisait signe avec un large sourire.
On se rejoignait, on se serrait la main.
– Alors ça se passe bien ?
– Oui mais c'est bizarre.
– Pas de douleur ?
– Non pour ça non, ça va !
– Pas de gêne ?
– Bein un peu quand même !
– Si c'est juste un peu, c'est très bien. Il faut parfois un certain temps pour le corps accepte ce truc. Moi je l'ai senti pendant trois mois, il me gênait, il ne me faisait pas mal mais je le sentais.
J'étais sous le charme, il avait vraiment un très beau visage. Il avait changé de vêtements et portait maintenant des vêtements de ville. On ne voyait rien, on ne pouvait même pas deviner qu'il portait une cage à bite.
– Je t'offre un verre ? Me proposait-il.
Bien sûr j'acceptais, il était tellement craquant. Je l'imaginais entièrement nu comme il était dans mes bras quelques heures plus tôt. Je me souvenais de la douceur de sa peau, de ses baisers et de son petit cul, étroit, chaud et doux.
Je bandais, j'en profitais pour me regarder dans une vitrine et constatait rassuré qu'on ne pouvait rien deviner de la présence de ce nouveau sous-vêtement. Mais là moi, je le sentais vraiment.
Je sentais ma queue de nouveau se faire étrangler dans sa cage. Ce n'était pas douloureux, toujours pas, mais par moment ça devenait effrayant. Je ne savais pas comment le dispositif réagissait, ou plutôt, comment mon corps allait réagir avec ce dispositif.
On s'installait dans le coin d'un bar, on pouvait discuter tranquillement.
– Tu penses le garder ?
– Bien sûr, j'adore ce boulot. Je suis tranquille dans mon sous sol et personne ne vient m'embêter.
– Tu sais j'ai bien aimé quand tu m'as enculé.
Je me sentais un peu embarrassé, et je pense que j'ai légèrement rougi. Il l'a vu.
– Ça ne va pas te manquer ?
– Je sais pas. Mais je vais le garder, ça c'est sûr.
– Au fait pendant que j'y pense, j'ai oublié un petit détail. Un bon d'achat pour … il me disait la suite dans le creux de l'oreille … un godemichet !
Là je sursautais et le regardais avec interrogation. Il pouffait de rire et continuait.
– Mais c'est pas une blague, je sais ils sont bizarres à la direction. Ils te font mettre ta queue en cage et t'offrent une queue en plastique.
– Pour les hommes mariés … Marmonnais-je.
– Je ne sais pas, peut être. Il n'est pas tard, si ça te tente on peut passer au magasin, il y a un supermarché du sexe à deux pâtés de maisons.
C'était une idée ça. Et je disais oui. On terminait tranquillement notre verre, il me donnait des conseils. Et surtout me disait de ne pas m'inquiéter tout se passait toujours tout seul.
– Dis moi, tu vois passer tous les nouveaux qui mettent ce dispositif, il y en a beaucoup que reviennent pour le retirer ?
– En fait depuis cinq ans que je suis à ce poste, je n'en ai pas vu un seul.
– Pas un seul ?
– Non, il y a bien le grand blond à l'accueil de ton service. Marié trois enfants bientôt quatre, il le retire tous les deux ans pour les vacances d'été. Il en profite pour faire un gosse à sa femme … Il m'amuse beaucoup celui-là.
On s'est ensuite rendu au magasin. C'était incroyable je travaillais dans le quartier et je n'aurais jamais soupçonné son existence. La façade était minuscule, tout juste la largeur d'une épicerie, mais une fois passé la porte …
Il me conduisait au premier étage et là … Je vous jure qu'il y avait le choix.
– Comme tu peux voir, il y a toutes les tailles. Tiens celle-ci est à peu près de ta taille.
– Je préférerais un peut plus gros … si possible.
– C'est comme tu veux.
En rigolant il en prenait un énorme.
– Comme ça ?
– Mais non, là tu t'es trompé, ça c'est un tabouret !
On rigolait pendant un moment et finalement, j'en choisissais un gros, raisonnablement gros mais gros.
– C'est pour enfiler ton compagnon, ou ta compagne ?
– Je n'ai ni l'un ni l'autre.
– Tu peux aussi t'en servir pour toi. Je veux dire sur toi.
– C'est une idée ça. Tu sais je suis surtout passif.
– C'est pour ça que tu veux garder ta cage ?
– Pas si fort on pourrait nous entendre.
– Ici, ça n'a pas d'importance! Me répondait-il en rigolant.
Ensuite il me proposait de venir l'essayer chez lui, il m'expliquait qu'il habitait dans le quartier.
Nous y étions en moins de dix minutes.
Aussitôt arrivé, il retirait son blouson, sa chemise, ses chaussures, ses chaussettes, enfin tout quoi, son pantalon aussi. Il n'avait pas de sous vêtements, je m'en doutais mais là je le voyais. Je retirais rapidement mes vêtements.
Il s'approchait de moi, je devinais qu'il devait y avoir de la pression dans sa cage, en tout cas dans la mienne c'était la pression mais vous savez tous que la pression c'est soit les pneus soit la bière, sinon c'est pas toujours bien. Là c'était pas bien du tout.
Certes il y avait un certain confort, on le dit. Certes ce n'est pas douloureux mais c'est pas bien quand même. Là je décidais de ne pas garder mon dispositif plus que nécessaire.
Comme ça je pourrais toujours revenir le voir et l'enculer joyeusement. Pan dans l'cul ! Comme j'aime bien le dire …
Pour le moment on se faisait un câlin, un gros câlin. Il m'embrassait avec une certaine passion, avec douceur, on se prenait dans les bras avec force mais sans aucune violence. Je caressais son corps il caressait le mien et on prenait tout notre avant d'arriver au sexe de l'autre, je finissais par lui tripoter les couilles, il me rendait la politesse. Puis il me présentait un gode.
Il avait des bretelles pour le fixer.
– Tu le mets ou je le mets ?
– Toi, c'est ton tour.
– Mais tu as des bretelles pour le fixer toi. Lui faisais-je remarquer pendant qu'il se le fixait.
– Toi aussi, tu verras dans le tien il y a aussi les lanières. Ce ne sont pas des bretelles. Avec tu peux le fixer devant pour enculer quelqu'un ou dans ton dos pour bien le maintenir dans ton cul.
Je le regardais avec un sourire et un gros pincement au cœur. Il avait fière allure, il avait brusquement une belle grosse queue devant lui. Il me faisait envie.
– Alors tu en penses quoi ? Maintenant tu me donnes ton cul ? Me disait-il.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...