LES AVENTURES DE DAVID Ep 27 : LA MAISON DE LA PLAGE
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DAVID Ep 27 : LA MAISON DE LA PLAGE
LES AVENTURES DE DAVID 27Ep 27 : LA MAISON DE LA PLAGE
David avait repris son rythme de vie habituel. Une équipe de gardes avait été installée au rez de chaussée ainsi que d'autres équipes dans les appartement de plusieurs immeubles dans le quartier, au rez de chaussée uniquement. En fait le quartier s'était discrètement transformé en quartier sécurisé sans que ça ne se voit trop.
Il n'y avait plus de garde devant la porte de l'immeuble de David mais il y en avait un certain nombre qui surveillaient le moindre mouvement dans le quartier. Les colocataires de David n'étaient plus fouillés à chaque fois qu'ils se déplaçaient dans le quartier, ses amis non plus. C'en était presque étonnant mais en fait ils avaient fait l'objet d'une enquête très serrée. David n'en savait rien mais c'étaient les services secrets qui s'étaient occupé de cette affaire.
Le deuxième trimestre scolaire se terminait, David s'était totalement adapté dans cette nouvelle vie. Franck Marthe venait le voir.
Franck : Alors David, ton grand père t'a parlé de la maison de la plage ?
David : Oui il parait que c'est une maison de fous. C'est un grand oncle Luc qui a dessiné les plans, et mon grand père m'a dit que quelquefois c'était un grand malade.
Franck : C'est vrai que c'est une maison de fous mais tu verras elle peut être très agréable.
David : Alors vous avez organisé cette réunion informelle ?
Franck : Oui et on va profité des vacances qui approchent. Tu n'a rien de prévu de particulier ?
David : Bein non !
Franck : Ça m'arrange, tu n'imagines pas combien c'est compliqué, il va falloir réunir dans un même endroit les cinq dirigeants de la planète … En plus de toi, de ton grand père et de moi !
David : Vous serez là aussi !
Franck : Je suis le PDG de la PK Compagnie et ces cinq dirigeants je les connais personnellement … Très bien même … Il n'y a pas trois jours j'ai dîné chez le PII ( la plus haute autorité politique de la planète ) il se fait une joie de t'être présenté.
Quelques jours plus tard les vacances commençaient. David se détendait un peu. Le deuxième jours des vacances Franck Marthe arrivait chez David il était avec Philippe.
Franck : Bien mon garçon, on peut partir quand tu veux .
Philippe : Je te rassure David tout s'est fait dans mon dos, je suis et reste contre cette réunion .
Franck : Mais c'est une réunion informelle, et ton petit fils a décidé de reprendre l'entreprise familiale …Philippe : Bon on arrête de discuter, on peut y aller !
David : C'est loin ?
Philippe : On y va en hélicoptère, en voiture on y passerait la moitié de la journée.
David en avait désormais l'habitude, un taxi les attendait sur la terrasse, en quelques minutes ils étaient à l'aéroport. Deux petites heures plus tard ils arrivaient à destination.
David : C'est étonnant comme architecture, on dirait un maison de poupée.
Philippe : Ça c'est parce que tu la vois de loin, de prêt on a une tout autre impression.
David : Du genre ?
Philippe : Du genre … L'architecte était fêlé !
David : Tu es dur avec tes oncles, grand père !
Philippe : Non pas du tout, je ne leur ai jamais caché ce que je pensais d'eux, ils étaient extraordinaires, je les aime et les ai toujours aimé … Mais ils étaient fêlés ! Luc surtout !
L'hélicoptère se posait juste devant la maison, les trois passagers en descendaient l'hélico repartait aussitôt. Plusieurs employés de maison venaient saluer et accueillir les arrivants. Philippe faisait l'accolade à un des employé.
Philippe : David je te présente Alex, il est au service de notre famille et de cette maison depuis très longtemps.
Alex : Voilà donc ton petit fils, j'en ai beaucoup entendu parlé. Je suis très heureux de te rencontrer David … C'est moi qui suis chargé de faire fonctionner cette maison, si tu as besoin de quoi que ce soit … Tu n'hésites pas à me déranger s'il te plaît, ça me fera plaisir !
Alex saluait Franck Marthe et leur expliquait ce qu'il avait prévu pour le séjour.
David se retrouvait devant l'entrée principale, il restait perplexe. La porte principale avec son imposte culminait à une hauteur de près de dix mètres … Le plafond du hall d'entrée dépassait de plusieurs mètres la hauteur de la porte ( c'est préférable ) ce qui fait que le premier étage à cet endroit de la maison se retrouvait à la hauteur d'un quatrième étage dans un immeuble standard …
Au rez de chaussée les salles de réceptions avait une hauteur de plafond de six mètres. Le hall d'entrée se terminait au fond, face à la porte d'entrée monumentale par un escalier tout autant monumental en fer à cheval. De chaque côté de l'escalier une ouverture ouvrait sur une deuxième partie, une salle tout aussi monumentale que le hall avec en son milieu une piscine de vingt cinq mètre de long …
David n'avait encore rien vu mais déjà il se retournait vers son grand père …
David : Tu avais raison Grand Père, ton oncle était fêlé !
Philippe : Ça lui aurait fait plaisir de t'entendre du sais !
Au premier étage les chambres étaient plus modestes, les hauteurs de plafond ne dépassaient pas quatre mètres ( sauf pour quelques unes ) et leur tailles moyennes étaient de cinquante mètre carré … David avait rapidement le vertige. La chambre des maîtres faisait une surface de soixante mètre carré avec sa partie salon mais sans la salle de bains, et était décorée de marbres parmi les plus rares, robinetteries en or, baignoire en marbre. Les tissus les plus luxueux, depuis le plus simple comme le coton d’Égypte aux soies de Chine sur lesquelles apparaissaient des motifs en relief, tissés directement dans le tissus lui même ( du sur mesure de très haut de gamme ).
C'est bien sûr la chambre des maître qui était réservée à David, ne le serait-il pas un jour … Son grand père Philippe retrouvait lui la chambre qui lui était attribuée quand il était jeune. Rien n'avait changé sauf peut être les vêtements dans la penderie, ils étaient au goût du jour.
La chambre d'en face était réservée à Franck Marthe, elle était du même genre que celle de Philippe. Six autres chambres étaient préparées pour les présidents, la vaisselle d'apparat était sortie. Tout était prêt pour recevoir les invités.
Le jour même c'est un commando de militaires qui débarquait. Ils investissaient les lieux. C'est Alex qui se chargeait de faire visiter aux responsables militaires les dispositifs de sécurité. Tout était prévu, depuis un système de détection qui n'aurait pas laissé un moustique approcher de la maison ( C'est en tout cas ce qu'avait dit le fabriquant ) jusqu'à un abris anti-atomique au cas ou …
Les services de sécurité semblaient rassurés. Ils prenaient le contrôle de la situation. En temps normal il n'y avait pas beaucoup de personnel de maison mais pour l'occasion un contingent était arrivé, tous avaient été sélectionnés parmi le personnel de la PK, parmi un personnel très bien connu, au dessus de tout soupçon.
Le premier soir, David était un peu perdu il était allongé sur son grand lit. On frappait à la porte. Un employé métisse entrait, il portait un plateau.
L' employé : Monsieur Alex m'a demandé de vous apporter un grand verre de chocolat pour vous aider à dormir Monsieur Brosso.
Ça faisait toujours une drôle d'impression à David de se faire appelé Monsieur.
L'employé : Puis-je faire quelque chose pour vous ? Voulez-vous que je vous fasse couler un bain ?
David n'était pas habitué à se faire traiter de la sorte, il faisait oui de la tête mais sans aucune conviction. Quelques instants plus tard le bain était prêt. L'employé prenait les vêtements que David retirait, David se glissait dans son bain.
L'employé : Si vous me permettez Monsieur Brosso !
L'employé se plaçait dans le dos de David et commençait à lui masser les épaules et le cou. David se détendait, il ne réalisait pas vraiment la situation, il ne réalisait pas vraiment que si partout ailleurs il était le futur Maître, ici il l'était déjà. Il était chez lui … Il se laissait aller et se détendait complètement.
David : Dis moi, tu t'appelle comment ?
L'employé : Jonas Monsieur Brosso !
David : S'il te plaît, n'en rajoute pas trop avec les '' Monsieur Brosso '' je sais c'est mon nom mais tout le monde m'appelle David .
Jonas : Vous appeler simplement David ne serait pas convenable de ma part Monsieur Bro ... Pardon … Monsieur !
David rigolait.
Jonas : Je sens que vous vous détendez bien Monsieur David. Voulez-vous que …David : Oui vas y .
David était nu dans son bain, allongé sur le dos, son dispositif de chasteté se relevait avec force. Ce contact qui n'était pas prévu réveillait en lui des désirs qu'il aurait aimé satisfaire. Il se laissait faire, le massage se transformait doucement en caresses qui descendaient sur son torse. David se sentait bien, il respirait fort.
C'est sans penser à mal, c'est sans penser à rien d'ailleurs que David posait sa main sur le bras de Jonas et le caressait avec douceur. Jonas était surpris mais laissait faire, il était penché sur David qui le regardait, c'est sans prévenir et toujours sans penser à rien que David déposait un baiser sur la joue de Jonas. Sur le bas de la joue pour être plus précis, presque dans le cou. L'employé était métisse et comme tout le monde le sait David aime bien les garçons à la peau mate.
Jonas n'était pas du genre timide, il baissait la tête et donnait un baiser sur les lèvres de David. Quelques instants plus tard il avait retiré sa chemise et David découvrait autant avec les yeux qu'avec les doigts le corps parfait et musclé de Jonas.
Rapidement suivait un nouveau baiser, puis encore un. David se relevait et prenait dans ses bras, on ne parlait plus de petit massage, là c'étaient des caresses, des câlins, des baisers. Les mains de Jonas se promenaient sur tout le corps de David avec, peut être, un peu plus de force et d’insistance que les fesses de david.
David : Je vois que tu fais du sport.
Jonas : Je vois que vous faites vous aussi du sport Monsieur David.
Les mains de David se posaient également sur les fesses de son employé, bein oui, en fait Jonas était employé par David même si ce dernier n'en savais rient jusqu'à ce jour.
Puis les mains de David se glissaient dans le pantalon de Jonas, toujours sur les fesses. Jonas avait lui aussi un fessier très ferme, et David ne se privait pas de le vérifier.
David : Et si tu venais me rejoindre dans mon bain.
Entre deux baisers Jonas lui répondait.
Jonas : Si Monsieur David le désire, ce sera avec plaisir.
Quelques secondes plus tard, le pantalon de Jonas tombait et c'est belle grosse bite qui se relevait fièrement, avec force, presque à la verticale contre le ventre de Jonas.
David : Ah ouai !
Jonas : Oh pardon ! Vous ignoriez que … David : Non, au contraire, j'aime bien.
En disant cela David se penchait et prenait dans la bouche la queue de son employé, rapidement il la prenait toute entière dans sa bouche, elle était de belle taille mais David comme vous le savez tous n'était plus un débutant. Il commençait à avoir de l'expérience et ce soir là c'est Jonas qui en a profité.
David était à genoux dans la baignoire, Jonas était debout juste à côté. Il caressait les cheveux de David, avec douceur. Il appuyait doucement sur la tête de son boss, avançait le bassin par intermittence, appuyait un peu plus fort, sa queue rentrait jusqu'au fond de la gorge de David qui se régalait.
David glissait ses mains entre les cuisse de Jonas, lui caressait les couilles, lui passait une main entre les fesses et glissait tout doucement un doigt dans le cul. Oh David n'allait pas bien loin, juste une phalange et Jonas gémissait. David lui ne pouvait pas dire grand chose.
Jonas se penchait vers David et l'embrassait tendrement sur la bouche puis enjambait la baignoire et s'allongeait sur David, le prenait dans ses bras et ce n'était plus que câlins, caresses, douceur. David masturbait Jonas, il ne s'y attendait pas à ça mais c'était une bonne surprise.
David se retournait sur le ventre, sortait sa tête et son cul de l'eau …
David : Encule moi !
Jonas ne le faisait pas répéter, il se lubrifiait la queue, prenait position et poussait. Il poussait assez fort, peut être un peu trop fort et David gueulait au moment ou la queue de Jonas s'enfonçait, elle rentrait vite, avec violence. Il ne fallait que quelques secondes avant que le ventre de Jonas ne s'écrase sur les fesses de David.
Ensuite Jonas s'appuyait de tout son poids, il forçait sur sa gauche sur sa droite, se retirait rapidement et s'enfonçait avec violence de nouveau. Le ventre de Jonas claquait fort contre les fesses de David qui râlait et en redemandait.
Les coups étaient rapides et violents. David jutais et jouissait et les derniers coups particulièrement violent arrachaient à David un cri et un gémissement de plaisir à Jonas.
Les corps se détendaient alors de nouveau Jonas se retirait et reprenait, avec un peu de malice toutefois, le massage qu'il avait interrompu par force … ( Enfin par force, ouai, je me demande si je n'exagère pas là moi … Note de l'auteur )
Une voix se faisait entendre … '' David … Tu es là ? '' . C'était Philippe.
David : Je suis dans mon bain Grand Père, tu désires quelque chose ?
Philippe : Tu pourrais nous rejoindre dans le salon s'il te plaît.
Jonas avait un peu paniqué mais David pas du tout, ils se séchaient, David s'habillait rapidement et laissait là Jonas. Au passage en passant devant la table il avalait rapidement le verre de chocolat et descendait les escaliers.
Un état major militaire était là dans le salon, David ne connaissait pas les grades mais il remarquait les trois étoiles sur le chapeau d'un des militaires, Franck Marthe et Philippe l'attendait. ( Oui je sais … Mais David n'a jamais fait l'armée et il ne fait pas la différence entre un képi et un chapeau, j'y suis pour rien moi … Note de l'auteur )
Franck : Demain, dans la journée les cinq présidents vont arriver l'un après l'autre, par mesure de sécurité ils ne voyageront séparément. L'armée contrôle actuellement l'aéroport. Et la propriété est sous haute sécurité.
Philippe : Puisque nous sommes chez toi David, j'ai pensé que tu pourrais aller les chercher avec ta voiture...
David : Mais grand père on est venu en hélicoptère !
Philippe : Je sais aussi j'ai téléphoné à ta voiture, elle s'est mise en route, elle sera là à temps !
David : Et il est loin l'aéroport ?
Philippe : Trois bons kilomètres.
David : En dehors de la propriété donc.
Philippe : Mais non pas du tout ! Pourquoi tu dis ça ?
David : Mais elle est grande comment cette propriété ?
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
David avait repris son rythme de vie habituel. Une équipe de gardes avait été installée au rez de chaussée ainsi que d'autres équipes dans les appartement de plusieurs immeubles dans le quartier, au rez de chaussée uniquement. En fait le quartier s'était discrètement transformé en quartier sécurisé sans que ça ne se voit trop.
Il n'y avait plus de garde devant la porte de l'immeuble de David mais il y en avait un certain nombre qui surveillaient le moindre mouvement dans le quartier. Les colocataires de David n'étaient plus fouillés à chaque fois qu'ils se déplaçaient dans le quartier, ses amis non plus. C'en était presque étonnant mais en fait ils avaient fait l'objet d'une enquête très serrée. David n'en savait rien mais c'étaient les services secrets qui s'étaient occupé de cette affaire.
Le deuxième trimestre scolaire se terminait, David s'était totalement adapté dans cette nouvelle vie. Franck Marthe venait le voir.
Franck : Alors David, ton grand père t'a parlé de la maison de la plage ?
David : Oui il parait que c'est une maison de fous. C'est un grand oncle Luc qui a dessiné les plans, et mon grand père m'a dit que quelquefois c'était un grand malade.
Franck : C'est vrai que c'est une maison de fous mais tu verras elle peut être très agréable.
David : Alors vous avez organisé cette réunion informelle ?
Franck : Oui et on va profité des vacances qui approchent. Tu n'a rien de prévu de particulier ?
David : Bein non !
Franck : Ça m'arrange, tu n'imagines pas combien c'est compliqué, il va falloir réunir dans un même endroit les cinq dirigeants de la planète … En plus de toi, de ton grand père et de moi !
David : Vous serez là aussi !
Franck : Je suis le PDG de la PK Compagnie et ces cinq dirigeants je les connais personnellement … Très bien même … Il n'y a pas trois jours j'ai dîné chez le PII ( la plus haute autorité politique de la planète ) il se fait une joie de t'être présenté.
Quelques jours plus tard les vacances commençaient. David se détendait un peu. Le deuxième jours des vacances Franck Marthe arrivait chez David il était avec Philippe.
Franck : Bien mon garçon, on peut partir quand tu veux .
Philippe : Je te rassure David tout s'est fait dans mon dos, je suis et reste contre cette réunion .
Franck : Mais c'est une réunion informelle, et ton petit fils a décidé de reprendre l'entreprise familiale …Philippe : Bon on arrête de discuter, on peut y aller !
David : C'est loin ?
Philippe : On y va en hélicoptère, en voiture on y passerait la moitié de la journée.
David en avait désormais l'habitude, un taxi les attendait sur la terrasse, en quelques minutes ils étaient à l'aéroport. Deux petites heures plus tard ils arrivaient à destination.
David : C'est étonnant comme architecture, on dirait un maison de poupée.
Philippe : Ça c'est parce que tu la vois de loin, de prêt on a une tout autre impression.
David : Du genre ?
Philippe : Du genre … L'architecte était fêlé !
David : Tu es dur avec tes oncles, grand père !
Philippe : Non pas du tout, je ne leur ai jamais caché ce que je pensais d'eux, ils étaient extraordinaires, je les aime et les ai toujours aimé … Mais ils étaient fêlés ! Luc surtout !
L'hélicoptère se posait juste devant la maison, les trois passagers en descendaient l'hélico repartait aussitôt. Plusieurs employés de maison venaient saluer et accueillir les arrivants. Philippe faisait l'accolade à un des employé.
Philippe : David je te présente Alex, il est au service de notre famille et de cette maison depuis très longtemps.
Alex : Voilà donc ton petit fils, j'en ai beaucoup entendu parlé. Je suis très heureux de te rencontrer David … C'est moi qui suis chargé de faire fonctionner cette maison, si tu as besoin de quoi que ce soit … Tu n'hésites pas à me déranger s'il te plaît, ça me fera plaisir !
Alex saluait Franck Marthe et leur expliquait ce qu'il avait prévu pour le séjour.
David se retrouvait devant l'entrée principale, il restait perplexe. La porte principale avec son imposte culminait à une hauteur de près de dix mètres … Le plafond du hall d'entrée dépassait de plusieurs mètres la hauteur de la porte ( c'est préférable ) ce qui fait que le premier étage à cet endroit de la maison se retrouvait à la hauteur d'un quatrième étage dans un immeuble standard …
Au rez de chaussée les salles de réceptions avait une hauteur de plafond de six mètres. Le hall d'entrée se terminait au fond, face à la porte d'entrée monumentale par un escalier tout autant monumental en fer à cheval. De chaque côté de l'escalier une ouverture ouvrait sur une deuxième partie, une salle tout aussi monumentale que le hall avec en son milieu une piscine de vingt cinq mètre de long …
David n'avait encore rien vu mais déjà il se retournait vers son grand père …
David : Tu avais raison Grand Père, ton oncle était fêlé !
Philippe : Ça lui aurait fait plaisir de t'entendre du sais !
Au premier étage les chambres étaient plus modestes, les hauteurs de plafond ne dépassaient pas quatre mètres ( sauf pour quelques unes ) et leur tailles moyennes étaient de cinquante mètre carré … David avait rapidement le vertige. La chambre des maîtres faisait une surface de soixante mètre carré avec sa partie salon mais sans la salle de bains, et était décorée de marbres parmi les plus rares, robinetteries en or, baignoire en marbre. Les tissus les plus luxueux, depuis le plus simple comme le coton d’Égypte aux soies de Chine sur lesquelles apparaissaient des motifs en relief, tissés directement dans le tissus lui même ( du sur mesure de très haut de gamme ).
C'est bien sûr la chambre des maître qui était réservée à David, ne le serait-il pas un jour … Son grand père Philippe retrouvait lui la chambre qui lui était attribuée quand il était jeune. Rien n'avait changé sauf peut être les vêtements dans la penderie, ils étaient au goût du jour.
La chambre d'en face était réservée à Franck Marthe, elle était du même genre que celle de Philippe. Six autres chambres étaient préparées pour les présidents, la vaisselle d'apparat était sortie. Tout était prêt pour recevoir les invités.
Le jour même c'est un commando de militaires qui débarquait. Ils investissaient les lieux. C'est Alex qui se chargeait de faire visiter aux responsables militaires les dispositifs de sécurité. Tout était prévu, depuis un système de détection qui n'aurait pas laissé un moustique approcher de la maison ( C'est en tout cas ce qu'avait dit le fabriquant ) jusqu'à un abris anti-atomique au cas ou …
Les services de sécurité semblaient rassurés. Ils prenaient le contrôle de la situation. En temps normal il n'y avait pas beaucoup de personnel de maison mais pour l'occasion un contingent était arrivé, tous avaient été sélectionnés parmi le personnel de la PK, parmi un personnel très bien connu, au dessus de tout soupçon.
Le premier soir, David était un peu perdu il était allongé sur son grand lit. On frappait à la porte. Un employé métisse entrait, il portait un plateau.
L' employé : Monsieur Alex m'a demandé de vous apporter un grand verre de chocolat pour vous aider à dormir Monsieur Brosso.
Ça faisait toujours une drôle d'impression à David de se faire appelé Monsieur.
L'employé : Puis-je faire quelque chose pour vous ? Voulez-vous que je vous fasse couler un bain ?
David n'était pas habitué à se faire traiter de la sorte, il faisait oui de la tête mais sans aucune conviction. Quelques instants plus tard le bain était prêt. L'employé prenait les vêtements que David retirait, David se glissait dans son bain.
L'employé : Si vous me permettez Monsieur Brosso !
L'employé se plaçait dans le dos de David et commençait à lui masser les épaules et le cou. David se détendait, il ne réalisait pas vraiment la situation, il ne réalisait pas vraiment que si partout ailleurs il était le futur Maître, ici il l'était déjà. Il était chez lui … Il se laissait aller et se détendait complètement.
David : Dis moi, tu t'appelle comment ?
L'employé : Jonas Monsieur Brosso !
David : S'il te plaît, n'en rajoute pas trop avec les '' Monsieur Brosso '' je sais c'est mon nom mais tout le monde m'appelle David .
Jonas : Vous appeler simplement David ne serait pas convenable de ma part Monsieur Bro ... Pardon … Monsieur !
David rigolait.
Jonas : Je sens que vous vous détendez bien Monsieur David. Voulez-vous que …David : Oui vas y .
David était nu dans son bain, allongé sur le dos, son dispositif de chasteté se relevait avec force. Ce contact qui n'était pas prévu réveillait en lui des désirs qu'il aurait aimé satisfaire. Il se laissait faire, le massage se transformait doucement en caresses qui descendaient sur son torse. David se sentait bien, il respirait fort.
C'est sans penser à mal, c'est sans penser à rien d'ailleurs que David posait sa main sur le bras de Jonas et le caressait avec douceur. Jonas était surpris mais laissait faire, il était penché sur David qui le regardait, c'est sans prévenir et toujours sans penser à rien que David déposait un baiser sur la joue de Jonas. Sur le bas de la joue pour être plus précis, presque dans le cou. L'employé était métisse et comme tout le monde le sait David aime bien les garçons à la peau mate.
Jonas n'était pas du genre timide, il baissait la tête et donnait un baiser sur les lèvres de David. Quelques instants plus tard il avait retiré sa chemise et David découvrait autant avec les yeux qu'avec les doigts le corps parfait et musclé de Jonas.
Rapidement suivait un nouveau baiser, puis encore un. David se relevait et prenait dans ses bras, on ne parlait plus de petit massage, là c'étaient des caresses, des câlins, des baisers. Les mains de Jonas se promenaient sur tout le corps de David avec, peut être, un peu plus de force et d’insistance que les fesses de david.
David : Je vois que tu fais du sport.
Jonas : Je vois que vous faites vous aussi du sport Monsieur David.
Les mains de David se posaient également sur les fesses de son employé, bein oui, en fait Jonas était employé par David même si ce dernier n'en savais rient jusqu'à ce jour.
Puis les mains de David se glissaient dans le pantalon de Jonas, toujours sur les fesses. Jonas avait lui aussi un fessier très ferme, et David ne se privait pas de le vérifier.
David : Et si tu venais me rejoindre dans mon bain.
Entre deux baisers Jonas lui répondait.
Jonas : Si Monsieur David le désire, ce sera avec plaisir.
Quelques secondes plus tard, le pantalon de Jonas tombait et c'est belle grosse bite qui se relevait fièrement, avec force, presque à la verticale contre le ventre de Jonas.
David : Ah ouai !
Jonas : Oh pardon ! Vous ignoriez que … David : Non, au contraire, j'aime bien.
En disant cela David se penchait et prenait dans la bouche la queue de son employé, rapidement il la prenait toute entière dans sa bouche, elle était de belle taille mais David comme vous le savez tous n'était plus un débutant. Il commençait à avoir de l'expérience et ce soir là c'est Jonas qui en a profité.
David était à genoux dans la baignoire, Jonas était debout juste à côté. Il caressait les cheveux de David, avec douceur. Il appuyait doucement sur la tête de son boss, avançait le bassin par intermittence, appuyait un peu plus fort, sa queue rentrait jusqu'au fond de la gorge de David qui se régalait.
David glissait ses mains entre les cuisse de Jonas, lui caressait les couilles, lui passait une main entre les fesses et glissait tout doucement un doigt dans le cul. Oh David n'allait pas bien loin, juste une phalange et Jonas gémissait. David lui ne pouvait pas dire grand chose.
Jonas se penchait vers David et l'embrassait tendrement sur la bouche puis enjambait la baignoire et s'allongeait sur David, le prenait dans ses bras et ce n'était plus que câlins, caresses, douceur. David masturbait Jonas, il ne s'y attendait pas à ça mais c'était une bonne surprise.
David se retournait sur le ventre, sortait sa tête et son cul de l'eau …
David : Encule moi !
Jonas ne le faisait pas répéter, il se lubrifiait la queue, prenait position et poussait. Il poussait assez fort, peut être un peu trop fort et David gueulait au moment ou la queue de Jonas s'enfonçait, elle rentrait vite, avec violence. Il ne fallait que quelques secondes avant que le ventre de Jonas ne s'écrase sur les fesses de David.
Ensuite Jonas s'appuyait de tout son poids, il forçait sur sa gauche sur sa droite, se retirait rapidement et s'enfonçait avec violence de nouveau. Le ventre de Jonas claquait fort contre les fesses de David qui râlait et en redemandait.
Les coups étaient rapides et violents. David jutais et jouissait et les derniers coups particulièrement violent arrachaient à David un cri et un gémissement de plaisir à Jonas.
Les corps se détendaient alors de nouveau Jonas se retirait et reprenait, avec un peu de malice toutefois, le massage qu'il avait interrompu par force … ( Enfin par force, ouai, je me demande si je n'exagère pas là moi … Note de l'auteur )
Une voix se faisait entendre … '' David … Tu es là ? '' . C'était Philippe.
David : Je suis dans mon bain Grand Père, tu désires quelque chose ?
Philippe : Tu pourrais nous rejoindre dans le salon s'il te plaît.
Jonas avait un peu paniqué mais David pas du tout, ils se séchaient, David s'habillait rapidement et laissait là Jonas. Au passage en passant devant la table il avalait rapidement le verre de chocolat et descendait les escaliers.
Un état major militaire était là dans le salon, David ne connaissait pas les grades mais il remarquait les trois étoiles sur le chapeau d'un des militaires, Franck Marthe et Philippe l'attendait. ( Oui je sais … Mais David n'a jamais fait l'armée et il ne fait pas la différence entre un képi et un chapeau, j'y suis pour rien moi … Note de l'auteur )
Franck : Demain, dans la journée les cinq présidents vont arriver l'un après l'autre, par mesure de sécurité ils ne voyageront séparément. L'armée contrôle actuellement l'aéroport. Et la propriété est sous haute sécurité.
Philippe : Puisque nous sommes chez toi David, j'ai pensé que tu pourrais aller les chercher avec ta voiture...
David : Mais grand père on est venu en hélicoptère !
Philippe : Je sais aussi j'ai téléphoné à ta voiture, elle s'est mise en route, elle sera là à temps !
David : Et il est loin l'aéroport ?
Philippe : Trois bons kilomètres.
David : En dehors de la propriété donc.
Philippe : Mais non pas du tout ! Pourquoi tu dis ça ?
David : Mais elle est grande comment cette propriété ?
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