LES AVENTURES DE DJE 54 : ET LES FILLES ALORS

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : LES AVENTURES DE DJE 54 :   ET LES FILLES ALORS Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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LES AVENTURES DE DJE 54 : ET LES FILLES ALORS
LES AVENTURES DE DJE 54EP 54 : ET LES FILLES ALORS

Depuis quelque temp vous avez sans doutes remarqué qu'il n'est plus question du Groupe de vacances …Aussi il me semble logique de donner à cette histoireun nouveau titre.

LE GROUPE DE VACANCES
s'appellera désormais
LES AVENTURES DE DJE
Toutefois comme il s'agit de la même histoire la numérotationdes chapitres continuera ou elle en était cette saison commence donc par l'épisode 54

Le jour de la rentrée nous étions quatre au petit déjeuner, Bob avait passé la dernière nuit avec Luc. Comme à notre habitude on faisait un petit entraînement, Charles nous préparait notre petit déjeuner. Bob n'était plus mal à l'aise avec Charles comme aux début. Ensuite avec Antoine on accompagnait les p'tits à leur école, les horaires correspondaient.

Bob n'avait pas vraiment aimé cette courte période d'essais, mais il devait reconnaître que ce n'était pas aussi terrible qu'il le pensait au départ. Enfin cinq jours … C'était pas aussi terrible !

On reprenait tous notre vie et son petit train train …
Dans les jours qui suivaient un fan-club ( un de plus ! ) se formait autour d'Antoine et de moi tout particulièrement. Il y avait des garçons pour qui nous étions des exemples et quelques filles pour qui nous étions des …
Un jour à la fin d'un après midi d'entraînement un petit groupe de filles nous faisaient une surprise … On ressortait des vestiaires ou on s'était changé, elles nous attendaient à la sortie et au moment ou on apparaissait à la porte, habillées en pom-pom-girl elles nous faisaient une danse d'encouragement et terminaient en chantant … '' Bravo Antoine, Bravo Djé, C'est vous les meilleurs '' …
Elles nous sautaient au coup et nous embrassaient sur la joue en riant. Elles nous faisaient rire et on décidait unanimement de les inviter à notre table le soir. Régulièrement, trois fois par semaine nous organisions un souper avec une quinzaine de convives et quelquefois plus …
Bien sûr on informait Charles, notre majordome qu'il y aurait cinq personnes de plus.

Charles : Des filles ! Voilà qui va nous changer, la dernière c'était Justine et on ne peut pas vraiment parler de '' fille '' dans son cas … Même si à ce qu'on m'a dit …
Justine c'est mon avocate, pour ceux qui auraient loupé un épisode.( Ep 30 et quelques autres ) ...

Ce soir là on était vingt trois, un peu au dessus de la moyenne, les cinq filles que nous avions rencontrées le jour même étaient là bien sûr. Elles avaient déjà entendu parler de mes soirées et depuis longtemps avaient envie d'y être reçues. En fait j'organisais ces soirées pour garder des contacts avec mon équipe depuis que je sortais moins. Si je décidais de sortir je me retrouvais très vite au milieu d'une bandes de plus de soixante, soixante dix garçons … Avec leurs copines et copains respectifs ça pouvait dépasser les cent quarante et là, ça devenait difficile à gérer pour moi, et ce n'était là que le cercle le plus restreint ... Je me trouvais dépassé, surtout que le centre d'attraction c'était moi. On tenait donc une sorte de carnet de présences à ces soirées, dans le seul but de n'oublier personne, d'organiser un roulement pour ne pas créer de frustrations ou de jalousies … Ce système marchait bien et tous mes camarades avaient parfaitement compris que j'avais besoin d'un peu d'intimité et de tranquillité. De temps en temps je faisais quand même des sorties, et là, c'était la folie !

Il y avait quelques privilégiés qui pouvaient participer à chacune de ces soirées. Bob le petit copain de mon frère et Romain le petit copain d'Antoine … Ces deux là bien sûr pouvaient se dispenser d'invitation. Ces soirées étaient toujours très détendues, j'étais le leader de mon école, Antoine était désormais presque aussi populaire que moi. Ces soirées n'étaient pas seulement très détendues, elles était aussi très convoitées, y être reçu quand on ne faisait pas partie de nos proches était déjà une marque de reconnaissance !

Léa le savait, elle en profitait, elle était amusante, elle aimait faire la fête et quelques flûtes de champagne ( oui je sais on ne se refuse rien ! Vous voudriez peut être que serve de l'eau minérale à mes invités !... Pfff … Et ma réputations alors !) … Donc, quelques flûtes de champagnes ne lui faisaient pas peur et la rendaient encore plus rieuse. On parlait de nos activités sportives, de la fac, de nos vacances qui se terminaient. Je racontais mes conférences …
Comme à chaque fois, la soirée ne traînait pas, tout le monde était rentré avant minuit ! Il faut savoir être raisonnable, le lendemain il y avait école … Léa était restée jusqu'à la fin, elle avait réussi à m'accaparer une bonne partie de la soirée, ce qui avait beaucoup amusé mes camarades, ainsi que mon frère. Je suis très mignon, même si mon frère prétend que c'est lui le plus mignon, je vous rassure ce n'est pas vrai, le plus mignon c'est moi ! Avec moi Léa ne risque pas grand chose, je porte en permanence un dispositif de chasteté. Mais c'est vrai que je je suis le garçon le plus populaire de tout le milieu étudiant ( et même plus ) … Je n'ai pas vingt trois ans et je roule déjà en Mercedes ou en Rolls à l'occasion … J'ai un majordome … J'habite un appartement de grand standing, je possède deux appartements d'un certain standing qui me procurent déjà une rente ainsi qu'un compte en banque qui ne cesse de gonfler … Franchement ! Je voudrais bien savoir ce qui peut l'attirer chez moi ?

Les jours qui suivaient je la revoyais souvent, elle venait m'encourager à mon entraînement, s'asseyait à ma table à la cantine … Le mercredi soir à la fin de mon entraînement, elle venait me saluer et …
Léa : Bravo Djé, je t'ai trouvé très en forme aujourd'hui … Dis moi, ça te plairait qu'on se retrouve ce soir, pour boire un verre ?
Moi : Ce serait avec plaisir, mais pas ce soir. Nous sommes mercredi, et ce soir je reçois …Léa : Oh dommage, je me faisais un plaisir de passer un moment avec toi ! … Un autre jour ? …Moi : Mais tu pourrais passer, si tu n'as rien d'autre de prévu …Lée : Ce soir vingt heures ! Pas de problème, à tout à l'heure Djé.

Elle m'attrapait pas le cou et me donnait un baiser rapide … Je m'étais fait avoir !

Elle venait ce soir là, et tous les soirs suivants aussi ! Rapidement elle devenait très populaire dans la fac, tout le monde commençait à la traiter comme la first lady ! Elle avait gagné ! Rapidement on nous voyais toujours ensemble. Je laissais faire. Deux ans plus tôt je me serais damné pour sortir avec une fille pareil. Il faut dire qu'elle était canon. Elle savait être aussi discrète que charmante avec Antoine et avec Luc qui finissaient eux aussi par se laisser séduire …
En un mot … Deux semaines plus tard … Elle s'était incrustée !

Je l'avais bien vue arriver de loin mais … Mais comment dire ! … Ça faisait un bon moment que ne n'avais pas tenu une fille dans mes bras, et il faut dire que c'est bien agréable. Une autre douceur, une autre tendresse, un autre contact de la peau … J'ai souvent regretté de porter mon dispositif mais pourtant je n'ai jamais envisagé de le retirer ! Elle ne l'a jamais demandé ! On flirtait, on ne couchait pas !

Dans ma tête, pendant ces deux semaines c'était un incendie permanent, personne sauf elle ne me touchait, et elle ne me touchait que de loin ! Le Bras, la main, les lèvres, ses baisers étaient doux et ma cage était dure. Elle me caressait l'épaule, et me tirais vers elle en passant sa main derrière mon cou pour m'embrasser, ses baisers étaient chauds et ma cage était froide. Quand nous marchions ensemble elle se collait souvent à moi, libre de ses mouvements et ma queue protestait toujours plus de n'être pas libre, elle . Je ne touchais pas aux godes, je ne touchais pas aux plugs. Je passais les deux semaines qui suivaient dans la plus totale abstinence sexuelle et quand je la voyais je sentais instantanément ma bite protester dans sa cage, la pression augmentait, ma cage se relevait et je suis sûr que ça devait se voir, ça ne pouvait que se voir tellement je le sentais.

Ce soir là, les invités s'en allaient les uns après les autres, Charles avait déjà tout rangé. Léa traînait, il était minuit largement passé, le lendemain il n'y avait pas école. Antoine, son copain Romain, mon frère Luc et son copain Bob étaient sortis faire la fête … Il ne restait plus que Léa et moi, on s'était installés sur le canapé devant un bon film, dehors il commençait à faire froid. Elle se blottissait contre moi, tout contre moi.

Léa : Dis moi Djé … Moi : Oui ma puce.
Léa : Ça fait combien de temps que que tu n'avais pas touché une fille ?
Moi : Je sais pas moi ! Les vacances à chez mes parents.
Léa : Et tu avais retiré ton truc ?
Moi : Euh … Non !
Léa : J'ai envie de toi.

D'un geste elle me repoussait en arrière et me guidait pour m'allonger sur le canapé, elle s'allongeait sur moi, ma bite était en panique, je sentais cette pression infernale, depuis le début de la soirée je la sentais bien mais là, je la sentais … Je ne sentais plus que cela, mon cœur battait à tout rompre et j'avais déjà le souffle court.

Elle se penchait sur moi, et m'embrassait. Je sentait la douceur de sa peau. Je sentais la chaleur des ses seins, je la prenais dans mes bras et lui caressait le dos doucement. C'était sans espoir mais c'était bon, je laissais faire. Non seulement je ne la repoussais pas mais je la retenais, je ne voulais plus la laisser partir.

Elle commençait à se déshabiller, et rapidement se retrouvait torse nue. Elle me retirait mon T-shirt et se penchait sur moi. L'extrémité de ses seins me chatouillait et je sentais la lourdeur de ses seins. Mon cœur allait exploser, je ne vais pas vivre vieux moi avec de telles excitations, mais je me lâchais.

Je me lâchais, je ne me posais plus de questions. Je me relevais, assis sur le canapé. Elle se retrouvait sur mes genoux ses jambes s'accrochaient dans mon dos. Je la tenais fort dans mes bras, sa poitrine s'écrasait contre mon torse, ma queue se révoltait comme jamais.

Elle se relevait et se déshabillait totalement, elle attrapait son sac, et me faisait signe de la suivre avec une doigt. Elle m'entraînait dans ma chambre.

Léa : Fais moi voir ton truc, je t'ai jamais vu à poil, montre moi tous tes muscles !

D'un geste je faisais tomber mon pantalon et je me retrouvais nu, pas de sous vêtements, toujours pas … J'étais entièrement nu sauf toujours ce petit truc entre mes cuisses qui fait toute la différence … La pression y était maximum, pour la bite ça restait toujours a peu prêt confortable mais pour la tête … J'avais la cervelle en feu, elle était vraiment superbe, élégante et fine mais musclée tout de même, des jambes à n'en plus finir, deux bras dont je connaissais déjà la douceur, et une poitrine lourde qu'elle avançait avec fierté, un regard un peu vicieux, et un sourire … Ahhh, un sourire … A cet instant je me noyais dans son regard !

Mes jambes commençaient à chanceler. Elle me repoussait de la main et je tombais sur mon lit, sur le dos, les bras en croix. Elle me sautait dessus, s'asseyait sur moi, me chevauchais. Je lui caressais les cuisses, l'intérieure des cuisses, le bas du ventre et doucement je remontais les mains en lui caressant le ventre, le dos, les seins … Avec toute la douceur dont j'étais capable. Je manquais de souffle. J'en ai vu d'autre, mais là je manquais d'air.

Elle me laissait faire sans cacher qu'elle aimait bien ça. Elle me caressait les avant-bras, les bras, les épaules, la gorge. Elle s'attardait sur ma gorge avec beaucoup de douceur elle aussi. Puis c'est le bout de sa langue qui me chatouillait le cou et ses doigts se promenaient sur ma poitrine, pinçait légèrement mes tétons que je sentais se durcir alors que ses seins eux aussi durcissaient sous mes caresses.

Ma bite remplissait la cage, et poussait par toutes les ouvertures, un petit renflement de peau ressortait alors. Je crois que c'était la première fois que ça se produisait avec ce modèle. Léa se frottait la vulve sur mon ventre, elle relevait la tête en arrière et gémissait de satisfaction, je devenais fou.

Léa : Fais moi jouir !

Je commençais à descendre mes mains vers son entre jambe.

Léa : Non pas comme ça !

Elle se relevais et s'asseyait sur mon visage, sans s'appuyer pour ne mas m'étouffer. Surtout que j'avais déjà le souffle court … Je m’exécutais, elle s'appuyait sur le mur au dessus de ma tête, je ne pouvais plus bouger les bras qui étaient coincés sous ses chevilles. Elle m'encourageait et d'une main me caressait les cheveux.

Elle se relevait de nouveau et se retournait, je ne savais plus quoi faire et n'osait plus bouger, elle se rasseyait à nouveau sur mon visage mais dans l'autre sens, ses genoux posés juste au dessous de mes bras et quand elle se penchait en avant je sentais son nez sur mon ventre, sur mon nombril, sa langue se promener sur tout le bas de mon ventre puis sur une cuisse pour finalement terminer sur la base de mon sexe, juste au dessus de l'anneau principal qui maintient le dispositif.

Mes jambes étaient allongée et bien écartées, elle resserrait les cuisses, je ne pouvais plus bouger la tête. Elle ne s'appuyait pas trop pour que ne pas m'étouffer mais je suffoquais. J'avais l'impression d'exploser, tout mon corps tremblait, mon souffle devenait irrégulier.

Elle gémissait de plaisir ma langue rentrait dans tous les recoins de son intimité, je la sentais approcher du plaisir. Avec une grande délicatesse, je la caressais, je passais mes mains sur son dos, ses fesses, je passais un doigt entre ses fesses, elle ne se crispait pas quand mon doigt s'attardait sur l'ouverture de son anus. Je n'osais pas insister, et ne pouvais pas parler pour lui demander ce qu'elle en pensait. Elle mouillait, elle respirait de plus en plus fort, elle se tordait, par moment ne se contrôlait plus et se frottait violemment contre mon visage. Elle me gobait les couilles, me caressait, me massait la base de mon sexe. L'excitation montait, montait puis violemment je jouissais, j'éjaculais, juste quelques goûtes éjectées de ma cage de chasteté, le reste coulait longuement de l'extrémité de ma cage et semblait ne pas vouloir s'arrêter.

Je sentais Léa vibrer juste au dessus de mon visage, les muscles des ses cuisses se contractaient, elle gueulait de plaisir, avec ma langue je ne m'arrêtais pas. Elle se contractait, elle tremblait, elle poussait enfin un dernier cri puis se laissait tomber sur le côté, elle retirait une jambe et me libérait le visage, je reprenais mon souffle, je passais ma main sur ma bite, enfin sur la cage de ma bite, et j'avais l'impression que mon sperme continuait à couler.

Léa était allongée à côté de moi, je me retournais vers elle et lui donnais un baiser sur la cuisse, je la sentait frémir. Je relevais la tête et voyais son visage, elle était en sueur et je me disais que je devais être dans le même état ! C'est en même temps qu'on se laissait tomber sur le dos, mon visage était au niveau de ses cuisses et mes cuisses au niveau de son visage. Je passais une main sur son bas ventre, elle me caressait la main. Je la sentais respirer fort, je la sentais retrouver peu à peu son souffle, son cœur battait vite, comme le mien.

On finissait par retrouver notre calme. Elle se retournait pour me mettre dans le même sens que moi, on se regardait, je lui faisais un sourire. On finissait par s'endormir l'un à côté de l'autre.

On était réveillé en sursaut … Elle était dans mes bras, elle me tournait le dos, sa tête appuyée sur mon bras et mon autre bras posé autour de ses hanches …
Luc était dans ma chambre et hurlait !

Luc : Vous dormez ? Je ne vous réveille pas j'espère ! Dis moi Jérémy on peut utiliser ta salle de bain ? Ne vous dérangez pas pour nous ! Vous pouvez continuer à dormir !

Un instant pour réagir et Luc se sauvait avant que j'ai le temps de me lever, il se précipitait dans sa chambre bousculant Antoine au passage. J'arrivais juste derrière. Trop tard la porte était verrouillée !

Antoine : Il a recommencé ?
Moi : Oui, il a recommencé !
Antoine : Au fait les vêtement de fille, là sur la moquette, rassure moi c'est pas toi qui …Moi : Non c'est Léa !
Antoine : Ça me rassure !

Luc s'était enfermé dans sa chambre et je l'entendais rigoler au travers de la porte.

Moi : Tu es une bourrique, mais tu ne perds rien à attendre !

Je prenais les vêtements de Léa et retournais dans ma chambre, je refermais la porte. Je me laissais tomber sur mon lit … Léa me regardait l'air amusée …
Léa : Il est toujours comme ça ton frère ?
Moi : Non mais ça le prend de temps en temps ! La dernière fois il tambourinait comme un malade à la porte en hurlant !
Léa : Pour rentrer ?
Moi : Non juste pour me réveiller, il était déjà rentré, il faisait ça de l'intérieur.
Léa : En tout cas ça ne t'a pas complètement réveillé !
Moi : Pourquoi tu dis ça ?
Léa : Tu n'as par remarqué que nous sommes trois !
Moi : Mais non, on n'est que deux !

Je regardais dans ma chambre et … En effet il y avait Bob … Il était tout nu et tout rouge ! Il n'osait plus bouger !

Moi : Bonjour Bob.
Bob : … B' … jour … Djé … Moi : Ça va, c'est bon, j'ai compris, va faire couler l'eau …Léa : Là, moi j'ai pas compris !
Moi : Ils voulaient utiliser ma salle de bain !
Léa : Mais il n'y a pas une salle de bain par chambre ?
Moi : Ma chambre est la seule à avoir un bain bouillonnant géant !
Léa : Un bain bouillonnant … Mais c'est une idée ça ! Bon et bien puisqu'on est réveillé …
Elle se levait, me donnait un baiser et allait rejoindre Bob dans le bain bouillonnant ! Je me levais, me rendais à la cuisine … J'y retrouvais Antoine et Romain qui eux avaient passé un pantalon.

Antoine : Vas y raconte …
Je leur racontait rapidement la soirée en prenant un café ? J’apercevais Luc qui entrouvrait la porte de sa chambre pour voir ce qui se passait.

Moi : Luc tu ne devrais pas rester comme ça à ne rien faire, ton copain est actuellement nu dans une baignoire avec une fille superbe … Nue elle aussi !
Luc : Tu déconnes !
Moi : Si tu ne me crois pas, vas donc voir !

Luc se précipitait comme un fou dans ma chambre.

Moi : Quelle bourrique !

Je prenait une tasse de café et l'emportais avec moi dans ma chambre. Je retrouvais dans ma baignoire mon frère qui avait l'air tout à fait décontracté, Léa tout aussi détendue et Bob qui était toujours aussi ratatiné sur lui même. Je déposais le tasse de café à côté de Léa sur le rebord de l'énorme baignoire lui disant '' Tiens ma puce '' et me glissais juste à côté d'elle.

Moi : Luc tu es vraiment une bourrique, mais qu'est ce qui t'arrive encore ?
Luc : Eh ! Eh ! Je voulais juste utiliser le bain bouillonnant, au début je ne voulais pas faire de bruit puis … J'ai craqué !
Léa : Tu as raison Djé, c'est une bourrique ! Et toi Bob, tu ne dis rien !
Bob : Mon … Bé … Gé … Mé … Vien !
Léa : Mais qu'est ce qu'il dit ? J'ai pas compris !
Moi : Ne cherche pas, quand il est intimidé il est toujours comme ça !
Léa : Il est trop mignon, je ne l'avais jamais vu à poil, mais c'est que, en plus il est bien foutu, très beau même !
Luc : Ouai bein toi tu touches pas à mon doudou ou alors on va pas être copain tous les deux !

Bob est peut être timide mais c'est pas le cas de mon petit frère … Aussi en entendant ça, si Luc réagissait vivement, Bob piquait du nez dans la baignoire … Il était tout rouge … Genre tomate bien mûr !

Moi : Bob ne pique pas du nez dans le bain tu vas finir par te noyer !

Il ne relevait pas la tête mais je le voyais pouffer de rire et je savais par expérience que quand je parvenais à le faire rire c'est qu'il se sentait déjà mieux !


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