LES AVENTURES DE DJE 55
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES AVENTURES DE DJE 55
LES AVENTURES DE DJE 55EP 55 : AAAAH LEA
Avec Léa nous ne cherchions pas à dissimuler notre relation et rapidement toute la fac était au courant. De son côté elle était un peu traitée comme la first-lady et profitait de nouveaux égards qui semblaient naturels envers ma nouvelle copine. Au réfectoire on la laissait passer devant tout le monde, quand elle décidait de s'installer à ma table, on lui laissait la place. De petites attentions, rien de plus, mais de petites attentions dans tous les endroits fréquentés par des étudiants.
Elle me racontait que l'autre soir elle voulait aller au cinéma avec deux de ses amies … Il y avait foule … Elles étaient à peine dans la file d'attente que ceux qui les précédaient leur laissaient la place puis ceux qui étaient devant … Au final elles arrivaient au guichet en passant devant tout le monde … Et c'était comme ça partout !
Elle appréciait je ne vous dis pas !
Elle participait à tous mes soupers trois fois par semaine … Ces soupers étaient devenus tellement légendaire que les participants se considéraient comme des VIP. Je n'oubliais pas d'inviter également régulièrement mes professeurs ainsi que les directeurs des écoles … Le week-end Léa le passait dans mes bras. On soupait sur place, on sortait au restaurant, on faisait une sortie, c'était alors la folie … Léa jouait la first-lady en représentation … Je me demandais de temps en temps si elle n'était pas en train de devenir snob !
Nos étreintes étaient de plus en plus intenses. Un soir elle était comme à son habitude, chaude … J'avais envie d'une soirée tranquille à deux.
Moi : Dis moi Luc, tu fais quoi ce soir ?
Luc : Booo … J'ai rien de prévu, je ne bouge pas, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
Moi : Tu sais que Antoine sera de sortie, il fait la bringue ! Ça ne te tentes pas de le suivre …Luc : Booo … Non moi je préfère rester bien tranquille, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
La bourrique ! Il m'avait vu venir de loin !
Bob arrivait … Et je reprenais.
Moi : Mais pourquoi vous ne faites pas une petite sortie ?
Luc : Booo … Non moi je préfère rester bien tranquille, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
Moi : Mais il vient d'arriver Bob ! Il est là Bob !
Bob : Je suis là Luc et je viens de te faire la bise ! Tu as déjà oublié ?
Luc : Laisse moi faire Bob ! Là je négocie !
Moi : Bon je t'offre le restaurant !
Luc : Voilà ! Le gros mot est prononcé ! Il veut se débarrasser de nous, et voilà, le restaurant. Au fait il y a un trois étoiles pas très loin … J'ai jamais mangé dans un trois étoiles. J'aimerais bien savoir pourquoi un trois étoiles il a trois étoiles …
Je lui tendais la carte bleue !
Luc : Et là maintenant c'est le coup de la carte bleu … Tout ça pour se donner bonne conscience en nous mettant à la porte.
Bob : La dernière fois on a bien mangé !
Luc : C'est pas une raison !
Bob : On a même bu du champagne !
Luc : Mais tu es avec lui ou avec moi toi ? Au fait on ne va pas y aller à pied au restaurant !
Je tendais la clé de la voiture à Bob qui la prenait en faisant un grand sourire de satisfaction et me disait merci !
Luc : Bien puisque nous sommes de trop … Allez on s'en va … Merci pour la carte bleue Jérémy je connais le code ! Tu as vu comment on s'est fait jeter, hein dis Bob ?
Bob : Moi ça ne me dérange pas de me faire jeter comme ça tous les jours, on va quand même manger dans un bon restau et on y va en Mercedes ! Merci pour la soirée Jérémy !
Luc avait bien sûr gémi et braillé encore un long moment pendant qu'il se changeait pour sortir, pleurant que je le rejetais quand je lui avais proposé de sortir au restaurant avec son copain bob . Mais il ne perdait pas le nord le p'tit ! … Il avait embarqué la carte de crédit et en sortant il avait lancé à Bob …
Luc : On y va bob, après on se paye un spectacle, un concert ça te dis ? ...
Moi : Au fait Luc, espèce de bourrique je te préviens si jamais tu nous réveilles demain matin tu n'auras plus droit qu'au fast-food !
Léa regardait la scène totalement incrédule, elle commençait à bien connaître mon frère mais quelquefois il parvenait à l'épater, et ce soir là c'était le cas …
Léa et moi avions traîné un long moment dans le bains bouillonnant. On était bien chaud tous les deux, ses seins étaient chauds contre ma poitrine, ses baisers étaient doux dans mon coup, sa peau était comme de la soie, la pression était était dingue dans ma cage de chasteté et mon cœur battait fort.
Avec des gestes racoleurs et en se dandinant, elle allait chercher son sac, elle l'ouvrait et en sortait, avec un petit sourire vicieux, un gode ceinture !
Je reconnaissais l'objet, j'en ai un plein tiroir.
Léa : Tu sais à quoi ça sert ?
Moi : Moi ! Mais j'en ai pas la moindre idée, mais c'est quoi on dirait un pénis en plastique … A quoi ça peut bien servir ? Mon dieu, je ne savais même pas que ce genre d'objet pouvait exister !
Léa : Il est vrai que tu as choisi un mode de vie plus … Puritain ? ! … Bon je vais faire semblant de te croire … Ça sert à me faire plaisir !
Elle se penchait sur moi, m'embrassait le torse puis un peu plus bas … encore un peu plus bas … Elle s'arrêtait juste au dessus de mon dispositif de chasteté qui était sous pression. Délicatement elle plaçait la ceinture, je soulevais mon bassin pour l'aider.
Léa : Alors tu commences à comprendre ?
Moi : Certainement pas je suis trop … Puritain … Mais bon je vais improviser !
Elle s'allongeait sur moi, je sentais ses seins s'écraser contre ma poitrine, je la prenais dans mes bras et l'embrassait tout en lui caressant le dos. Contre mon ventre je sentais la bite en plastique qui se relevait fièrement, juste en dessous ma cage était toujours sous pression, pas de douleur mais la tension était tellement forte que ça devenait presque gênant. Mais la frustration me donnait toujours cette sensation d'excitation et mes tétons semblaient se durcir ou alors c'étaient les seins de Léa …
Brusquement je la retournais sur le dos et me retrouvais au dessus d'elle, je l'embrassais sur tout le corps en commençant par le bas de son ventre. Je remontais doucement en prenant bien mon temps, m'attardais sur un de ses sein puis sur l'autre. Quelques baisers déposés avec une extrême tendresse sur sa gorge et quand nos lèvres se réunissaient le gode était en position et je commençais alors à la pénétrer. C'est en prenant bien mon temps que j'enfonçais le gode, doucement, sans forcer, il entrait et Léa commençait déjà à gémir de plaisir.
Je la serrais fort dans bras et montrais autant de douceur que de force. Je roulais sur le côté, elle suivait le mouvement et se retrouvait au dessus de moi. C'est elle qui alors continuait avec des mouvements du bassin. Elle se relevait, je lui caressait les seins, je la prenais par les reins et suivais ses mouvements. Je soulevais le bassin en suivant le rythme qu'elle imprimait. Elle accélérait, je suivais, je restais concentré sur ses réactions.
Elle relevait la tête et respirait très fort, elle gémissait de plaisir, elle penchait la tête en arrière et avançait sa poitrine en avant. Elle m'invitait à la caresser et continuait les mouvements, je la suivais ! Peu à peu ses mouvements devenaient saccadés, elle se contractait puis se relâchait et reprenait. Elle se penchait sur moi, resserrait les cuisses, ses mouvements devenaient de plus en plus crispés, tendus.
C'était de véritables cris qu'elle poussait, de plus en plus fort, de plus en plus crispés. Elle se relevait et se laissait retomber de tout son poids et s'empalait sur le gode. Ses mouvements étaient de plus en plus lents et amples, elle fermait les yeux … Je la sentais vibrer, je la sentais frémir. Elle jouissait et se laissait retomber sur moi le gode encore bien enfoncé en elle.
Elle restait un moment sans bouger, elle me faisait encore quelques douces caresses et me donnait encore des baisers du bout des lèvres. Tendrement je me retournais nous nous retrouvions toujours enlacés couchés sur le côté, je me retirais, elle se laissait retomber sur le dos, j'en faisait de même. Nous étions en sueur. Mon cœur allait exploser, ma cage de chasteté était sous pression comme jamais. C'était à devenir fou, je devenais fou de frustration, de désir et j'aimais ça …
Sans me relever je décrochais la ceinture et la jetais à côté de mon lit. On échangeait encore quelques regards, on s'approchait l'un de l'autre puis on se laissait aller et sans rien dire on s'endormait …
Luc ne nous réveillait pas le lendemain. La menace du fast-food avait marché … Après le trois étoiles ça devait le faire réfléchir … Je me levais avant que Léa ne se réveille et lui préparait un petit déjeuner, elle ouvrait juste les yeux quand je lui apportais le plateau …
On traînait encore un long moment au lit …
Quand on se levait la matinée était bien avancée. Luc et Bob étaient levés, ils revenaient de leur entraînement sportif. Antoine et Romain étaient parti en ville. Un peu plus tard on en faisait de même, on terminait la journée tout en douceur, une sortie restaurant puis on reprenait notre vie. La semaine suivante nous apportait de nouveaux plaisir, un nouveau record en sport pour Antoine … Cet enfoiré avait battu un de mes records … C'était une déclaration en guerre !
Une déclaration en guerre pacifique dans laquelle chacun continuerait à encourager son adversaire … Dans laquelle la victoire de l'un réjouissait aussi l'autre !
Le deuxième trimestre avançait. Léa ne me quittait plus. Nous passions tout notre temps libre ensemble, les soirée trois fois par semaine à la maison, même les soirs ou nous recevions les directeurs ( Les deux écoles n'avaient pas encore fusionné il y avait toujours deux directeurs ) ou des professeurs, Léa était là …
Bob ne me cachait pas que ça commençait à l'inquiéter son entrée en fac l'année suivante …
Bob : J'ai décidé de rester dans cette ville, je n'ai pas les moyens financiers de me payer les études ailleurs, avec les frais de logement en particulier … C'est au dessus de mes moyens … Et en plus j'ai pas envie de me séparer de Luc.
Luc : C'est mignon ce que tu me dis là Bob.
Moi : Mais tu sais que tu pouvais compter sur mon soutient !
Bob : Oui je sais mais … C'est comme ça !
Luc : Il a décidé de s'entraîner à porter le truc …Bob : J'ai confié les clés à Luc et je ne peux le retirer que quand on est ensemble.
Moi : Pas trop dur ?
Luc : Pour le moment il ne le porte pas plus d'une semaine à la fois !
Bob : Pour le moment je ne l'ai pas encore porté une semaine. C'est une décision nouvelle !
Luc : Tu sais que moi je ne te tiendrais pas enfermé bien longtemps !
Bob : Tu ne peux pas te passer de ma grosse bite … Oh excuse moi Djé …Moi : Il n'y a pas de mal !
…
Moi : Les prochaines vacances vous les passer ou ?
Luc : Au château ! J'ai pas encore vu le château en hiver !
Moi : Et Bob ?
Bob : Moi je sais pas mais de toutes façons ce sera une bonne occasion pour pousser un peu l'entraînement ! Que je le suive ou pas, je porterais le truc … !
Ça faisait maintenant plus de six semaines que je vivais une abstinence sexuelle totale … Enfin, je ne sais pas si je présente bien les choses … En fait je dormais plusieurs fois par semaine avec Léa, et nos ébats étaient …
Je la faisais jouir avec le gode ceinture, avec mes caresses, mes mains, mes bras, le contacte de ma peau sur la sienne, le contacte de sa peau sur la mienne, ma langue. Je savait lui donner tout le plaisir qu'elle demandait, tout le plaisir sexuel, pour elle. Pour elle oui mais pour elle seule … Moi je n'avais droit à aucune stimulation ou pour être plus précis je n'avais droit qu'à des préliminaires, rien de plus !
La chaleur de sa peau, la douceur de soie de sa peau … Ma cage était en permanence sous pression, cette douce et forte pression, qui me rappelle à chaque instant de la fournée qu'il n'y avait rien à espérer, rien à attendre … Le plaisir c'était pour elle, pour moi il ne me restait que la frustration.
C'était une frustration productive je battait le record qu'Antoine m'avait pris quelques semaines plus tôt. Physiquement, au niveau sportif, je n'avait jamais été aussi bon … Je détenais à ce moment là tous les records de l'école depuis sa création un siècle plus tôt ! Tous les records dans les sports que je pratiquais bien sûr !
C'était une frustration de folie, pas un gode, pas un plug ne sortait de son tiroir et ne rentrait dans mon cul … Rien … Quand Léa se penchait sur moi j'avais l'impression que je pourrais exploser de plaisir, tant de désir, tant de plaisir pour elle tant de désir pour moi !
Les secondes vacances approchaient et tous les espoirs étaient sur moi. Je n'avais qu'à être régulier, faire le jour de la compétition les temps que je faisais à l'entraînement et c'était largement dans la poche …
Il n'y avait pas que le second trimestre qui avançait mais c'est vrai que j'en ai peu parlé, depuis le début de l'année des travaux considérables se poursuivaient sur la nouvelle université. Comme vous le savez des bâtiments avaient poussés en quelques semaines mais ce n'était pas définitif. Par rapport à la première université la façade de la deuxième était largement en retrait, ce n'était pas un hasard. Le bâtiment existant devait être prolongé, agrandi. Sa façade se développait devant le bâtiment qui avait poussé l'été précédent … Le projet final était d'obtenir un bâtiment unique de huit cent mètres de large … Une façade monumentale … La façade de la nouvelle université … L'université de la PK … Les bâtiments qui avaient poussé en quelques semaines seraient progressivement remplacés, ils étaient démontables … Les anciens bâtiments, ceux de la première université seraient entièrement restaurés les uns après les autres …
Le projet était dément au total une école de plus de quatre mille étudiants internes … On en était très loin ! Et cette ville ne comptait pas quinze mille habitants …
J'avais pris l'habitude d'entrer par derrière le … ( je parle de mon école … Pff ! ) … le bâtiment administratif donc ! Il y avait un passage qui permettait d'éviter la façade principale et les travaux qui n'en finissaient pas ! Y en a je vous jure … on parle d'entrer par derrière et … je ne vous dis pas les commentaires que j'entends d’où je suis … !
Bref pour une fois je passais par devant ( oui je sais … '' Ça change !'' ) et là c'était le choc.
Moins de six mois plus tôt, c'est simple il n'y avait pas de façade, je veux dire par là, pas de bâtiment et là encore les travaux avançaient vite largement plus de la moitié du bâtiment était terminé. Les trois premiers niveaux semblaient presque opérationnels. Je ne résistais pas à la curiosité et j'entrais pour visiter.
De l'extérieur ça avait déjà de la gueule mais de l'intérieur … Ça ne ressemblait à rien ! Les murs, oui. Les portes ou les fenêtres, non. Les escaliers, oui. Les ascenseurs, non . L'électricité, non. Les murs étaient bruts, on était encore loin de la finition.
Un main forte m'attrapait par le poignée et m'entraînait dans une salle chauffé un ouvrier semblait occupé à je ne sais quoi. L'homme qui m'avait attrapé avait une bonne tête et me faisait un sourire.
Lui : Toi tu n'es pas seulement venu pour visiter !
Il m’attrapait par le pantalon, me tirait vers lui, j'étais en tenue de sport et mon pantalon baillait laissant apparaître ma PK …
Moi : Hééé !
Lui : C'est super ton truc, j'en veux un pareil mais je sais pas si ils auront la taille.
Moi : Ils l'auront t'inquiète pas !
Lui : Tu es sûr, viens donc voir de plus prêt tu me diras ce que tu en penses !
Il baissait son pantalon, m'attrapait par le coup, me tirait vers lui et me disait …
Lui : Vas y suce moi la queue !
Je m’exécutais !
Je suppose que … Arrivé à ce moment du récit vous devez commencer à me connaître et vous savez que je suis très sociable et que je suis capable de sympathiser facilement avec des gens que je ne connais pas ! Je suppose donc que vous ne serez pas surpris par ma réaction …
Il faut dire aussi que j'étais en manque !
Je lui léchais l'extrémité du gland il n'était pas circoncis, je prenais sa queue dans ma bouche et c'est dans ma bouche qu'il décalottait, il me tenait la tête et me tirait vers lui … Ça faisait longtemps que je n'avais pas connu cette sensation, avec Léa je ne suçais pas le gode de sa ceinture, on ne suce pas une bite en plastique, non , c'est nul ! Mais là c'était pas nul, sa queue était ferme, j'avais presque oublié à quel point il faut bien ouvrir la bouche pour avaler mais je retrouvais rapidement mes réflexes et il gémissait bruyamment quand sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge.
C'était bon, ça m'avait manqué, il tirait fermement ma tête vers lui et avançait violemment son bassin. Je bavais, j'avais du mal à suivre, je gémissait moi aussi mais c'étaient des sons gutturaux, les seuls que je pouvais faire avec cette grosse bite dans la bouche. Rapidement il ne m'épargnait rien et me tenant bien la tête il me balançait de violents et rapide coups de bassin. J'avalais sa queue, je ne pouvais rien faire d'autre qu'avaler. Je ne résistais pas, je n'essayais même pas de résister, je n'avais pas envie de résister !
Il soufflait plus fort, il respirait plus vite, il gémissait puis poussait un cri de plaisir au moment ou je sentais son sperme me remplis la gorge, je suçais, je bavais, j'avalais. Il maintenait encore un moment ma tête gardant sa queue dans ma bouche, je la sentais ramollir et reprendre une taille plus petite, il se retirait et me lâchait.
Lui : C'est ça ! Oui c'est bien ça que tu voulais …
L'ouvrier que j'avais vu en entrant s'était rapproché, il avait baissé son pantalon, il bandait, il était juste à côté de moi et au moment ou le premier se retirait complètement il le remplaçait sans me demander ce que j'en pensais, il m'enfonçait sa bite jusqu'à la garde. Lui non plus ne me ménageait pas, pas de tendresse, on n'avait pas que ça à faire ! Il me limait la bouche, lui me repoussait contre le mur me retenait de toutes ses forces et me bloquait ainsi la tête. Il utilisait alors ma bouche pour se soulager sans s'inquiéter de moi. J'avais l'impression d'être devenu un sex-toy !
C'était bon ! C'était un peu effrayant mais c'était bon, ça faisait combien de temps que je n'avais pas sucer une belle queue moi ? Je ne me souvenais même plus, je fermais les yeux et me concentrais sur mes sensations. Sa queue était plus modeste que le premier mais il fallait quant même arriver à suivre … Mais j'aime ça moi et j'avais de l'entraînement … Peut être pas ces dernières semaines mais … Ça m'avait manqué ! Ma cage était sous pression, ma prostate commençait à frétiller à l'idée du plaisir qui allait suivre, ça aussi, ça m'avait manqué ! Me prendre une belle grosse queue dans le cul, et là ils étaient deux … Deux grosses queue dans mon cul, je sentais mon anus qui se contractait par réflexe et ma bite qui protestait, je sentais ma cage se relever, je recevais une grosse giclée de sperme dans la bouche. C'était bon, je me régalais, je sentais l'ouvrier trembler, frémir, il ne faisait pas de bruit, pas de cri ni de gémissement mais il tremblait au moment ou il jouissait. Maintenant je m'attendais à me faire enculer, j'en avais envie, j'en avais tellement envie …
Il refermait alors son pantalon et me donnant une petite tape sur la joue il me lançait … '' Bon maintenant tu nous laisses on n'a pas que ça à faire, on bosse nous !'' !
Avec Léa nous ne cherchions pas à dissimuler notre relation et rapidement toute la fac était au courant. De son côté elle était un peu traitée comme la first-lady et profitait de nouveaux égards qui semblaient naturels envers ma nouvelle copine. Au réfectoire on la laissait passer devant tout le monde, quand elle décidait de s'installer à ma table, on lui laissait la place. De petites attentions, rien de plus, mais de petites attentions dans tous les endroits fréquentés par des étudiants.
Elle me racontait que l'autre soir elle voulait aller au cinéma avec deux de ses amies … Il y avait foule … Elles étaient à peine dans la file d'attente que ceux qui les précédaient leur laissaient la place puis ceux qui étaient devant … Au final elles arrivaient au guichet en passant devant tout le monde … Et c'était comme ça partout !
Elle appréciait je ne vous dis pas !
Elle participait à tous mes soupers trois fois par semaine … Ces soupers étaient devenus tellement légendaire que les participants se considéraient comme des VIP. Je n'oubliais pas d'inviter également régulièrement mes professeurs ainsi que les directeurs des écoles … Le week-end Léa le passait dans mes bras. On soupait sur place, on sortait au restaurant, on faisait une sortie, c'était alors la folie … Léa jouait la first-lady en représentation … Je me demandais de temps en temps si elle n'était pas en train de devenir snob !
Nos étreintes étaient de plus en plus intenses. Un soir elle était comme à son habitude, chaude … J'avais envie d'une soirée tranquille à deux.
Moi : Dis moi Luc, tu fais quoi ce soir ?
Luc : Booo … J'ai rien de prévu, je ne bouge pas, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
Moi : Tu sais que Antoine sera de sortie, il fait la bringue ! Ça ne te tentes pas de le suivre …Luc : Booo … Non moi je préfère rester bien tranquille, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
La bourrique ! Il m'avait vu venir de loin !
Bob arrivait … Et je reprenais.
Moi : Mais pourquoi vous ne faites pas une petite sortie ?
Luc : Booo … Non moi je préfère rester bien tranquille, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
Moi : Mais il vient d'arriver Bob ! Il est là Bob !
Bob : Je suis là Luc et je viens de te faire la bise ! Tu as déjà oublié ?
Luc : Laisse moi faire Bob ! Là je négocie !
Moi : Bon je t'offre le restaurant !
Luc : Voilà ! Le gros mot est prononcé ! Il veut se débarrasser de nous, et voilà, le restaurant. Au fait il y a un trois étoiles pas très loin … J'ai jamais mangé dans un trois étoiles. J'aimerais bien savoir pourquoi un trois étoiles il a trois étoiles …
Je lui tendais la carte bleue !
Luc : Et là maintenant c'est le coup de la carte bleu … Tout ça pour se donner bonne conscience en nous mettant à la porte.
Bob : La dernière fois on a bien mangé !
Luc : C'est pas une raison !
Bob : On a même bu du champagne !
Luc : Mais tu es avec lui ou avec moi toi ? Au fait on ne va pas y aller à pied au restaurant !
Je tendais la clé de la voiture à Bob qui la prenait en faisant un grand sourire de satisfaction et me disait merci !
Luc : Bien puisque nous sommes de trop … Allez on s'en va … Merci pour la carte bleue Jérémy je connais le code ! Tu as vu comment on s'est fait jeter, hein dis Bob ?
Bob : Moi ça ne me dérange pas de me faire jeter comme ça tous les jours, on va quand même manger dans un bon restau et on y va en Mercedes ! Merci pour la soirée Jérémy !
Luc avait bien sûr gémi et braillé encore un long moment pendant qu'il se changeait pour sortir, pleurant que je le rejetais quand je lui avais proposé de sortir au restaurant avec son copain bob . Mais il ne perdait pas le nord le p'tit ! … Il avait embarqué la carte de crédit et en sortant il avait lancé à Bob …
Luc : On y va bob, après on se paye un spectacle, un concert ça te dis ? ...
Moi : Au fait Luc, espèce de bourrique je te préviens si jamais tu nous réveilles demain matin tu n'auras plus droit qu'au fast-food !
Léa regardait la scène totalement incrédule, elle commençait à bien connaître mon frère mais quelquefois il parvenait à l'épater, et ce soir là c'était le cas …
Léa et moi avions traîné un long moment dans le bains bouillonnant. On était bien chaud tous les deux, ses seins étaient chauds contre ma poitrine, ses baisers étaient doux dans mon coup, sa peau était comme de la soie, la pression était était dingue dans ma cage de chasteté et mon cœur battait fort.
Avec des gestes racoleurs et en se dandinant, elle allait chercher son sac, elle l'ouvrait et en sortait, avec un petit sourire vicieux, un gode ceinture !
Je reconnaissais l'objet, j'en ai un plein tiroir.
Léa : Tu sais à quoi ça sert ?
Moi : Moi ! Mais j'en ai pas la moindre idée, mais c'est quoi on dirait un pénis en plastique … A quoi ça peut bien servir ? Mon dieu, je ne savais même pas que ce genre d'objet pouvait exister !
Léa : Il est vrai que tu as choisi un mode de vie plus … Puritain ? ! … Bon je vais faire semblant de te croire … Ça sert à me faire plaisir !
Elle se penchait sur moi, m'embrassait le torse puis un peu plus bas … encore un peu plus bas … Elle s'arrêtait juste au dessus de mon dispositif de chasteté qui était sous pression. Délicatement elle plaçait la ceinture, je soulevais mon bassin pour l'aider.
Léa : Alors tu commences à comprendre ?
Moi : Certainement pas je suis trop … Puritain … Mais bon je vais improviser !
Elle s'allongeait sur moi, je sentais ses seins s'écraser contre ma poitrine, je la prenais dans mes bras et l'embrassait tout en lui caressant le dos. Contre mon ventre je sentais la bite en plastique qui se relevait fièrement, juste en dessous ma cage était toujours sous pression, pas de douleur mais la tension était tellement forte que ça devenait presque gênant. Mais la frustration me donnait toujours cette sensation d'excitation et mes tétons semblaient se durcir ou alors c'étaient les seins de Léa …
Brusquement je la retournais sur le dos et me retrouvais au dessus d'elle, je l'embrassais sur tout le corps en commençant par le bas de son ventre. Je remontais doucement en prenant bien mon temps, m'attardais sur un de ses sein puis sur l'autre. Quelques baisers déposés avec une extrême tendresse sur sa gorge et quand nos lèvres se réunissaient le gode était en position et je commençais alors à la pénétrer. C'est en prenant bien mon temps que j'enfonçais le gode, doucement, sans forcer, il entrait et Léa commençait déjà à gémir de plaisir.
Je la serrais fort dans bras et montrais autant de douceur que de force. Je roulais sur le côté, elle suivait le mouvement et se retrouvait au dessus de moi. C'est elle qui alors continuait avec des mouvements du bassin. Elle se relevait, je lui caressait les seins, je la prenais par les reins et suivais ses mouvements. Je soulevais le bassin en suivant le rythme qu'elle imprimait. Elle accélérait, je suivais, je restais concentré sur ses réactions.
Elle relevait la tête et respirait très fort, elle gémissait de plaisir, elle penchait la tête en arrière et avançait sa poitrine en avant. Elle m'invitait à la caresser et continuait les mouvements, je la suivais ! Peu à peu ses mouvements devenaient saccadés, elle se contractait puis se relâchait et reprenait. Elle se penchait sur moi, resserrait les cuisses, ses mouvements devenaient de plus en plus crispés, tendus.
C'était de véritables cris qu'elle poussait, de plus en plus fort, de plus en plus crispés. Elle se relevait et se laissait retomber de tout son poids et s'empalait sur le gode. Ses mouvements étaient de plus en plus lents et amples, elle fermait les yeux … Je la sentais vibrer, je la sentais frémir. Elle jouissait et se laissait retomber sur moi le gode encore bien enfoncé en elle.
Elle restait un moment sans bouger, elle me faisait encore quelques douces caresses et me donnait encore des baisers du bout des lèvres. Tendrement je me retournais nous nous retrouvions toujours enlacés couchés sur le côté, je me retirais, elle se laissait retomber sur le dos, j'en faisait de même. Nous étions en sueur. Mon cœur allait exploser, ma cage de chasteté était sous pression comme jamais. C'était à devenir fou, je devenais fou de frustration, de désir et j'aimais ça …
Sans me relever je décrochais la ceinture et la jetais à côté de mon lit. On échangeait encore quelques regards, on s'approchait l'un de l'autre puis on se laissait aller et sans rien dire on s'endormait …
Luc ne nous réveillait pas le lendemain. La menace du fast-food avait marché … Après le trois étoiles ça devait le faire réfléchir … Je me levais avant que Léa ne se réveille et lui préparait un petit déjeuner, elle ouvrait juste les yeux quand je lui apportais le plateau …
On traînait encore un long moment au lit …
Quand on se levait la matinée était bien avancée. Luc et Bob étaient levés, ils revenaient de leur entraînement sportif. Antoine et Romain étaient parti en ville. Un peu plus tard on en faisait de même, on terminait la journée tout en douceur, une sortie restaurant puis on reprenait notre vie. La semaine suivante nous apportait de nouveaux plaisir, un nouveau record en sport pour Antoine … Cet enfoiré avait battu un de mes records … C'était une déclaration en guerre !
Une déclaration en guerre pacifique dans laquelle chacun continuerait à encourager son adversaire … Dans laquelle la victoire de l'un réjouissait aussi l'autre !
Le deuxième trimestre avançait. Léa ne me quittait plus. Nous passions tout notre temps libre ensemble, les soirée trois fois par semaine à la maison, même les soirs ou nous recevions les directeurs ( Les deux écoles n'avaient pas encore fusionné il y avait toujours deux directeurs ) ou des professeurs, Léa était là …
Bob ne me cachait pas que ça commençait à l'inquiéter son entrée en fac l'année suivante …
Bob : J'ai décidé de rester dans cette ville, je n'ai pas les moyens financiers de me payer les études ailleurs, avec les frais de logement en particulier … C'est au dessus de mes moyens … Et en plus j'ai pas envie de me séparer de Luc.
Luc : C'est mignon ce que tu me dis là Bob.
Moi : Mais tu sais que tu pouvais compter sur mon soutient !
Bob : Oui je sais mais … C'est comme ça !
Luc : Il a décidé de s'entraîner à porter le truc …Bob : J'ai confié les clés à Luc et je ne peux le retirer que quand on est ensemble.
Moi : Pas trop dur ?
Luc : Pour le moment il ne le porte pas plus d'une semaine à la fois !
Bob : Pour le moment je ne l'ai pas encore porté une semaine. C'est une décision nouvelle !
Luc : Tu sais que moi je ne te tiendrais pas enfermé bien longtemps !
Bob : Tu ne peux pas te passer de ma grosse bite … Oh excuse moi Djé …Moi : Il n'y a pas de mal !
…
Moi : Les prochaines vacances vous les passer ou ?
Luc : Au château ! J'ai pas encore vu le château en hiver !
Moi : Et Bob ?
Bob : Moi je sais pas mais de toutes façons ce sera une bonne occasion pour pousser un peu l'entraînement ! Que je le suive ou pas, je porterais le truc … !
Ça faisait maintenant plus de six semaines que je vivais une abstinence sexuelle totale … Enfin, je ne sais pas si je présente bien les choses … En fait je dormais plusieurs fois par semaine avec Léa, et nos ébats étaient …
Je la faisais jouir avec le gode ceinture, avec mes caresses, mes mains, mes bras, le contacte de ma peau sur la sienne, le contacte de sa peau sur la mienne, ma langue. Je savait lui donner tout le plaisir qu'elle demandait, tout le plaisir sexuel, pour elle. Pour elle oui mais pour elle seule … Moi je n'avais droit à aucune stimulation ou pour être plus précis je n'avais droit qu'à des préliminaires, rien de plus !
La chaleur de sa peau, la douceur de soie de sa peau … Ma cage était en permanence sous pression, cette douce et forte pression, qui me rappelle à chaque instant de la fournée qu'il n'y avait rien à espérer, rien à attendre … Le plaisir c'était pour elle, pour moi il ne me restait que la frustration.
C'était une frustration productive je battait le record qu'Antoine m'avait pris quelques semaines plus tôt. Physiquement, au niveau sportif, je n'avait jamais été aussi bon … Je détenais à ce moment là tous les records de l'école depuis sa création un siècle plus tôt ! Tous les records dans les sports que je pratiquais bien sûr !
C'était une frustration de folie, pas un gode, pas un plug ne sortait de son tiroir et ne rentrait dans mon cul … Rien … Quand Léa se penchait sur moi j'avais l'impression que je pourrais exploser de plaisir, tant de désir, tant de plaisir pour elle tant de désir pour moi !
Les secondes vacances approchaient et tous les espoirs étaient sur moi. Je n'avais qu'à être régulier, faire le jour de la compétition les temps que je faisais à l'entraînement et c'était largement dans la poche …
Il n'y avait pas que le second trimestre qui avançait mais c'est vrai que j'en ai peu parlé, depuis le début de l'année des travaux considérables se poursuivaient sur la nouvelle université. Comme vous le savez des bâtiments avaient poussés en quelques semaines mais ce n'était pas définitif. Par rapport à la première université la façade de la deuxième était largement en retrait, ce n'était pas un hasard. Le bâtiment existant devait être prolongé, agrandi. Sa façade se développait devant le bâtiment qui avait poussé l'été précédent … Le projet final était d'obtenir un bâtiment unique de huit cent mètres de large … Une façade monumentale … La façade de la nouvelle université … L'université de la PK … Les bâtiments qui avaient poussé en quelques semaines seraient progressivement remplacés, ils étaient démontables … Les anciens bâtiments, ceux de la première université seraient entièrement restaurés les uns après les autres …
Le projet était dément au total une école de plus de quatre mille étudiants internes … On en était très loin ! Et cette ville ne comptait pas quinze mille habitants …
J'avais pris l'habitude d'entrer par derrière le … ( je parle de mon école … Pff ! ) … le bâtiment administratif donc ! Il y avait un passage qui permettait d'éviter la façade principale et les travaux qui n'en finissaient pas ! Y en a je vous jure … on parle d'entrer par derrière et … je ne vous dis pas les commentaires que j'entends d’où je suis … !
Bref pour une fois je passais par devant ( oui je sais … '' Ça change !'' ) et là c'était le choc.
Moins de six mois plus tôt, c'est simple il n'y avait pas de façade, je veux dire par là, pas de bâtiment et là encore les travaux avançaient vite largement plus de la moitié du bâtiment était terminé. Les trois premiers niveaux semblaient presque opérationnels. Je ne résistais pas à la curiosité et j'entrais pour visiter.
De l'extérieur ça avait déjà de la gueule mais de l'intérieur … Ça ne ressemblait à rien ! Les murs, oui. Les portes ou les fenêtres, non. Les escaliers, oui. Les ascenseurs, non . L'électricité, non. Les murs étaient bruts, on était encore loin de la finition.
Un main forte m'attrapait par le poignée et m'entraînait dans une salle chauffé un ouvrier semblait occupé à je ne sais quoi. L'homme qui m'avait attrapé avait une bonne tête et me faisait un sourire.
Lui : Toi tu n'es pas seulement venu pour visiter !
Il m’attrapait par le pantalon, me tirait vers lui, j'étais en tenue de sport et mon pantalon baillait laissant apparaître ma PK …
Moi : Hééé !
Lui : C'est super ton truc, j'en veux un pareil mais je sais pas si ils auront la taille.
Moi : Ils l'auront t'inquiète pas !
Lui : Tu es sûr, viens donc voir de plus prêt tu me diras ce que tu en penses !
Il baissait son pantalon, m'attrapait par le coup, me tirait vers lui et me disait …
Lui : Vas y suce moi la queue !
Je m’exécutais !
Je suppose que … Arrivé à ce moment du récit vous devez commencer à me connaître et vous savez que je suis très sociable et que je suis capable de sympathiser facilement avec des gens que je ne connais pas ! Je suppose donc que vous ne serez pas surpris par ma réaction …
Il faut dire aussi que j'étais en manque !
Je lui léchais l'extrémité du gland il n'était pas circoncis, je prenais sa queue dans ma bouche et c'est dans ma bouche qu'il décalottait, il me tenait la tête et me tirait vers lui … Ça faisait longtemps que je n'avais pas connu cette sensation, avec Léa je ne suçais pas le gode de sa ceinture, on ne suce pas une bite en plastique, non , c'est nul ! Mais là c'était pas nul, sa queue était ferme, j'avais presque oublié à quel point il faut bien ouvrir la bouche pour avaler mais je retrouvais rapidement mes réflexes et il gémissait bruyamment quand sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge.
C'était bon, ça m'avait manqué, il tirait fermement ma tête vers lui et avançait violemment son bassin. Je bavais, j'avais du mal à suivre, je gémissait moi aussi mais c'étaient des sons gutturaux, les seuls que je pouvais faire avec cette grosse bite dans la bouche. Rapidement il ne m'épargnait rien et me tenant bien la tête il me balançait de violents et rapide coups de bassin. J'avalais sa queue, je ne pouvais rien faire d'autre qu'avaler. Je ne résistais pas, je n'essayais même pas de résister, je n'avais pas envie de résister !
Il soufflait plus fort, il respirait plus vite, il gémissait puis poussait un cri de plaisir au moment ou je sentais son sperme me remplis la gorge, je suçais, je bavais, j'avalais. Il maintenait encore un moment ma tête gardant sa queue dans ma bouche, je la sentais ramollir et reprendre une taille plus petite, il se retirait et me lâchait.
Lui : C'est ça ! Oui c'est bien ça que tu voulais …
L'ouvrier que j'avais vu en entrant s'était rapproché, il avait baissé son pantalon, il bandait, il était juste à côté de moi et au moment ou le premier se retirait complètement il le remplaçait sans me demander ce que j'en pensais, il m'enfonçait sa bite jusqu'à la garde. Lui non plus ne me ménageait pas, pas de tendresse, on n'avait pas que ça à faire ! Il me limait la bouche, lui me repoussait contre le mur me retenait de toutes ses forces et me bloquait ainsi la tête. Il utilisait alors ma bouche pour se soulager sans s'inquiéter de moi. J'avais l'impression d'être devenu un sex-toy !
C'était bon ! C'était un peu effrayant mais c'était bon, ça faisait combien de temps que je n'avais pas sucer une belle queue moi ? Je ne me souvenais même plus, je fermais les yeux et me concentrais sur mes sensations. Sa queue était plus modeste que le premier mais il fallait quant même arriver à suivre … Mais j'aime ça moi et j'avais de l'entraînement … Peut être pas ces dernières semaines mais … Ça m'avait manqué ! Ma cage était sous pression, ma prostate commençait à frétiller à l'idée du plaisir qui allait suivre, ça aussi, ça m'avait manqué ! Me prendre une belle grosse queue dans le cul, et là ils étaient deux … Deux grosses queue dans mon cul, je sentais mon anus qui se contractait par réflexe et ma bite qui protestait, je sentais ma cage se relever, je recevais une grosse giclée de sperme dans la bouche. C'était bon, je me régalais, je sentais l'ouvrier trembler, frémir, il ne faisait pas de bruit, pas de cri ni de gémissement mais il tremblait au moment ou il jouissait. Maintenant je m'attendais à me faire enculer, j'en avais envie, j'en avais tellement envie …
Il refermait alors son pantalon et me donnant une petite tape sur la joue il me lançait … '' Bon maintenant tu nous laisses on n'a pas que ça à faire, on bosse nous !'' !
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