LES AVENTURES DE DJE Ep 89 : UNE RUPTURE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : LES AVENTURES DE DJE Ep 89 : UNE RUPTURE Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE Ep 89 : UNE RUPTURE
Pendant tout le trajet du retour je regardais Liam sans rien dire. J'avais la phrase de mon frère qui repassait en boucle dans ma tête.

'' Alors c'est que tu es amoureux ! ''.

Il est pénible mon petit frère, il est capable de balancer un bombe comme celle-là et après de continuer sa route comme s'il n'avait rien dit. Il est pénible mais le pire c'est qu'il avait peut être raison sur ce coup.

Soyons lucide, quand je ne le vois pas il me manque ( là je parle de Liam mais vous l'aviez deviné ), quand je le vois mon cœur bat plus fort et plus vite, quand je le touche c'est tout mon corps qui tremble et j'éprouve alors une sensation de bonheur. Oui de bonheur pas seulement de plaisir !

Quand j'entends sa voix, quand son regard croise le mien, quand nos corps se touchent, quand nos lèvres se rencontrent … Quand … !

Bon ça va ! Mon petit frère à raison je suis raide dingue de Liam !

Je le regardais conduire, il était concentré, il conduit bien mais il faut dire que tout ce qu'il fait, il le fait à la perfection !

Ça c'est peut être pas toujours vrai mais pour moi ça l'est ! Et ne me dites pas le contraire sinon je me fâche !

Liam jetais un regard dans ma direction et me souriait brièvement. Ce regard furtif, ce sourire rapide me faisait monter une bouffée de bonheur là dans mon torse … Là juste à l'emplacement de mon cœur et de mes poumons.

Mais c'est quoi dans ses yeux ? J'ai cru voir une inquiétude, presque rien mais, il me semble … Aurait-il des problèmes dont il ne m'aurait pas parlé ? Je commençais déjà à m'inquiéter. Ça ne devait être qu'une impression, une idée que je me faisais, si quelque chose n'allait pas il m'en aurait parlé.

Je continuais à le regarder conduire.

Liam : Tu ne dis rien Djé ?

J'avais entendu sa phrase et le plaisir que m'avait donné le son de sa voix me confirmait que j'étais vraiment raide dingue de lui, j'en oubliais de lui répondre.

Liam : Tu me regardes d'un air bizarre je trouve.
Moi : Non !
Liam : Tu vas bien tu es sûr ?
Moi : Oui !
Liam : Il fait chaud, tu veux que je mette la clim ?
Moi : Hum !

Pendant le reste du trajet il ne disait plus rien. Plus on roulait plus son visage se refermait. Arrivé à la maison son visage s'était complètement refermé. Il ne disait plus rien, il me ne regardait même pas au moment ou il descendait de la voiture, il me tendait la clé et rentrait dans l'appartement, je ne voyais pas son visage, il a un si beau visage, si doux, et des yeux marron clairs comme le ciel ( oui je sais des yeux marron mais ciel quand même ! … ).

Liam entrait rapidement dans l'appartement, je le suivais quelques instants plus tard et je me retrouvais face à Charles qui avait l'air inquiet.

Charles : Mais qu'est ce qui s'est passé ?
Moi : Hein, rien, pourquoi, de quoi tu parles ?
Charles : Je viens de voir passer Liam, tu ne vas pas me dire que tout va bien ?
Moi : Mais si, tout va bien, je ne comprends pas de quoi tu me parles, enfin expliques !
Charles : Mais … Il était en larmes !
Moi : Liam ? Mais que ? Qu'est-ce que ?

J'entrais dans ma chambre et je trouvais Liam en larme, il faisait ses bagages.

Moi : Mais qu'est ce que tu fabriques ?
Liam : Je te simplifie la vie, je m'en vais !
Moi : Mais pourquoi ? Mais qu'est-ce que ce … ? Je ne comprends rien, pourquoi tu t'en vas ?
Liam : J'ai compris Djé. C'était génial le peu de temps qu'on est resté ensemble, vraiment génial. Mais ça va j'ai compris, tout va bien ne t'inquiètes pas !
Moi : Ah bien si, je m’inquiète si. J'ai fais quelque chose ?
Liam : Non t'as rien fait !
Moi : Tu vas m'expliquer ce qui se passe !

Je repoussais violemment son sac, me plantait devant lui et tentais de le prendre dans mes bras. Il se dégageait.

Moi : Liam, ne me fais pas ça ! Dis moi ce qui ne vas pas !
Liam : Je sais que tu as eu de nombreuses conquêtes, des mecs, des filles alors que tu portais ou que tu ne portais pas le dispositif PK.

Il évitait mon regard, et voulait rattraper son sac. Je shootais dedans et il se retrouvait à l'autre bout de la chambre.

Moi : Tu vas me dire ce qui t’arrive.
Liam : J'ai compris Djé, tu n'as pas décroché un mot de tout le retour, pendant le défilé tu as évité tout contact avec moi, si je m'approchais tu te rétractais, tu évitais même de me frôler … Tu ne veux plus de moi !

Je le prenais dans mes bras, il n'essayait plus de se dégager.

Moi : C'est pas ça Liam, c'est pas ça !

Il avait son visage contre mon épaule et il était en larmes.

Moi : Je t'aime Liam, je suis dingue de toi ! J'ai évité de te toucher de te frôler même parce que si je t'avais, ne serais ce que frôlé, je n'aurais pas résisté au besoin de te prendre dans mes bras. Je n'ai rien dit pendant le retour, je te regardais avec passion et je n'avais rien à dire, ta présence me comblait et me comble toujours.

Il relevais la tête vers moi.

Liam : Alors tu ne voulais pas rompre avec moi ?
Moi : Mais qui t'as donné des idées pareils ?

Je l'embrassais avec passion, nos deux cœurs se synchronisaient on n'entendait plus que ce battement qui résonnait dans ma chambre. Suivait une étreinte passionnée, ferme, tendre, forte, douce, vraiment passionnée.

Ma bouche se glissait contre son cou, elle cherchait un peu de peau pour l'embrasser. Nous étions en été et nos vêtements étaient légers, ma bouche trouvait facilement toute la peau nue qu'elle pouvait embrasser et je le sentais frémir dans mes bras.

C'était ses bras je que sentais dans mon dos, ses mains qui me caressaient, ses bras qui me serraient contre lui, je ne résistais pas, je le retenais fermement contre moi il ne résistait pas.

La porte de ma chambre s'est ouverte à ce moment mais ni Liam ni moi n'avons bronché. C'était Luc, il devait s'inquiéter et il venait aux nouvelles, j'ai reconnu sa voix quand il a dit … '' Oh pardon ! '' … juste avant de refermer la porte.

Liam et moi ne nous sommes pas lâché, nous ne voulions pas nous séparer, nous étions cramponnés l'un à l'autre. Je me souviens avoir senti le sol se dérober sous mes pieds, il était dans mes bras allongé sur moi, sur le lit.

Je recherchais le contact avec sa peau, il en faisait de même, rapidement nos chemises se retrouvaient à l'autre bout de la chambre. Nous nous serrions l'un contre l'autre, nos deux corps se frottaient. Chacun avec toute sa peau voulait caresser toute la peau de l'autre comme pour s'en imprégner.

Les pantalons suivaient les chemises, puis c'était les sous vêtements qui … ( oh pardon ) il n'y en avait pas … mais les chaussures oui, ça il y en avait. Nous étions nus, chacun habillé par les caresses et les baisers de l'autre, chacun habillé de la tête aux pieds.

A cet instant il n'y avait rien de sexuel, c'était bien au delà. Ce n'était pas son sexe, son cul que je recherchais, c'était tout son corps que je désirais, tout son corps que je voulais posséder. Je me suis noyé dans son regard à de nombreuses reprises ce jour là mais à chaque fois il me ranimait pas des baisers empreints d'amour.

Chacun, à son tour, retournais l'autre sur le ventre pour pouvoir lui caresser le dos, l'embrasser, vous savez là entre les deux omoplates, là ou ça chatouille, là ou ça fait frémir et rire. Puis plus bas pour s'arrêter dans le creux des reins, quelques baisers continuaient encore sur une fesse, l'autre. Puis je me retournais pour lui rendre ces baisers qui m'arrachaient des sourires, des fous rires, des éclats de rires …
Il ne résistait pas. Il n'y avait plus de larmes. Je m'exprime mal ... Moi non plus je ne pleurais plus !

Je ne me suis pas attardé sur son cul, je ne me suis pas non plus attardé sur sa cage ou ses couilles, il en a fait de même. Chacun ne s'est attardé que sur tout le reste du corps de l'autre. Chacun s'est attardé longuement, avec toute la tendresse dont il était capable, avec une tendresse qu'il ne devait même pas soupçonner. Et plus tard quand il s'est relevé, quand il m'a chevauché alors que j'étais sur le dos, quand il m'a regardé et qu'il a alors semblé lui aussi se noyer dans mon regard, notre émotion était telle que j'ai senti un plaisir intense, une jouissance physique. J'ai joui et j'ai éjaculé et en même temps j'ai senti un liquide chaud qui coulait sur mon ventre. Il jouissait et il éjaculait également. Cette émotion que nous partagions était forte, puissante, intense et nous conduisait à un orgasme commun que nous n'avions pourtant pas voulu provoquer.

Il se laissait alors tomber sur moi, ne bougeait plus. Nos deux corps n'en faisaient plus qu'un, nos deux cœurs battaient au même rythme, un seul souffle, une seule respiration pour deux. Nous étions bien et nos deux visages étaient éclairés par un sourire de bonheur.

Mon téléphone sonnait. Je prenais le message, c'était Luc, il me disait seulement … '' A table ! '' … Cette histoire avait du l'impressionner, un autre jour il serait entré comme une furie en hurlant … '' Alors tu viens bouffer ou tu préfère jeûner, je te préviens il n'y aura pas de restes ! '' … Avec Liam nous nous rendions présentables puis on passait dans le salon, non sans s'être donné un baiser rapide avant de sortir de la chambre.

Au salon tous les regards tombaient sur nous.

Charles qui semblait inquiet regardait tout particulièrement le visage de Liam puis le mien, il y cherchait une information pour l'aider à comprendre et aussi à se rassurer. Il était le seul à avoir vu Liam en larmes.

Luc et Bob nous souriaient ils devaient se dire que Charles avait sans doutes exagéré la situation. Antoine scrutait mon regard puis …
Antoine : Ça à l'air d'aller tous les deux ! Mais qu'est-ce qui s'est passé ?
Charles : Liam tout va bien ? Tu m'as inquiété tout à l'heure !
Luc : Petite dispute d'amoureux ? Vous m'aviez l'air réconcilié tout à l'heure !
Bob : Ça va Liam ?

Liam et moi échangions un regard.

Moi : Et si on passait à table ! Tu nous a fait quoi pour ce soir dis moi Charles ?

Vous imaginez bien qu'il a fallu leur expliquer le quiproquo en long en large et en travers pendant le repas. Mais tout allait bien, très bien, j'étais raide dingue de Liam et lui aussi était fou amoureux de moi. J'étais heureux, je ne me demandais même pas si cette situation allait durer ou pas. Le présent me suffisait.

Quelques jours plus tard Liam faisait ses bagages … Mais il n'était pas le seul, je faisais mes bagages également. On partait en vacances et on partait ensemble.

Bob me tombait dessus.

Bob : Djé dis moi, je peux partir en vacances avec vous ?
Moi : Je veux bien mais …Liam : ( il arrivait derrière moi à ce moment ) Pour moi il n'y a pas de problème !
Moi : Bien c'est d'accord mais tu ne veux pas rester avec Luc ?
Bob : Ah non, surtout pas, il va bosser comme un malade, je n'aurai pas une minute pour moi et j'ai vraiment besoin de prendre des vacances. C'est simple soit je vais avec vous soit je vais passer mes vacances au Château. Mais Luc, non, je veux me reposer moi !

Finalement on prenait la voiture à trois, c'est vrai qu'on pouvait conduire tous les trois. On a fait du camping, à la mer, à la montagne, à la campagne, à la ville on logeait dans un hôtel.

Avec Liam on ne se quittait plus, chaque heure nous la passion ensemble, Bob n'était jamais très loin. Nous avions gardé tous les trois nos dispositifs de chasteté, je n'avais pas emporté de jouets.

Les nuits avec Liam étaient pourtant très chaudes, quand nous faisions du camping on utilisait deux sac de couchage refermés ensemble, un sac de couchage XXL qui pouvait recevoir notre tendresse, nos caresses, la chaleur de nos baisers et de nos caresses. Souvent la nuit on ouvrait le duvet tant il y faisait chaud.

Finalement on n'était pas très sexe, câlin là oui mais pas très sexe. Nous n'avions pas de jouet et nous décidions donc de faire un peu comme Bob, de pratiquer l'abstinence, enfin sauf au niveau câlin bien sûr.

Mon torse et mon ventre devenaient une véritable zone érogène, quand Liam s'allongeait sur moi la chaleur de son corps, la douceur de sa peau faisait monter en moi un vrai plaisir, je tremblais de plaisir, je parvenais à jouir, sans éjaculer, juste sous la l'effet de la brûlure des caresses que nous partagions avec générosité Liam et moi.

Bob devait vivre cette période autrement mais je ne vous cacherai pas que nous n'y pensions pas, le soir quand nous refermions la tente, la nuit dans la douceur de nos duvets on ne pensait pas vraiment à lui. Liam dormait dans mes bras, contre moi, tout contre. J'ai aimé chaque soir ou il se blottissait contre moi. Il est tout petit Liam, il est d'un tout petit gabarit. Je le recevais, pendant un moment je le caressais, je le laissais partir doucement vers le sommeil avant de le suivre.

Enfin ça c'était les soir ou Bob dormait juste à côté de nous, on ne voulait pas l’embarrasser. Lui aussi il portait toujours son dispositif PK, il devait être frustré lui aussi. Pendant ces semaines il n'a touché personne, enfin quand je dis toucher, je parle de câlin, de tendresse, de baiser, de contact érotiques quoi !

Moi j'étais frustré et Liam devait être dans le même état que moi. J'ai passé des moment d'abstinence … Des moments d'abstinence totale quand j'étais seul, que je n'avais personne auprès de moi. Là j'avais quelqu'un auprès de moi mais nous ne pouvions nous abandonner totalement, sexuellement je veux dire, sans mettre mal à l'aise un ami qui dormait juste à côté de nous.

Tous les soirs, quand Liam se blottissait contre moi, tous les jours, cent fois par jour quand ma peau frôlait sa peau, mille fois par semaine quand nos regards se croisaient, quand je frôlais Bob également, je sentais ma queue se révolter dans sa cage. C'était sans douleur, sans mal être. C'était un manque, une envie, un désir, un besoin qui ne serait pas assouvi. Une frustration jouissive que je partageais avec mes camarades sans qu'on ne se dise rien.

Être en manque, c'est une chose, mais être en manque et tenir tous les jours dans ses bras l'objet du désir c'en est une autre … Je ne sais pas comment chacun a vécu cette période mais ils avaient l'air heureux. Moi j'étais comblé … Mais franchement qui pourrait imaginer que dans mon esprit il puise y avoir l'idée d'une rupture ?



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