Les boules du dragon (6) - histoire érotique

Bonjour tout le monde. Cette histoire est basée sur les personnages de DBZ et Broly de DBS.

Le soir venu, Trunks du futur informa C17 et son père qu’il restait diner chez la famille de Gohan. Il avait décidé de rester plus longtemps auprès de l’alter-égo de son mentor avant de retourner dans son monde alternatif. Alors qu’ils préparaient ensemble les victuailles, ils reçurent la visite surprise de Piccolo qui voulait voir Gohan.

À table, le repas était gargantuesque. Les Saiyans se goinfraient allègrement en ayant l’équivalent de nourriture pour cent convives. Pendant qu’ils mangeaient, Piccolo constatait amèrement la complicité qui régnait entre Trunks et Gohan. Cela lui déplaisait. Surtout qu’en espionnant Gohan par télépathie, durant leurs ébats sexuels, l’extra-terrestre avait perçu qu’il n’avait jamais autant prit son pied de sa vie. Piccolo était vert de jalousie. Il croyait pourtant qu’il lui faisait beaucoup de bien en parvenant à le faire jouir sans les mains. Ainsi, il était présent à ce dîner pour empêcher Gohan de s’enticher de Trunks du futur, même s’il savait que la présence du voyageur temporel n’était que temporaire. C’était son Gohan à lui et rien qu’à lui. Quant à Trunks, il ne prêtait pas attention aux regards noirs lancés par Piccolo. Il fixait plutôt le profond décolleté de Gohan. Ses gros nibards étaient comprimés à la faveur d’un débardeur blanc ajusté avec un col en V.

Le repas terminé, ou presque, Goku finissait les restes, Gohan invita Trunks dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, Piccolo ne pouvait pas s’empêcher de les rejoindre par curiosité. Il frappa deux fois à la porte, par principe, et entra sans y être invité. Là, nus, Gohan était à genou au pied de Trunks assis sur le lit. Il enserrait la verge dressée de Trunks entre ses lourds pectoraux compressés des deux mains. Lentement, il les déplaçait le long de la verge tout en la suçant en baissant la tête. A ce pecjob, Trunks branlait conjointement le pénis de Gohan avec ses pieds. « Toujours excités », prononça Piccolo exaspéré. Gohan fut surpris en entendant le visiteur indésirable. En tenant sa poitrine et en voyant Piccolo, Gohan eut une idée. Quitte à être dérangé par celui-ci, autant qu’il serve à quelque chose. Sous sa forme féminine, Gohan lui demanda de dépuceler Trunks. Piccolo fit la moue avant de se laisser convaincre. Il devait garder les bonnes grâce de Gohan. Sous les yeux ébahis de Trunks, Piccolo se dédoubla en Piccolita. La belle femme verte s’allongea sur le lit en écartant les jambes.

L’exploration de l’appareil reproductif féminin débuta. Gohan guida Trunks à caresser et lécher les différentes lèvres ainsi qu’à titiller le clitoris. Ils doigtèrent ensuite le vagin à la recherche du fameux point G en observant les expressions du visage de Piccolita. Une fois localisé, elle mouillait abondamment en couinant. Trunks découvrit le bon goût du jus d’une femme après n’avoir connu que celui des hommes. Piccolita, en transe, supplia Trunks d’un poétique : « Baise-moi le puceau ». Sans attendre, la verge entra dans la fabrique à bébé chaude et humide. Piccolita constata que la taille du sexe de Trunks n’était pas inversement proportionnelle à celle de sa longue épée. En missionnaire, il ramona la vulve. Trunks embrassait son amante et palpait ses seins en appréciant la texture différente par rapport à des pectoraux durs. Il poursuivit la pénétration, debout, en levrette derrière Piccolita à quatre pattes au bord du lit. Trunks trouvait ça bon, mais pas autant qu’avec Gohan.

En les matant, le fils de Goku était hypnotisé par les contractions lascives des fesses de Trunks. Il colla son pénis érigé entre les deux globes musclés pour les ressentir. Peu après, Trunks s’arrêta. Il saisit le pénis et le pointa sur son trou. Gohan cracha habilement en visant son gland et il inséra progressivement son pénis à l’intérieur de Trunks. D’abord, Gohan resta à l’arrêt et laissa Trunks s’empaler et pénétrer en alternance. Ensuite, il le sodomisa en allant et venant dans le sens inverse au sien. À son tour, Piccolo ne pouvait pas rester insensible à la vue d’un cul parfait gesticuler. Il se donna la peine de lubrifier son sexe puis il le plongea d’un coup dans Gohan. Il prolongea ainsi le train anal en s’attelant à lui. Piccolo était le wagon de queue, et son double féminin, la chaude locomotive de ce train à destination de l'extase.

Piccolo martelait durement Gohan afin de lui rappeler le plaisir ressenti grâce à sa queue ; il se réappropriait les splendides fesses souillées par un autre homme. Gohan et Trunks restèrent statiques pendant que Piccolo donnait de puissants coups de boutoir ; les ondes de choc se propageaient à travers eux jusqu’à Piccolita. Dès qu’il se calma, nos quatre passagers reprirent leur voyage vers la jouissance en adoptant différentes combinaisons en étant soit mobile, soit immobile. Piccolo déposait des baisers appuyés dans le cou de Gohan, là où Trunks avait laissé des suçons ; il remarquait son territoire. Enfin, ils synchronisèrent leurs va-et-vient jusqu’à atteindre l’orgasme. Piccolita céda la première. Par réaction d’attelage, Trunks, Gohan et Piccolo éjaculèrent en suivant sous des gémissements audibles dans toute la maison de Goku. Trunks et Gohan furent simultanément donneur et receveur de sperme. La nuit venue, nos deux jeunes combattants dormirent ensemble paisiblement enlacés l’un dans l’autre ; et inversement lorsqu’ils se retournaient dans le lit.

Le lendemain, Végéta s’entrainait avec C17 en attendant le retour de Trunks du futur. Soudainement, le Saiyan détecta un puissant ki familier. Il avait un mauvais pressentiment. Ils se rendirent vers cette source d’énergie pour en savoir plus. Sur place, à côté d’une capsule, ils virent en contre-jour une silhouette imposante aux contours musclés. Végéta reconnut Broly. Il cria à C17 : « Il est de retour ». « Est-ce que c’est un méchant ? », interrogea C17. Végéta n’eut pas le temps de répondre. Broly leur fonça dessus tel un taureau déchainé. À peine le temps de réagir, le choc les projeta dans le ciel. Ils s’écrasèrent au loin dans le jardin de Goku. Gohan et Trunks, qui petit-déjeunaient dehors, les secoururent dans le cratère qu’ils avaient creusé lors de l’impact au sol.

Ils réveillèrent Goku et après avoir décrit la situation, ils se rendirent tous les cinq auprès de Broly. Goku essaya de résonner le colosse furieux sans y parvenir. Broly leur expliqua qu’il était revenu à cause des réprimandes de son père parce qu’il n’avait pas conquis la planète bleue. Plus fort que jamais, il se débarrassa d’eux sans difficulté. La bande de Goku abandonna le combat temporairement, le temps de faire appel à des amis, à savoir Piccolo et Roshi.

Broly avait une petite faim. Il se dirigea vers un pommier et cueillit une pomme rouge. Il la mangea sans apercevoir la puce électronique qui était dessus. En effet, deux minutes auparavant, la puce avait été déposée par le serpent qui l’avait transportée. La puce avalée resta dans l’œsophage de Broly. Après le changement d’être vivant, le Docteur Géro remarqua des nouveaux paramètres vitaux. Il décida de rejoindre son invention géolocalisée afin d’en comprendre l’origine.

Arrivé sur place, caché derrière un arbre, le Doc. Géro observait sept guerriers se battre contre un géant musclé aux cheveux noirs hérissés. Où était sa puce, se demandait-il. À cette question, une seule réponse s’imposait. Il déclencha une nouvelle fois l’excitation chez le porteur de la puce puis il regarda attentivement, parmi les huit combattants, lequel allait changer de comportement. A la surprise des protagonistes, un gros renflement devint visible sous l’oreille vert fluo enroulée autour de la taille de l’antagoniste. Broly se déshabilla et son chibre, suintant de pré-cum, était impatient d’être utilisé. Ses adversaires comprirent que Broly avait besoin d’assouvir la tension sexuelle qui attisait son corps. Ni une ni deux, Goku et Végéta fusionnèrent en Gogéta. De sa voie teintée d’un écho, l’hybride enhardit ses compagnons : « À poils ! Un pour tous et tous pour un ». Chacun avait pour mission de donner du plaisir à Broly afin de l’apaiser. Tout son corps devait être utilisé.

Gogéta poussa Broly en arrière en lui faisant un croche patte. Le géant baraqué tomba à la renverse et s’allongea sur le dos. Immédiatement, Gogéta s’empala sur le chibre en position de cowboy puis il sauta dessus de haut en bas. En parallèle, Roshi fouillait dans son sac de voyage à la recherche de perles anales, parmi ses nombreux jouets sexuels. Dès qu’il trouva l’objet composé d’une série de sept boules de cristal de tailles croissantes, il le donna à Gohan en lui disant : « Occupe-toi du derrière, le devant est pris ». Gohan se plaça entre les jambes robustes de Broly et les leva. Gogéta les tint écartées en ramenant ses bras en arrière.

L’orifice rose vierge du Saiyan légendaire était accessible. Gohan entreprit de le desserrer à l’aide de la grappe anale lubrifiée. Il inséra les trois premières boules dont les diamètres étaient inférieurs à ceux de leur sexe. Pour chacune d’elle, Gohan réalisait des allers-retours où il admirait l’anus entrer et sortir, tout en s’ouvrant ou se fermant simultanément. Broly n’exerçait aucune résistance. Bien au contraire, il poussait afin de faciliter l’insertion des sphères ; il désirait découvrir la sensation d’être pénétré. Quand Gohan estima l’orifice suffisamment dilaté, il céda sa place à Trunks. Le jeune homme du futur fut surpris par l’abnégation dont faisait preuve Gohan. Il s’agenouilla devant le cul vierge relevé et se demandait comment procéder afin de ne pas faire mal à son propriétaire. Gohan l’encouragea à franchir l’obstacle : « Ne t’inquiète pas, les Saiyans supportent la douleur ».

De la main gauche, Gohan aligna la verge sur l’orifice serré. Il plaqua la droite sur une fesse de Trunks. En appuyant sur celle-ci, Gohan guidait Trunks à aller de l’avant. Le fils de Végéta s’insérait petit à petit dans Broly en fonction de la pression reçu sur son cul. Broly sentait la verge s’enfoncer en lui jusqu’à la garde. Trunks fit une pause puis commença ses va-et-vient en augmentant progressivement la vitesse. Chaque passage de la verge sur la prostate de Broly provoquait des secousses de son chibre ; Gogéta pouvait les ressentir dans ses fesses.

Trunks laissa le passage libre à Gohan. Au lieu d’y mettre son pénis, Gohan enfila dans l’anus les quatre autres perles anales. Il s’allongea ensuite sur le flanc et pénétra Broly. D’un signe de la tête, Gohan invita Trunks à le rejoindre pour une double pénétration. Trunks se mit donc aussi sur le côté mais en tête bêche. Le pénis et la verge étaient maintenant compressés dans le trou serré de Broly. Les deux sexes s’y déplaçaient aléatoirement ou en phase. Gohan et Trunks appréciaient la compression et le frottement gland contre gland.

C17 regardait sous toutes les coutures le gang-bang de Broly. Roshi pétrissait les pectoraux massifs. Gogéta trayait le chibre avec sa rondelle et ses fistons mouvaient ensemble dans le même trou de baise. Brusquement, un mouvement sur le côté attira l’attention de C17. Il s’y rendit furtivement et fit sursauter le Docteur Géro en le surprenant dans son dos. Après discussion, menace et chantage, C17 récupéra une puce électronique inutilisée et une télécommande auprès du scientifique. Ce dernier déguerpit aussitôt après.

Piccolo fulminait d’être inactif tandis que, sans lui, son disciple bien-aimé et Trunks baisaient Broly. Jamais deux sans trois, pensa-t-il. Néanmoins, il lui paraissait difficile de se positionner aisément. Piccolo eut alors l’idée d’utiliser son aptitude d’allongement des membres. Il s’approcha au plus près d’eux puis étira sa queue. Le serpent vert se dirigea vers l’anus boursoufflé en passant entre les jambes enchevêtrées. Il s’introduisit ensuite à travers lui en se faufilant entre le pénis et la verge. Un déchirement aigu irradiait le postérieur de Broly. Des cris perçants de souffrance remplaçaient ses mignons gémissements.

Agacé par le tapage, C17 cloua le bec de Broly en enfonçant sa pine dans sa gorge. Broly ayant une belle bouche à pipe, C17 ordonna à Roshi d’y mettre la sienne en plus. De la sorte, Broly était pris en double pénétration dans sa cavité buccale et triple dans l’anal ; il était en extase, submergé par les multiples stimulus perçus. Roshi fut le premier à cracher son foutre. Dès que le vieux retira son sexe, C17 saisit la tête de Broly et la déplaça d’avant en arrière sur toute la longueur de sa pine. Il accéléra l’allure et la colla fermement contre son pubis pendant qu’il y déversait son sperme.

Broly voulait gouter une nouvelle fois ce jus masculin. Il redressa son torse, en appui sur ses avant-bras, puis il avança sa tête pour sucer Gogéta tout en le sodomisant. Stimulé des deux côtés par le même homme, la tension sexuelle arrivait à son paroxysme. Gogéta éjacula intensément. Broly s’étouffa en avalant. Il gaspilla le précieux liquide qui ressortait par ses narines et ses lèvres non scellées. Gogéta se dégagea du chibre en lui. Sans attendre, il le masturba frénétiquement en le tenant des deux mains. Le pompage intense déchargea les grosses boules du sperme accumulé depuis plusieurs semaines. Broly poussa un rugissement bestial au moment où un puissant jet de foutre sortait de son chibre en mode lance à incendie. Gogéta dirigeait le jet à haut débit vers la bouche de Broly grande ouverte. Dès qu’elle était pleine, Broly la fermait pour déglutir ; il recevait alors le fluide visqueux sur son visage.

Le cul de Broly convulsait. Etranglés par la rondelle, la verge, la queue et le pénis coulissaient difficilement. La pression était trop forte, le plaisir immense. Ils fécondèrent à l’unisson les entrailles du guerrier légendaire. Les testicules des participants au gang-bang étaient à sec. Toute la semence qu’ils contenaient avait été déversé dans les fesses ou l’estomac de Broly. La puce électronique, entrainée par le sperme s’écoulant à travers l’œsophage, se désagrégea dans l’estomac par les sucs gastriques.

Après les réjouissances, Broly ne voulait pas rentrer chez lui. Il accepta la proposition de Roshi de passer du bon temps sur son île. Avant qu’il parte, Gogéta brisa son collier qui l’électrisait.

Plus tard, l’heure du départ de Trunks du futur et C17 sonna. Face à face, mains dans les mains, Trunks et Gohan se dévisageaient. Des larmes coulaient sur les joues pâles de Trunks. Chaque regard était chargé d’une grande émotion. En pensant à Piccolo, Gohan comprenait la douleur de Trunks d’avoir perdu son mentor, et surtout l’attachement qu’il lui porte puisqu’il est son alter-égo. D’ailleurs, Trunks avait passé les plus beaux jours de sa vie en le revoyant. Ils s’enlacèrent dans une étreinte passionnée. Un sentiment de sécurité et d’amour les enivrait.
Trunks lui murmura doucement à l’oreille : « Je te remercie Gohan ».

Chaque seconde qui passait semblait s'étirer à l'infini, comme si le temps lui-même hésitait à les séparer. C17 s’aperçut que cette belle relation entre les deux Saiyans lui avait échappé. Piccolo ne savait pas pourquoi, mais regarder ces deux jeunes hommes athlétiques s’accoler le faisait bander. Lassé d’attendre leur séparation, il la provoqua, quitte à gâcher cet instant de communion. Piccolo se plaça sur le côté entre les deux corps enlacés. En faisant de légères rotations de son bassin, il utilisa sa queue rigide, tel un pied de biche, pour les décoller l’un de l’autre. Il réussit difficilement à les détacher.

Trunks et C17 montèrent dans la machine à voyager dans le temps. Végéta, aussi chaleureux qu’un glaçon, se contenta d’un simple signe V pour dire « au revoir » à son fiston d’un autre monde. La verrière fut fermée. Le véhicule décolla. Il stationna au-dessus du sol quelques instants. Gohan s’envola vers lui, suivi de Piccolo, toujours dans ses pattes.
Gohan flottait dans les airs en regardant Trunks du futur. Avec un pincement au cœur, il lui cria : « Prends soin de toi, mon ami ». Les voyageurs du futur disparurent.

A suivre…