Récits musclés (4)
Récit érotique écrit par Nicolas94720 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Récits musclés (4)
Un étudiant va avoir des relations sexuelles avec trois membres d’une même famille.
Bonjour chers lecteurs. Voici mon quatrième récit publié. Il raconte l'histoire d'un étudiant, prénommé Antoine, qui va avoir des relations sexuelles séparées avec trois membres d’une même famille : la fille, le père et le fils. La mère n'est pas abordée car cela faisait un doublon avec les aventures de Thomas (personnage de la deuxième histoire qui cherchait des expériences sexuelles auprès des femmes âgées expérimentées). En outre, d'autres raisons, ou opportunités, seraient contraires à l'intrigue. Les chapitres sont de tailles inégales (la taille compte mais ne suffit pas). Bonne lecture.
Chapitre 1 : avec la sœur
Pauline était une belle brune de 18 ans qui avait un appétit sexuel démesuré. Elle avait eu sa première expérience bien avant la moyenne des 17 ans. Pauline avait commencé par dépuceler tous les garçons de son âge en quête d’amour. Lassée qu’ils jouissent en moins de deux, elle enchainait les conquêtes à la recherche de quelqu’un capable de tenir la route dans sa voie sans issue. Après avoir essayé plusieurs gars, elle trouva un jour la perle rare en la personne d’Antoine, un ami de son frère Mathieu. Les deux tourtereaux se fréquentaient dans leurs chambres universitaires où ils baisaient comme des lapins. Quelque mois plus tard, Pauline s’apitoyait qu’Antoine était devenu mou de la tige ; c’était moins intense. Elle hésitait à le larguer car elle était devenue amoureuse de lui. Pauline lui laissa une dernière chance pour raffermir les liens charnels, avant de le jeter. Ainsi, elle l’invita un samedi chez ses parents à la campagne. Ce jour-là, elle avait quitté en avance sa séance de sport pour arriver plus tôt. A sa grande surprise, Antoine était déjà présent au domicile familial. Pauline était heureuse de le voir et ne se posa pas la question de savoir pourquoi Antoine faisait une tête bizarre. Ne voyant pas son père dans le coin, malgré la présence de sa voiture, elle le convia sans attendre dans sa chambre à coucher. Le lit grinça rapidement, les amants faisait passionnément l’amour en position de missionnaire.
Toutefois, Pauline perçut qu’Antoine n’était pas vraiment au meilleur de sa forme, il était moins rigide que d’habitude. Elle eut une idée pour y remédier. Pauline retourna Antoine sur le dos et se mit à califourchon sur lui en cowgirl. Elle laissa Antoine se reposer et mena l’action en bougeant son bassin vigoureusement. Pour le faire durcir, elle déplaça une main vers son anus. Elle commença par le titillait du bout des doigts. Antoine ne semblait pas réagir. Elle décida donc d’envoyer un doigt explorer la caverne sombre et humide. L’explorateur s’y engouffra sans résistance, un deuxième le rejoignit aisément. Pauline, étonné que cela entre aussi facilement, en rajouta un troisième audacieusement. Le trio localisa la prostate et la tâta. Pauline sentait la verge s’endurcir dans son vagin, pourtant, quelque chose n’allait pas. Elle sortit ses doigts et découvrit avec effroi qu’ils étaient souillés de sperme. Elle poussa un cri d’horreur. Dans la foulée, Pauline se désolidarisa d’Antoine, se cacha les parties intimes et sortit de la chambre en larmes.
Chapitre 2 : sans le père
Patrice et sa femme étaient un couple heureux. Il y avait de la passion entre eux, de la communication, de la confiance et ils faisaient des projets. Comme rien n'est idyllique, il y avait un bémol : la sexualité effrénée de Patrice. A l'aube de la quarantaine, sa femme n'arrivait plus à tenir la cadence. Elle était aux anges quand ils étaient jeunes, mais maintenant, c'était devenu l'enfer. Elle était de moins en moins chaude, son buisson ardent s'éteignait petit à petit. Afin de faire face à la sexualité débordante de Patrice, ils s’accordèrent ensemble pour qu’il puisse aller voir ailleurs s’il y était. La seule condition pour une pénétration, non légitime, était de la faire qu’au cul. En effet, sa femme ne voulait pas qu'il enfante à cause de la déchirure d’un préservatif provoquée par une utilisation excessive ou d’un problème de pilule. Patrice commença au début par sodomiser les femmes, puis, il dévia par facilité vers des garçons faciles et ouverts. Les passifs ne résistaient pas à l'envie d'avoir son gros gourdin dans leur fondement.
Toutefois, Patrice n’était pas franchement apprécié par ses partenaires. Ils lui reprochaient d'être trop rude et égoïste. Au sein du milieu gay, on le surnommait Woody, le pivert, à sa façon de percuter les trous. Il ne cherchait qu'à se purger abruptement dans un cul sans chercher à donner du plaisir à son possesseur. La chose faite, il abandonnait sans états d'âme ses amants occasionnels, le pantalon baissé avec l'orifice béant et dégoulinant. Qu'ils aient jouis ou pas, ce n'était pas son problème.
Après avoir inséminé différents types d'arrière-train, il devint davantage sélectif ; il privilégia la qualité plutôt que la quantité. Il jubilait notamment de voir sa grosse bite glisser dans des petites fesses masculines rondes et compactes. Cependant, celles-ci ne courraient pas les rues, mais principalement les salles de sport. Toutefois, Patrice ne voulait pas se prendre la tête à devoir effectuer des exercices physiques pour les approcher. C'est alors qu'un compère lui fit une suggestion intéressante : avoir à sa disposition un vide-couille attitré et sur mesure, moyennent finance bien entendu. Les démarches effectuées, Patrice réceptionna Antoine après avoir vérifié la marchandise.
À noter, parmi ses préférences, Patrice souhaitait un gars qui pratique la musculation. À sa bite, c'est eux qui se plaignaient le moins de ses assauts brutaux dans leurs fesses fermes forgées par des heures de squats. En effet, ils ont l'habitude d'endurer la douleur ou la sensation de brulure, qu'ils se procurent eux-mêmes, pour accroître leurs muscles. Comme ils aiment se donner du mal, Patrice était motivé pour leur apprendre à travailler intensément ceux de leur vide-ordures.
Chapitre 3 : avec le père
Avant d'assurer ses prestations sexuelles, Antoine avait été formé par Thomas et Etienne sur l'art de tailler une pipe. Il eut d'abord une partie théorique qui consistait à avaler, sans faillir, un phallus en silicone actionné par une fuck machine. Celui-ci avait la taille et la forme du pénis de Patrice. Après la théorie dispensée par Etienne, Thomas s’occupa de la partie pratique dans le gloryhole du temple d'Héraclès. Là, Antoine enchainait les zobs en les ingurgitant les uns à la suite des autres. C'est lors d'une session d'entrainement qu'il rencontra Patrice. Lorsqu'Antoine goba une énième bite, il décela qu'elle ressemblait à celle en silicone qui lui avait défoncé la bouche dans tous les sens. Antoine comprit qu'il s'agissait de celle qui allait dilater ses petites fesses serrées. Patrice fut satisfait de ses compétences buccales. Il contourna la paroi trouée qui les séparait pour récupérer son bien. Après avoir fait connaissance avec la tête du chibre qui allait le marteler cruellement, Antoine vit celle de son propriétaire, son futur maître. Sans plus attendre, Patrice voulut explorer plus en profondeur son esclave sexuel athlétique. Il remercia Thomas pour ses services, en lui promettant une nuit torride, puis il emmena Antoine dans la cabine VIP qu'il avait réservée.
Dès qu'ils entrèrent, Patrice ferma la porte puis il retira d'un geste la serviette autour de la taille d'Antoine. Sur le lit, il y avait un jockstrap noir et un phallus en verre. Antoine mit le sous-vêtement car Patrice détestait voir la bite des mecs qu'il baisait. Les yeux lubriques de Patrice admiraient les deux magnifiques fesses relevées par les sangles. Ensuite, Antoine desserra son anus indemne à l'aide du sextoys en verre. Une fois qu'il fut ouvert, et le phallus toujours transparent, Antoine dévisagea avec inquiétude Patrice pour la suite des évènements. Celui-ci n'avait que faire de l’anxiété qu'il lisait dans les yeux de son joujou. Il était charmé par le corps d'Antoine. Un petit mec musclé 1m66, mais pas trapu, avec des poils soyeux sur les pectoraux et les jambes, mais pas sur ses fesses sphériques. Patrice poussa Antoine contre un équipement semblable à une table de dessinateur. Là, Antoine avait son dos contre le plan incliné. Patrice, leva ses deux jambes épaisses et les enroula autour de sa taille. Il supporta son vide-couille en mettant une main sous chaque fesse, en position de congrès suspendu. Antoine sentit les mains de Patrice écarter ses lobes charnus et par la même occasion, étirer son anus. Le pauvre Antoine attendait que Patrice prenne sa virginité anale. Alors qu'il pensait que Patrice allait lui enfoncer son pieux dans le derche, c'est l'inverse qui se produisit. Son corps fut abaissé vers le pénis érigé. Patrice descendait légèrement ses bras pour établir le contact entre la flèche et la cible. Par gravité, Antoine allait s'empaler sur le membre turgescent. Quand le gland essaya d'entrer douloureusement, Antoine essayait de s'agripper sur le plan incliné pour ralentir l'intrusion. Cependant, c’était impossible parce que la surface était antidérapante, même un gecko ne pouvait pas s’y accrocher.
Fatalement, son sphincter céda et le pénis s'inséra dans le conduit étroit. Patrice laissa Antoine s'empaler entièrement sur son sexe jusqu’au pubis. L’étudiant sportif se sentait déchiré et il se retenait d’hurler de douleur. Il tentait de se relever à l'aide de ses bras ou ses jambes sans y parvenir. Son dos glissait sur le revêtement, la gravité l'obligeait à se faire bourrer les fesses à fond. Patrice lui laissa quelques minutes pour s'habituer. Il ne voulait toute de même pas détruire ce corps qu'il avait loué, il avait prévu d'y déverser des hectolitres de foutre sans risquer de le mettre enceinte. Patrice baisa à un rythme lent le beau cul musclé qu'il tenait dans ses bras. Il était en extase pendant que son pénis se mouvait dans le conduit serré et velouté. Toutefois, des frictions apparurent durant le mouvement de translation. Le déplacement n'était pas fluide, la mécanique n'était pas bien huilée. Antoine demanda à Patrice de lubrifier sa rosette sèche, il acquiesça en y injectant son jus, en poussant un bruyant râle de plaisir. Patrice savait se contrôler telle une étoile du porno, il décidait quand, où et comment il allait jouir. Pourtant, là, ce mâle alpha céda à la tentation face à ces fesses craquantes, ses burnes étaient en ébullition et le lait devait sortir.
Antoine fut surpris de recevoir sa première charge, ses intestins étaient remplis de foutre, il avait l'impression d'avoir été inséminer comme une femme. Antoine pensa avec soulagement que c'était terminer, qu'il allait être libéré, délivré. Mais pas du tout ! A sa grande stupeur, Patrice resta tendu, toujours enfoui dans ses entrailles. Sans se désunir, Patrice porta Antoine et le déposa sur un matelas. En position de missionnaire, Antoine était sur le dos avec Patrice entre ses cuisses écartées. Patrice ramona avec joie et allégresse la chatte musclée suintante, son pénis imposant glissait comme dans du beurre. Ainsi débuta cette relation libidineuse sans romantisme dans les chambres d’hôtel, au sauna, ici et là ou ailleurs.
Chapitre 4 : avec Thomas (sans Etienne)
Mathieu avait une sexualité débordante qu'il avait héritée de son père. Il commença au lycée par les filles avant d'avoir la confirmation qu'il préférait les hommes. Là, il draguait ses camarades hétéros ou homos pour prendre leur virginité anale. Il avoua son homosexualité à ses parents qui l'acceptèrent sans condition. Patrice présumait que son fils serait un queutard comme lui et qu'il pourrait avoir des ennuis à chaque coin de rue. C’est pourquoi il lui conseilla de faire de la musculation afin d'acquérir de la force en cas d'agression ou d'harcèlement. A 19 ans, Mathieu était devenu un bel homme athlétique d'1m87. Le muscle attirant le muscle, il avait défoncé beaucoup de culs robustes, sauf celui d’Antoine, son binôme en cours. C’était un mec baraqué brun aux yeux bleus d'1m66. Mathieu était hypnotisé par la beauté des deux lobes admirables. Il marchait toujours derrière Antoine pour les reluquer. Ses yeux étaient en permanence rivés sur ces petites fesses qu'il voulait, coûte que coûte, engrosser avec sa grosse queue. L’étudiant homosexuel draguait malicieusement son pote hétérosexuel pour le mettre dans son lit. A son grand désarroi, il dut arrêter lorsque sa sœur Pauline trouva en Antoine un parfait copain vigoureux. Dès lors, il cessa de le courtiser, tout en gardant un œil lubrique sur le sublime postérieur qu'il côtoyait quotidiennement.
Depuis qu'Antoine était en couple avec Pauline, Mathieu remarquait qu'il nageait dans le bonheur. Antoine était serein et heureux. Son comportement commença à changer à l'approche d'un partiel vital pour lui. Etant un bon élève, ce test devait être une simple formalité. Cela ne l'empêcha pas d'être stressé car l'obtention de sa bourse d'étude dépendait d'un excellent résultat à l'examen. Il craignait d'échouer. C'est durant cette période que Thomas fit son apparition. Le blondinet charismatique se lia d'amitié avec Antoine, et Mathieu en conséquence. Ce dernier ne comprenait pas pourquoi il trainait avec son binôme, il le jugeait collant et sa présence n'apportait pas de plus-value. Bref, Mathieu était jaloux.
Nos protagonistes passèrent leurs épreuves et les notes tombèrent. Antoine chuta de très haut, il s'était planté. Il devint livide, décomposé, anéanti. Mathieu essayait vainement de le réconforter, mais peine perdue. Aux bords des larmes, Antoine voyait son avenir professionnel s'effondrer. Seul Thomas parvint à le raviver quelques jours après. Ensuite, Thomas disparut aussi vite qu'il était apparu. Mathieu était ravi de cette séparation. Pourtant, Antoine et Thomas se voyaient toujours et c’était dans les sous-sols sombres du temple d’Héraclès. Mathieu n’avait pas conscience du rôle de Thomas. En fait, il avait une mission : faire l'entremetteur entre Antoine et les Héraclides, ceux qui composent le club des amateurs d'étudiants musclés. Patrice les avait mandatés afin de lui fournir le cul de ses désirs. En tant que membre, le coach Gérard chercha parmi ses élèves celui qui répondra le mieux au cahier des charges du client. Il devait chercher un gars costaud avec des magnifiques fesses rondes, fermes et impénétrées. Dès qu'il localisa un potentiel candidat avec ces critères, Gérard sollicita Thomas pour l’amadouer. Puis avec des complices, un subterfuge basique, mais efficace, fut mis en place afin de fournir à Patrice un produit de choix ; le client doit-être satisfait. De ce fait, comme vous l'aurez compris, Antoine avait réussi son partiel mais il fallait un prétexte pour qu'il vende son corps sur les conseils de Thomas. Donc rassurez-vous chers lecteurs, sa note sera régularisée ultérieurement et il pourra avoir sa bourse. Il l’aurait eu, même s’il avait refusé d'en avoir une paire supplémentaire dans le cul.
Deux mois après les résultats du partiel, Mathieu ne reconnaissait plus son meilleur ami qu'il voulait se taper. Il était moins souriant, moins disponible et surtout, il manquait d'énergie. D'ailleurs, sa sœur Pauline lui faisait souvent la réflexion qu'il bandait mou. Mathieu avait de la peine, il s'inquiétait pour Antoine. Qu'est-ce qu'il avait ? Comment lui redonner la joie de vivre ? Des crises hémorroïdaires l’empêchaient-elles réellement de s’assoir, ou c’était autre chose ? Il allait bientôt avoir la réponse.
Chapitre 5 : sans le fils
Pauline et Mathieu rentraient chez leurs parents le week-end. Un samedi, avec l'accord de leur père, ils invitèrent Antoine chez eux. Mathieu était ravi de sa visite, il était impatient de lui faire découvrir son cocon douillet. D'ailleurs, il était rentré plus tôt pour tout mettre en ordre. Pendant le rangement, il entendit une voiture se garer devant le garage. Par reflexe, il jeta un œil depuis la fenêtre de sa chambre à l'étage. Puis, subitement, il jeta le deuxième. Alors qu'il voulut retourner à ses occupations, son attention fut attirée par quelque chose d’autre. Il aperçut avec un grand étonnement son père accompagné d’Antoine. Qu'est-ce qu'ils foutaient ensemble, se demanda-t-il. Il se dépêcha de ranger ses affaires avant de descendre pour les accueillir. Les derniers trucs jetés sous le lit, il les entendit monter l'escalier. Ayant un esprit farceur, Mathieu resta caché derrière la porte légèrement entre-baillée de sa chambre. Il attendait le moment propice pour surgir et les surprendre, tel un prédateur sur une proie. Finalement, il resta planqué, la queue entre les jambes. Son irruption fut interrompue lorsqu'il entendit son père dire : "ne perdons pas de temps, dans deux heures ma fille et mon fils vont arriver, je ne veux pas qu'ils nous voient en train de baiser à toute vapeur". Mathieu était choqué. Un sémaphore s'était allumé dans son esprit, il avait été arrêté net dans son élan. Avait-il bien entendu ? Qu’est-ce qu’il y avait entre eux ? Son père couchait-il avec son meilleur ami ? Patrice aiguilla Antoine vers sa chambre.
Dès que la voie fut libre, Mathieu avança en marche prudente, il voulait savoir ce qui se tramait, avoir des réponses à ses questions. Il n'allait pas être déçu du spectacle qu'il allait discrètement dévorer des yeux. Les deux partenaires se déshabillèrent rapidement, Patrice était nu et Antoine portait son suspensoir noir comme d’habitude. Dans la foulée, il se mit à genou devant Patrice et goba son pénis au garde à vous en un éclair. Il effectuait des va-et-vient rapides sur toute la longueur du membre. Antoine devait fixer son maître dans les yeux pendant qu'il le pompait. De temps en temps, Patrice prenait la tête des deux mains, soit pour la tenir immobile et la pilonner, soit pour y laisser son pénis planter à l'intérieur quelques instants. Les yeux de Mathieu étaient exorbités en voyant cette bite baiser cette bouche pulpeuse qu'il désirait tant embrasser. Patrice donna une légère claque sur la joue d’Antoine pour passer à la deuxième étape du travail oral. Antoine s'allongea sur le matelas avec la tête penchée au bord du lit. Patrice la mit entre ses cuisses, il y enfonça son pénis jusqu'à la garde en gorge profonde. Antoine saisit le bassin de Patrice pour contrôler ses assauts, enfin dans une moindre mesure. Le futur quadragénaire poussait le plus loin possible son pénis dans le gosier du petit brun athlétique de 19 ans. Patrice allait de l'avant jusqu'à ce qu'Antoine halète avant de se retirer. Il lui laissait deux secondes pour reprendre son souffle avant d'y replonger. Patrice complimentait Antoine en le gratifiant de gémissements. Ainsi, Mathieu constatait stupéfiait que son camarade hétérosexuel soit un expert en gorge profonde.
S'il avait su, il en aurait profité aussi plus tôt, pensa-t-il. Puis, Patrice accéléra sa respiration et ses râles de plaisirs. Antoine perçut la dilatation du pénis. Il se prépara à recevoir une dose de protéine. Les bourses qui tapaient contre son nez se contractèrent, le fluide chaud et salé qu'elles ont façonné fut expulsé. Antoine pouvait suivre son déplacement le long du membre qu'il engloutissait, au-delà des amygdales. Le foutre fut injecté dans l'œsophage, sans passer par la bouche. Il s'écoula tout droit dans l'estomac en circuit court, directement du producteur au consommateur sans intermédiaire.
La cavité buccale laissa la place à l'anale. Sur le lit, Antoine forma une pyramide en relevant le cul vers le haut et en plaquant son torse contre le matelas. Patrice se mit à genou entre les massives cuisses écartées et plongea son pénis, hors du commun, dans la fissure rose surentrainée par ses soins. Antoine tendit ses bras en arrière, afin que Patrice saisisse ses poignets pour contrôler ses puissants coups de reins. Immédiatement, Mathieu entendit les cuisses de son père claquer contre les fesses rebondies de son meilleur ami. Durant une dizaine de minutes, l’homme au crépuscule de la trentaine était en mode marteau-piqueur. Les gémissements du garçon balèze étaient saccadés, des ondes de chocs secouées ses organes internes à chaque coup violent.
La rondelle d’Antoine était en fusion à cause des échauffements, une pause lubrification s’imposait. Ensuite, Patrice passa en levrette en mettant son bassin au-dessus de celui de son jouet sexuel. Il s'équilibra en posant ses mains sur les épaules d'Antoine et le sodomisa ardemment sans ménagement. Notre petit voyeur envieux avait une gaule terrible. Il avait une vue imprenable sur les deux culs superposés des amants. Il était émerveillé par le pénis de son père qui entrait et sortait sauvagement dans les splendides fesses de son meilleur ami. Alors qu'il était hypnotisé par la scène, Mathieu dût se planquer un peu parce qu’ils changèrent de position. Patrice se reposa un peu en laissant le passif s'activer. Il se coucha sur le dos en croisant ses bras derrière la tête. Antoine s'assit sur le pénis vultueux en position de cowboy inversé, avec les pieds en avant et les bras en arrière pour se maintenir. Il s'enfila vivement comme si ça vie en dépendait. Patrice était en euphorie, les yeux fermés, il jouissait du moment présent. Pendant qu'Antoine rebondissait sur le pénis, ses pectoraux volumineux se balançaient sous les yeux libidineux de Mathieu. Il apercevait également, en cachette, l'érection d’Antoine dessinée par une tache humide sur son jockstrap noir. Antoine avait pris goût à la sodomie par accoutumance. Il n’oubliait pas de bien servir son maitre en n’éjaculant jamais avant lui, ce qui était parfois infaisable tellement ses sens étaient vivement sollicités.
Antoine rencontrait des difficultés à s'embrocher en gardant un rythme soutenu. Patrice lui donnait de tant en tant de grandes claques sur les fesses pour l'encourager, malgré cela, ce n'était pas suffisant. Il décida de reprendre la main. Antoine se laissa tomber à plat ventre sur le lit en n'oubliant pas d'écarter les cuisses. Patrice rajouta une nouvelle fois du lubrifiant et fourra son pénis dans l'orifice boursoufflé. Antoine était exténué. Il laissa sans réagir Patrice le culbuter en entrée arrière, le temps lui paraissait interminable avant la délivrance. Dépité, il ne comprenait pas comment un type de son âge pouvait enchainer les orgasmes sans jamais avoir les burnes asséchées. Patrice adopta différentes variantes en changeant l'angle de ses hanches ou de son dos. D'habitude, il n'était pas imaginatif dans les positions, pourtant, ce cul succulent le poussait hors de ses limites. Enfin, le donneur écrasa de tout son poids son receveur pour le féconder. Patrice sortit son pénis de l'antre dévasté et changea de côté pour son nettoyage. Mathieu espérait que son ami était propre.
Chapitre 6 : avec le fils
Le temps passant, Patrice devait se débarrasser d'Antoine. Dans le séjour, en attendant que Patrice finisse de se laver, Antoine consultait son téléphone pour localiser où habitait Pauline. Lorsque le guidage lui indiqua qu'il était déjà arrivé à destination, il réalisa subitement qu'il couchait alternativement avec le père et la fille. Soudain, un claquement de porte le sortit de ses pensées tourmentées. C'était Pauline qui rentrait dans la demeure familiale. Elle fut surprise de voir son chéri déjà arrivé si tôt. Pauline se jeta dans ses bras et l'embrassa en se délectant de sa bouche parfumée par un bonbon à la menthe.
En montant vers la chambre de Pauline, Antoine croisa le regard éberlué de Mathieu ; il comprit qu'il avait tout découvert entre lui et son père. Ils se saluèrent fébrilement sans ajouter un mot de plus. En sortant de la salle de bain, Patrice se rendit compte que ses deux gosses connaissaient Antoine, amicalement ou physiquement. Cette situation l'amusa. En revanche, elle le rendait mal à l'aise vis à vis de sa fille préférée. Pauline et Antoine s’enfermèrent dans la chambre.
Patrice proposa à son fils de boire un verre sur le canapé, une discussion était inévitable entre les deux hommes. Mathieu n’approuvait pas cette relation puisqu’il s’agissait de son amour caché, il était jaloux et frustré. Mis devant le fais accompli, il était obligé de le cautionner, à contre cœur, parce qu'il savait que cette énergie sexuelle qui habitait les hommes de cette famille avait besoin d'être déchargée.
Brusquement, l'entrevue fut interrompue. Un cri strident retentit. Pauline sortit de la chambre en pleur à peine vêtue. Après Mathieu, Pauline venait de découvrir à son tour que son père baisait Antoine, une nouvelle réunion familiale était à l’ordre du jour. Pauline se laissa convaincre d'abandonner Antoine à son père. Par conséquent, ils considérèrent le contexte cocasse. Cela ressemblait à un vaudeville, où les personnages se connaissent mais ne se croisent jamais ensemble, sauf, pour le dénouement final.
In fine, Antoine resta la propriété de Patrice. Il aurait préféré être avec Pauline mais son cul avait plus de valeur que sa verge.
Patrice laissa Mathieu ramener son camarade. Durant le trajet, les deux amis restèrent silencieux. En traversant une forêt, Mathieu excité se gara à l'entrée d'un chemin. Le conducteur sortit son sexe dressé du pantalon et le présenta à son passager. Sur un ton autoritaire en fixant Antoine, Mathieu s'écria : "suce-ma queue".
Antoine s'y attendait car il savait que Mathieu le désirait depuis toujours. Il se contenta simplement de lui rétorquer que ce n'était pas gratuit. Un laps de temps s'écoula avant que Mathieu range son engin et qu’il opère un demi-tour en voiture.
De retour chez lui, Mathieu supplia son père de lui sous-louer le corps d'Antoine. Ce dernier assistait impuissant à la transaction, il ne savait pas si son cas allait être pire ou meilleur. A la suite de longues négociations, Mathieu obtient l’asservissement d’Antoine.
Patrice regardait amèrement les fesses s'éloigner, à l’intérieur desquelles il ne s'était jamais senti aussi bien de sa vie. Pourtant, Patrice n'était pas triste, car comme on dit : un cul de perdu, dix de retrouvés. Sur le deuxième trajet du retour, Mathieu s'arrêta dans la forêt au même endroit que précédemment. Ils descendirent de la voiture et Mathieu ordonna à Antoine de s'allonger à l’envers sur le capot chaud ; sa tête penchée en arrière touchait le pare-chocs.
Mathieu sortit sa queue et la planta d'un coup dans la bouche de son bien-aimé. Il avait attendu tellement longtemps cet instant qu'il était ivre de joie. Contrairement à son père, Mathieu voulait donner du plaisir à son partenaire, surtout qu'il s'agissait du mec de ses rêves. Il baissa le jogging d'Antoine et saisit la verge prisonnière sous le suspensoir. Il la léchait délicieusement en faisant un 69. Mathieu introduit deux doigts dans les fesses extraordinaires qu’il venait d’acquérir. L'intérieur était gluant, il lui tardait de rajouter sa semence à celle de son géniteur. En attendant, c'était d'abord dans l'orifice d'entrée qu'il y déversa la sienne. Mathieu aida Antoine à se relever et l'enlaça en lui faisant des bises dans le cou. "Ce n'est que l'apéritif, je vais te déguster toute la nuit", il rajouta en lui faisant un clin d’œil : "je suis plus endurant que mon père". Ces paroles effrayèrent le pauvre Antoine, il maudit Thomas qui lui avait préconisé de se prostituer. Dès que possible, Mathieu espérait, de tout son cœur, avoir une relation amoureuse normale avec Antoine, comme tous ceux qui s'aiment.
Bonjour chers lecteurs. Voici mon quatrième récit publié. Il raconte l'histoire d'un étudiant, prénommé Antoine, qui va avoir des relations sexuelles séparées avec trois membres d’une même famille : la fille, le père et le fils. La mère n'est pas abordée car cela faisait un doublon avec les aventures de Thomas (personnage de la deuxième histoire qui cherchait des expériences sexuelles auprès des femmes âgées expérimentées). En outre, d'autres raisons, ou opportunités, seraient contraires à l'intrigue. Les chapitres sont de tailles inégales (la taille compte mais ne suffit pas). Bonne lecture.
Chapitre 1 : avec la sœur
Pauline était une belle brune de 18 ans qui avait un appétit sexuel démesuré. Elle avait eu sa première expérience bien avant la moyenne des 17 ans. Pauline avait commencé par dépuceler tous les garçons de son âge en quête d’amour. Lassée qu’ils jouissent en moins de deux, elle enchainait les conquêtes à la recherche de quelqu’un capable de tenir la route dans sa voie sans issue. Après avoir essayé plusieurs gars, elle trouva un jour la perle rare en la personne d’Antoine, un ami de son frère Mathieu. Les deux tourtereaux se fréquentaient dans leurs chambres universitaires où ils baisaient comme des lapins. Quelque mois plus tard, Pauline s’apitoyait qu’Antoine était devenu mou de la tige ; c’était moins intense. Elle hésitait à le larguer car elle était devenue amoureuse de lui. Pauline lui laissa une dernière chance pour raffermir les liens charnels, avant de le jeter. Ainsi, elle l’invita un samedi chez ses parents à la campagne. Ce jour-là, elle avait quitté en avance sa séance de sport pour arriver plus tôt. A sa grande surprise, Antoine était déjà présent au domicile familial. Pauline était heureuse de le voir et ne se posa pas la question de savoir pourquoi Antoine faisait une tête bizarre. Ne voyant pas son père dans le coin, malgré la présence de sa voiture, elle le convia sans attendre dans sa chambre à coucher. Le lit grinça rapidement, les amants faisait passionnément l’amour en position de missionnaire.
Toutefois, Pauline perçut qu’Antoine n’était pas vraiment au meilleur de sa forme, il était moins rigide que d’habitude. Elle eut une idée pour y remédier. Pauline retourna Antoine sur le dos et se mit à califourchon sur lui en cowgirl. Elle laissa Antoine se reposer et mena l’action en bougeant son bassin vigoureusement. Pour le faire durcir, elle déplaça une main vers son anus. Elle commença par le titillait du bout des doigts. Antoine ne semblait pas réagir. Elle décida donc d’envoyer un doigt explorer la caverne sombre et humide. L’explorateur s’y engouffra sans résistance, un deuxième le rejoignit aisément. Pauline, étonné que cela entre aussi facilement, en rajouta un troisième audacieusement. Le trio localisa la prostate et la tâta. Pauline sentait la verge s’endurcir dans son vagin, pourtant, quelque chose n’allait pas. Elle sortit ses doigts et découvrit avec effroi qu’ils étaient souillés de sperme. Elle poussa un cri d’horreur. Dans la foulée, Pauline se désolidarisa d’Antoine, se cacha les parties intimes et sortit de la chambre en larmes.
Chapitre 2 : sans le père
Patrice et sa femme étaient un couple heureux. Il y avait de la passion entre eux, de la communication, de la confiance et ils faisaient des projets. Comme rien n'est idyllique, il y avait un bémol : la sexualité effrénée de Patrice. A l'aube de la quarantaine, sa femme n'arrivait plus à tenir la cadence. Elle était aux anges quand ils étaient jeunes, mais maintenant, c'était devenu l'enfer. Elle était de moins en moins chaude, son buisson ardent s'éteignait petit à petit. Afin de faire face à la sexualité débordante de Patrice, ils s’accordèrent ensemble pour qu’il puisse aller voir ailleurs s’il y était. La seule condition pour une pénétration, non légitime, était de la faire qu’au cul. En effet, sa femme ne voulait pas qu'il enfante à cause de la déchirure d’un préservatif provoquée par une utilisation excessive ou d’un problème de pilule. Patrice commença au début par sodomiser les femmes, puis, il dévia par facilité vers des garçons faciles et ouverts. Les passifs ne résistaient pas à l'envie d'avoir son gros gourdin dans leur fondement.
Toutefois, Patrice n’était pas franchement apprécié par ses partenaires. Ils lui reprochaient d'être trop rude et égoïste. Au sein du milieu gay, on le surnommait Woody, le pivert, à sa façon de percuter les trous. Il ne cherchait qu'à se purger abruptement dans un cul sans chercher à donner du plaisir à son possesseur. La chose faite, il abandonnait sans états d'âme ses amants occasionnels, le pantalon baissé avec l'orifice béant et dégoulinant. Qu'ils aient jouis ou pas, ce n'était pas son problème.
Après avoir inséminé différents types d'arrière-train, il devint davantage sélectif ; il privilégia la qualité plutôt que la quantité. Il jubilait notamment de voir sa grosse bite glisser dans des petites fesses masculines rondes et compactes. Cependant, celles-ci ne courraient pas les rues, mais principalement les salles de sport. Toutefois, Patrice ne voulait pas se prendre la tête à devoir effectuer des exercices physiques pour les approcher. C'est alors qu'un compère lui fit une suggestion intéressante : avoir à sa disposition un vide-couille attitré et sur mesure, moyennent finance bien entendu. Les démarches effectuées, Patrice réceptionna Antoine après avoir vérifié la marchandise.
À noter, parmi ses préférences, Patrice souhaitait un gars qui pratique la musculation. À sa bite, c'est eux qui se plaignaient le moins de ses assauts brutaux dans leurs fesses fermes forgées par des heures de squats. En effet, ils ont l'habitude d'endurer la douleur ou la sensation de brulure, qu'ils se procurent eux-mêmes, pour accroître leurs muscles. Comme ils aiment se donner du mal, Patrice était motivé pour leur apprendre à travailler intensément ceux de leur vide-ordures.
Chapitre 3 : avec le père
Avant d'assurer ses prestations sexuelles, Antoine avait été formé par Thomas et Etienne sur l'art de tailler une pipe. Il eut d'abord une partie théorique qui consistait à avaler, sans faillir, un phallus en silicone actionné par une fuck machine. Celui-ci avait la taille et la forme du pénis de Patrice. Après la théorie dispensée par Etienne, Thomas s’occupa de la partie pratique dans le gloryhole du temple d'Héraclès. Là, Antoine enchainait les zobs en les ingurgitant les uns à la suite des autres. C'est lors d'une session d'entrainement qu'il rencontra Patrice. Lorsqu'Antoine goba une énième bite, il décela qu'elle ressemblait à celle en silicone qui lui avait défoncé la bouche dans tous les sens. Antoine comprit qu'il s'agissait de celle qui allait dilater ses petites fesses serrées. Patrice fut satisfait de ses compétences buccales. Il contourna la paroi trouée qui les séparait pour récupérer son bien. Après avoir fait connaissance avec la tête du chibre qui allait le marteler cruellement, Antoine vit celle de son propriétaire, son futur maître. Sans plus attendre, Patrice voulut explorer plus en profondeur son esclave sexuel athlétique. Il remercia Thomas pour ses services, en lui promettant une nuit torride, puis il emmena Antoine dans la cabine VIP qu'il avait réservée.
Dès qu'ils entrèrent, Patrice ferma la porte puis il retira d'un geste la serviette autour de la taille d'Antoine. Sur le lit, il y avait un jockstrap noir et un phallus en verre. Antoine mit le sous-vêtement car Patrice détestait voir la bite des mecs qu'il baisait. Les yeux lubriques de Patrice admiraient les deux magnifiques fesses relevées par les sangles. Ensuite, Antoine desserra son anus indemne à l'aide du sextoys en verre. Une fois qu'il fut ouvert, et le phallus toujours transparent, Antoine dévisagea avec inquiétude Patrice pour la suite des évènements. Celui-ci n'avait que faire de l’anxiété qu'il lisait dans les yeux de son joujou. Il était charmé par le corps d'Antoine. Un petit mec musclé 1m66, mais pas trapu, avec des poils soyeux sur les pectoraux et les jambes, mais pas sur ses fesses sphériques. Patrice poussa Antoine contre un équipement semblable à une table de dessinateur. Là, Antoine avait son dos contre le plan incliné. Patrice, leva ses deux jambes épaisses et les enroula autour de sa taille. Il supporta son vide-couille en mettant une main sous chaque fesse, en position de congrès suspendu. Antoine sentit les mains de Patrice écarter ses lobes charnus et par la même occasion, étirer son anus. Le pauvre Antoine attendait que Patrice prenne sa virginité anale. Alors qu'il pensait que Patrice allait lui enfoncer son pieux dans le derche, c'est l'inverse qui se produisit. Son corps fut abaissé vers le pénis érigé. Patrice descendait légèrement ses bras pour établir le contact entre la flèche et la cible. Par gravité, Antoine allait s'empaler sur le membre turgescent. Quand le gland essaya d'entrer douloureusement, Antoine essayait de s'agripper sur le plan incliné pour ralentir l'intrusion. Cependant, c’était impossible parce que la surface était antidérapante, même un gecko ne pouvait pas s’y accrocher.
Fatalement, son sphincter céda et le pénis s'inséra dans le conduit étroit. Patrice laissa Antoine s'empaler entièrement sur son sexe jusqu’au pubis. L’étudiant sportif se sentait déchiré et il se retenait d’hurler de douleur. Il tentait de se relever à l'aide de ses bras ou ses jambes sans y parvenir. Son dos glissait sur le revêtement, la gravité l'obligeait à se faire bourrer les fesses à fond. Patrice lui laissa quelques minutes pour s'habituer. Il ne voulait toute de même pas détruire ce corps qu'il avait loué, il avait prévu d'y déverser des hectolitres de foutre sans risquer de le mettre enceinte. Patrice baisa à un rythme lent le beau cul musclé qu'il tenait dans ses bras. Il était en extase pendant que son pénis se mouvait dans le conduit serré et velouté. Toutefois, des frictions apparurent durant le mouvement de translation. Le déplacement n'était pas fluide, la mécanique n'était pas bien huilée. Antoine demanda à Patrice de lubrifier sa rosette sèche, il acquiesça en y injectant son jus, en poussant un bruyant râle de plaisir. Patrice savait se contrôler telle une étoile du porno, il décidait quand, où et comment il allait jouir. Pourtant, là, ce mâle alpha céda à la tentation face à ces fesses craquantes, ses burnes étaient en ébullition et le lait devait sortir.
Antoine fut surpris de recevoir sa première charge, ses intestins étaient remplis de foutre, il avait l'impression d'avoir été inséminer comme une femme. Antoine pensa avec soulagement que c'était terminer, qu'il allait être libéré, délivré. Mais pas du tout ! A sa grande stupeur, Patrice resta tendu, toujours enfoui dans ses entrailles. Sans se désunir, Patrice porta Antoine et le déposa sur un matelas. En position de missionnaire, Antoine était sur le dos avec Patrice entre ses cuisses écartées. Patrice ramona avec joie et allégresse la chatte musclée suintante, son pénis imposant glissait comme dans du beurre. Ainsi débuta cette relation libidineuse sans romantisme dans les chambres d’hôtel, au sauna, ici et là ou ailleurs.
Chapitre 4 : avec Thomas (sans Etienne)
Mathieu avait une sexualité débordante qu'il avait héritée de son père. Il commença au lycée par les filles avant d'avoir la confirmation qu'il préférait les hommes. Là, il draguait ses camarades hétéros ou homos pour prendre leur virginité anale. Il avoua son homosexualité à ses parents qui l'acceptèrent sans condition. Patrice présumait que son fils serait un queutard comme lui et qu'il pourrait avoir des ennuis à chaque coin de rue. C’est pourquoi il lui conseilla de faire de la musculation afin d'acquérir de la force en cas d'agression ou d'harcèlement. A 19 ans, Mathieu était devenu un bel homme athlétique d'1m87. Le muscle attirant le muscle, il avait défoncé beaucoup de culs robustes, sauf celui d’Antoine, son binôme en cours. C’était un mec baraqué brun aux yeux bleus d'1m66. Mathieu était hypnotisé par la beauté des deux lobes admirables. Il marchait toujours derrière Antoine pour les reluquer. Ses yeux étaient en permanence rivés sur ces petites fesses qu'il voulait, coûte que coûte, engrosser avec sa grosse queue. L’étudiant homosexuel draguait malicieusement son pote hétérosexuel pour le mettre dans son lit. A son grand désarroi, il dut arrêter lorsque sa sœur Pauline trouva en Antoine un parfait copain vigoureux. Dès lors, il cessa de le courtiser, tout en gardant un œil lubrique sur le sublime postérieur qu'il côtoyait quotidiennement.
Depuis qu'Antoine était en couple avec Pauline, Mathieu remarquait qu'il nageait dans le bonheur. Antoine était serein et heureux. Son comportement commença à changer à l'approche d'un partiel vital pour lui. Etant un bon élève, ce test devait être une simple formalité. Cela ne l'empêcha pas d'être stressé car l'obtention de sa bourse d'étude dépendait d'un excellent résultat à l'examen. Il craignait d'échouer. C'est durant cette période que Thomas fit son apparition. Le blondinet charismatique se lia d'amitié avec Antoine, et Mathieu en conséquence. Ce dernier ne comprenait pas pourquoi il trainait avec son binôme, il le jugeait collant et sa présence n'apportait pas de plus-value. Bref, Mathieu était jaloux.
Nos protagonistes passèrent leurs épreuves et les notes tombèrent. Antoine chuta de très haut, il s'était planté. Il devint livide, décomposé, anéanti. Mathieu essayait vainement de le réconforter, mais peine perdue. Aux bords des larmes, Antoine voyait son avenir professionnel s'effondrer. Seul Thomas parvint à le raviver quelques jours après. Ensuite, Thomas disparut aussi vite qu'il était apparu. Mathieu était ravi de cette séparation. Pourtant, Antoine et Thomas se voyaient toujours et c’était dans les sous-sols sombres du temple d’Héraclès. Mathieu n’avait pas conscience du rôle de Thomas. En fait, il avait une mission : faire l'entremetteur entre Antoine et les Héraclides, ceux qui composent le club des amateurs d'étudiants musclés. Patrice les avait mandatés afin de lui fournir le cul de ses désirs. En tant que membre, le coach Gérard chercha parmi ses élèves celui qui répondra le mieux au cahier des charges du client. Il devait chercher un gars costaud avec des magnifiques fesses rondes, fermes et impénétrées. Dès qu'il localisa un potentiel candidat avec ces critères, Gérard sollicita Thomas pour l’amadouer. Puis avec des complices, un subterfuge basique, mais efficace, fut mis en place afin de fournir à Patrice un produit de choix ; le client doit-être satisfait. De ce fait, comme vous l'aurez compris, Antoine avait réussi son partiel mais il fallait un prétexte pour qu'il vende son corps sur les conseils de Thomas. Donc rassurez-vous chers lecteurs, sa note sera régularisée ultérieurement et il pourra avoir sa bourse. Il l’aurait eu, même s’il avait refusé d'en avoir une paire supplémentaire dans le cul.
Deux mois après les résultats du partiel, Mathieu ne reconnaissait plus son meilleur ami qu'il voulait se taper. Il était moins souriant, moins disponible et surtout, il manquait d'énergie. D'ailleurs, sa sœur Pauline lui faisait souvent la réflexion qu'il bandait mou. Mathieu avait de la peine, il s'inquiétait pour Antoine. Qu'est-ce qu'il avait ? Comment lui redonner la joie de vivre ? Des crises hémorroïdaires l’empêchaient-elles réellement de s’assoir, ou c’était autre chose ? Il allait bientôt avoir la réponse.
Chapitre 5 : sans le fils
Pauline et Mathieu rentraient chez leurs parents le week-end. Un samedi, avec l'accord de leur père, ils invitèrent Antoine chez eux. Mathieu était ravi de sa visite, il était impatient de lui faire découvrir son cocon douillet. D'ailleurs, il était rentré plus tôt pour tout mettre en ordre. Pendant le rangement, il entendit une voiture se garer devant le garage. Par reflexe, il jeta un œil depuis la fenêtre de sa chambre à l'étage. Puis, subitement, il jeta le deuxième. Alors qu'il voulut retourner à ses occupations, son attention fut attirée par quelque chose d’autre. Il aperçut avec un grand étonnement son père accompagné d’Antoine. Qu'est-ce qu'ils foutaient ensemble, se demanda-t-il. Il se dépêcha de ranger ses affaires avant de descendre pour les accueillir. Les derniers trucs jetés sous le lit, il les entendit monter l'escalier. Ayant un esprit farceur, Mathieu resta caché derrière la porte légèrement entre-baillée de sa chambre. Il attendait le moment propice pour surgir et les surprendre, tel un prédateur sur une proie. Finalement, il resta planqué, la queue entre les jambes. Son irruption fut interrompue lorsqu'il entendit son père dire : "ne perdons pas de temps, dans deux heures ma fille et mon fils vont arriver, je ne veux pas qu'ils nous voient en train de baiser à toute vapeur". Mathieu était choqué. Un sémaphore s'était allumé dans son esprit, il avait été arrêté net dans son élan. Avait-il bien entendu ? Qu’est-ce qu’il y avait entre eux ? Son père couchait-il avec son meilleur ami ? Patrice aiguilla Antoine vers sa chambre.
Dès que la voie fut libre, Mathieu avança en marche prudente, il voulait savoir ce qui se tramait, avoir des réponses à ses questions. Il n'allait pas être déçu du spectacle qu'il allait discrètement dévorer des yeux. Les deux partenaires se déshabillèrent rapidement, Patrice était nu et Antoine portait son suspensoir noir comme d’habitude. Dans la foulée, il se mit à genou devant Patrice et goba son pénis au garde à vous en un éclair. Il effectuait des va-et-vient rapides sur toute la longueur du membre. Antoine devait fixer son maître dans les yeux pendant qu'il le pompait. De temps en temps, Patrice prenait la tête des deux mains, soit pour la tenir immobile et la pilonner, soit pour y laisser son pénis planter à l'intérieur quelques instants. Les yeux de Mathieu étaient exorbités en voyant cette bite baiser cette bouche pulpeuse qu'il désirait tant embrasser. Patrice donna une légère claque sur la joue d’Antoine pour passer à la deuxième étape du travail oral. Antoine s'allongea sur le matelas avec la tête penchée au bord du lit. Patrice la mit entre ses cuisses, il y enfonça son pénis jusqu'à la garde en gorge profonde. Antoine saisit le bassin de Patrice pour contrôler ses assauts, enfin dans une moindre mesure. Le futur quadragénaire poussait le plus loin possible son pénis dans le gosier du petit brun athlétique de 19 ans. Patrice allait de l'avant jusqu'à ce qu'Antoine halète avant de se retirer. Il lui laissait deux secondes pour reprendre son souffle avant d'y replonger. Patrice complimentait Antoine en le gratifiant de gémissements. Ainsi, Mathieu constatait stupéfiait que son camarade hétérosexuel soit un expert en gorge profonde.
S'il avait su, il en aurait profité aussi plus tôt, pensa-t-il. Puis, Patrice accéléra sa respiration et ses râles de plaisirs. Antoine perçut la dilatation du pénis. Il se prépara à recevoir une dose de protéine. Les bourses qui tapaient contre son nez se contractèrent, le fluide chaud et salé qu'elles ont façonné fut expulsé. Antoine pouvait suivre son déplacement le long du membre qu'il engloutissait, au-delà des amygdales. Le foutre fut injecté dans l'œsophage, sans passer par la bouche. Il s'écoula tout droit dans l'estomac en circuit court, directement du producteur au consommateur sans intermédiaire.
La cavité buccale laissa la place à l'anale. Sur le lit, Antoine forma une pyramide en relevant le cul vers le haut et en plaquant son torse contre le matelas. Patrice se mit à genou entre les massives cuisses écartées et plongea son pénis, hors du commun, dans la fissure rose surentrainée par ses soins. Antoine tendit ses bras en arrière, afin que Patrice saisisse ses poignets pour contrôler ses puissants coups de reins. Immédiatement, Mathieu entendit les cuisses de son père claquer contre les fesses rebondies de son meilleur ami. Durant une dizaine de minutes, l’homme au crépuscule de la trentaine était en mode marteau-piqueur. Les gémissements du garçon balèze étaient saccadés, des ondes de chocs secouées ses organes internes à chaque coup violent.
La rondelle d’Antoine était en fusion à cause des échauffements, une pause lubrification s’imposait. Ensuite, Patrice passa en levrette en mettant son bassin au-dessus de celui de son jouet sexuel. Il s'équilibra en posant ses mains sur les épaules d'Antoine et le sodomisa ardemment sans ménagement. Notre petit voyeur envieux avait une gaule terrible. Il avait une vue imprenable sur les deux culs superposés des amants. Il était émerveillé par le pénis de son père qui entrait et sortait sauvagement dans les splendides fesses de son meilleur ami. Alors qu'il était hypnotisé par la scène, Mathieu dût se planquer un peu parce qu’ils changèrent de position. Patrice se reposa un peu en laissant le passif s'activer. Il se coucha sur le dos en croisant ses bras derrière la tête. Antoine s'assit sur le pénis vultueux en position de cowboy inversé, avec les pieds en avant et les bras en arrière pour se maintenir. Il s'enfila vivement comme si ça vie en dépendait. Patrice était en euphorie, les yeux fermés, il jouissait du moment présent. Pendant qu'Antoine rebondissait sur le pénis, ses pectoraux volumineux se balançaient sous les yeux libidineux de Mathieu. Il apercevait également, en cachette, l'érection d’Antoine dessinée par une tache humide sur son jockstrap noir. Antoine avait pris goût à la sodomie par accoutumance. Il n’oubliait pas de bien servir son maitre en n’éjaculant jamais avant lui, ce qui était parfois infaisable tellement ses sens étaient vivement sollicités.
Antoine rencontrait des difficultés à s'embrocher en gardant un rythme soutenu. Patrice lui donnait de tant en tant de grandes claques sur les fesses pour l'encourager, malgré cela, ce n'était pas suffisant. Il décida de reprendre la main. Antoine se laissa tomber à plat ventre sur le lit en n'oubliant pas d'écarter les cuisses. Patrice rajouta une nouvelle fois du lubrifiant et fourra son pénis dans l'orifice boursoufflé. Antoine était exténué. Il laissa sans réagir Patrice le culbuter en entrée arrière, le temps lui paraissait interminable avant la délivrance. Dépité, il ne comprenait pas comment un type de son âge pouvait enchainer les orgasmes sans jamais avoir les burnes asséchées. Patrice adopta différentes variantes en changeant l'angle de ses hanches ou de son dos. D'habitude, il n'était pas imaginatif dans les positions, pourtant, ce cul succulent le poussait hors de ses limites. Enfin, le donneur écrasa de tout son poids son receveur pour le féconder. Patrice sortit son pénis de l'antre dévasté et changea de côté pour son nettoyage. Mathieu espérait que son ami était propre.
Chapitre 6 : avec le fils
Le temps passant, Patrice devait se débarrasser d'Antoine. Dans le séjour, en attendant que Patrice finisse de se laver, Antoine consultait son téléphone pour localiser où habitait Pauline. Lorsque le guidage lui indiqua qu'il était déjà arrivé à destination, il réalisa subitement qu'il couchait alternativement avec le père et la fille. Soudain, un claquement de porte le sortit de ses pensées tourmentées. C'était Pauline qui rentrait dans la demeure familiale. Elle fut surprise de voir son chéri déjà arrivé si tôt. Pauline se jeta dans ses bras et l'embrassa en se délectant de sa bouche parfumée par un bonbon à la menthe.
En montant vers la chambre de Pauline, Antoine croisa le regard éberlué de Mathieu ; il comprit qu'il avait tout découvert entre lui et son père. Ils se saluèrent fébrilement sans ajouter un mot de plus. En sortant de la salle de bain, Patrice se rendit compte que ses deux gosses connaissaient Antoine, amicalement ou physiquement. Cette situation l'amusa. En revanche, elle le rendait mal à l'aise vis à vis de sa fille préférée. Pauline et Antoine s’enfermèrent dans la chambre.
Patrice proposa à son fils de boire un verre sur le canapé, une discussion était inévitable entre les deux hommes. Mathieu n’approuvait pas cette relation puisqu’il s’agissait de son amour caché, il était jaloux et frustré. Mis devant le fais accompli, il était obligé de le cautionner, à contre cœur, parce qu'il savait que cette énergie sexuelle qui habitait les hommes de cette famille avait besoin d'être déchargée.
Brusquement, l'entrevue fut interrompue. Un cri strident retentit. Pauline sortit de la chambre en pleur à peine vêtue. Après Mathieu, Pauline venait de découvrir à son tour que son père baisait Antoine, une nouvelle réunion familiale était à l’ordre du jour. Pauline se laissa convaincre d'abandonner Antoine à son père. Par conséquent, ils considérèrent le contexte cocasse. Cela ressemblait à un vaudeville, où les personnages se connaissent mais ne se croisent jamais ensemble, sauf, pour le dénouement final.
In fine, Antoine resta la propriété de Patrice. Il aurait préféré être avec Pauline mais son cul avait plus de valeur que sa verge.
Patrice laissa Mathieu ramener son camarade. Durant le trajet, les deux amis restèrent silencieux. En traversant une forêt, Mathieu excité se gara à l'entrée d'un chemin. Le conducteur sortit son sexe dressé du pantalon et le présenta à son passager. Sur un ton autoritaire en fixant Antoine, Mathieu s'écria : "suce-ma queue".
Antoine s'y attendait car il savait que Mathieu le désirait depuis toujours. Il se contenta simplement de lui rétorquer que ce n'était pas gratuit. Un laps de temps s'écoula avant que Mathieu range son engin et qu’il opère un demi-tour en voiture.
De retour chez lui, Mathieu supplia son père de lui sous-louer le corps d'Antoine. Ce dernier assistait impuissant à la transaction, il ne savait pas si son cas allait être pire ou meilleur. A la suite de longues négociations, Mathieu obtient l’asservissement d’Antoine.
Patrice regardait amèrement les fesses s'éloigner, à l’intérieur desquelles il ne s'était jamais senti aussi bien de sa vie. Pourtant, Patrice n'était pas triste, car comme on dit : un cul de perdu, dix de retrouvés. Sur le deuxième trajet du retour, Mathieu s'arrêta dans la forêt au même endroit que précédemment. Ils descendirent de la voiture et Mathieu ordonna à Antoine de s'allonger à l’envers sur le capot chaud ; sa tête penchée en arrière touchait le pare-chocs.
Mathieu sortit sa queue et la planta d'un coup dans la bouche de son bien-aimé. Il avait attendu tellement longtemps cet instant qu'il était ivre de joie. Contrairement à son père, Mathieu voulait donner du plaisir à son partenaire, surtout qu'il s'agissait du mec de ses rêves. Il baissa le jogging d'Antoine et saisit la verge prisonnière sous le suspensoir. Il la léchait délicieusement en faisant un 69. Mathieu introduit deux doigts dans les fesses extraordinaires qu’il venait d’acquérir. L'intérieur était gluant, il lui tardait de rajouter sa semence à celle de son géniteur. En attendant, c'était d'abord dans l'orifice d'entrée qu'il y déversa la sienne. Mathieu aida Antoine à se relever et l'enlaça en lui faisant des bises dans le cou. "Ce n'est que l'apéritif, je vais te déguster toute la nuit", il rajouta en lui faisant un clin d’œil : "je suis plus endurant que mon père". Ces paroles effrayèrent le pauvre Antoine, il maudit Thomas qui lui avait préconisé de se prostituer. Dès que possible, Mathieu espérait, de tout son cœur, avoir une relation amoureuse normale avec Antoine, comme tous ceux qui s'aiment.
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