Les boules du dragon (7) - histoire érotique

Bonjour tout le monde. Cette histoire contient trois parties avec les personnages de DBZ.

Piccolo avait cœur de reconquérir Gohan en lui faisant oublier le visiteur du futur. Il lui proposa de reproduire l’accroissement de la taille de sa queue, comme lors du gangbang de Broly. Il espérait ainsi que cette nouveauté rendrait Gohan addict à lui. Celui-ci accepta le défi de se surpasser durant leurs ébats sexuels. Ainsi, au fil du temps, Piccolo augmentait au fur et à mesure la longueur et la circonférence de son sexe dans les fesses de Gohan. Les changements de dimension, plus large et plus long que jamais, s’opéraient quand Piccolo le décidait.

La super construction de Gohan lui offrait des aptitudes d’étirement que Piccolo imaginait aussi infinies que les siennes. Le disciple essayait de s’adapter à l’invasion implacable en prenant courageusement chaque nouveau centimètre en lui. Il prouvait ainsi à son mentor sa force physique et mentale. De courgette au début, la queue verte de Piccolo devint un concombre avant de devenir une pastèque de la taille d’une tête. Dans son cul, Gohan sentait la grosse queue turgescente palpiter quand elle s’immobilisait. Il avait l’impression d’avoir une vie à l’intérieur de lui. Le gland appuyait tellement sur son ventre qu’il était poussé vers l’avant. Cela donnait l’impression que Gohan était enceint, ou pas, à chaque va-et-vient du membre viril dans ses entrailles. Lorsqu’il avait mal, Piccolo détournait son esprit en le masturbant ou en stimulant ses zones érogènes. Gohan parvenait toutefois à prendre du plaisir dans la douleur, il éjaculait abondamment submergé par des sensations extrêmes.

Cependant, l’épreuve semblait parfois insurmontable. Gohan implorait son assaillant d’arrêter : « C’est trop gros, C’est trop profond ». Piccolo répliquait alors inlassablement de la même manière : « Plus c’est gros plus c’est bon. Ouvre-toi au-delà des limites, plus ultra ».

Un jour, Piccolo le dilata jusqu’à l’impensable. Un immense gouffre rouge séparait les deux fesses blanches rondes. Gohan en eut assez de ces absurdités sexuelles, de cette baudruche verte, qui gonflait indéfiniment sans exploser, et le gonflait au risque d’éclater. Malgré ses protestations, Piccolo continuait. Pris de colère, Gohan se transforma en blondinet entouré d’un halo jaune. Il trancha dans la foulée le sexe démesuré qui le déchirait puis l’éjecta de son fondement distendu. Heureusement pour le Namek, il pouvait régénérer sa queue plus rapidement qu’un lézard. Gohan mangea un haricot magique et ses fesses musclées redevinrent aussi serrées qu’un puceau du cul ; le maitre allait dépuceler son padawan pour son plus grand plaisir ! Après réflexion, Piccolo se rendit compte qu’il avait était trop loin. À l’avenir, il promit à Gohan de faire attention à ses désirs et d’être plus sensuel. La taille ne suffit pas dans une relation sérieuse.

Revenu dans son monde parallèle, Trunks du futur était submergé par une grande tristesse durant plusieurs jours. De nombreuses larmes s'écoulaient le long de son beau visage. Gohan lui manquait énormément ; les quelques heures qu’ils avaient passées ensemble avaient été les plus merveilleuses de sa vie. Son cœur était une nouvelle fois déchiré de l'avoir encore quitté. Bizarrement, C17 faisait preuve d'empathie en cajolant son amant qui pensait à un autre homme.

Avant de retourner vers leur futur alternatif, C17 avait récupéré une puce électronique auprès du Docteur Géro. Comme il possédait un système d'énergie perpétuel, C17 était toujours excité. Il attendait la même chose de Trunks grâce à cette puce au fond de lui, même si le Saiyan aux longs cheveux lavande était épuisé et complètement à sec. Son stratagème fonctionnait mais il n’avait pas prévu que Trunks irait aussi bien avec lui qu’avec la blonde aux cheveux longs. À la suite de son expérience sexuelle avec Piccolita, Trunks désirait entretenir avec C18 une relation hétérosexuelle en plus de celle homosexuelle avec C17. C18 n’était pas resté longtemps insensible aux avances de Trunks. Elle aussi avait le droit d’utiliser le beau gosse musclé.

C17 était jaloux lorsque Trunks couchait avec C18. De ce fait, avec la télécommande de la puce, il s’amusait à décroitre sa libido quand il était avec elle, et inversement, à l’accroitre avec lui. Il faisait une sorte de thérapie de conversion afin que Trunks n’aille plus batifoler avec C18. N’étant pas stupide, Trunks découvrit la supercherie. Il obligea C17 à enlever la puce de son corps et d’accepter sa bisexualité. Trunks satisfaisait ses deux amants en s’accouplant soit en duo, soit en trio positionné entre eux. À sa grande surprise, l’humain artificiel aux longs cheveux bruns avait des sentiments. Il essayait d’être un amant tendre et attentionné envers Trunks afin de conquérir son cœur déjà pris. Au fil du temps, Trunks pensait de moins en moins à Gohan quand il jouissait.

Quelques mois plus tard, au grand soulagement du postérieur de Trunks, C17 trouva une activité en tant que gardien d'une île abritant une précieuse faune sauvage. Il était donc davantage occupé à protéger les animaux, régulièrement ciblés par des braconniers, plutôt qu’à s’acharner à perpétuer l’espèce avec un être incompatible à cet effet. Le trinôme vivait sur l’île. Un drapeau ornant le toit de leur habitation les symbolisait. Trois bandes verticales composaient le drapeau rectangulaire aux couleurs de leurs cheveux : noir, violet et jaune.

Changeons d’île et retournons dans le présent afin de prendre des nouvelles de Broly. Notre légendaire guerrier de l’espace séjournait chez Roshi. Le maître des arts martiaux l’entrainait et lui faisait découvrir la vie terrienne sur sa minuscule île. Broly obéissait sans rechigner à tous les ordres de Roshi. Il faut dire que Broly avait toujours vécu sous l’autorité de son père. Celui-ci le poussait sans cesse à développer son potentiel de combattant en lui ordonnant continuellement de faire ceci ou cela. Roshi n’était qu’un autre vieil homme auquel il se soumettait.

En plus d’enseigner à Broly de nouvelles techniques de combats, Roshi lui faisait astucieusement entretenir l’île en associant les tâches pénibles rébarbatives à des exercices physiques. Tous les deux trouvaient leurs comptes. Broly était satisfait de travailler sa musculature exceptionnelle et Roshi d’avoir délégué son dur labeur. Broly donnait le meilleur de lui-même parce que Roshi surveillait en permanence son travail. Il restait assis sur une chaise longue sous un parasol en tenant un verre de saké dans une main. Enfin, c’est ce que croyait Broly. Car dans les faits, derrière ses verres teintés en vert montés sur une monture rouge, Roshi fixait uniquement les gros nibards glabres luisant par la sueur et bronzés par le soleil radieux. Ses yeux lubriques étaient obnubilés par les monticules de muscles massifs du Saiyan. Ils ne pouvaient pas s’en détacher. D’ailleurs, sur son île, Roshi lui imposait de rester sans haut tout le temps. Broly n’était absolument pas gêné. Être dans un endroit isolé, torse nu, avec un vieux comme unique compagnon, était ce qu’il avait toujours connu sur son astéroïde.

Roshi faisait couramment courir Broly dans le seul but d’admirer ses beaux seins trembler à chaque pas. Mais là où il avait trouvé le summum de l’extase visuel, c’était quand Broly devait faire de la corde à sauter, au minimum deux fois par jour. Un excellent exercice cardio comme il aimait lui rappelait sans cesse. Néanmoins, Broly n’était pas totalement idiot. Il avait constaté que le vieux était dur lorsque ses lourds pectoraux rebondissaient de haut en bas à chaque saut. À la fin des sessions, Roshi lui disait que sa poitrine avait besoin d’un bon massage après avoir valdingué dans tous les sens. Dérangé au début par le pelotage, Broly s’habitua progressivement aux nouvelles sensations procurées par les mains expertes de Roshi. Finalement, il aimait ce traitement qui lui donnait une érection et le faisait tressaillir quand ses tétons étaient pincés. Broly attendait impatiemment ces instants charnels sous couvert de soins relaxant. Après l’effort, le réconfort, lui répétait régulièrement Roshi. Le vieillard entrait dans un degré d’exaltation extrême quand il pétrissait les gros nénés charnus du jeune homme. Il bavait tellement dessus qu’il n’avait pas besoin d’huile de massage.

Roshi testait les limites du guerrier légendaire en essayant de profiter de plus en plus de son corps incroyablement musclé. Alors qu’il couchait dehors au sol, comme sur son astéroïde, Roshi l’invita malicieusement un soir à dormir dans un lit. Et évidemment, le seul disponible était le sien. La maison de la tortue était bien trop petite pour accueillir le colosse ailleurs. Étendu sur le matelas, il y occupait toute la surface. « Où allez-vous dormir ?», demanda-t-il innocemment. « Avec toi », répondit Roshi en prétextant une nouvelle leçon. Broly devait apprendre à contrôler inconsciemment sa force démesurée en ayant un être fragile à ses côtés. Roshi dormait en petite tenue allongé sur le corps chaud de Broly. Le maigrichon ne pesait pas bien lourd au-dessus du mastodonte ; un pectoral faisait office de cousin ferme. À cause des mauvais rêves de Broly, Roshi manquait régulièrement d’être broyé entre les énormes pectoraux ou les bras titanesques. Après avoir réussi à sortir de son emprise funeste, Roshi essayait d’apaiser le Saiyan instable par des paroles douces et des caresses.

Quand Broly nageait d’île en île, Roshi lisait des magazines érotiques ou regardait des émissions de fitness à la télévision. Un jour, Broly le surprit en train de se palucher pendant ses activités solitaires. Sans paraitre pervers, Roshi lui fit découvrir la gente féminine à partir de son matériel pornographique. Il s’attardait longuement sur les poitrines généreuses des filles. Broly comprit de ce fait la fascination du vioque envers ses gros pectoraux qu’il cherchait sans cesse à malaxer, lécher, soupeser ou prendre en coupe.

Roshi désirait augmenter la sensibilité du corps de la montagne de muscles. Dans cet objectif inavoué, il expliqua à Broly qu’il devait se renforcer autant physiquement que mentalement en étant submergé par la douleur ou le plaisir. Ainsi, il lui imposa des épreuves requérant de la persévérance, une endurance solide et de la concentration à tous les instants.

Pour les exercices où la souffrance était à surmonter, Roshi accrochait sur chaque mamelon une pince reliée à un poids par une chaine. À cela, il suspendait un parachute lesté autour des gros testicules. D’abord, Broly courait nu autour de l’île. Les poids se balançaient de gauche à droite en tirant en continu sur ses tétons et ses boules. Ensuite, il enchainait avec de la corde à sauter à un rythme soutenu. Là, les masses projetées en l’air chutaient brutalement vers le bas, par à-coups, en entrainant les pinces et le parachute. S’il était flasque, le chibre imposant entrait en mode hélicoptère et rafraichissait les burnes en feu. Broly s’habituait au fil du temps à la souffrance insoutenable qu’il ressentait au début. Quand le plaisir remplaçait la douleur, Roshi augmentait les poids au-delà du supportable. À la fin des épreuves, Roshi enlevait les accessoires. Il machait les tétons charnus gonflés, tel un chewing-gum, et touillait les grosses boules endolories. Il terminait le supplice en les enduisant d’une crème cicatrisante.

Concernant la luxure, Roshi mettait des œufs vibrants à l’intérieur des belles fesses, contre les mamelons et le chibre tendu. Broly devait réaliser des exercices d’équilibre sans frémir, comme le poirier sur une main par exemple. Roshi essayait de le mener à l’échec en augmentant l’intensité des vibrations. Lorsqu’il échouait, Broly avait droit à une fessée cul nu en se penchant sur les genoux du vieux. Roshi claquait ses fesses fermes avec une pagaie en laissant les œufs vibrants au fond de celles-ci. Sans cris ni gémissement, que ressentait Broly ? Que cachait-il ? Douleur, extase, telle était la question qu’il se posait. Parfois, Kamé Sennin se demandait si Broly ne faisait pas exprès de perdre l’équilibre dans le seul but de recevoir une punition.

Broly avait une sexualité insatiable dans cet endroit paradisiaque. Il s’astiquait fréquemment le joystick. Cela agaçait Roshi parce qu’il ne participait pas. S’il ne contrôlait pas ses pulsions sexuelles, Roshi le menaçait d’enfermer son service trois pièces dans une cage de chasteté. C’est alors qu’il trouva une occasion unique de profiter en profondeur du Saiyan baraqué. Même si Broly acceptait tout ce que l’ancien lui imposait, ce dernier devait rester prudent au risque de finir emplâtré. Roshi proposa l’épreuve ultime de maitrise de soi : remplacer dans son cul les œufs vibrants en plastique par un organe naturel s’y mouvant. Broly acquiesça, il avait soif de dépasser ses possibilités. Ainsi, régulièrement, Roshi se métamorphosait en super vieux hyper baraqué. Il sodomisait le grand gaillard dans toutes les positions et tous les endroits possibles sur l’île. L’objectif de Broly était d’éjaculer sur demande sans se masturber. Il devait résister quand sa prostate était martelée inlassablement et jouir seulement lorsque Roshi, proche de le remplir de foutre, le lui ordonnait.

Broly devint un expert pour traire un membre viril avec ses fesses et contrôler son orgasme. Toutefois, malgré ses compétences anales prodigieuses, celles de natures buccales étaient inexistantes. Roshi y remédia en lui donnant généreusement des cours de langue. Il prétextait qu’il devait savoir galocher quand il rencontrerait une fille. Broly avait des lèvres exquises faites pour les baisers et plus. Roshi les voulait contre les siennes ainsi qu’autour de son sexe. Il utilisa la ruse, non subtile, que Broly avait besoin de protéines pour entretenir ses muscles. Ce n’était pas nécessaire d’acheter des compléments alimentaires protéinés puisque sa semence en contenait. Broly n’avait qu’à tirer le jus à la source. Au début, Broly était embarrassé d’embrasser le vieil homme et de lui tailler une pipe. Il finit par savourer ces deux pratiques et les maitriser.

Broly comprit que le mentor désirait avoir des rapports sexuels avec son disciple en utilisant des subterfuges afin d’y parvenir. Il y consentit donc en donnant à Roshi un accès sans réserve à son corps robuste ; il aimait sentir le sperme chaud s’écouler dans ses deux orifices. Broly se révéla être un jouet sexuel musclé prémium prêt à assouvir tous les fantasmes du vieux sage. En plus, d’être une bête sexuelle infatigable, il était souvent l’initiateur en restant dans ce jeu de rôle prof/élève. Roshi croyait que Broly essayait de rattraper toutes les années perdues sans avoir reçu la moindre affection. Afin de tenir le rythme soutenu, l’homme âgé mangeait des haricots magiques pour rester vigoureux. Heureusement pour lui, il avait des moments de répits.

De temps en temps, Kakarot et Végéta venaient s’entrainer avec Broly, soit en combattant, soit en pratiquant du renforcement musculaire. Parmi les exercices physiques, le gabarit impressionnant du guerrier légendaire était mis à contribution. Kakarot et Végéta faisaient des tractions en se suspendant à ses gros bras fléchis pendant qu’il prenait une pose de double biceps.

En observant les Saiyans se bagarrer jusqu’à l’agonie, Roshi les imaginait masochistes. Aimaient-ils la douleur, ou bien, l’adrénaline dégageait durant les combats les anesthésiaient ? Il se rassurait quand ils cédaient à la luxure. Ils s’envoyaient en l’air sexuellement et non plus en se projetant des boules d’énergie. À cet effet, Kakarot et Végéta fusionnaient en Gogéta. Roshi était toujours ébahi par les biceps énormes de l’hybride. Pourtant, par rapport à la taille de ceux de Broly, ils paraissaient être la petite pince d’un crabe violoniste.

Gogéta écartait ses épaisses cuisses à la grande satisfaction de Broly ; il pouvait être le dominant avec lui. Broly sodomisait Gogéta sur la plage dans une multitude de positions. Il gardait sa préférée pour la fin : l’entrée arrière. Gogéta était sur le ventre, face contre le sable. L’imposant Broly s’allongeait sur l’hybride, bien plus petit que lui, en l’écrasant. Ensuite, Broly pilonnait énergiquement ses fesses musclées étroites. À chaque poussée puissante, Gogéta s’enfonçait dans le sol pareillement à des sables mouvants. Les gémissements sonores et les claquements assourdissants chair contre chair s’entendaient hors de l’île ; des navigateurs effrayés par ces bruits contournaient l’île.

Durand sa présence sur l’îlot, Broly ne se transforma pas en fou furieux. Il n’y avait pas besoin d’utiliser un collier électrisant pour le calmer. Broly appréciait la vie sur la planète bleue et il n’était plus question de la conquérir. Roshi entretenait des relations sexuelles ardentes consenties avec lui. Il n’aspirait pas de le partager mais il savait que Broly désirait une copine. Il pensa qu’une certaine Kale pourrait lui plaire.

Merci d’avoir lu cette histoire qui conclut l’arc de la puce électronique.