Récits musclés (6) - histoire érotique

Dans le temple d'Héraclès, Victor faisait tranquillement du vélo à vitesse réduite. Il n’était pas là pour pratiquer du sport. C’était un prétexte afin de pouvoir zieuter les magnifiques fesses d’un étudiant de vingt ans qui se construisait un corps harmonieusement musclé. Armand avait l’habitude, dans cette salle de musculation, de la présence d’hommes d'âgés qui venaient uniquement pour mater les jeunes mecs comme lui. Il ignorait les regards de ces pervers qui s'attardaient sur ses fesses relevées enveloppées dans un short moulant. Toutefois, il avait constaté qu'il était devenu leur centre d'intérêt depuis qu'ils avaient culbuté le cul parfait de Xavier. Naturellement, le jour des jambes était celui où il avait le plus d'admirateurs autour de lui. Était-il devenu une nouvelle proie à conquérir, se demanda-t-il.

Victor avait conscience que le sportif savait qu'il le matait. Ainsi, il était trop intimidé pour l'aborder et lui demander quelque chose. Il se contentait de prendre furtivement des photos de son postérieur congestionné avec son téléphone pendant ses exercices de jambes. Mais en plus, il attendait qu'Armand quitte la salle et durant leur trajet en commun, il marchait quelques mètres derrière lui, dans l’objectif de reluquer ses fesses qui se tortillaient à chaque pas. Armand n’y prêtait pas attention. Et puis de toute façon, il marchait en mode zombie avec la tête baissée, les yeux rivés sur son téléphone et des écouteurs dans les oreilles diffusant de la musique de bourrin ; bref, il était déconnecté de son environnement.

Un soir, il arriva ce qui devait arriver. Armand traversa la rue sans regarder attentivement. Un camion caché par un autre apparut. Le trente-six tonnes klaxonna, Armand tourna la tête vers le véhicule et fut tétanisé de peur face au danger. Il ne bougea pas. Brusquement, il fut tiré en arrière par son sac à dos. Il avait vu la marque du camion en très gros plan et l'avait frôlé de quelques centimètres. Tremblant, en état de choc, Victor emmena l’étudiant culturiste traumatisé chez lui. Heureusement, son logement n'était qu'à cent trente-trois mètres.

Arrivée sur place, Victor aida Armand à enlever son sac et l'invita à s'allonger sur le canapé pour se reposer. Il baissa la luminosité du séjour, mit de la musique douce et lui prépara un thé vert à la menthe. Puis, il s'assit à ses côtés sur une chaise et il regarda amoureusement le jeune homme athlétique portant une tenue de sport épousant toutes ses formes généreuses. Il observait ses bras massifs et sa poitrine opulente qui se soulevait à chaque respiration. C'était la première fois de sa vie qu'il accueillait un tel bogosse dans son antre de célibataire, son pénis se raidissait.

Après une demi-heure de pause, et avoir bu son thé, Armand se leva et regarda son sauveur plus en détail qu'il ne l'avait fait à la salle de musculation. Il devait avoir dans la fin de la quarantaine avec un crane qui se dégarnissait, une bedaine et des poils gris sur sa barbe de deux jours. Victor se leva et lui tendit sa main pour faire les présentations. Armand en fit de même et le remercia pour son acte de bravoure. Victor était submergé par l'émotion à l'idée que ce mec sexy qu'il admirait faillit disparaitre. Sans relâcher sa main, Victor l'attira contre lui et l'enlaça dans ses bras, l’étreinte était chaleureuse. L'homme âgé déclara au jeune bodybuildeur : "je ne voulais pas te perdre", comme s'ils étaient des amis intimes. Armand fut touché par ses paroles et le serra au creux de ses bras. Victor savourait cet instant en fermant les yeux. Il faisait lentement glisser ses grosses mains sur le dos épais. Une s'occupait du haut et l'autre du bas. Puis, inconsciemment, il les descendit sur le séant et chacune d'elle saisit un lobe. Le vieux palpa les fesses fermes de l'athlète universitaire. Armand sentait son pénis gonflé à bloc contre sa verge flasque. Quelque peu gêné, il lui demanda comment il pourrait le remercier, même s'il connaissait déjà la réponse. En ouvrant les yeux pour lui répondre, Victor sortit de ce bien-être charnel et s'aperçut de la situation. Il voulait retirer ses mains du cul rond mais celles-ci refusaient d'obéir.

Armand prit l'initiative :"Allons dans ta chambre", dit-il fébrilement. Il attrapa une paluche qui était aplati sur son arrière-train. Puis, pour se faire déflorer sa rondelle serrée, il emmena son premier partenaire masculin vers ce qu'il croyait être une chambre. Dès que la lumière illumina la pièce, Armand fut effrayé. Il vit des photos de son derche sur tout un mur. Elles avaient été prises lors de ses exercices du bas du corps. C'est un obsédé sexuel ce type, pensa-t-il. Oubliant le sauvetage, il allait lui en coller une dans la figure quand son regard fut attiré par d'autres illustrations sur les autres murs de l’atelier. C'étaient des dessins homoérotiques d'hommes. Victor lui expliqua qu'il était membre d'un club de dessinateurs spécialisés dans le nu masculin. Actuellement, ils devaient reproduire des fesses masculines viriles. À ce titre, le cul parfait de Xavier servait de modèle. Néanmoins, ne désirant pas faire comme les autres, Victor voulait s'inspirer d'Armand pour croquer un admirable cul musclé lascif, d'où les photos volées. Le propriétaire de cette partie du corps photographiée fut rassuré. Il se dit que le vieux aurait pu directement lui demander et qu'il aurait... refusé. Le doute habitait Armand.
- Vous voulez me baiser ou pas, demanda-t-il craintivement.
- Oui, je veux faire l'amour avec toi. Tu es mon genre, tu es trop chaud.
- J'ai une copine. Vous m'avez sauvé la vie alors je vais le faire pour vous remercier.
- C'est un cadeau que je ne peux pas refuser.
- Allons dans votre chambre, dit-il timidement.

Victor jubilait à l'idée d’avoir conquis le beau sportif. Pourtant, il déclina l'offre.
- J’ai envie de le faire mais pas maintenant. Je souhaiterais d'abord que tu sois mon modèle et après on copulera comme des bêtes. Si on fait l'inverse, je crains qu'il n'y ait pas de prochaine fois.
- Je vous promets de tenir ma parole.

Armand, fatigué, rejoignit sa copine et se coucha très tôt. Il avait vécu trop d’émotions d’un coup. Sous la couette, il songea qu'il avait droit à une deuxième chance de vivre et que celle-ci devait commencer par une relation homosexuelle. Il pensa que la contrepartie en valait bien la peine. Sa vie était fabuleuse et non pas merdique.

En attendant que leurs emplois du temps concordent, Victor et Armand se croisaient toujours dans la salle de sport. Ils avaient convenu ensemble que le vieux ne prendrait plus de photo des fesses du jeune mec et qu'en échange, ce dernier lui montrerait ostensiblement son cul durant ses exercices de jambes.

Le week-end suivant le drame évité, Armand et sa copine passèrent quelques jours au bord de l'océan. Il se baignèrent, montèrent sur la plus haute dune de la région et procréèrent, bien évidemment. Ils avaient probablement passé les plus beaux moments depuis qu'ils sont ensemble. Armand réalisa qu'il n’aurait pas vécu ces merveilleux jours sans l’intervention héroïque de son fan vicieux. La relation du couple était fusionnelle et idyllique. Ainsi, ils ne se cachaient rien, ou presque. Armand lui avait rapporté que son sauveur souhaitait s'inspirer artistiquement d'une partie intime de son corps costaud. Sa copine acquiesça. Elle admettait qu'il devait remercier à sa façon l'homme qui a sauvé le mec de ses rêves.

Elle l'aimait à la folie. Elle se demandait souvent pourquoi ils étaient ensemble. Elle n'était pas sportive et n'avait rien de spécial. Elle se posait cette question à cause de ses amies qui la jalousaient. Elles insinuaient que son copain devait se faire prendre par derrière pendant qu'elle avait le dos tourné, qu'un tel popotin ne devait plus être vierge depuis longtemps. Elle savait que c'était faux parce qu'elle vérifiait en le doigtant régulièrement pendant les fellations, c'était toujours aussi serré. Elle se demandait si cela allait changer avec le portraitiste. Elle n'avait pas eu le courage de dire non à son bien-aimé, elle aussi était redevable à ce type.

De retour dans l’atelier, Armand se déshabilla sans gêne devant le vieux tel qu'il a l'habitude de le faire dans les vestiaires. Victor déglutissait en voyant le superbe corps bien bâti nu. Armand apercevait les yeux scruter chaque parcelle de son anatomie. Il se mit à genou sur un fauteuil avec le torse contre le dossier, le dos sculpté cambré, les quadriceps galbés fléchis et les fesses rondes exposées vers l'artiste. Victor, émoustillé, faisait plusieurs croquis. Il se déplaçait parfois depuis son chevalet pour orienter les jambes ou le cul, suivants ses besoins. Durant leurs discussions, deux questions turlupinaient le mannequin : les camarades de Victor avaient-ils baisé Xavier et allaient-ils le faire tourner. Petit un, Victor lui avoua que oui, sa dizaine d'amis avaient effectivement fait un gangbang avec Xavier. Ils disaient que c'était pour s'imprégner de leur sujet, mieux percevoir les mouvements et les contractions de son cul parfait. Et petit deux, non, ça restera entre eux.

Quand il eut fini, Victor avança derrière son modèle. Armand n'osa pas tourner la tête. Il se préparait psychologiquement à se prendre à son tour une bite dans ses fesses musclées, comme tant de ses amis musclés du temple d'Héracles. "Il est l’heure d'avoir ma récompense" dit Victor victorieux. Il s'agenouilla, caressa les deux lobes alléchants et les sépara pour pratiquer un anulingus. Il lécha la fissure en y entrant et sortant sa langue. Armand s'ouvrait facilement grâce aux nombreux doigtages de sa copine. Elle l'avait habitué à cette agréable stimulation. Quand le trou puceau fut suffisamment dilaté, Victor était prêt à savourer cette œuvre d'art vivante. Il se déshabilla, quand soudain, son téléphone sonna. Une urgence l'obligea a quitté l’hétérosexuel qu'il était sur le point de dépuceler.

Bien entendu, Armand avait raconté à sa petite amie la séance de dessin en omettant l'anulingus. Par curiosité, elle voulut faire connaissance avec Victor. Ainsi, un soir, ils prirent tous les trois un verre dans un bar. L'ambiance était chaleureuse et elle pouvait remarquer que Victor bavait d'envie en ne regardant quasiment que son mec. Ne parlons pas de son regard sur l'arrière-train d'Armand, lorsqu'il s'était levé pour aller aux toilettes. Elle comprit qu’il ne voulait pas seulement le dessiner, il désirait l’utiliser aussi.

Les jours passèrent et Victor voyait Armand s'éloigner de lui. Faire l'amour au jeune athlète qui l'obsédait semblait devenir une défaite en perspective. Un soir, sur son vélo, Victor avait besoin d'une autre photo pour terminer un dessin. Il essaya de la prendre discrètement mais il se fit repérer par un bodybuildeur. Ce dernier, mécontent, lui arracha son téléphone. Victor quitta immédiatement le temple d’Héraclès afin de ne pas envenimer la situation. Plus tard, la sonnette de Victor retentit. En ouvrant la porte, il fut agréablement surpris d’y voir Armand. Il entra et tendit à son détenteur le portable qu'il avait récupéré auprès de son ami, après lui avoir raconté un mensonge. Armand s'excusa car il estimait que l'incident était arrivé à cause de lui parce qu’il avait pris ses distances. Il quitta rapidement l'appartement non sans avoir promis à Victor de le revoir.

Une semaine s'écoula avant qu'Armand contacte Victor pour l'inviter chez lui. A l'heure prévue, Victor s'y rendit. À son grand regret, il fut accueilli par sa copine qui n'était pas vraiment amicale. Ils discutèrent à peine en attendant l'arrivée du principal centre d'intérêt, le visage de Victor s'illumina dès qu'il arriva. Armand salua son hôte et balança son sac de sport sur le canapé. Il eut à peine le temps de boire un shaker de protéines que sa copine lui ordonna d'aller se laver car il puait la transpiration. Armand se rendit immédiatement dans la salle d'eau. Victor écoutait l'eau de la douche couler en s’imaginant des choses salaces. Dix minutes plus tard, Armand ouvrit la porte à moitié, le bas du corps caché derrière le battant. Il sollicita sa copine pour lui frotter le dos sous le jet d'eau. Elle lui répondit froidement qu'elle ne voulait pas et qu'il demande à Victor puisqu’il l'avait déjà vu nu. L'homme âgé devint rouge à l'idée de rejoindre le jeune homme sous la douche. Armand lui fit un signe d’acceptation de la tête. Victor hésita puis il arrêta de réfléchir. Il ne devait pas laisser échapper cette opportunité d'utiliser ce corps baraqué pour ses besoins sexuels, il avait le feu vert de sa petite amie.

Victor alla dans la salle d'eau, chaude et humide, baignée par la vapeur. Il se déshabilla en reluquant la silhouette musclée, à travers la vitre embuée de la cabine de douche. Victor, en érection, ouvrit la porte, entra et la referma. La cabine était adaptée à une personne donc ils se retrouvèrent à l'étroit tous les deux. Face à face, les deux sexes érigés étaient compressés l’un contre l’autre. Le jeune athlète dévisagea son ainé de presque trente ans. "Tu vas enfin me sodomiser ", lui dit-il en faisant un petit sourire enjôleur. "Merci de m'avoir sauvé la vie". Les yeux dans les yeux, Armand approcha ses lèvres de son sauveur et l'embrassa. Ils échangèrent leurs salives. Victor passa la main gauche derrière la tête d'Armand et la droite sur son dos épais qu'il caressa. Ensuite, la droite descendit au sein de la raie et un doigt explorateur s'insinua à travers l'anus dilaté.
- Tu es déjà prêt à me recevoir.
- Je me suis préparé, je te dois bien ça, tu m'as sauvé la vie.
- Tu me l’as dit deux fois de suite. Ça me fait quand même plaisir.

Armand se retourna et colla son fessier contre le pénis dressé. Victor l'aligna sur le trou inexploré. Le gland était comprimé contre l'orifice. Victor saisit le bassin des deux mains et son pénis força les sphincters à s'élargir. Dès qu’ils cédèrent, il s'introduisit à l'intérieur des fesses musclées. Armand posa ses mains à plat sur la paroi de la cabine devant lui en respirant fortement. Il poussait pour faciliter l'intrusion de l'envahisseur au cœur de ses entrailles. La douleur était heureusement supportable. Victor ne pouvait pas tout mettre à cause de la taille des lobes fermes. Il attendit que l'étudiant vierge s'habitue. Il posait des baisers dans son cou et massait ses pectoraux solides afin de l'aider à supporter le déchirement. Peu après, il s'amusait à entrer et sortir plusieurs fois. Armand appréciait de sentir sa rondelle changer constamment de largeur. Le creux du dos créait une rigole qui canalisait l'eau entre les fesses. Le lieu de l'action était ainsi lubrifié en permanence. Comme il l'avait déjà ressenti avec les doigts de sa copine, un endroit stimulé dans son intimité le faisait gémir. Après plusieurs va-et-vient lents, les deux amants décidèrent de poursuivre dans la chambre. La copine jalouse vit passer l'artiste et son modèle nus. Elle jeta furtivement un œil sur la bite âgée qui avait dépucelé les fesses remarquables de son keum.

Victor ferma la porte de la chambre et se mit derrière Armand qui était en position doggy-style au bord du lit. Il s'accrocha aux épaules et enfonça son pénis dans l’orifice béant. Il l'explora par des allers-retours. Victor augmenta progressivement la vitesse de la pénétration, les claquements des cuisses contre les fesses, entendus par la copine cocue, devenaient de plus en plus forts. Les impacts donnés à un rythme régulier donnaient l'impression que les fesses rebondies vibraient à hautes fréquences.

Le dominant appuya ensuite sur les omoplates du soumis afin qu'il s'allonge sur le ventre. Victor se positionna, en jockey, à califourchon en-dessous des lobes à pénétrer. Le cavalier les pétrissait et les claquait pendant qu'il mouvait dans l'orifice de sa monture. Armand ne pouvait pas s'empêchait de gémir. Peu après, Victor s'allongea sur le dos large en mettant ses jambes de part et d'autre des quadriceps robustes. Son gros bide reposait au-dessus des joues. Il donna de puissants coups de reins. À chaque choc, le bassin d'Armand s'enfonçait dans le matelas. Les amants éprouvaient des sensations incroyables. La copine se rendait compte que les contacts chair contre chair étaient plus bruyants et espacés.

Par la suite, Victor pivota le cul dévirginisé à quatre-vingt-dix degrés. Armand était maintenant sur le flanc en espaçant ses jambes afin d'offrir un accès à son anus boursoufflé. Victor, à genou, le pilonna dans une position semblable à la cuillère. Sa petite amie, à l'affut du moindre son, entendait couiner son petit copain comme elle ne l'avait jamais entendu. Qu'est-ce qu'il peut bien lui faire, il fait quoi avec sa prostate, se questionna-t-elle.

Après, l'homme âgé bascula une nouvelle fois le séant à quatre-vingt-dix degrés. Il attrapa les mollets et les déposa sur ses épaules. Il empoigna la tête de lit pour s'équilibrer et martela énergiquement l'étudiant sous lui plié en deux. Armand se masturbait en même temps, il n’arrêtait pas de crier que c'était bon. Sa copine ne connaissait pas cet état d'extase de l'amour de sa vie. D'un coup, les cris étaient étouffés. Leurs bouches s'étaient rapprochées et leurs langues entremêlées. Les corps étaient en sueur, les respirations rapides. Armand éjacula tumultueusement sur ses abdominaux saillants.

Après un temps d'attente qui leur paraissait interminable, les spermatozoïdes fertiles du quadragénaire se préparèrent enfin à accomplir leur seul et unique objectif : transmettre la vie. Le top départ de la course effrénée vers l'ovule fut donné. Ils quittèrent hâtivement leur nid douillet, traversèrent en un éclair le pénis et se répandirent profondément à l’intérieur des fesses musclées stériles du bodybuildeur de vingt ans. Les derniers partis rejoignirent les premiers arrivés qui étaient désorientés dans ce monde inconnu. Ils avaient conquis un colon rectal vierge, tels des colonisateurs.

Finalement, Armand ne regretta pas d’avoir honoré sa promesse après avoir hésité plusieurs fois. En se dirigeant vers la salle d'eau pour se nettoyer, son amante lui déclara : " cette fois, c'est à ton tour d'évacuer du sperme dans la cuvette". Le vieux et le jeune se lavèrent ensemble. Est-ce utile de préciser qu'il y eut un deuxième tour ?

Le jour "J", la salle d'exposition du temple d'Héraclès accueillait les dessins dont le thème était le nu masculin vue de dos. Durant le vernissage, des observateurs aguerris examinaient attentivement les derrières croqués. Parmi eux, les amis de Victor perçurent qu’il ne s'était pas inspiré du même gabarit qu’eux. Ils voulaient absolument connaitre le propriétaire de se fessier et savoir s'il en avait bien profité. Victor resta muet, au grand soulagement d'Armand et de sa chérie qui étaient à proximité.

Au sein de la foule, il y avait Xavier qui recevait de nombreuses claques amicales sur son cul parfait durant ses déambulations. Au milieu de ses hommes de tous les âges qui s'émerveillaient devant des morphologies athlétiques masculines, la jeune fille s'inquiéta et décida de surveiller davantage Armand. Elle ne voulait pas qu'il finisse par changer d'orientation sexuelle.