Les contes de la main gauche : au vestiaire du golf
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les contes de la main gauche : au vestiaire du golf
Le golf est un sport de rencontres.
Le golf, c'est un état d'esprit : dans le coffre de l'auto, on a quelques canes, le
sept, un put, un pitch, un drive sérieux et puis un fer cinq et ça suffit. Quelques
balles, les godasses et t'es prêt. Toujours prêt, comme les scouts...
Au golf on n'a pas besoin de s'organiser. On arrive, on dit je fais un départ et on y
va, comme ça, à sec, sans préliminaires.
C'est pas comme au tennis où tu dois te prévoir un partenaire, réserver un court, te
changer, le short, le polo, les chaussures. Pareil dans plein d'autres sports, foot,
rugby, même vélo...
Au golf rien de tout ça, tu viens surtout pas accompagné car c'est le terrain idéal
pour rencontrer. Parce que, ce que, toi, tu as compris, rassure-toi, les gonzesses
l'ont compris aussi.
Alors t'es là, tu traines au départ, voilà une dame bcbg qui t'arrive et te demande si
par hasard...
D'autres fois, tu pars tout seul et bientôt te voilà au cul d'une paire qui rame. Le
mec est sympa, tu fais copain et vous faites triplette ; au 9me trou vous êtes
intimes, au 18me, la poulette est mure et t'as plus qu'à lui glisser ton portable.
T'as pas encore changé tes chaussures que déjà elle t'èsèmesse où s'que tu vas diner
ce soir.
Mais le plus extra, c'est le vestiaire du club-house : au golf, le vestiaire c'est
mixte.
Au tennis, t'as les douches pour les filles et les douches pour nous les mecs. Pas au
golf ! Va savoir pourquoi, au golf, les vestiaires sont toujours mixtes...
Hier, j'étais en train de ranger mes balles, en slip, avant de prendre ma douche . La
fille entre dans le vestiaire, m'ignore superbement, enlève laborieusement ses
chaussures, pliée en deux, les seins bas et lourds, just'à coté de moi. Elle défait sa
jupe fluide et longue. Elle est en culotte blanche, le polo cachant à peine sa motte
large, pleine, proéminente. Elle se tourne et farfouille dans son sac, me présentant
un fessier charnu et musclé. Savon en main, une serviette dans l'autre, elle file à la
douche, me grillant la politesse. Je la matte qui tombe le polo, le soutif et règle la
température de l'eau. Quand tout est bien, elle descend le slip et l'accroche au
porte-manteau. Ses fesses sont blanches sur son corps bronzé : elle ne fait pas
d'intégral. Elle file sous la douche, je ne la vois plus.
Bien entendu, je prends mon temps et la laisse un peu languir. Mais je suis vite à
poil et je file dans la cabine moi aussi, l'unique cabine. Le vacarme de l'eau couvre
toute velléité de dialogue. La cabine est obscure et on n'y voit rien sous les jets.
Je me doute bien que c'est elle et je crois bien qu'elle aussi sait que c'est moi.
D'ailleurs, je sens bien qu'elle s'en assure. Ma bite est au rendez-vous. Elle la
savonne. Je lui confisque le savon. Je parcours ses seins, lourds, bas, plantureux. Ma
main ensavonnée passe sur sa chatte, glabre, juste piquante de petits poils nouveaux
nés, dressés et durs.
Les mains et les seins contre le carrelage froid elle cambre les fesses et moi je
rentre, sous le jet chaud de la douche, ma bite en elle. Contre moi elle est glissante
de savon. On n'y voit rien mais je sens ses chairs qui me serrent. Elle reste coite.
Moi je cherche à aller plus à fond. Je sens au fond d'elle, sur le devant, le dur sur
quoi mon gland bute. Ses deux mains viennent en arrière et empaument mes fesses. Cela
suffit pour que je m'éclate violemment. Je décharge à grandes lancées dans le devant
de son ventre qui s'est ouvert et m'accueille en pulsant comme le balancier d'une
horloge comtoise.
Bien entendu nous entendons alors la triplette suivante qui vient d'arriver et discute
le score en enlevant ses chaussures.
La douche siffle et chante au dessus de nous. L'apaisement n'a pas le temps de venir
qu'il faut déjà laisser la place aux trois filles à poil qui rigolent en attendant la
place.
Ma bite est redevenue présentable et nous sortons tous mouillés devant les suivantes,
complices et gaies. On voit bien qu'elles sont bien copines et vont, elles aussi,
s'amuser ensemble sous la douche.
Le golf, je vous dis pas comme c'est bien comme sport...
jpj, Montpellier 12/2012
Le golf, c'est un état d'esprit : dans le coffre de l'auto, on a quelques canes, le
sept, un put, un pitch, un drive sérieux et puis un fer cinq et ça suffit. Quelques
balles, les godasses et t'es prêt. Toujours prêt, comme les scouts...
Au golf on n'a pas besoin de s'organiser. On arrive, on dit je fais un départ et on y
va, comme ça, à sec, sans préliminaires.
C'est pas comme au tennis où tu dois te prévoir un partenaire, réserver un court, te
changer, le short, le polo, les chaussures. Pareil dans plein d'autres sports, foot,
rugby, même vélo...
Au golf rien de tout ça, tu viens surtout pas accompagné car c'est le terrain idéal
pour rencontrer. Parce que, ce que, toi, tu as compris, rassure-toi, les gonzesses
l'ont compris aussi.
Alors t'es là, tu traines au départ, voilà une dame bcbg qui t'arrive et te demande si
par hasard...
D'autres fois, tu pars tout seul et bientôt te voilà au cul d'une paire qui rame. Le
mec est sympa, tu fais copain et vous faites triplette ; au 9me trou vous êtes
intimes, au 18me, la poulette est mure et t'as plus qu'à lui glisser ton portable.
T'as pas encore changé tes chaussures que déjà elle t'èsèmesse où s'que tu vas diner
ce soir.
Mais le plus extra, c'est le vestiaire du club-house : au golf, le vestiaire c'est
mixte.
Au tennis, t'as les douches pour les filles et les douches pour nous les mecs. Pas au
golf ! Va savoir pourquoi, au golf, les vestiaires sont toujours mixtes...
Hier, j'étais en train de ranger mes balles, en slip, avant de prendre ma douche . La
fille entre dans le vestiaire, m'ignore superbement, enlève laborieusement ses
chaussures, pliée en deux, les seins bas et lourds, just'à coté de moi. Elle défait sa
jupe fluide et longue. Elle est en culotte blanche, le polo cachant à peine sa motte
large, pleine, proéminente. Elle se tourne et farfouille dans son sac, me présentant
un fessier charnu et musclé. Savon en main, une serviette dans l'autre, elle file à la
douche, me grillant la politesse. Je la matte qui tombe le polo, le soutif et règle la
température de l'eau. Quand tout est bien, elle descend le slip et l'accroche au
porte-manteau. Ses fesses sont blanches sur son corps bronzé : elle ne fait pas
d'intégral. Elle file sous la douche, je ne la vois plus.
Bien entendu, je prends mon temps et la laisse un peu languir. Mais je suis vite à
poil et je file dans la cabine moi aussi, l'unique cabine. Le vacarme de l'eau couvre
toute velléité de dialogue. La cabine est obscure et on n'y voit rien sous les jets.
Je me doute bien que c'est elle et je crois bien qu'elle aussi sait que c'est moi.
D'ailleurs, je sens bien qu'elle s'en assure. Ma bite est au rendez-vous. Elle la
savonne. Je lui confisque le savon. Je parcours ses seins, lourds, bas, plantureux. Ma
main ensavonnée passe sur sa chatte, glabre, juste piquante de petits poils nouveaux
nés, dressés et durs.
Les mains et les seins contre le carrelage froid elle cambre les fesses et moi je
rentre, sous le jet chaud de la douche, ma bite en elle. Contre moi elle est glissante
de savon. On n'y voit rien mais je sens ses chairs qui me serrent. Elle reste coite.
Moi je cherche à aller plus à fond. Je sens au fond d'elle, sur le devant, le dur sur
quoi mon gland bute. Ses deux mains viennent en arrière et empaument mes fesses. Cela
suffit pour que je m'éclate violemment. Je décharge à grandes lancées dans le devant
de son ventre qui s'est ouvert et m'accueille en pulsant comme le balancier d'une
horloge comtoise.
Bien entendu nous entendons alors la triplette suivante qui vient d'arriver et discute
le score en enlevant ses chaussures.
La douche siffle et chante au dessus de nous. L'apaisement n'a pas le temps de venir
qu'il faut déjà laisser la place aux trois filles à poil qui rigolent en attendant la
place.
Ma bite est redevenue présentable et nous sortons tous mouillés devant les suivantes,
complices et gaies. On voit bien qu'elles sont bien copines et vont, elles aussi,
s'amuser ensemble sous la douche.
Le golf, je vous dis pas comme c'est bien comme sport...
jpj, Montpellier 12/2012
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