Les contes de la main gauche : la petite boulangère
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2012 dans la catégorie En solitaire
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Les contes de la main gauche : la petite boulangère
jpj, Montpellier 11/2012
Le boulanger est un grand type costaud plein de farine genre farouche et pas très
convivial. Heureusement il est occupé, derrière, à ses fournées, et on ne le voit
quasiment pas.
Dans la boulangerie il fait toujours très chaud, même en plein hiver. Ca tient au
four. Un grand four qui occupe entièrement l'arrière boutique, en contrebas.
La petite boulangère s'affaire dans la boutique à servir les clients.
Le boulanger c'est un gars qui connait son affaire. Pour le pain d'abord. Son pain est
léger, plein de mie fine et de croute blonde croustillante. Son pain est bon à la
main, à tater, à presser, à serrer. Son pain est chaud, tendre à souhait. Son pain
sent le bon pain et on se régale d'en croquer le bout rond et gouteux comme un téton
de femme mariée.
Mais le gars il connait aussi son affaire en matière de petites boulangères.
La petite boulangère, comme son nom l'indique c'est une petite. C'est une caille, un
pigeonneau, une poulette, un agneau de lait, enfin une tendresse d'à peine seize dix-
sept ans mais déjà bien faite et appétissante. Comment ce grand rustre de boulanger se
débrouille-t-il pour toujours se dégotter des petites boulangères à faire chalander
tout le quartier ?
En plus, je ne sais pas si c'est dans le CDD à la rubrique vêtements de travail, mais
c'est chaque fois pareil, il fournit la blouse mais pas le soutien-gorge.
La fille a de grands yeux bleus et surtout de beaux nibars d'adolescente en pleine
santé qui tiennent bien droit et pommellent la blouse rose effrontément. Souvent elle
coupe une miche serrée contre elle, barbouillant son abdomen de guèpe avec la farine.
La blouse rose est un vrai tableau hyperréaliste où la poudre blanche dessine les
reliefs. Le grand couteau scie, les miettes tombent, l'odeur du pain, le sourire de la
fille et ses seins qui s'écrasent sous l'effort, toute la boutique bande devant la
petite boulangère qui ne voit rien toute à son affaire de pain à couper.
Bien entendu au bout d'un moment il s'en trouve un qui l'attend à la fermeture à
vouloir l'emmener. Le boulanger il connait la chanson et il fait sa dernière fournée
en avance pour veiller au grain. Il est là et il rend la monnaie et il sert les
clients et il dit à la fille, va tu peux aller te changer je finis.
L'été la boutique c'est fournaise. La petite, sous sa bouse n'a plus que sa culotte.
Elle sait que sa culotte sent le pain. Son copain le lui dit le soir. Son copain il
aime ça l'odeur du pain. Et elle, la petite, elle aime bien que son copain il aime
l'odeur du pain. Elle arrive sur sa mob et son copain la bouffe de partout tant il
aime l'odeur, le goût du pain.
Dans la boutique, la blouse rose vole. Les boutons ne descendent guère. Et puis il
fait si chaud. Les clients matent. La fille ne voit rien et buzze d'un comptoir à un
autre, servant les pains. La culotte, le devant, le derrière, les pans roses de la
blouse qui s'écartent, trois poils que l'on aperçoit sur le coté, un contrejour
indiscret et le creux en haut entre les cuisses, les fesses bien emboitées, les
fesses rebondies, un beau cul pensent-ils...
La petite boulangère ne travaille que le matin ; à midi en famille ils bouffent les
invendus, des pizzas, des quiches, des roulés au fromage. Après ça les autres vont
bosser et elle, qui est crevée, fait la sieste pour récupérer de s'être levée si tôt.
Sur son lit le soleil fait une grande tache de lumière. Elle se coule sous la couette
après avoir posé sa robe sur la chaise. Sa culotte est toute moite de la chaleur de la
boulangerie. Elle l'a gardée. Elle aime bien ce mouillé entre ses cuisses et cette
garde autour de son intimité qui la protège ici encore comme ce matin sous le regard
des hommes.
Les hommes ne le savent pas mais elle, dans la boulangerie, elle les voit. Ils ont les
yeux sur ses seins, sur ses tétons qui crèvent le rose du devant, sur ses jambes et
sur les fugitives apparitions du blanc de sa culotte. Mais elle regarde dans le
miroir, quand elle se retourne, les yeux des hommes, ces paires d'yeux toutes
parallèles braquées sur ses fesses.
Dans le lit, ici, le nez dans l'oreiller pour trouver un peu d'obscurité, elle pose sa
main sur le gousset. Elle sait bien que ce n'est pas seulement la chaleur qui a trempé
sa culotte. Le coton épouse ses creux et ses doigts poussent pour entrer. Elle lève
les fesses, cambrée. Elle pense à son copain qui la broute mais n'a pas encore osé
l'aimer. Elle pense à sa bite qu'elle connait, qu'elle caresse et qu'elle branle pour
faire venir le jus. Elle pense au jus qu'elle boit, ses lèvres pudiquement collées au
gland.
Elle revient de sa main sur son ventre, elle redescend en entrant dans la culotte. Ses
doigts peignent la touffe humide et filent sur sa motte charnue et sa fente visqueuse.
Elle passe le majeur sous la languette et la ramène vers elle, doucement. Le bouton
est à vif mais tout mouillé de ses fantasmes. Elle passe, repasse et pense aux hommes
de la boulangerie. Elle se dit que chacun d'entre eux pourrait être là derrière elle,
la couvrir et entrer en elle et donner ce qu'il a à donner, dans l'odeur du pain et de
la farine.
Sa main va et vient et sa jeunesse l'amène tout de suite à l'extase et aux soubresauts
de son ventre. Elle s’endort la main en coque sur le coton gonflé, deux doigts sur la
source de son bonheur.
Le boulanger est un grand type costaud plein de farine genre farouche et pas très
convivial. Heureusement il est occupé, derrière, à ses fournées, et on ne le voit
quasiment pas.
Dans la boulangerie il fait toujours très chaud, même en plein hiver. Ca tient au
four. Un grand four qui occupe entièrement l'arrière boutique, en contrebas.
La petite boulangère s'affaire dans la boutique à servir les clients.
Le boulanger c'est un gars qui connait son affaire. Pour le pain d'abord. Son pain est
léger, plein de mie fine et de croute blonde croustillante. Son pain est bon à la
main, à tater, à presser, à serrer. Son pain est chaud, tendre à souhait. Son pain
sent le bon pain et on se régale d'en croquer le bout rond et gouteux comme un téton
de femme mariée.
Mais le gars il connait aussi son affaire en matière de petites boulangères.
La petite boulangère, comme son nom l'indique c'est une petite. C'est une caille, un
pigeonneau, une poulette, un agneau de lait, enfin une tendresse d'à peine seize dix-
sept ans mais déjà bien faite et appétissante. Comment ce grand rustre de boulanger se
débrouille-t-il pour toujours se dégotter des petites boulangères à faire chalander
tout le quartier ?
En plus, je ne sais pas si c'est dans le CDD à la rubrique vêtements de travail, mais
c'est chaque fois pareil, il fournit la blouse mais pas le soutien-gorge.
La fille a de grands yeux bleus et surtout de beaux nibars d'adolescente en pleine
santé qui tiennent bien droit et pommellent la blouse rose effrontément. Souvent elle
coupe une miche serrée contre elle, barbouillant son abdomen de guèpe avec la farine.
La blouse rose est un vrai tableau hyperréaliste où la poudre blanche dessine les
reliefs. Le grand couteau scie, les miettes tombent, l'odeur du pain, le sourire de la
fille et ses seins qui s'écrasent sous l'effort, toute la boutique bande devant la
petite boulangère qui ne voit rien toute à son affaire de pain à couper.
Bien entendu au bout d'un moment il s'en trouve un qui l'attend à la fermeture à
vouloir l'emmener. Le boulanger il connait la chanson et il fait sa dernière fournée
en avance pour veiller au grain. Il est là et il rend la monnaie et il sert les
clients et il dit à la fille, va tu peux aller te changer je finis.
L'été la boutique c'est fournaise. La petite, sous sa bouse n'a plus que sa culotte.
Elle sait que sa culotte sent le pain. Son copain le lui dit le soir. Son copain il
aime ça l'odeur du pain. Et elle, la petite, elle aime bien que son copain il aime
l'odeur du pain. Elle arrive sur sa mob et son copain la bouffe de partout tant il
aime l'odeur, le goût du pain.
Dans la boutique, la blouse rose vole. Les boutons ne descendent guère. Et puis il
fait si chaud. Les clients matent. La fille ne voit rien et buzze d'un comptoir à un
autre, servant les pains. La culotte, le devant, le derrière, les pans roses de la
blouse qui s'écartent, trois poils que l'on aperçoit sur le coté, un contrejour
indiscret et le creux en haut entre les cuisses, les fesses bien emboitées, les
fesses rebondies, un beau cul pensent-ils...
La petite boulangère ne travaille que le matin ; à midi en famille ils bouffent les
invendus, des pizzas, des quiches, des roulés au fromage. Après ça les autres vont
bosser et elle, qui est crevée, fait la sieste pour récupérer de s'être levée si tôt.
Sur son lit le soleil fait une grande tache de lumière. Elle se coule sous la couette
après avoir posé sa robe sur la chaise. Sa culotte est toute moite de la chaleur de la
boulangerie. Elle l'a gardée. Elle aime bien ce mouillé entre ses cuisses et cette
garde autour de son intimité qui la protège ici encore comme ce matin sous le regard
des hommes.
Les hommes ne le savent pas mais elle, dans la boulangerie, elle les voit. Ils ont les
yeux sur ses seins, sur ses tétons qui crèvent le rose du devant, sur ses jambes et
sur les fugitives apparitions du blanc de sa culotte. Mais elle regarde dans le
miroir, quand elle se retourne, les yeux des hommes, ces paires d'yeux toutes
parallèles braquées sur ses fesses.
Dans le lit, ici, le nez dans l'oreiller pour trouver un peu d'obscurité, elle pose sa
main sur le gousset. Elle sait bien que ce n'est pas seulement la chaleur qui a trempé
sa culotte. Le coton épouse ses creux et ses doigts poussent pour entrer. Elle lève
les fesses, cambrée. Elle pense à son copain qui la broute mais n'a pas encore osé
l'aimer. Elle pense à sa bite qu'elle connait, qu'elle caresse et qu'elle branle pour
faire venir le jus. Elle pense au jus qu'elle boit, ses lèvres pudiquement collées au
gland.
Elle revient de sa main sur son ventre, elle redescend en entrant dans la culotte. Ses
doigts peignent la touffe humide et filent sur sa motte charnue et sa fente visqueuse.
Elle passe le majeur sous la languette et la ramène vers elle, doucement. Le bouton
est à vif mais tout mouillé de ses fantasmes. Elle passe, repasse et pense aux hommes
de la boulangerie. Elle se dit que chacun d'entre eux pourrait être là derrière elle,
la couvrir et entrer en elle et donner ce qu'il a à donner, dans l'odeur du pain et de
la farine.
Sa main va et vient et sa jeunesse l'amène tout de suite à l'extase et aux soubresauts
de son ventre. Elle s’endort la main en coque sur le coton gonflé, deux doigts sur la
source de son bonheur.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe une fois encore!
et si la foufoune de la petite boulangère etait fate de mie de pain?
et si la foufoune de la petite boulangère etait fate de mie de pain?