Les contes de la main gauche : la vendeuse de jeans
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2012 dans la catégorie Plus on est
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Les contes de la main gauche : la vendeuse de jeans
jpj, Montpellier 11/2012
C'était un magasin de jeans dans la vieille ville. Ce qui surprenait en entrant,
c'était l'odeur d'encens, de bougies bobo et de papier d'Arménie. Les lumières aussi,
comme dans une caverne d'Ali Baba, multicolores et dispersées dans tous les coins.
Vu que c'était un magasin de jean, il y avait une vendeuse pour faire essayer les
jeans et donner son avis.
Tout le monde à Montpellier connaissait ce magasin de jeans et pas un gars n'aurait
été ailleurs pour s'acheter un jean.
Pas une fille non plus.
On en parlait, on se racontait, on se vantait, on disait ses bonnes aventures dans la
cabine d'essayage.
On y venait seul ou avec un copain ou avec une copine. Mais toujours, ça finissait
qu'on repartait un grand sac en papier aux armes du magasin à la main avec un jean
dedans. Et plutôt content de son achat.
La première fois que j'ai voulu m'acheter un jean, c'est là que je suis allé. La fille
m'a accueilli d'un bon sourire et m'a dit, je change de disque, qu'est-ce que t'aimes
et elle m'a mis dans les mains une brassée de vinyles. J'ai proposé un ACDC. Elle a
poussé le son c'était super.
Elle m'a mis les mains à la taille et m'a dit tu fais un 42, voilà l'étagère. Des
jeans, il y avait des noirs, des bleus, des machins, des trucs.
Elle m'a dit, monté comme t'es, te faut du Levy-Strauss. Et elle a sorti deux ou trois
futals, m'a poussé dans un coin sombre et m'a dit va rentre là, passe les et viens te
montrer.
Quand elle m'a vu fagoté dans le premier, elle m'a immédiatement défait le bouton
d'acier de la ceinture, a descendu le zip et a passé ses deux mains pour me remonter
le paquet. Elle a dit, voilà, tu présentes mieux !
Mais a dit aussi, ce jean ne te va pas pas bien, il t'écrase les fesses et c'est
dommage avec le petit cul de minet que t'as.
M'en parlez pas, j'ai pas pu fermer le jean suivant tellement je bandais. J'ai dis,
celui-là n'est pas à ma taille. Elle m'a dit faut voir. Et elle m'a attrapé à travers
le slip et de trois coups de sa main droite m'a amené la tête au balcon, le col
retroussé. Elle a mis le pouce de sa main gauche dans ma bouche et m'a dit suce bébé.
J'ai sucé. Elle a descendu sa main et a passé le pouce mouillé sur mon gland, d'un
coté à l'autre en effleurant le trou du dessus. Ca n'a pas raté, je me suis senti
partir et j'ai donné. Elle était déjà à genoux pour ne rien laisser perdre.
Quand j'ai été calmé, elle a tout remballé et elle a dit, voilà, ce jean est parfait.
Viens dans la boutique, marche un peu et regarde toi dans la grande glace. Je me
regardais. Elle était derrière moi. Elle a passé ses bras autour de mes hanches et
voilà qu'elle y revient, me déboutonne un à un la braguette et me passe encore les
mains dans le slip. Elle me dit, tu portes à gauche, ce sera plus confortable et puis,
plus seyant, si les filles te regardent.
Quand j'ai payé elle m'a dit, je vais t'établir une carte de fidélité. Elle a pris mon
téléphone et mon mail et m'a donné les siens.
Plus tard j'y suis allé avec une copine qui voulait s'acheter un jean. Je me suis dit
avec une gonzesse, elle se tiendra tranquille. Surtout que la copine en question
c'était une copine que je ne connaissais pas encore, enfin quoi, juste une copine.
Je ne sais pas si elle m'a vraiment reconnu ou si elle faisait le coup à tout le monde
mais elle m'a reçu comme si nous étions amis de vingt ans.
Elle a dit à ma copine, va enlève ta jupe que je voie comment tu es faite et ce qui te
conviendra. Et sans attendre, au milieu de la boutique, elle a dénoué la ceinture de
tissu de la jupe et l'a déroulée des hanches de ma copine. En teeshirt culotte la
copine était plutôt appétissante, menue avec de beaux seins qui remplissent bien le
soutif et de grandes fesses musclées qui tendent la culotte.
La vendeuse pose la jupe sur le comptoir, elle vient devant ma copine et lui prend les
deux fesses en main, comme ça, comme pour la soulever en la serrant contre elle et en
frottant son jean sur le devant de la culotte. Elle a dit il te faut un 36 large mais
pas dans n'importe quelle marque. Ton cul est magnifique mais il te faut pouvoir le
rentrer et que tu sois à l'aise.
Elle lui a dit, je vais te filer un string, sinon le jean va te coller les fesses
l'une contre l'autre et ce sera pas joli et en plus pas sympa à porter. Un jean faut
que ça t'ouvre le postérieur profond, que ça donne envie de visiter.
Ma copine elle ne disait rien mais on voyait qu'elle était contente d'être prise en
main. Elles sont allées dans la cabine pour passer le string et j'entendais que ça
rigolait. La vendeuse disait à ma copine mais c'est pas possible cette touffe que
t'as, te faut déblayer tout ça, tu pourras jamais te présenter en string à un homme.
Enfin ma copine est venue parader avec son nouveau jean noir, qui lui collait à la
peau et lui dégageait les fesses, bien écartées, bien ouvertes, la couture
profondément enfouie. Devant il n'y avait pas de braguette et son pubis gonflait
l'étoffe. La fermeture était zippée par coté, des deux cotés, sur les hanches.
Moi, je me disais que ce serait dommage de ne pas garder cette touffe qui mettait en
valeur son ventre plat, presque creux et musclé. La vendeuse a fait cadeau du string
car j'étais un client fidèle...
Mais faut reconnaître que c'est le jour où j'y suis allé avec un copain qu'on a eu
l'apothéose. D'abord ce jour là il y avait affluence dans le magasin de jeans. Comme
d'habitude elle m'a reconnu et m'a fait fête ; elle m'a dit, toi et ton copain vous
tombez bien, j'ai là un bus de Japonaises. Là -bas au Japon, il existe une sorte de
guide du routard ; je ne sais pas ce qu'ils y racontent mais les Japonaises qui
viennent à Montpellier veulent toutes m'acheter un jean. Vous allez me donner un coup
de main.
C'est pas compliqué, elles sont toutes foutues pareil avec des gros culs et de petites
jambes, les seuls jeans qui leur vont bien c'est les Wrangler low ; il y a deux
coloris grand teint ou délavé. Vu qu'elles entravent que dalle au français, je vous
donne la bonne taille, vous leur faites essayer puis choisir la couleur et vous me les
envoyez à la caisse.
Comme à l'usine, comme à la chaîne on a pris chacun sa première Jap direction les
cabines d'essayage avec 2 jeans sous le bras et l'autre bras à la taille de la fille,
ravie.
C'étaient des filles jeunes, qui parlaient anglais, des étudiantes d'une école
d'ingénieurs d'Osaka. C'est vrai qu'elles étaient toutes sur le même moule et
habillées pareil avec des jupettes courtes et des chaussettes hautes qui leur
pendouillaient sur les cuisses. Pas mal les grandes chaussettes blanches quand elles
se sont mises en slip dans la cabine pour passer le jean. On est intervenus pour
qu'elles enlèvent aussi les chaussettes. On les a aidé à boucler les boutons. On les
faisait sortir dans la boutique pour parader devant leurs copines et s'admirer dans la
glace. On faisait 2 tours, grand teint et délavé, et on faisait voter le troupeau à
l'applaudimètre. Quand on revenait à la cabine on leur enlevait le jean en passant les
mains partout. Elles étaient aux anges.
En une heure de temps, on les avait toutes équipées et elles attendaient sagement, en
rang par deux devant la boutique. On en avait repéré deux qu'on s'est gardées dans
l'arrière boutique.
La vendeuse a « fait » sa caisse, baissé son rideau et nous a rejoints. Les
Japonaises, la vendeuse et nous, on était cinq, le nombre magique.
Dans cet entrepôt il y avait des tissus partout par terre. La vendeuse a mis de la
musique orientale, a allumé deux trois bougies odorantes. Les Japonaises étaient
subjuguées par tant d'exotisme. Elles ont oté leurs chaussures et les ont rangées en
ringuette contre le mur avec les sacs en papier aux armes de la boutique avec les
jeans dedans. Elles étaient assises en lotus, serrées l'une contre l'autre, leurs
chaussettes sur leurs cuisses et leurs cuisses ouvertes et les jupes bleues largement
troussées et les culottes en panorama.
La vendeuse, on voyait bien qu'elle était émue par la situation. Elle nous a fait un
effeuillage oriental puis, en string, une danse du ventre « comme là-bas... » Elle
avait des seins lourds avec de grandes aréoles brunes. Les deux filles n'avaient
probablement jamais vu ça et en bavaient les yeux ronds. Ce qui fait drôle des Japs
aux yeux ronds.
Quand le disque a été fini, les petites ont voulu nous faire, elles aussi un
spectacle.
Pendant que mon copain et moi on tripotait la vendeuse, qu'on la bisouillait, qu'on
lui tirait son string pour toucher ce qu'il y avait dedans, qu'on lui suçotait les
tétons, allongés tous les trois sur les tissus par terre
Pendant ce temps les filles avaient tombé leurs culottes et leur jupes. En chemisier
blanc et grandes chaussettes, la touffe noire épaisse cachant leur intimité, elles
nous ont fait un festival, aux lumières dansantes des bougies, des danses style GRS de
leur pays.
On voyait bien que la vendeuse n'avait pas eu son content. Elle restait là alanguie,
allongée sur le dos, le poitrail encadré de ses deux gros seins qui pesaient par coté.
Je ne sais pas ce qui a déclenché mais en quelques secondes les deux filles étaient à
genoux de chaque coté et suçaient les tétons de la vendeuse.
Les deux tétons étaient devenus noirs et géants et durs. Les deux filles tripotaient
les gros seins mous à deux mains. Les deux filles étaient pareilles, symétriques, les
fesses en l'air, la tête dans le mou comme dans des oreillers. Les chaussettes
arrivaient à mi cuisse, les sombres replis velus étaient exposés, offerts, cambrés.
La vendeuse avait la main entre les cuisses et se complétait personnellement son émoi
elle-même.
Mon copain et moi on a compris que l'heure de la mondialisation avait sonné.
Et on a sorti nos arbalètes.
C'était un magasin de jeans dans la vieille ville. Ce qui surprenait en entrant,
c'était l'odeur d'encens, de bougies bobo et de papier d'Arménie. Les lumières aussi,
comme dans une caverne d'Ali Baba, multicolores et dispersées dans tous les coins.
Vu que c'était un magasin de jean, il y avait une vendeuse pour faire essayer les
jeans et donner son avis.
Tout le monde à Montpellier connaissait ce magasin de jeans et pas un gars n'aurait
été ailleurs pour s'acheter un jean.
Pas une fille non plus.
On en parlait, on se racontait, on se vantait, on disait ses bonnes aventures dans la
cabine d'essayage.
On y venait seul ou avec un copain ou avec une copine. Mais toujours, ça finissait
qu'on repartait un grand sac en papier aux armes du magasin à la main avec un jean
dedans. Et plutôt content de son achat.
La première fois que j'ai voulu m'acheter un jean, c'est là que je suis allé. La fille
m'a accueilli d'un bon sourire et m'a dit, je change de disque, qu'est-ce que t'aimes
et elle m'a mis dans les mains une brassée de vinyles. J'ai proposé un ACDC. Elle a
poussé le son c'était super.
Elle m'a mis les mains à la taille et m'a dit tu fais un 42, voilà l'étagère. Des
jeans, il y avait des noirs, des bleus, des machins, des trucs.
Elle m'a dit, monté comme t'es, te faut du Levy-Strauss. Et elle a sorti deux ou trois
futals, m'a poussé dans un coin sombre et m'a dit va rentre là, passe les et viens te
montrer.
Quand elle m'a vu fagoté dans le premier, elle m'a immédiatement défait le bouton
d'acier de la ceinture, a descendu le zip et a passé ses deux mains pour me remonter
le paquet. Elle a dit, voilà, tu présentes mieux !
Mais a dit aussi, ce jean ne te va pas pas bien, il t'écrase les fesses et c'est
dommage avec le petit cul de minet que t'as.
M'en parlez pas, j'ai pas pu fermer le jean suivant tellement je bandais. J'ai dis,
celui-là n'est pas à ma taille. Elle m'a dit faut voir. Et elle m'a attrapé à travers
le slip et de trois coups de sa main droite m'a amené la tête au balcon, le col
retroussé. Elle a mis le pouce de sa main gauche dans ma bouche et m'a dit suce bébé.
J'ai sucé. Elle a descendu sa main et a passé le pouce mouillé sur mon gland, d'un
coté à l'autre en effleurant le trou du dessus. Ca n'a pas raté, je me suis senti
partir et j'ai donné. Elle était déjà à genoux pour ne rien laisser perdre.
Quand j'ai été calmé, elle a tout remballé et elle a dit, voilà, ce jean est parfait.
Viens dans la boutique, marche un peu et regarde toi dans la grande glace. Je me
regardais. Elle était derrière moi. Elle a passé ses bras autour de mes hanches et
voilà qu'elle y revient, me déboutonne un à un la braguette et me passe encore les
mains dans le slip. Elle me dit, tu portes à gauche, ce sera plus confortable et puis,
plus seyant, si les filles te regardent.
Quand j'ai payé elle m'a dit, je vais t'établir une carte de fidélité. Elle a pris mon
téléphone et mon mail et m'a donné les siens.
Plus tard j'y suis allé avec une copine qui voulait s'acheter un jean. Je me suis dit
avec une gonzesse, elle se tiendra tranquille. Surtout que la copine en question
c'était une copine que je ne connaissais pas encore, enfin quoi, juste une copine.
Je ne sais pas si elle m'a vraiment reconnu ou si elle faisait le coup à tout le monde
mais elle m'a reçu comme si nous étions amis de vingt ans.
Elle a dit à ma copine, va enlève ta jupe que je voie comment tu es faite et ce qui te
conviendra. Et sans attendre, au milieu de la boutique, elle a dénoué la ceinture de
tissu de la jupe et l'a déroulée des hanches de ma copine. En teeshirt culotte la
copine était plutôt appétissante, menue avec de beaux seins qui remplissent bien le
soutif et de grandes fesses musclées qui tendent la culotte.
La vendeuse pose la jupe sur le comptoir, elle vient devant ma copine et lui prend les
deux fesses en main, comme ça, comme pour la soulever en la serrant contre elle et en
frottant son jean sur le devant de la culotte. Elle a dit il te faut un 36 large mais
pas dans n'importe quelle marque. Ton cul est magnifique mais il te faut pouvoir le
rentrer et que tu sois à l'aise.
Elle lui a dit, je vais te filer un string, sinon le jean va te coller les fesses
l'une contre l'autre et ce sera pas joli et en plus pas sympa à porter. Un jean faut
que ça t'ouvre le postérieur profond, que ça donne envie de visiter.
Ma copine elle ne disait rien mais on voyait qu'elle était contente d'être prise en
main. Elles sont allées dans la cabine pour passer le string et j'entendais que ça
rigolait. La vendeuse disait à ma copine mais c'est pas possible cette touffe que
t'as, te faut déblayer tout ça, tu pourras jamais te présenter en string à un homme.
Enfin ma copine est venue parader avec son nouveau jean noir, qui lui collait à la
peau et lui dégageait les fesses, bien écartées, bien ouvertes, la couture
profondément enfouie. Devant il n'y avait pas de braguette et son pubis gonflait
l'étoffe. La fermeture était zippée par coté, des deux cotés, sur les hanches.
Moi, je me disais que ce serait dommage de ne pas garder cette touffe qui mettait en
valeur son ventre plat, presque creux et musclé. La vendeuse a fait cadeau du string
car j'étais un client fidèle...
Mais faut reconnaître que c'est le jour où j'y suis allé avec un copain qu'on a eu
l'apothéose. D'abord ce jour là il y avait affluence dans le magasin de jeans. Comme
d'habitude elle m'a reconnu et m'a fait fête ; elle m'a dit, toi et ton copain vous
tombez bien, j'ai là un bus de Japonaises. Là -bas au Japon, il existe une sorte de
guide du routard ; je ne sais pas ce qu'ils y racontent mais les Japonaises qui
viennent à Montpellier veulent toutes m'acheter un jean. Vous allez me donner un coup
de main.
C'est pas compliqué, elles sont toutes foutues pareil avec des gros culs et de petites
jambes, les seuls jeans qui leur vont bien c'est les Wrangler low ; il y a deux
coloris grand teint ou délavé. Vu qu'elles entravent que dalle au français, je vous
donne la bonne taille, vous leur faites essayer puis choisir la couleur et vous me les
envoyez à la caisse.
Comme à l'usine, comme à la chaîne on a pris chacun sa première Jap direction les
cabines d'essayage avec 2 jeans sous le bras et l'autre bras à la taille de la fille,
ravie.
C'étaient des filles jeunes, qui parlaient anglais, des étudiantes d'une école
d'ingénieurs d'Osaka. C'est vrai qu'elles étaient toutes sur le même moule et
habillées pareil avec des jupettes courtes et des chaussettes hautes qui leur
pendouillaient sur les cuisses. Pas mal les grandes chaussettes blanches quand elles
se sont mises en slip dans la cabine pour passer le jean. On est intervenus pour
qu'elles enlèvent aussi les chaussettes. On les a aidé à boucler les boutons. On les
faisait sortir dans la boutique pour parader devant leurs copines et s'admirer dans la
glace. On faisait 2 tours, grand teint et délavé, et on faisait voter le troupeau à
l'applaudimètre. Quand on revenait à la cabine on leur enlevait le jean en passant les
mains partout. Elles étaient aux anges.
En une heure de temps, on les avait toutes équipées et elles attendaient sagement, en
rang par deux devant la boutique. On en avait repéré deux qu'on s'est gardées dans
l'arrière boutique.
La vendeuse a « fait » sa caisse, baissé son rideau et nous a rejoints. Les
Japonaises, la vendeuse et nous, on était cinq, le nombre magique.
Dans cet entrepôt il y avait des tissus partout par terre. La vendeuse a mis de la
musique orientale, a allumé deux trois bougies odorantes. Les Japonaises étaient
subjuguées par tant d'exotisme. Elles ont oté leurs chaussures et les ont rangées en
ringuette contre le mur avec les sacs en papier aux armes de la boutique avec les
jeans dedans. Elles étaient assises en lotus, serrées l'une contre l'autre, leurs
chaussettes sur leurs cuisses et leurs cuisses ouvertes et les jupes bleues largement
troussées et les culottes en panorama.
La vendeuse, on voyait bien qu'elle était émue par la situation. Elle nous a fait un
effeuillage oriental puis, en string, une danse du ventre « comme là-bas... » Elle
avait des seins lourds avec de grandes aréoles brunes. Les deux filles n'avaient
probablement jamais vu ça et en bavaient les yeux ronds. Ce qui fait drôle des Japs
aux yeux ronds.
Quand le disque a été fini, les petites ont voulu nous faire, elles aussi un
spectacle.
Pendant que mon copain et moi on tripotait la vendeuse, qu'on la bisouillait, qu'on
lui tirait son string pour toucher ce qu'il y avait dedans, qu'on lui suçotait les
tétons, allongés tous les trois sur les tissus par terre
Pendant ce temps les filles avaient tombé leurs culottes et leur jupes. En chemisier
blanc et grandes chaussettes, la touffe noire épaisse cachant leur intimité, elles
nous ont fait un festival, aux lumières dansantes des bougies, des danses style GRS de
leur pays.
On voyait bien que la vendeuse n'avait pas eu son content. Elle restait là alanguie,
allongée sur le dos, le poitrail encadré de ses deux gros seins qui pesaient par coté.
Je ne sais pas ce qui a déclenché mais en quelques secondes les deux filles étaient à
genoux de chaque coté et suçaient les tétons de la vendeuse.
Les deux tétons étaient devenus noirs et géants et durs. Les deux filles tripotaient
les gros seins mous à deux mains. Les deux filles étaient pareilles, symétriques, les
fesses en l'air, la tête dans le mou comme dans des oreillers. Les chaussettes
arrivaient à mi cuisse, les sombres replis velus étaient exposés, offerts, cambrés.
La vendeuse avait la main entre les cuisses et se complétait personnellement son émoi
elle-même.
Mon copain et moi on a compris que l'heure de la mondialisation avait sonné.
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