Les contes de la main gauche : les jumelles
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les contes de la main gauche : les jumelles
jpj, Montpellier 10/2012
Ma sœur et moi, on a toujours été coquines. Quand on était ado on se partageait toujours les garçons et même aussi quelques filles.
Maintenant elle est mariée, elle habite Paris et moi je suis encore chez papa-maman à Montpellier.
Mais son mari, elle se l'est bien gardé pour elle et je n'ai jamais eu le droit d'y toucher.
Voilà qu'un jour elle vient passer la Toussaint en laissant le mari à Paris. La Toussaint à Montpellier, c'est l'hiver froid et pluvieux. Ca ne dure pas longtemps l'hiver à Montpellier, quelques semaines tout au plus. Mais la pluie c'est déluge et le froid est venteux et pénible.
On était là, à la maison, devant la cheminée flamboyante et voilà que mon copain arrive me chercher pour diner à la ville avec la bande avant d'aller danser. Ma sœur bondit et me dit, je vais l'accueillir. Moi j'ai compris qu'elle voulait encore jouer comme avant à faire accroire au gars qu'elle était moi. J'aurais du me méfier car on n'est plus des gamines et le jeu risquait d'être plus sérieux et plus dangereux.
Elle a fermé la porte du séjour et je l'ai entendue ouvrir la porte d'entrée. Mon copain, quand il me voit, il ne me bise pas. Il envoie direct sa main sous mes jupes, il monte à mon ventre, glisse dans ma culotte et m'enfile sans plus de cérémonie deux doigts dans la fleur. Il me prend par la taille et là seulement il daigne m'honorer d'un palot mouillé.
Je pensais que ma sœur allait être bien surprise.
En fait, pas du tout, la voilà qui rentre au salon en tenant mon copain par la main et elle lui dit, je ne t'ai jamais parlé de ma sœur jumelle. La voici, je te la présente. On était reparties 10 ans en arrière et on rigolait intérieurement de l'embrouille.
Mon copain me fait 2 bises chastes et ajoute que je suis aussi belle qu'elle. Elle lui dit, est-ce qu'on peut emmener ma sœur avec nous ce soir diner avec les autres.
Là j'ai vu que je lui plaisais bien à mon copain car il a tout de suite dit oui. D'ailleurs à moi aussi il plaisait bien : avec ma sœur ils faisaient un beau couple. Et en fait ma sœur, c'est moi...
Je vous raconte pas. Dans l'auto ma sœur est passée derrière et moi je suis restée devant. Dans le noir il n'y a vu que du feu bien qu'on n'ait pas été habillées pareil. J'ai pas pu m'empêcher de lui faire une bonne pipe pendant qu'il conduisait. Ma sœur matait en silence, l'air de pas y toucher et j'étais bien fière de lui montrer ma science.
Au resto on a inversé les rôles pour ne pas le perturber. Moi j'avais une robe noire, ma sœur une robe rouge. Nous on ne porte pas de soutien-gorges car on a des seins bien durs qui tiennent tout seuls. Je pensais au mari de ma sœur et je me disais que ce soir il allait encore se prendre une bonne paire de cornes car mon copain allait encore vouloir doubler et que si on se débrouillait bien, il n'y verrait que du feu. Il allait nous mettre l'une après l'autre...
Moi j'étais bien sage, assise devant mon assiette. Ma sœur tripotait mon copain sous la table et le salaud ne savait plus où se mettre. C'est là que j'ai compris que ce gars avait réellement bon esprit et que j'avais été conne de ne pas en avoir plus tiré jusqu'à présent.
On est allés retrouver les autres à la discothèque et j'étais bien contente car j'ai pu flirter profond avec Jacques. Jacques, c'est l'ami de cœur de mon copain. Ca fait longtemps qu'il me fait mouiller chaque fois qu'on est ensemble. Jacques il est baraqué et j'étais contente de lui serrer la queue et de faire glisser son gland hors de la capuche. On est sortis dans le froid du parc et il m'a immédiatement enfilée en écartant le gousset. J'avais une cuisse levée, et lui me tenait contre lui sous les fesses, à deux mains. On n'a pas eu le temps de prendre notre pied qu'on était déjà congelés. C'est vous dire commentj'étais quand on est rentrés au chaud.
Bien entendu ma sœur avait mis mon copain dans tous ses états. Je me disais après ça j'aurai du mal à vivre une vie de couple normal avec ce gars-là.
Alors j'ai eu une idée ! J'ai demandé à Jacques s'il pouvait ramener ma sœur et mon copain en voiture car moi je devais rester « pour affaire » à la discothèque. Et qu'après il revienne me chercher. Jacques, à l'idée de terminer ce qu'il avait commencé avec moi a tout de suite été d'accord. Ma sœur et moi, on est allées aux toilettes des filles et on a changé nos robes.
C'est moi qui suis rentrée avec mon copain et à qui il a fait la grande sarabande.
Ma sœur a terminé le Jacques qui s'en souvient encore aujourd'hui avec des larmes dans les yeux et me voue depuis un culte véritable.
Ma sœur et moi on est jumelles.
Bien entendu, quand les gars ont été vannés, vidés on s'est retrouvées à poil dans la cuisine pour grignoter. C'est là que j'ai vu que ma sœur s'était fait faire l'intégral. Elle avait le ventre tout rose, tout lisse avec son bulbe et sa fente et la languette qui dépassait.
Je me suis dit, on va rigoler un coup et voir si les gars ont l'esprit d'observation.
On est retournées au pieu avec les mecs pour dormir un peu.
Jacques était crevé et dormait profondément. J'ai filé sous la couette et il a fallu qu'il retrouve ses ardeurs car je suis une bonne suceuse. Y a rien de meilleur qu'un mec qui a tout donné : il te lime les entrailles jusqu'à plus soif et quand enfin il s'éclate, toi t'es au paradis d'avoir tant attendu.
Ma sœur faisait son affaire avec mon copain qui n'en pouvait plus et a opté pour un broutage. Solution élégante quand on ne bande plus. Il ne s'en n'est pas aperçu tout de suite. Il se régalait de lui pourlécher l'oigne en enfilant sa langue dans les replis et en buvant l'eau claire et chaude qui en sortait. Deux fois ma sœur est partie en soubresauts de bonheur sous ses caresses. A la troisième il a retrouvé sa rigidité et l'a enfilée à fond d'un coup sans sentir qu'il y était, tant son ventre était mouillé. Il lui embrassait la bouche à lèvres écartées et langue baveuse, lui offrant les sucs de sa fleur qu'il avait butinés et recueillis.
C'est alors qu'il a réalisé, qu'il a compris. Et alors ça l'a déclenché. Une sorte de réflexe de mec qui saisit tout à coup qu'il s'est fait balader et que la fille qu'il a sous lui n'est pas sa copine mais la sœur de sa copine. Il est parti pour son troisième épanchement de la soirée, déterminé à faire un enfant, à écrire le définitif, à faire un inoubliable, à tracer de l'indélébile.
Ma sœur, au petit déjeuner, elle m'a dit, tu choisis bien tes copains. Ma sœur et moi on est fusionnelles.
Ma sœur et moi, on a toujours été coquines. Quand on était ado on se partageait toujours les garçons et même aussi quelques filles.
Maintenant elle est mariée, elle habite Paris et moi je suis encore chez papa-maman à Montpellier.
Mais son mari, elle se l'est bien gardé pour elle et je n'ai jamais eu le droit d'y toucher.
Voilà qu'un jour elle vient passer la Toussaint en laissant le mari à Paris. La Toussaint à Montpellier, c'est l'hiver froid et pluvieux. Ca ne dure pas longtemps l'hiver à Montpellier, quelques semaines tout au plus. Mais la pluie c'est déluge et le froid est venteux et pénible.
On était là, à la maison, devant la cheminée flamboyante et voilà que mon copain arrive me chercher pour diner à la ville avec la bande avant d'aller danser. Ma sœur bondit et me dit, je vais l'accueillir. Moi j'ai compris qu'elle voulait encore jouer comme avant à faire accroire au gars qu'elle était moi. J'aurais du me méfier car on n'est plus des gamines et le jeu risquait d'être plus sérieux et plus dangereux.
Elle a fermé la porte du séjour et je l'ai entendue ouvrir la porte d'entrée. Mon copain, quand il me voit, il ne me bise pas. Il envoie direct sa main sous mes jupes, il monte à mon ventre, glisse dans ma culotte et m'enfile sans plus de cérémonie deux doigts dans la fleur. Il me prend par la taille et là seulement il daigne m'honorer d'un palot mouillé.
Je pensais que ma sœur allait être bien surprise.
En fait, pas du tout, la voilà qui rentre au salon en tenant mon copain par la main et elle lui dit, je ne t'ai jamais parlé de ma sœur jumelle. La voici, je te la présente. On était reparties 10 ans en arrière et on rigolait intérieurement de l'embrouille.
Mon copain me fait 2 bises chastes et ajoute que je suis aussi belle qu'elle. Elle lui dit, est-ce qu'on peut emmener ma sœur avec nous ce soir diner avec les autres.
Là j'ai vu que je lui plaisais bien à mon copain car il a tout de suite dit oui. D'ailleurs à moi aussi il plaisait bien : avec ma sœur ils faisaient un beau couple. Et en fait ma sœur, c'est moi...
Je vous raconte pas. Dans l'auto ma sœur est passée derrière et moi je suis restée devant. Dans le noir il n'y a vu que du feu bien qu'on n'ait pas été habillées pareil. J'ai pas pu m'empêcher de lui faire une bonne pipe pendant qu'il conduisait. Ma sœur matait en silence, l'air de pas y toucher et j'étais bien fière de lui montrer ma science.
Au resto on a inversé les rôles pour ne pas le perturber. Moi j'avais une robe noire, ma sœur une robe rouge. Nous on ne porte pas de soutien-gorges car on a des seins bien durs qui tiennent tout seuls. Je pensais au mari de ma sœur et je me disais que ce soir il allait encore se prendre une bonne paire de cornes car mon copain allait encore vouloir doubler et que si on se débrouillait bien, il n'y verrait que du feu. Il allait nous mettre l'une après l'autre...
Moi j'étais bien sage, assise devant mon assiette. Ma sœur tripotait mon copain sous la table et le salaud ne savait plus où se mettre. C'est là que j'ai compris que ce gars avait réellement bon esprit et que j'avais été conne de ne pas en avoir plus tiré jusqu'à présent.
On est allés retrouver les autres à la discothèque et j'étais bien contente car j'ai pu flirter profond avec Jacques. Jacques, c'est l'ami de cœur de mon copain. Ca fait longtemps qu'il me fait mouiller chaque fois qu'on est ensemble. Jacques il est baraqué et j'étais contente de lui serrer la queue et de faire glisser son gland hors de la capuche. On est sortis dans le froid du parc et il m'a immédiatement enfilée en écartant le gousset. J'avais une cuisse levée, et lui me tenait contre lui sous les fesses, à deux mains. On n'a pas eu le temps de prendre notre pied qu'on était déjà congelés. C'est vous dire commentj'étais quand on est rentrés au chaud.
Bien entendu ma sœur avait mis mon copain dans tous ses états. Je me disais après ça j'aurai du mal à vivre une vie de couple normal avec ce gars-là.
Alors j'ai eu une idée ! J'ai demandé à Jacques s'il pouvait ramener ma sœur et mon copain en voiture car moi je devais rester « pour affaire » à la discothèque. Et qu'après il revienne me chercher. Jacques, à l'idée de terminer ce qu'il avait commencé avec moi a tout de suite été d'accord. Ma sœur et moi, on est allées aux toilettes des filles et on a changé nos robes.
C'est moi qui suis rentrée avec mon copain et à qui il a fait la grande sarabande.
Ma sœur a terminé le Jacques qui s'en souvient encore aujourd'hui avec des larmes dans les yeux et me voue depuis un culte véritable.
Ma sœur et moi on est jumelles.
Bien entendu, quand les gars ont été vannés, vidés on s'est retrouvées à poil dans la cuisine pour grignoter. C'est là que j'ai vu que ma sœur s'était fait faire l'intégral. Elle avait le ventre tout rose, tout lisse avec son bulbe et sa fente et la languette qui dépassait.
Je me suis dit, on va rigoler un coup et voir si les gars ont l'esprit d'observation.
On est retournées au pieu avec les mecs pour dormir un peu.
Jacques était crevé et dormait profondément. J'ai filé sous la couette et il a fallu qu'il retrouve ses ardeurs car je suis une bonne suceuse. Y a rien de meilleur qu'un mec qui a tout donné : il te lime les entrailles jusqu'à plus soif et quand enfin il s'éclate, toi t'es au paradis d'avoir tant attendu.
Ma sœur faisait son affaire avec mon copain qui n'en pouvait plus et a opté pour un broutage. Solution élégante quand on ne bande plus. Il ne s'en n'est pas aperçu tout de suite. Il se régalait de lui pourlécher l'oigne en enfilant sa langue dans les replis et en buvant l'eau claire et chaude qui en sortait. Deux fois ma sœur est partie en soubresauts de bonheur sous ses caresses. A la troisième il a retrouvé sa rigidité et l'a enfilée à fond d'un coup sans sentir qu'il y était, tant son ventre était mouillé. Il lui embrassait la bouche à lèvres écartées et langue baveuse, lui offrant les sucs de sa fleur qu'il avait butinés et recueillis.
C'est alors qu'il a réalisé, qu'il a compris. Et alors ça l'a déclenché. Une sorte de réflexe de mec qui saisit tout à coup qu'il s'est fait balader et que la fille qu'il a sous lui n'est pas sa copine mais la sœur de sa copine. Il est parti pour son troisième épanchement de la soirée, déterminé à faire un enfant, à écrire le définitif, à faire un inoubliable, à tracer de l'indélébile.
Ma sœur, au petit déjeuner, elle m'a dit, tu choisis bien tes copains. Ma sœur et moi on est fusionnelles.
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