Les fantasmes de Damien (3): Sophie passe une soirée à la Grey chez Pascal
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les fantasmes de Damien (3): Sophie passe une soirée à la Grey chez Pascal
Je suis en formation à Paris pour une semaine. Mon voisin Pascal, qui travaille sur la capitale, m’a trouvé un petit hôtel pas cher dans le quartier où je dois étudier. En plus il se trouve à quelques rues de son appartement parisien.
Le deuxième soir, mon voisin m’invite à diner dans une auberge à l’extérieur de la ville. Nous y mangeons très bien et buvons un peu trop (en tout cas moi). Il passe la soirée à m’écouter et dire les mots que je veux attendre.
Depuis quelques années, mon homme bande de moins en moins bien. Je ne sais pas si c’est ça ou juste Pascal qui me fait plus d’effet que je ne pensais mais je le suis jusqu’à une chambre qu’il avait réservé à l’avance. Cette nuit avec mon voisin a été étonnante pour plusieurs raisons. Non seulement j’ai fait des gorges profondes pour la première fois mais je lui ai aussi offert la virginité de mon cul. En plus le lendemain, pour la première fois depuis longtemps, je me suis trouvé belle face à un miroir.
Je me suis dépêchée d’aller rejoindre mon amant sous la douche pour encore profiter de son corps avant qu’il me ramène à mon hôtel mais surtout me propose une nouvelle soirée avec lui. J’accepte sans aucune hésitation mais je sens que le plus dur va être d’attendre 36 heures avant de ressentir son corps contre le mien.
Je laisse un message à mon mari à qui je n’ai pas parlé depuis le début de la soirée de la veille. Puis je me dépêche de me préparer pour ma journée de formation. Sur la route pour le centre, je cherche sur mon téléphone une esthéticienne, la réflexion de la veille sur mes poils pubiens me trotte toujours dans la tête. Malgré l’aide de mes copines de la formations, je n’en trouve pas alors je fais un saut dans une pharmacie et achète de quoi m’en occuper toute seule.
Une fois de retour dans ma chambre d’hôtel, après m’avoir acheté de quoi manger, je me mets à l’aise et m’allonge sur le lit devant la télé. Je suis interrompue par mon téléphone qui bip 2 fois, c’est un message de mon mari et un de mon amant. Mon voisin me demande des nouvelles de ma journée et m’envoie son adresse pour le rendez vous du lendemain. Il finit par un « J’embrasse tout ton corps », qui me fait frissonner rien qu’en le lisant. Je reste un moment à repenser à ses bras, ses mains, son torse, sa bouche, son sexe… je sens mes lèvres intimes gonfler
Juste quand j’allais faire descendre ma main, mon téléphone sonne, c’est Damien.
Ma voix est chevrotante. Je lui demande de ses nouvelle en me rendant compte que je n’ai toujours pas le timbre habituel. Il me répond:« Bien mais toi ça n’a pas l’air. Tu as des problèmes à la formation. »Je lui explique que je suis rentrée très tard la veille et que je suis fatiguée mais le rassure.
Il veut plus de détails sur la soirée entre filles mais je reste vague pour ne pas trop mentir. Comme il insiste, je lui dis simplement que c’était une sortie pour mieux faire connaissances, qu’elles sont toutes très sympas et que normalement on remettra ça le lendemain. Il est heureux pour moi et me parle un peu de ces moments sans moi. Je suis soulagée de ne plus avoir à lui mentir, je l’écoute en lui posant des questions.
Nous finissons la conversation, j’en profite pour me concentrer sur le programme télé mais je n’arrête pas de penser à mes deux hommes du moments. J’adore la nuit de folie que j’ai passé avec mon voisin et j’ai hâte de vivre la prochaine mais j’aime énormément mon Damien. Je me dis que les deux ne sont pas incompatible et que peut être je vais enfin pouvoir réaliser le fantasme de mon homme.
Je reçois un nouveau message de Pascal qui veut vérifier que j’ai bien reçu son adresse. Du coup j’ai oublié de lui répondre mais je ne sais pas quoi lui écrire. J’hésite un moment et finis par uniquement dire:« Oui, j’ai tout bien reçu, merci. Je serai là demain et j’apporte le dessert. »Immédiatement après je reçois un nouveau message:« Pas besoin, ça sera toi le dessert. »
Là je ne sais vraiment pas quoi répondre alors je me réfugie derrière un smiley qui pleure de rire accompagné d’un: « A demain ». J’abandonne mon téléphone sur la table de nuit et je mange mon diner en regardant la télé même si j’ai pas faim. Après un passage à la salle de bain, je prends un bouquin et je m’endors rapidement avant même d’éteindre la lumière de chevet.
Le lendemain, c’est le réveil qui me tire des bras de Morphée. Je me prépare rapidement, je descends prendre un petit déjeuner et je file à la formation. Nous faisons que des petits pauses et finissons vers 15 heures. Avec quelques filles nous allons déjeuner et ensuite je pars seule faire un peu de shopping. Après avoir acheté une robe prune qui relève bien mon teint, je vais dans une boutique de lingerie choisir des dessous pour ce soir avant de rentrer à l’hôtel.
Déjà, dans la cabine j’ai senti que ma culotte était mouillée mais quand je me déshabille pour me doucher, je remarque que le tissu est trempée. Il y a une énorme tache de mouille qui exciterait bien Damien. Je rentre sous la douche avec mon nécessaire de rasage en pensant à mon mari. Je me fais du bien en dirigeant le jet massant du pommeau vers mon entre jambe.
Je repense au corps et surtout au sexe de Pascal, en introduisant deux doigts entre mes lèvres intimes mais c’est le visage de Damien que j’imagine. Je fais aller et venir mes doigts quand la soirée à l’auberge prend le dessus. Je repose le pommeau et savonne ma main de libre pour aller me titiller les fesses. Plus mon majeur insiste sur ma rondelle plus mes doigts dans ma chatte accélèrent.
Quand je me sens assez détendue, je libère ma grotte et je pousse avec mon sphincter anal (comme Pascal me l’avait demandé) pour laisser mon doigt rentrer. J’adore cette sensation de sentir mon cul s’ouvrir au fur et à mesure où je m’enfonce. Une fois qu’il est bien au fond je replante mon index et mon majeur, de l’autre main, dans ma chatte.
Un deuxième doigt me sodomise et je les fais aller et venir lentement en moi. Je fais tournoyer ceux qui sont dans ma chatte alors que mon pouce malaxe mon clito. J’imagine Damien, qui convoitise mon cul depuis tant d’année, derrière moi et Pascal devant qui s’occupe de mon sexe. Mes deux hommes, matérialisés par mes mains, me font gémir comme une salope. Rapidement je sens mes muscles se contracter et une forte chaleur me prendre le ventre et envahir le reste de mon corps.
Je reprends difficilement mes esprits mais une fois que je suis propre et lisse, j’enfile ma nouvelle parure blanche avant de me coiffer et maquiller. Puis j’enfile ma nouvelle robe qui me va vraiment bien, avec le soutien gorge push up, j’ai une magnifique poitrine. Ma nouvelle tenue met bien ma taille en valeur et mes fesses semble très rebondies. En les admirant dans le miroir je repense à la sodomie de la veille, j’ai l’impression d’encore couler dans mon tanga.
Mes préparatifs ont été tellement longs qu’il est déjà 19h10 et je suis à 12 minutes de chez Pascal, il faut savoir se faire désirer. Je prends mon temps pour me parfumer, j’attrape la bouteille de champagne que je suis allée acheter chez un caviste et je sors de ma chambre d’hôtel. En chemin, j’appelle mon mari avec mon oreillette et je suis l’itinéraire avec le GPS de mon téléphone. Je finis la conversation en lui disant que je n’ai plus beaucoup de batterie, ce qui n’est pas vrai mais je préfère éteindre mon téléphone une fois qu’on a raccroché.
Je sonne à l’interphone d’un immeuble de style bourgeois. Il habite aux troisième, je m’engouffre dans le petit ascenseur qui ne démarre que lorsqu’on a bien fermé la grille. Je monte très lentement et j’entends déjà une porte qui s’ouvre, je sens une chaleur me prendre au niveau du ventre et j’ai l’impression d’un peu plus couler. Quand j’arrive à l’étage, la porte est grande ouverte, une faible lumière en sort mais je ne vois personne.
Je sors du petit ascenseur, je tape à la porte et j’entends la voix sensuel de Pascal crier:« Rentre et mets toi à l’aise, j’arrive. »Je ferme la porte, je retire mon manteau que j’accroche et ne sachant où aller je reste plantée dans l’entrée avec ma bouteille à la main. J’en profite pour découvrir les lieux, son petit pied à terre est très bien aménager, on s’y sent bien.
Je suis interrompue dans mon inspection par mon voisin qui me cherche. Quand il déboule dans l’entrée, un torchon à la main, en levant la tête il me dit:« Te voila! qu’est-ce que tu….. »Il s’immobilise et me dit:« Ouah! Tu es encore plus belle qu’hier! »Je rougis et baisse la tête, il s’approche de moi. Il pose son doigt sous mon menton et me relève la tête pour m’embrasser à pleine bouche.
Nos lèvres se dessoudent rapidement et il m’entraine dans le salon. Il me prend des mains la bouteille de champagne et me remercie. Après avoir regardé l’etiquette, il remplace celle qui est dans le seau par la mienne et me demande de patienter encore quelques minutes en précisant:« Ca laissera le temps au champagne de rafraichir. »Je lui propose de l’aider mais il refuse.
Je continue d’inspecter son appartement mais il revient rapidement avec des canapés au saumon et foie gras, des crêpes roulés, des légumes coupés avec une sauce au fromage blanc… Je ne l’imaginer pas avoir de tels talents en cuisine, sa femme ne m’en jamais parlé. Peut être utilise-t-il ses dons culinaires uniquement pour ses maitresses!
Il nous serre le champagne que j’ai apporté et vient s’assoir, collé à moi. Après avoir trinqué et nous être embrassés langoureusement, nous buvons. Il me présente l’assiette avec les canapés, en plus d’être beau c’est vraiment bon. Il brise le lourd silence en me posant des questions sur ma formation mais aussi sur mon évolution au sein de l’hôpital. Nous parlons boulot en continuant de boire et manger. Après s’être essuyer les doigts, il pose sa main sur mon collant et me caresse le mollet qui est vers lui.
Il tend vers moi l’assiette de légumes mais j’ai déjà bien mangé alors je refuse. Du coup il me demande:« Tu n’as pas faim? »Je lui réponds que j’ai déjà bien grignoter et que le soir je ne mange pas beaucoup. Il s’excuse et retourne en cuisine. Il vient me rejoindre rapidement et s’agenouille entre mes jambes.
Il caresse mon visage tendrement et pose furtivement ses lèvres sur les miennes à plusieurs reprises. Puis il embrasse mon visage et se rapproche de mon oreille pour me chuchoter:« J’ai très faim de toi! »Il se relève, passe un bras sous mes jambes l’autre derrière mon dos et me soulève pour m’emmener jusqu’à sa chambre.
Il m’assoit sur le lit puis m’aide à me mettre debout, je l’enlace mais il repousse mes bras. Je vais pour protester mais il pose son index sur la bouche et me dit:« Cette soirée est pour toi alors tu me laisses faire et tu profites. »Je me tais alors qu’il m’embrasse le visage tout en ouvrant ma robe. Il l’a fait tomber au sol, s’agenouille lentement en m’embrassant de partout. Il soulève mes jambes pour ramasser ma robe, il en profite pour enlever mes chaussures, et la dépose délicatement sur une chaise.
Quand il revient vers moi, il m’entraine vers la tête du lit. De la petite table, il sort un bandeau qu’il met sur mes yeux, il retire mon soutien gorge et m’allonge sur le ventre. Il me fait écarter les bras et serrer les jambes. Il s’assoit, légèrement, sur mes fesses et pose ses mains huilées sur mon dos. Il me le masse ainsi que les bras avec une grande sensualité mais aussi un bien fou pour moi.
Il fait glisser son corps sous mes pieds et me fait le même traitement sur l’arrière de mes jambes, il me masse aussi les pieds. Ce n’est pas aussi jouissif que la veille mais j’adore cette attention surtout quand il remonte ses mains sur mes fesses. Une fois qu’il s’est occupé de l’arrière de mon corps, il me retourne les yeux toujours bandés.
Une nouvelle fois, il remet de l’huile sur ses mains, des gouttes coulent sur mon ventre ce qui me fait frissonner avant même qu’il me touche de nouveau. Il s’assoit sur moi et commence par me masser les mains, ses doigts remontent doucement le long des mes bras. Quand il commence à s’occuper de mes épaules, je sens sexe tendu contre moi malgré son pantalon qui nous sépare.
Alors qu’il descend lentement vers ma poitrine, j’ai envie de le toucher, mais il arrête mes bras et les plaques contre le lit. Une de ses mains me maintient le bras droit et je sens un tissu entourer mon poignet et se serrer. Il fait la même chose de l’autre côté et je me laisse faire en sentant un mélange d’angoisse et de plaisir me prendre au ventre.
Il revient s’assoir sur moi et je sens le bout de ses 10 doigts parcourir toute la largeur de mon corps en descendant très doucement jusqu’au milieu de mon corps. Ses mains accrochent l’élastique de ma culotte et la fait descendre très lentement, il embrasse mon pubis lisse et me félicite pour le rasage. Il remonte ses doigts jusqu’à mes seins. Il pose quelques gouttes d’huile sur chacun de mes tétons, je sens le liquide couler sur mes globes.
Ses doigts les récupère et il commence à me frictionner en cercle jusqu’à remonter vers mes pointes qui sont de plus en plus dures. Il me les pince, me les tire mais sans jamais me faire mal, je me sens de plus en plus excitée. Ses mains glissent le long de mon corps en évitant mon sexe. Il me masse un moment les jambes avant de disparaitre. Heureusement qu’il a retiré ma culotte sinon elle serait trempée.
J’entends des mouvements revenir dans la pièce, il pose directement une main, glacée sur mon sein gauche. Mon globe et de plus en plus froid et ma tétine se tend au maximum. Quand il rentre en contact avec elle, je comprends qu’il a un glaçon entre ses doigts. Il le passe bien sur mon téton et je découvre encore de nouvelles sensations. Avec mon mari on essayé la crème glacée mais jamais les glaçons.
Après avoir fait la même chose sur mon sein droit, surement avec un nouveau glaçon vu comme mon corps est brulant, j’entends un bruit de tintement dans un verre. Sa main froide se pose sur mon ventre et le caresse rapidement en zig zag pour atteindre mont de Vénus. Il fait passer le petit bloc de glace sur mon clito qui est réagit comme mes tétons et se gonfle de sang.
Ce mélange de la chaleur humaine et du froid du glaçon est étrange mais très excitant. Alors que mon sexe dégouline de plaisir, sa main froide descend vers mes grandes lèvres déjà bien ouverte. Tout de suite il introduit le petit morceau de glace avec un doigt en moi. Ma chatte brulante l’accueille, mais mon corps se met à convulser sans que je ne contrôle rien.
Je sens qu’en fondant dans ma grotte, le glaçon fait frémir et raidir mes parois internes. J’ai l’impression de bruler et geler en même temps. Tout mon vagin est pris de spasmes, je réagis comme en plein orgasme mais au lieu de s’éparpiller dans mon ventre il reste concentré autour de mon sexe. La chaleur prend le dessus, mon corps se calme et quand je veux refermer mais jambes je me rends compte que Pascal en a profiter pour les attacher elles aussi.
Je me retrouve complètement nue, les bras et les jambes écartés et attachés sur le lit de la garçonnière de mon voisin. Je commence à penser à Damien et tous les si bons plaisirs que je lui ai refusé pendant des années quand je sens un minuscule morceau de glace quitté ma chatte pour couler dans ma raie et finir en flaque contre ma rondelle.
Je suis prête à des folies et ça tombe bien car deux doigts se posent contre mes lèvres intimes et commence à rentrer. Je sens rapidement un nouveau glaçon s’introduire en moi alors que les doigts continuent leur progression. Ma grotte est remplie par un index et un majeur qui tournoient mais aussi un stalagmite qui se balade au gré des mouvements.
Le pouce de Pascal rentre dans la danse et vient maltraité mon petit bouton, j’ai l’impression d’immédiatement décoller. Mon corps et mon esprit s’envolent et je ressens à peine qu’un troisième doigt me pénètre. Mes muscles vaginaux se contractent autour de sa main, mon vagin est froid mais je ne sens plus le glaçons. Cette fois mon orgasme irradie tout mon corps qui est pris de convulsions retenues par mes liens.
Mon voisin fait encore tournoyer un moment ses doigts et les retire tous ensemble. Il profite que je sois à moitié dans les vapes pour me détacher, me retourner et refermer mes liens maintenant que je suis de nouveau sur le ventre. Il vient s’agenouiller entre mes cuisses et me soulève par le bassin, je suis bien cambrée et me sens encore plus salope.
Pascal pose sa langue sur mon clito, il le titille un moment et remonte le long de mes grandes lèvres. Il me baise facilement avec la bouche et en profite pour aspirer et récupérer ma liqueur que je le l’entends avaler entre deux gémissements. Puis il remonte sur mon périnée avant d’aller se perdre entre mes fesses. Mon oeillet s’ouvre rapidement et il arrive même à me sodomiser avec sa langue.
Sa bouche repart sur mon petit bouton et recommence mais à chaque fois il s’attarde un peu plus sur les points stratégiques jusqu’à ce que mon cul accueille toute la longueur de sa langue. Il se redresse, je sens son gland contre mes grandes lèvres. Il introduit deux doigts dans mon sexe et les fait tournoyer un bon moment avant de les retirer.
Il les pose entre mes fesses et appuie sur mon oeillet avec, je sens ma mouille former une petite flaque à l’entrée de mon cul. Le dessous de sa bite se loge entre mes lèvres intimes et glisse jusqu’à ce que son gland tape mon clito. Plus ses doigts me sodomisent plus une chaleur envahi mon bassin. Sa queue qui frotte mon sexe trempée me rappelle les débuts avec Damien.
Quand ses premières phalanges sont en moi, il commence un mouvements de vas et viens avec sa main. Ma chatte frictionne plus fermement son sexe et je sens souvent son gland sur le point de me pénétrer. Une fois que ses doigts sont complètement en moi, je les sens lentement ressortir, il s’arrête quand ses ongles sont contre mon anneau.
Il positionne son gland à l’entrée de ma grotte, j’ai très envie de me baisser pour me sentir remplie et enfin bien profiter de sa queue si dure mais je sais qu’il suit un schéma alors je le laisse faire. Je pousse sur mon sphincter et ses doigts rentre en moi d’un coup sec et pousse vers le bas ce qui me fait m’empaler sur la tige de mon amant.
A ce moment là, je ne sais pas pourquoi, je repense à Abdallah, l’homme qui m’a dépucelé (je vous en parlerai bientôt). C’est peut être parce qu’avec lui je me suis sentie femme pour la première fois et que là je me sens enfin une salope accomplie. Pascal commence tout juste à me ramoner le cul avec ses doigts et la chatte avec sa bite que j’explose dans un orgasme fulgurant comme je n’en ai pas connu depuis des années avec Damien.
Plus il va et vient en moi plus la jouissance et grande, j’ai l’impression de couler à grande eau. Quand Pascal frotte ses doigts contre sa tige à travers la membrane qui les sépare, j’ai l’impression que mon corps est parcouru de décharges électriques. J’ai l’impression de jouir depuis des heures, que mon orgasme ne va jamais s’arrêter. Je sens que mon corps commence à fatiguer mais je ne me lasse pas de me faire baiser par la bite bien raide de mon voisin et sentir ses doigts aller et venir dans mon cul.
Même si j’entends que Pascal est proche de l’orgasme, mon corps ne suit plus et je m’affale sur le lit, son sexe est forcé de quitter le mien mais ses doigts sont toujours plantés dans mon cul. Il continue de me ramoner avec sa main mais change de position. Je n’arrive plus à bouger, j’entends juste ma respiration et je profite de son corps contre le mien, par contre j’ai l’impression d’avoir inondé le lit, même mon ventre est mouillé.
Je sens les doigts de Pascal me quitter et sa tige raide et poisseuse de ma mouille vient se glisser contre ma raie. Il empoigne fermement mes fesses les resserre et s’astique comme pour une branlette espagnole mais avec mon cul. Même si je suis à moitié dans les vapes j’adore sentir ses grosses veines gorgées de sang se frotter contre moi et surtout ma rondelle. Quand il descend bien et que son gland vient titiller mon oeillet, j’ai très envie qu’il me sodomise même si je suis vide d’énergie.
Ses mouvements se font de plus en plus rapide et sauvage. Tout d’un coup il relâche son étreinte sur mes fesses et dégage son sexe. Son gland se pose sur ma rondelle et me déchire le cul d’un coup sec. Plus il s’enfonce plus j’ai l’impression qu’il me déchire mais j’adore vraiment ça. Je ne sais pas s’il lit dans mes pensées mais c’est exactement ce que je voulais. Je recherche le peu d’énergie qu’il me reste et je contracte tous mes muscles.
Sa queue commence à frétiller entre mes fesses, je sens ses veines se gonfler. Son sexe se met à faire de grosses saccades et je sens mon cul se remplir de sa jouissance. Une grosse chaleur me reprend quand il se met à me limer, grâce à sa semence il glisse parfaitement dans mon petit cul fermé. Je ne sais pas s’il me déclenche un nouvel orgasme ou si c’est le dernier qui renait de ses cendres. Malgré mon épuisement je me met à couiner.
Comme il est encore bien dure, il me lime le mieux possible, je sens des bulles remonter à la surface de mon cul. Même bien lubrifier, je commence à avoir mal alors je lui demande d’arrêter. Avec l’aide de sa main Pascal s’enfonce le plus possible entre mes fesses et vient s’allonger sur moi. Je m’endors progressivement alors que son sexe est toujours dans mon cul.
Quand je me réveille, je vois que de la lumière rentre dans la chambre, Pascal n’est plus en moi mais il n’est pas non plus à côté de moi dans le lit. Je suis prise d’une envie pressante alors je vais discrètement à la recherche des toilettes complètement nue. A chacun de mes pas je sens le sperme de Pascal sortir de mon cul et couler le long de ma cuisse.
Quand je suis sur le trône de la garçonnière de mon voisin, je réalise que ce soir je dois retrouver mon mari. Je me demande si je dois lui parler de ce qui c’est passé pendant ma formation ou me taire. Maintenant j’ai soif alors je vais vers la cuisine, Pascal est là en train de boire un café dans la même tenue que moi. J’admire un moment son corps mais surtout ses mains et son sexe qui me font tellement de bien. Je me demande si je vais continuer à coucher avec lui quand nous serons de retour au village.
Après un petit bisou je lui demande de l’eau. Il sort une bouteille du frigo et me sort un verre mais vu comme j’ai soif, je bois directement à la bouteille et la fini. Quand je la pose sur la table je vois une pile de carton venant de chez un traiteur, voila pourquoi sa femme ne connait pas ses dons!
Il vient me serrer dans ses bras. Je sens sa bite durcir contre moi alors qu’il me propose un café. J’ai envie de me recoucher et surtout de refaire un petit câlin ce qui me permettra d’arrêter de me poser des questions….
Le deuxième soir, mon voisin m’invite à diner dans une auberge à l’extérieur de la ville. Nous y mangeons très bien et buvons un peu trop (en tout cas moi). Il passe la soirée à m’écouter et dire les mots que je veux attendre.
Depuis quelques années, mon homme bande de moins en moins bien. Je ne sais pas si c’est ça ou juste Pascal qui me fait plus d’effet que je ne pensais mais je le suis jusqu’à une chambre qu’il avait réservé à l’avance. Cette nuit avec mon voisin a été étonnante pour plusieurs raisons. Non seulement j’ai fait des gorges profondes pour la première fois mais je lui ai aussi offert la virginité de mon cul. En plus le lendemain, pour la première fois depuis longtemps, je me suis trouvé belle face à un miroir.
Je me suis dépêchée d’aller rejoindre mon amant sous la douche pour encore profiter de son corps avant qu’il me ramène à mon hôtel mais surtout me propose une nouvelle soirée avec lui. J’accepte sans aucune hésitation mais je sens que le plus dur va être d’attendre 36 heures avant de ressentir son corps contre le mien.
Je laisse un message à mon mari à qui je n’ai pas parlé depuis le début de la soirée de la veille. Puis je me dépêche de me préparer pour ma journée de formation. Sur la route pour le centre, je cherche sur mon téléphone une esthéticienne, la réflexion de la veille sur mes poils pubiens me trotte toujours dans la tête. Malgré l’aide de mes copines de la formations, je n’en trouve pas alors je fais un saut dans une pharmacie et achète de quoi m’en occuper toute seule.
Une fois de retour dans ma chambre d’hôtel, après m’avoir acheté de quoi manger, je me mets à l’aise et m’allonge sur le lit devant la télé. Je suis interrompue par mon téléphone qui bip 2 fois, c’est un message de mon mari et un de mon amant. Mon voisin me demande des nouvelles de ma journée et m’envoie son adresse pour le rendez vous du lendemain. Il finit par un « J’embrasse tout ton corps », qui me fait frissonner rien qu’en le lisant. Je reste un moment à repenser à ses bras, ses mains, son torse, sa bouche, son sexe… je sens mes lèvres intimes gonfler
Juste quand j’allais faire descendre ma main, mon téléphone sonne, c’est Damien.
Ma voix est chevrotante. Je lui demande de ses nouvelle en me rendant compte que je n’ai toujours pas le timbre habituel. Il me répond:« Bien mais toi ça n’a pas l’air. Tu as des problèmes à la formation. »Je lui explique que je suis rentrée très tard la veille et que je suis fatiguée mais le rassure.
Il veut plus de détails sur la soirée entre filles mais je reste vague pour ne pas trop mentir. Comme il insiste, je lui dis simplement que c’était une sortie pour mieux faire connaissances, qu’elles sont toutes très sympas et que normalement on remettra ça le lendemain. Il est heureux pour moi et me parle un peu de ces moments sans moi. Je suis soulagée de ne plus avoir à lui mentir, je l’écoute en lui posant des questions.
Nous finissons la conversation, j’en profite pour me concentrer sur le programme télé mais je n’arrête pas de penser à mes deux hommes du moments. J’adore la nuit de folie que j’ai passé avec mon voisin et j’ai hâte de vivre la prochaine mais j’aime énormément mon Damien. Je me dis que les deux ne sont pas incompatible et que peut être je vais enfin pouvoir réaliser le fantasme de mon homme.
Je reçois un nouveau message de Pascal qui veut vérifier que j’ai bien reçu son adresse. Du coup j’ai oublié de lui répondre mais je ne sais pas quoi lui écrire. J’hésite un moment et finis par uniquement dire:« Oui, j’ai tout bien reçu, merci. Je serai là demain et j’apporte le dessert. »Immédiatement après je reçois un nouveau message:« Pas besoin, ça sera toi le dessert. »
Là je ne sais vraiment pas quoi répondre alors je me réfugie derrière un smiley qui pleure de rire accompagné d’un: « A demain ». J’abandonne mon téléphone sur la table de nuit et je mange mon diner en regardant la télé même si j’ai pas faim. Après un passage à la salle de bain, je prends un bouquin et je m’endors rapidement avant même d’éteindre la lumière de chevet.
Le lendemain, c’est le réveil qui me tire des bras de Morphée. Je me prépare rapidement, je descends prendre un petit déjeuner et je file à la formation. Nous faisons que des petits pauses et finissons vers 15 heures. Avec quelques filles nous allons déjeuner et ensuite je pars seule faire un peu de shopping. Après avoir acheté une robe prune qui relève bien mon teint, je vais dans une boutique de lingerie choisir des dessous pour ce soir avant de rentrer à l’hôtel.
Déjà, dans la cabine j’ai senti que ma culotte était mouillée mais quand je me déshabille pour me doucher, je remarque que le tissu est trempée. Il y a une énorme tache de mouille qui exciterait bien Damien. Je rentre sous la douche avec mon nécessaire de rasage en pensant à mon mari. Je me fais du bien en dirigeant le jet massant du pommeau vers mon entre jambe.
Je repense au corps et surtout au sexe de Pascal, en introduisant deux doigts entre mes lèvres intimes mais c’est le visage de Damien que j’imagine. Je fais aller et venir mes doigts quand la soirée à l’auberge prend le dessus. Je repose le pommeau et savonne ma main de libre pour aller me titiller les fesses. Plus mon majeur insiste sur ma rondelle plus mes doigts dans ma chatte accélèrent.
Quand je me sens assez détendue, je libère ma grotte et je pousse avec mon sphincter anal (comme Pascal me l’avait demandé) pour laisser mon doigt rentrer. J’adore cette sensation de sentir mon cul s’ouvrir au fur et à mesure où je m’enfonce. Une fois qu’il est bien au fond je replante mon index et mon majeur, de l’autre main, dans ma chatte.
Un deuxième doigt me sodomise et je les fais aller et venir lentement en moi. Je fais tournoyer ceux qui sont dans ma chatte alors que mon pouce malaxe mon clito. J’imagine Damien, qui convoitise mon cul depuis tant d’année, derrière moi et Pascal devant qui s’occupe de mon sexe. Mes deux hommes, matérialisés par mes mains, me font gémir comme une salope. Rapidement je sens mes muscles se contracter et une forte chaleur me prendre le ventre et envahir le reste de mon corps.
Je reprends difficilement mes esprits mais une fois que je suis propre et lisse, j’enfile ma nouvelle parure blanche avant de me coiffer et maquiller. Puis j’enfile ma nouvelle robe qui me va vraiment bien, avec le soutien gorge push up, j’ai une magnifique poitrine. Ma nouvelle tenue met bien ma taille en valeur et mes fesses semble très rebondies. En les admirant dans le miroir je repense à la sodomie de la veille, j’ai l’impression d’encore couler dans mon tanga.
Mes préparatifs ont été tellement longs qu’il est déjà 19h10 et je suis à 12 minutes de chez Pascal, il faut savoir se faire désirer. Je prends mon temps pour me parfumer, j’attrape la bouteille de champagne que je suis allée acheter chez un caviste et je sors de ma chambre d’hôtel. En chemin, j’appelle mon mari avec mon oreillette et je suis l’itinéraire avec le GPS de mon téléphone. Je finis la conversation en lui disant que je n’ai plus beaucoup de batterie, ce qui n’est pas vrai mais je préfère éteindre mon téléphone une fois qu’on a raccroché.
Je sonne à l’interphone d’un immeuble de style bourgeois. Il habite aux troisième, je m’engouffre dans le petit ascenseur qui ne démarre que lorsqu’on a bien fermé la grille. Je monte très lentement et j’entends déjà une porte qui s’ouvre, je sens une chaleur me prendre au niveau du ventre et j’ai l’impression d’un peu plus couler. Quand j’arrive à l’étage, la porte est grande ouverte, une faible lumière en sort mais je ne vois personne.
Je sors du petit ascenseur, je tape à la porte et j’entends la voix sensuel de Pascal crier:« Rentre et mets toi à l’aise, j’arrive. »Je ferme la porte, je retire mon manteau que j’accroche et ne sachant où aller je reste plantée dans l’entrée avec ma bouteille à la main. J’en profite pour découvrir les lieux, son petit pied à terre est très bien aménager, on s’y sent bien.
Je suis interrompue dans mon inspection par mon voisin qui me cherche. Quand il déboule dans l’entrée, un torchon à la main, en levant la tête il me dit:« Te voila! qu’est-ce que tu….. »Il s’immobilise et me dit:« Ouah! Tu es encore plus belle qu’hier! »Je rougis et baisse la tête, il s’approche de moi. Il pose son doigt sous mon menton et me relève la tête pour m’embrasser à pleine bouche.
Nos lèvres se dessoudent rapidement et il m’entraine dans le salon. Il me prend des mains la bouteille de champagne et me remercie. Après avoir regardé l’etiquette, il remplace celle qui est dans le seau par la mienne et me demande de patienter encore quelques minutes en précisant:« Ca laissera le temps au champagne de rafraichir. »Je lui propose de l’aider mais il refuse.
Je continue d’inspecter son appartement mais il revient rapidement avec des canapés au saumon et foie gras, des crêpes roulés, des légumes coupés avec une sauce au fromage blanc… Je ne l’imaginer pas avoir de tels talents en cuisine, sa femme ne m’en jamais parlé. Peut être utilise-t-il ses dons culinaires uniquement pour ses maitresses!
Il nous serre le champagne que j’ai apporté et vient s’assoir, collé à moi. Après avoir trinqué et nous être embrassés langoureusement, nous buvons. Il me présente l’assiette avec les canapés, en plus d’être beau c’est vraiment bon. Il brise le lourd silence en me posant des questions sur ma formation mais aussi sur mon évolution au sein de l’hôpital. Nous parlons boulot en continuant de boire et manger. Après s’être essuyer les doigts, il pose sa main sur mon collant et me caresse le mollet qui est vers lui.
Il tend vers moi l’assiette de légumes mais j’ai déjà bien mangé alors je refuse. Du coup il me demande:« Tu n’as pas faim? »Je lui réponds que j’ai déjà bien grignoter et que le soir je ne mange pas beaucoup. Il s’excuse et retourne en cuisine. Il vient me rejoindre rapidement et s’agenouille entre mes jambes.
Il caresse mon visage tendrement et pose furtivement ses lèvres sur les miennes à plusieurs reprises. Puis il embrasse mon visage et se rapproche de mon oreille pour me chuchoter:« J’ai très faim de toi! »Il se relève, passe un bras sous mes jambes l’autre derrière mon dos et me soulève pour m’emmener jusqu’à sa chambre.
Il m’assoit sur le lit puis m’aide à me mettre debout, je l’enlace mais il repousse mes bras. Je vais pour protester mais il pose son index sur la bouche et me dit:« Cette soirée est pour toi alors tu me laisses faire et tu profites. »Je me tais alors qu’il m’embrasse le visage tout en ouvrant ma robe. Il l’a fait tomber au sol, s’agenouille lentement en m’embrassant de partout. Il soulève mes jambes pour ramasser ma robe, il en profite pour enlever mes chaussures, et la dépose délicatement sur une chaise.
Quand il revient vers moi, il m’entraine vers la tête du lit. De la petite table, il sort un bandeau qu’il met sur mes yeux, il retire mon soutien gorge et m’allonge sur le ventre. Il me fait écarter les bras et serrer les jambes. Il s’assoit, légèrement, sur mes fesses et pose ses mains huilées sur mon dos. Il me le masse ainsi que les bras avec une grande sensualité mais aussi un bien fou pour moi.
Il fait glisser son corps sous mes pieds et me fait le même traitement sur l’arrière de mes jambes, il me masse aussi les pieds. Ce n’est pas aussi jouissif que la veille mais j’adore cette attention surtout quand il remonte ses mains sur mes fesses. Une fois qu’il s’est occupé de l’arrière de mon corps, il me retourne les yeux toujours bandés.
Une nouvelle fois, il remet de l’huile sur ses mains, des gouttes coulent sur mon ventre ce qui me fait frissonner avant même qu’il me touche de nouveau. Il s’assoit sur moi et commence par me masser les mains, ses doigts remontent doucement le long des mes bras. Quand il commence à s’occuper de mes épaules, je sens sexe tendu contre moi malgré son pantalon qui nous sépare.
Alors qu’il descend lentement vers ma poitrine, j’ai envie de le toucher, mais il arrête mes bras et les plaques contre le lit. Une de ses mains me maintient le bras droit et je sens un tissu entourer mon poignet et se serrer. Il fait la même chose de l’autre côté et je me laisse faire en sentant un mélange d’angoisse et de plaisir me prendre au ventre.
Il revient s’assoir sur moi et je sens le bout de ses 10 doigts parcourir toute la largeur de mon corps en descendant très doucement jusqu’au milieu de mon corps. Ses mains accrochent l’élastique de ma culotte et la fait descendre très lentement, il embrasse mon pubis lisse et me félicite pour le rasage. Il remonte ses doigts jusqu’à mes seins. Il pose quelques gouttes d’huile sur chacun de mes tétons, je sens le liquide couler sur mes globes.
Ses doigts les récupère et il commence à me frictionner en cercle jusqu’à remonter vers mes pointes qui sont de plus en plus dures. Il me les pince, me les tire mais sans jamais me faire mal, je me sens de plus en plus excitée. Ses mains glissent le long de mon corps en évitant mon sexe. Il me masse un moment les jambes avant de disparaitre. Heureusement qu’il a retiré ma culotte sinon elle serait trempée.
J’entends des mouvements revenir dans la pièce, il pose directement une main, glacée sur mon sein gauche. Mon globe et de plus en plus froid et ma tétine se tend au maximum. Quand il rentre en contact avec elle, je comprends qu’il a un glaçon entre ses doigts. Il le passe bien sur mon téton et je découvre encore de nouvelles sensations. Avec mon mari on essayé la crème glacée mais jamais les glaçons.
Après avoir fait la même chose sur mon sein droit, surement avec un nouveau glaçon vu comme mon corps est brulant, j’entends un bruit de tintement dans un verre. Sa main froide se pose sur mon ventre et le caresse rapidement en zig zag pour atteindre mont de Vénus. Il fait passer le petit bloc de glace sur mon clito qui est réagit comme mes tétons et se gonfle de sang.
Ce mélange de la chaleur humaine et du froid du glaçon est étrange mais très excitant. Alors que mon sexe dégouline de plaisir, sa main froide descend vers mes grandes lèvres déjà bien ouverte. Tout de suite il introduit le petit morceau de glace avec un doigt en moi. Ma chatte brulante l’accueille, mais mon corps se met à convulser sans que je ne contrôle rien.
Je sens qu’en fondant dans ma grotte, le glaçon fait frémir et raidir mes parois internes. J’ai l’impression de bruler et geler en même temps. Tout mon vagin est pris de spasmes, je réagis comme en plein orgasme mais au lieu de s’éparpiller dans mon ventre il reste concentré autour de mon sexe. La chaleur prend le dessus, mon corps se calme et quand je veux refermer mais jambes je me rends compte que Pascal en a profiter pour les attacher elles aussi.
Je me retrouve complètement nue, les bras et les jambes écartés et attachés sur le lit de la garçonnière de mon voisin. Je commence à penser à Damien et tous les si bons plaisirs que je lui ai refusé pendant des années quand je sens un minuscule morceau de glace quitté ma chatte pour couler dans ma raie et finir en flaque contre ma rondelle.
Je suis prête à des folies et ça tombe bien car deux doigts se posent contre mes lèvres intimes et commence à rentrer. Je sens rapidement un nouveau glaçon s’introduire en moi alors que les doigts continuent leur progression. Ma grotte est remplie par un index et un majeur qui tournoient mais aussi un stalagmite qui se balade au gré des mouvements.
Le pouce de Pascal rentre dans la danse et vient maltraité mon petit bouton, j’ai l’impression d’immédiatement décoller. Mon corps et mon esprit s’envolent et je ressens à peine qu’un troisième doigt me pénètre. Mes muscles vaginaux se contractent autour de sa main, mon vagin est froid mais je ne sens plus le glaçons. Cette fois mon orgasme irradie tout mon corps qui est pris de convulsions retenues par mes liens.
Mon voisin fait encore tournoyer un moment ses doigts et les retire tous ensemble. Il profite que je sois à moitié dans les vapes pour me détacher, me retourner et refermer mes liens maintenant que je suis de nouveau sur le ventre. Il vient s’agenouiller entre mes cuisses et me soulève par le bassin, je suis bien cambrée et me sens encore plus salope.
Pascal pose sa langue sur mon clito, il le titille un moment et remonte le long de mes grandes lèvres. Il me baise facilement avec la bouche et en profite pour aspirer et récupérer ma liqueur que je le l’entends avaler entre deux gémissements. Puis il remonte sur mon périnée avant d’aller se perdre entre mes fesses. Mon oeillet s’ouvre rapidement et il arrive même à me sodomiser avec sa langue.
Sa bouche repart sur mon petit bouton et recommence mais à chaque fois il s’attarde un peu plus sur les points stratégiques jusqu’à ce que mon cul accueille toute la longueur de sa langue. Il se redresse, je sens son gland contre mes grandes lèvres. Il introduit deux doigts dans mon sexe et les fait tournoyer un bon moment avant de les retirer.
Il les pose entre mes fesses et appuie sur mon oeillet avec, je sens ma mouille former une petite flaque à l’entrée de mon cul. Le dessous de sa bite se loge entre mes lèvres intimes et glisse jusqu’à ce que son gland tape mon clito. Plus ses doigts me sodomisent plus une chaleur envahi mon bassin. Sa queue qui frotte mon sexe trempée me rappelle les débuts avec Damien.
Quand ses premières phalanges sont en moi, il commence un mouvements de vas et viens avec sa main. Ma chatte frictionne plus fermement son sexe et je sens souvent son gland sur le point de me pénétrer. Une fois que ses doigts sont complètement en moi, je les sens lentement ressortir, il s’arrête quand ses ongles sont contre mon anneau.
Il positionne son gland à l’entrée de ma grotte, j’ai très envie de me baisser pour me sentir remplie et enfin bien profiter de sa queue si dure mais je sais qu’il suit un schéma alors je le laisse faire. Je pousse sur mon sphincter et ses doigts rentre en moi d’un coup sec et pousse vers le bas ce qui me fait m’empaler sur la tige de mon amant.
A ce moment là, je ne sais pas pourquoi, je repense à Abdallah, l’homme qui m’a dépucelé (je vous en parlerai bientôt). C’est peut être parce qu’avec lui je me suis sentie femme pour la première fois et que là je me sens enfin une salope accomplie. Pascal commence tout juste à me ramoner le cul avec ses doigts et la chatte avec sa bite que j’explose dans un orgasme fulgurant comme je n’en ai pas connu depuis des années avec Damien.
Plus il va et vient en moi plus la jouissance et grande, j’ai l’impression de couler à grande eau. Quand Pascal frotte ses doigts contre sa tige à travers la membrane qui les sépare, j’ai l’impression que mon corps est parcouru de décharges électriques. J’ai l’impression de jouir depuis des heures, que mon orgasme ne va jamais s’arrêter. Je sens que mon corps commence à fatiguer mais je ne me lasse pas de me faire baiser par la bite bien raide de mon voisin et sentir ses doigts aller et venir dans mon cul.
Même si j’entends que Pascal est proche de l’orgasme, mon corps ne suit plus et je m’affale sur le lit, son sexe est forcé de quitter le mien mais ses doigts sont toujours plantés dans mon cul. Il continue de me ramoner avec sa main mais change de position. Je n’arrive plus à bouger, j’entends juste ma respiration et je profite de son corps contre le mien, par contre j’ai l’impression d’avoir inondé le lit, même mon ventre est mouillé.
Je sens les doigts de Pascal me quitter et sa tige raide et poisseuse de ma mouille vient se glisser contre ma raie. Il empoigne fermement mes fesses les resserre et s’astique comme pour une branlette espagnole mais avec mon cul. Même si je suis à moitié dans les vapes j’adore sentir ses grosses veines gorgées de sang se frotter contre moi et surtout ma rondelle. Quand il descend bien et que son gland vient titiller mon oeillet, j’ai très envie qu’il me sodomise même si je suis vide d’énergie.
Ses mouvements se font de plus en plus rapide et sauvage. Tout d’un coup il relâche son étreinte sur mes fesses et dégage son sexe. Son gland se pose sur ma rondelle et me déchire le cul d’un coup sec. Plus il s’enfonce plus j’ai l’impression qu’il me déchire mais j’adore vraiment ça. Je ne sais pas s’il lit dans mes pensées mais c’est exactement ce que je voulais. Je recherche le peu d’énergie qu’il me reste et je contracte tous mes muscles.
Sa queue commence à frétiller entre mes fesses, je sens ses veines se gonfler. Son sexe se met à faire de grosses saccades et je sens mon cul se remplir de sa jouissance. Une grosse chaleur me reprend quand il se met à me limer, grâce à sa semence il glisse parfaitement dans mon petit cul fermé. Je ne sais pas s’il me déclenche un nouvel orgasme ou si c’est le dernier qui renait de ses cendres. Malgré mon épuisement je me met à couiner.
Comme il est encore bien dure, il me lime le mieux possible, je sens des bulles remonter à la surface de mon cul. Même bien lubrifier, je commence à avoir mal alors je lui demande d’arrêter. Avec l’aide de sa main Pascal s’enfonce le plus possible entre mes fesses et vient s’allonger sur moi. Je m’endors progressivement alors que son sexe est toujours dans mon cul.
Quand je me réveille, je vois que de la lumière rentre dans la chambre, Pascal n’est plus en moi mais il n’est pas non plus à côté de moi dans le lit. Je suis prise d’une envie pressante alors je vais discrètement à la recherche des toilettes complètement nue. A chacun de mes pas je sens le sperme de Pascal sortir de mon cul et couler le long de ma cuisse.
Quand je suis sur le trône de la garçonnière de mon voisin, je réalise que ce soir je dois retrouver mon mari. Je me demande si je dois lui parler de ce qui c’est passé pendant ma formation ou me taire. Maintenant j’ai soif alors je vais vers la cuisine, Pascal est là en train de boire un café dans la même tenue que moi. J’admire un moment son corps mais surtout ses mains et son sexe qui me font tellement de bien. Je me demande si je vais continuer à coucher avec lui quand nous serons de retour au village.
Après un petit bisou je lui demande de l’eau. Il sort une bouteille du frigo et me sort un verre mais vu comme j’ai soif, je bois directement à la bouteille et la fini. Quand je la pose sur la table je vois une pile de carton venant de chez un traiteur, voila pourquoi sa femme ne connait pas ses dons!
Il vient me serrer dans ses bras. Je sens sa bite durcir contre moi alors qu’il me propose un café. J’ai envie de me recoucher et surtout de refaire un petit câlin ce qui me permettra d’arrêter de me poser des questions….
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