Les petites stagiaires: Amandine I,4

- Par l'auteur HDS Exorium -
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Récit libertin : Les petites stagiaires: Amandine I,4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les petites stagiaires: Amandine I,4
Elle a consciencieusement beurré sa tartine, l’air absorbé, a mordu dedans à pleines dents.
« Tu t’y prends plutôt bien. Si, c’est vrai, hein ! Mieux que j’aurais cru. Beaucoup mieux, en tout cas, que les quelques types – ils se comptent sur les doigts d’une main – qui m’en ont fait des cunnis. Faudra d’ailleurs qu’on m’explique un jour pourquoi il y en a si peu qu’ont envie de nous y mettre la langue. Ça les dégoûte donc tant que ça ? On fait pas tant d’histoires, nous, quand il s’agit de vous prendre la queue dans la bouche. Mais bon, passons ! En tout cas, je regrette pas de t’avoir laissé faire. Ah, non alors ! Parce que tu sais comment on est fabriquées, ça, c’est sûr. Et tu cibles juste. Remarque, ce serait quand même dommage à ton âge. Non, la seule chose, c’est que j’ai pas pu en profiter vraiment à fond.
– Ben, pourquoi ?
– Un mec, ça reste un mec. Ça cherche toujours à tirer parti de la situation pour faire sa petite affaire. Pour nous les vider dedans. Ça guette l’occasion. Alors forcément, j’étais sur le qui-vive. Parce que tu sais ce que je veux pas avec toi.
– T’avais ma parole.
– Oui, mais ça !
– Je l’ai tenue.
– J’ai vu, oui. T’es l’exception qui confirme la règle.
– Si bien que la prochaine fois…
– J’en profiterai encore mieux. Ah, ça, c’est sûr !
– Et ce sera quand ?
– Un jour. Faut pas abuser des bonnes choses. Jamais. On se lasse sinon. Bon, mais dis-moi ! C’est pas tout ça. On est samedi. Tu fais quoi aujourd’hui ?
– Rien. Rien de spécial. Pourquoi ?
– Tu peux peut-être venir avec moi alors. Non, parce que tu sais ce que j’ai pensé ? C’est que ce serait bien que je décore ma chambre à ma façon maintenant, vu qu’il y a des chances que j’y reste encore un bon petit moment. Tu m’aiderais à choisir comme ça. D’autant que c’est quand même chez toi. Il manquerait plus que ça que t’aies pas ton mot à dire.
Et on a passé la moitié de l’après-midi à écumer les magasins. Posters, bibelots, casiers de rangement et jusqu’à un petit fauteuil, c’est tout un bric-à-brac qui s’est progressivement entassé dans le coffre de la voiture.
– Et voilà ! Tu vois qu’avec moi ça traîne pas. On peut peut-être se balader un peu du coup. Il y a rien qui nous presse.
On a marché au hasard. De temps à autre, elle entrait dans une boutique de sapes. Farfouillait. Allait essayer. Achetait parfois.
On a fini par s’installer à une terrasse de café. Des gens allaient et venaient, pressés, indifférents, en flot ininterrompu.
– T’imagines s’il passait quelqu’un du boulot ? Qui nous verrait attablés là, ensemble, pendant le week-end ? C’est pour le coup que ça jaserait. Déjà que de savoir que j’habite chez toi ! Ah, ça doit y aller les commentaires.
– On s’en fiche !
– Complètement.
On s’est remis en marche. Elle s’est brusquement arrêtée, m’a posé la main sur l’avant-bras.
– Quand même… Ce que je me demande depuis ce matin, c’est pourquoi t’as pas cherché à coucher avec moi cette nuit ? Parce que t’en crèves d’envie. Ça se voit, attends ! Il arrête pas de grimper ton truc quand on est ensemble. Tout le temps. N’importe quand. N’importe où. Même au boulot. Et pourtant t’as pas essayé. C’est quoi la raison ?
– Tu m’as tellement répété, sur tous les tons, qu’avec un vieillard comme moi c’était hors de question. Absolument pas envisageable.
– Il y en a plein d’autres des types, c’est sûrement pas ça qui les aurait arrêtés. Ils auraient quand même tenté le coup.
– Ben oui, mais…
– Mais quoi ?
– Tu m’aurais envoyé balader.
– Ah, ça, c’est sûr.
– Et le risque, c’était que tu prennes tes cliques et tes claques et que tu fiches le camp.
– Ça, effectivement, c’était pas exclu. Oui. Alors en somme, si je comprends bien, t’as pas voulu courir le risque de me perdre, quoi !
– Le risque de ne plus avoir ta présence vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Sept jours sur sept. De ne plus pouvoir te regarder et te désirer tout mon saoul. Voilà, oui.
Elle m’a déposé un rapide baiser sur la joue.
– Je t’adore, il y a des moments. Je t’adore vraiment. »

Elle m’adorait peut-être, à sa façon, mais je n’étais guère plus avancé pour autant. Jessica s’était toujours montrée convaincue que je parviendrais à mes fins. Elle était même persuadée que c’était imminent. J’en doutais sérieusement. J’en doutais de plus en plus. Amandine campait sur ses positions et il me paraissait hautement improbable qu’elle puisse un jour finir par changer d’avis. Je m’efforçais néanmoins de garder espoir, j’évitais soigneusement tout ce qui aurait pu apparaître, à ses yeux, comme une tentative pour lui forcer la main. J’attendais, j’espérais et je la désirais. Je me contentais de la désirer. Comme un fou. Elle se prêtait complaisamment au jeu, errait longuement en sous-vêtements, d’une pièce à l’autre, dans la maison. Elle avait toute une collection de petites culottes et de soutiens-gorge, de différentes couleurs, de différentes matières, tous plus émoustillants les uns que les autres, dont elle me faisait généreusement profiter.
« J’aime trop tes yeux quand je suis comme ça.
Elle descendait systématiquement déjeuner dans de petites nuisettes transparentes qui ne dissimulaient strictement rien de ce qu’elles recouvraient. Bien au contraire : elles dessinaient au plus près ses adorables petites fesses, ses seins somptueux, m’offraient, par transparence, la douce résille ombrée.
– Et tu bandes ! Tu bandes encore. C’est fou, ça ! Sans arrêt tu bandes, toi !
Ça ne lui déplaisait manifestement pas. Elle laissait traîner les yeux sur la bosse dans mon pantalon, finissait par se lever à regret.
– Bon, mais c’est pas tout ça ! Faudrait peut-être que je me bouge. Que j’aille me doucher. On va être en retard sinon.
Elle laissait la porte de la salle de bains ouverte. Appelait parfois de sous la douche.
– Et zut ! Il est fini le shampoing. Tu veux pas venir m’en attraper un autre, là-haut, dans le placard ? Tu seras un amour. »

C’était au boulot. Je revenais des toilettes. Elle a levé la tête de son écran d’ordinateur, m’a regardé me rasseoir.
‒ C’est trop marrant.
– Quoi donc ?
– Ben, quand tu pars aux toilettes, tu bandes. Et quand t’en reviens, tu bandes plus. Faut même un bon quart d’heure pour que ça te reprenne. Quelquefois plus même. Comment t’expliques ça ?
– Comme si tu le savais pas !
– Tu te le fais, c’est ça, hein ? Mais c’est dégueulasse ! C’est dégueulasse, attends ! Parce que c’est à cause de moi. Tu crois que je le sais pas que quand je te tourne le dos, à la photocopieuse, tu me bouffes les fesses des yeux ? Même que souvent je fais durer exprès. Ou que quand je me penche sur les tiroirs du meuble, là-bas, tu me reluques les seins comme un meurt-de-faim ? Oui, c’est dégueulasse. Parfaitement. Parce que c’est moi qui t’excite et je peux même pas profiter du résultat.
– Tu voudrais quand même pas que je fasse ça ici, au bureau.
– Et pourquoi pas ? Il y a pas bien de risques, tu parles ! On entendrait arriver. Et puis même ! Ça rajouterait un peu de piment.
– Ça te dirait vraiment ?
– Un peu que ça me dirait.
– Ben oui, mais…
– Oh, mais pas tout de suite, je me doute, attends ! Ça fait à peine cinq minutes que tu t’es fini. Faut quand même que t’aies le temps de recharger les batteries. Ce qui va aller vite, tu vas voir : je vais te donner un coup de main.
Sous le chemisier, elle est allée chercher l’agrafe du soutien-gorge qu’elle a retiré et enfoui dans son sac. Elle a défait deux boutons. Un troisième.
– Pas mal comme ça, non ? T’imagines s’il arrivait, Javeau ? C’est pour le coup qu’il y resterait penché par-dessus mon épaule à regarder soi-disant l’écran de l’ordinateur. Peut-être que je pourrais me mettre tous les jours comme ça finalement ? Qu’est-ce t’en dis ? Il arrêterait pas de passer. Et tout le service avec. En prenant tout un tas de prétextes. Ça pourrait être rigolo, tu crois pas ? Quoique… non. Une bien meilleure idée j’ai.
Elle a passé ses deux mains sous sa jupe, descendu la culotte qu’elle a retirée, une jambe après l’autre.
– Tiens, mets ça dans ta poche ! Oh, la ! Comment ça te revigore, dis donc ! Impressionnant ! Bon, ben à toi de jouer alors maintenant !
Elle s’est rassise, tournée vers moi.
J’ai extirpé ma queue de mon pantalon, l’ai décalottée bien à fond. Elle l’a longuement fixée.
– Faut que je fasse un vœu. C’est la première fois que je la vois, la tienne.
J’ai entrepris un lent mouvement de va-et-vient. Délicatement. Entre le pouce et l’index.
Elle a relevé les genoux. La jupe a glissé sur les cuisses, a laissé entrevoir la fine résille ombrée, soupçonner l’entrée de la crypte secrète.
Je me suis empoigné à pleine main. Élancé frénétiquement vers mon plaisir. Elle l’a regardé surgir.
– Eh, ben dis donc ! Qu’est-ce qu’il y en a en plus !
Elle m’a fait signe d’approcher. M’a enfoui la tête entre ses cuisses. Mes lèvres sur elle. Sur ses ciselures feuilletées. Sur son clito durci. Ma langue s’est glissée, avec ravissement, dans ses anfractuosités. Je me suis voluptueusement gorgé de ses liqueurs.
Elle a resserré les jambes, de toutes ses forces, autour de mon dos.
– Je vais jouir ! Je jouis ! Je jouis !
Elle a relâché son étreinte.
– Non, mais comment c’était bon ! C’est de la folie. N’empêche… Tu sais ce que je me dis des fois ? Que c’est sacrément dommage que t’aies pas vingt ans de moins. »

Les avis des lecteurs

@ Olga T Bien des péripéties encore en perspective.

Hum, j'aime beaucoup!

Ils vont continuer à jouer avec le feu au boulot. Mais pas seulement....

Ca progresse! Vivement la suite



Texte coquin : Les petites stagiaires: Amandine I,4
Histoire sexe : Une rose rouge
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