Les petites stagiaires: Elodie II,7

- Par l'auteur HDS Exorium -
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Récit libertin : Les petites stagiaires: Elodie II,7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les petites stagiaires: Elodie II,7
Elle a jeté son sac sur le canapé.
 Bon, ben voilà ! Ça y est ! J’ai foiré mon année. En beauté. Mais ça, c’était couru. Vu que j’ai strictement rien foutu.
– Ah ! Et tu vas faire quoi ? Repiquer ?
– Je me connais : ça ira pas mieux l’année prochaine. Ça m’embête les études, mais ça m’embête à un point !
– Tu préfères aller bosser ?
– Non plus, non.
– T’envisages quoi alors comme solution ?
– De me trouver un petit vieux bien propre, bien riche et bien malade. Et de me débrouiller pour qu’il m’épouse. Non, oh, j’en sais rien ! Ça s’arrangera bien. D’une façon ou d’une autre. J’ai pas envie de me prendre la tête avec ça maintenant n’importe comment. Maintenant je sors. Avec Camille. Tu veux venir avec nous ?
– Je sais pas. Je…– Tu devrais. Parce que t’as tes chances avec elle. Et plus que tes chances. Mais enfin, moi, ce que j’en dis, hein !

Et je les ai accompagnées.
‒ Tu verras, c’est trop génial, l’ambiance là-dedans.
On s’est frayé tant bien que mal un chemin jusqu’à une table à travers la foule. Elles se sont installées côte à côte, sur la banquette, face à moi. Très vite il a fallu se rendre à l’évidence : le vacarme environnant interdisait quelque conversation suivie que ce soit. Élodie a dit quelque chose à l’oreille de Camille, sorti son smartphone. Elles se sont penchées toutes les deux dessus. Il y a eu des sourires entendus. Des regards complices entre elles. Des petits coups d’œil amusés dans ma direction.
Et puis Élodie s’est levée.
– Tu me fais danser ?
On a joué des coudes jusqu’à la piste.
– Qu’est-ce vous regardiez toutes les deux ? Ça avait l’air passionnant.
– Devine !
– Ma vidéo, hein ? Tu es machiavélique.
– Et t’es pas au bout de tes surprises. En attendant, n’empêche que comment c’était trop jouissif de regarder ça ensemble, elle et moi, en t’ayant juste en face. Et tout le monde autour qui se doutait de rien. Ah, je peux te dire qu’elle a drôlement apprécié. Il y avait de quoi, remarque ! C’était la première fois qu’elle te la voyait d’aussi près. Et en train de te répandre en plus ! Alors là maintenant, si t’arrives pas à tirer parti de la situation, c’est que t’es vraiment le roi des imbéciles.
– Elle a de ces yeux ! C’est fou des yeux comme ça…On a regagné notre table et je me suis empressé d’inviter Camille. Qui s’est abandonnée contre moi. Mes lèvres lui ont effleuré les cheveux, se sont aventurées dans son cou. Elle ne s’est pas dérobée. Elle m’a au contraire tendu les siennes entre lesquelles j’ai doucement introduit ma langue. Elle avait un goût de fraise acidulée. Ses mains se sont nouées derrière ma nuque. J’ai posé les miennes sur ses fesses. Notre baiser s’est interminablement prolongé.
– On rentre ? J’ai trop envie.
– On rentre.
On s’est souri.
Ah, ces yeux ! C’était à se damner des yeux comme ça.

Élodie s’est installée d’autorité au volant.
‒ Passez derrière, vous deux ! Vous allez quand même pas vous arrêter en si bon chemin.
On s’est enlacés. On a repris nos baisers. Je lui ai caressé les seins à travers le chemisier. Sous le chemisier. Sous le soutien-gorge. Je les lui ai sortis. Ils étaient tout menus, tout attendrissants, dans la lumière sautillante des lampadaires. J’en ai agacé la pointe du bout de la langue, l’ai enserrée entre mes dents. Elle a doucement gémi. Sa main a vagabondé sous ma chemise, est descendue. Descendue encore. S’est aventurée dans mon pantalon où elle a enrobé, s’est approprié. Son souffle s’est accéléré. Elle a gémi plus fort.
– Attends !
Et elle est allée me dénuder. Résolument. Jusqu’à mi-cuisses. Ses lèvres sur mes couilles. Sur ma bite. Sa langue en caresse soyeuse tout au bout.
– Tu aimes ?
Si j’aimais ! Ça me rendait fou, oui !
– Continue ! Oh, continue !
Ses fesses sont venues là, tout près, tête bêche, à portée de main. Je me suis insinué entre le tissu et la peau et je les ai pétries, malaxées. Elle, elle a englouti ma queue. L’a amoureusement dégustée, savante, si savante, tandis que j’arpentais le sillon entre elles. Plus bas. Encore plus bas. Jusqu’à… Hein ? Oui. C’était… Il y avait… Aucun doute là-dessus. Elle avait… une paire de couilles ! Une bonne paire. Bien dodue. Bien fournie. Et, forcément, dans leur prolongement, une bite. Tendue à l’extrême. Gorgée de sève. Une bite que j’ai apprise du bout des doigts. Une bite qui a palpité, qui a tressailli. Il-elle m’a sucé avec plus d’ardeur encore. Avec passion. M’a fait venir, m’a bu. Jusqu’au bout. Jusqu’à la dernière goutte. Et s’est déversé dans un grand râle.

Élodie avait suivi le déroulement des opérations dans le rétroviseur.
‒ J’allais quand même pas louper ça, attends ! Sauf que qu’est-ce que c’était frustrant finalement. Parce que toi, tu lui as giclé dans la bouche et elle, ça a été dans son pantalon que tu l’as fait jaillir. Tant et si bien que moi, j’ai rien vu du tout. Enfin, si ! J’ai vu plein de choses, mais pas ça. Qu’est pourtant ce que je préfère. Et de loin. Oh, mais ce n’est que partie remise ! Surtout maintenant que les choses sont claires. Bouge pas que vous allez m’en donner des compensations. Et pas qu’un peu ! Ce qui va pas te déranger, je suppose ? Ben, tiens ! Tu me dirais le contraire… C’est fou, hein, quand même ! Parce qu’au bout du compte t’as plein de nanas, elles sont à des années-lumière d’être aussi féminines que lui. Comment c’est troublant n’empêche quelqu’un qu’est tout à la fois comme ça. Homme et femme. Qu’a en même temps des seins et une queue. Comment j’aimerais ça, moi, sentir ce qu’elles sentent ! Pas toi ?

Amandine était déjà au courant.
« Et ça fait un moment. Depuis qu’Élodie a découvert le pot-aux-roses en fait. Elle n’a rien eu de plus pressé que de me mettre au parfum. Et je peux te dire que la situation la comblait d’aise. Surtout ces derniers temps. « Non, mais t’imagines ? Il se fait mater par un mec et il croit que c’est une nana ! Quand il va s’en apercevoir ! » Elle crevait d’envie qu’il se passe quelque chose entre vous, elle poussait à la roue, mais, en même temps, elle appréhendait que tu le prennes mal, que tu lui en veuilles de pas t’avoir dit où tu mettais les pieds. « Parce que les mecs, avec les autres mecs, c’est pas forcément simple. Ils ont de ces préjugés là-dessus ! Même que là, ce soit une situation un peu particulière. » J’avais beau lui assurer que c’était vraiment pas le genre de choses à te poser problème, il n’empêche : elle était pas vraiment tranquille.
– En attendant vous m’avez bien mené en bateau toutes les deux !
– Tu regrettes ?
– Oh, que non ! Non ! Cette Camille…– T’a fait très forte impression. T’en es amoureux ?
– Si tu me parlais un peu de toi plutôt ?
– Détourne bien la conversation !
– C’en est où avec ta cheffe, là ?
– Oui, ben justement ! S’agissant de tomber amoureuse…– Tu l’es d’elle.
– Oh, non. Non. Il y a pas de risque. Mais elle l’est de moi, ça, c’est sûr ! Et je suis dans un de ces pétrins ! Parce qu’elle s’est mis dans la tête que c’était le grand amour toutes les deux. Qu’on allait faire notre vie ensemble. Elle prospecte pour un appartement. Elle parle de quitter son mari.
– Mets-lui les points sur les i.
– Mais je fais que ça ! J’arrête pas ! Elle veut rien entendre. Son grand argument, c’est que mes sentiments pour elle sont tellement forts que je panique complètement à l’idée de me les avouer à moi-même. Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?
– Pas grand-chose en effet !
– Je vis un vrai cauchemar. Parce que c’est toute la journée que je me la tape au boulot. T’imagines ce que ça peut donner ?
– T’as un BTS. Tu peux trouver autre chose ailleurs.
– J’y pense, figure-toi ! J’y pense de plus en plus. D’autant plus qu’avec les deux autres, à la baraque, c’est devenu carrément infernal. Elles arrêtent pas de me chercher des poux dans la tête.
– Reviens ici !
– Ça peut être une solution, oui. Il me prendrait en CDI Javeau, tu crois ?
– Si je lui démontre que ce serait tout bénéfice pour l’entreprise, sûrement.
– Je sais pas. Faut que je voie. Dans un sens, ça me déplairait pas. Ne serait-ce que parce que je travaillerais avec toi. Mais dans un autre, j’aimerais autant changer radicalement de tout. De région. De poste. De secteur d’activité. On en parlera de vive voix n’importe comment. Je vais passer te voir.
– Depuis le temps que tu me le promets.
– Non, mais cette fois, je vais venir. Sûr. »
On était dans la baignoire, Camille, Élodie et moi.
‒ Non, mais vous allez bien les garçons, là ! Ça fait dix minutes que vous vous reluquez tant et plus l’un l’autre. Et moi ? Je compte pour du beurre alors ?
– Mais non, mais…– Oh, mais je rigole ! Je me régale en fait. J’adore ça vous voir faire. Mais quand même j’aimerais bien pouvoir participer un peu…Et elle nous a empoignés. Tous les deux. Un dans chaque main. Nous a soupesés. Explorés. Décortiqués.
– Heureusement que je suis pas forcée de choisir. Parce que comment je serais embêtée ! Elles se ressemblent vachement n’empêche vos deux queues ! Souvent il y a plein de différences entre elles. Qui sautent tout de suite aux yeux. Mais pas là. Pas vous. Rapprochez-les un peu pour voir. Rapprochez-vous ! Plus près ! Encore ! Non, mais c’est trop fou, ça ! On dirait deux sœurs jumelles. Celle de Camille, elle est un peu plus pâle, un peu plus rose, et tes couilles à toi, elles pendent un peu plus, mais sinon c’est vraiment du pareil au même.
Elle nous a mis bout à bout, nous a doucement abouchés l’un avec l’autre.
– Ça vous fait quelque chose ?
– À ton avis ?
– Ça vous fait quoi ?
– T’arrives à expliquer ce que tu ressens avec des mots, toi, quand on te titille le clito ?
– Vous les avez toutes dures, ce qu’il y a de sûr. Et ce qu’il y a de sûr aussi, c’est que vous allez sortir. Vous l’inonder l’un l’autre. Et que ça va pas tarder. Et que je crève d’envie de voir ça.
Camille a fermé les yeux, rejeté la tête en arrière, gémi.
– Tiens, qu’est-ce que je disais !
Il en a sauté sur mon ventre, sur mes couilles, sur ma queue, sur les doigts d’Élodie qui m’en a consciencieusement enduit tout le bout. Sur toute la surface.
– Allez, à ton tour maintenant !
La porte s’est brusquement ouverte.
– Ah, ben on s’amuse bien ici, à ce que je vois !
C’était Amandine.
À la rencontre de laquelle Élodie s’est précipitée. Elle a enjambé le rebord de la baignoire, est allée se jeter dans ses bras.
– Viens ! Viens ! Qu’on discute un peu toutes les deux.
– Mais… Et eux ?
– Oh, eux ! Il y en aura d’autres des occasions. Plein.
Et elles nous ont plantés là.
Camille m’a attiré contre elle. Enlacé. M’a donné ses yeux. Ses lèvres se sont doucement approchées des miennes, s’y sont posées. On s’est savourés. Longuement.
– De quoi t’as envie ?
Je n’ai pas répondu. J’ai posé ma joue sur son sein.
Elle a souri. M’a présenté l’autre. Dont je me suis emparé. Dont j’ai fait dresser la pointe. Avec mes doigts. Avec mes lèvres. Avec ma langue. Son désir a resurgi, est venu se caler le long du mien. Qui a éclaté contre lui.

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Texte coquin : Les petites stagiaires: Elodie II,7
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