Les punitions d'Olga T. (1)

- Par l'auteur HDS Exorium -
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Récit libertin : Les punitions d'Olga T. (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les punitions d'Olga T. (1)
On ne présente plus Olga T., hyper sexuelle assumée, dont beaucoup ici ont lu les textes qui relatent, pour la plupart, des expériences vécues. Je lui ai proposé, et elle en a été d’accord, de lui imaginer des aventures qui, si elles n’ont pas réellement eu lieu, restent toutefois dans le registre de ce qui aurait pu l’être. C’est ce que j’ai tenté de faire. Ces récits se déroulent après ses études, au début de sa vie professionnelle, avant qu’elle ne rencontre l’homme de sa vie, son mari candauliste, Philippe.

1-
Il voulait la voir, Olga, l’Écossais du boulot. Il voulait lui parler.
-  Et si on dînait ensemble un soir ?
Et pourquoi pas ?
-  Ce soir alors ? Je passerai te chercher.

Un bon moment qu’il était là, cet Harold, au ministère, dans le cadre d’un partenariat avec la Grande-Bretagne. Elle l’avait tout de suite repéré. Dès son arrivée. Un bel homme. La cinquantaine rassurante. Le genre qui te donne confiance en toi. Alors, forcément, elle y avait pensé à s’envoyer en l’air avec. D’autant, elle avait discrètement vérifié, qu’il avait bien l’air d’avoir tout ce qu’il fallait là où il fallait. Seulement, il y avait les bonnes résolutions qu’elle avait prises. Pas au boulot. Jamais. Pas question de s’y tailler une réputation qui pourrait lui nuire dans sa carrière. Il y avait suffisamment de types avec lesquels s’éclater par ailleurs. Ce qui ne l’empêchait évidemment pas de convoquer un certain nombre de ses collègues dans ses fantasmes. Et d’exiger d’eux qu’ils l’y satisfassent. Harold s’était montré, en l’occurrence, tout particulièrement efficace. En sorte qu’il était l’un de ceux auxquels elle avait le plus souvent recours pour se donner du plaisir avec ses doigts. Et voilà qu’il l’invitait au restaurant. Dans l’intention évidente, elle n’était pas idiote, de la sauter. En vrai. Ce qui allait se faire. Parce qu’elle en avait envie au moins autant que lui. Sinon plus. Oui, mais… Mais quoi ? Il était du boulot ? Oui, oh, ben, c’était pas pour une fois. Et puis, de toute façon, il suffirait qu’ils se montrent prudents et personne ne s’apercevrait de rien.

* * *
Elle s’était habillée en mode suggestif discret. Petite robe noire dessus du genou subtilement échancrée au niveau des seins. Et maquillage léger.
Il faisait exceptionnellement doux et ils ont dîné dehors, en terrasse, à une petite table à l’écart, avec le crissement des grillons en arrière-fond.
Il a lâché ça, d’un coup, au moment précis où ils attaquaient les hors-d’œuvre.
-  Tu sais que tu passes pour une pute au boulot ?
Hein ? Quoi ! Au boulot ! C’était quoi, cette histoire ? Il y avait jamais rien eu au boulot. Strictement rien. Jamais. Avec personne.
Il a eu un petit haussement d’épaules résigné.
-  Oui, mais ailleurs…Ailleurs, c’était sa vie privée, ça, ailleurs. Ça regardait personne.
-  Ah, tu crois ça, toi ? Mais tout le monde est à l’affût de tout ici, figure-toi ! Et quand on est une petite jeune, bien faite de sa personne…-  Mais il se dit quoi, au juste ?
-  Que tu es chaude comme la braise. Qu’on ne compte plus les types que tu t’es envoyés. Une vraie collection. Il s’organise même des expéditions, la nuit, sous tes fenêtres vu que, paraît-il, tu es très expansive et que tu fais généreusement profiter tout le quartier de tes ébats.
-  Mais c’est dégueulasse ! De quoi ils se mêlent ? Qu’est-ce que ça peut leur foutre ?
-  Les gens sont comme ça. Tu les changeras pas. Et le problème, pour toi, c’est que tu te mets en danger. Parce que… Tu as quel âge, Olga ?
-  Vingt-deux ans.
-  Vingt-deux ans. Tu es compétente. Intelligente. Cultivée. Tu as une brillante carrière devant toi. À condition de ne pas te tirer une balle dans le pied. Parce que tes parties de jambes en l’air, là, en ce moment, elles vont te suivre partout. Tout le temps. On ne te les pardonnera pas. On ne te dira rien par-devant, oh, non ! Bien sûr que non. Mais quand il s’agira de te confier des responsabilités, on renâclera. Les promotions, elles te passeront systématiquement sous le nez. On te mettra tous les bâtons qu’on pourra dans les roues. La liberté dérange, Olga. Et je ne crois pas que tu aies vraiment conscience de l’animosité que tu es en train de susciter.
Elle a soupiré.
-  Oui, alors, si je comprends bien, ce qu’il faudrait que je fasse…-  C’est ne plus donner prise. En effet… C’est te faire complètement oublier, du moins sur ce plan-là. Quelques mois. Le temps qu’ils passent à autre chose, que commence à se substituer à celle-là une autre image de toi.
-  Ce qui veut dire… Plus rien ? Plus du tout ? Plus personne ?
-  Tous les regards sont actuellement braqués sur toi. Le moindre de tes faits et gestes est scruté. Analysé. Dépecé. Alors un coup d’un soir, un seul, et ça va repartir de plus belle. On va broder. Amplifier…-  Je pourrai jamais, c’est pas la peine !
-  Tu pourras jamais quoi ?
-  Ben, ça ! Me passer de mec pendant des semaines et des semaines. Je me connais : je pourrai pas.
-  Tu peux bien faire le sacrifice de quelques coups de queue pour assurer ton avenir, non ?
Eh ben, non, justement, non !
-  Parce qu’avec ma tête, je suis d’accord. Complètement, oui. Mais mon corps, lui, il exige. Il a besoin. Je peux peut-être réussir à le sevrer. Trois ou quatre jours. Et puis la nature va reprendre ses droits. Ça va me déborder de partout. Et ce sera pire qu’avant. Mille fois pire.
Il a encore haussé les épaules.
-  Tu sais ce qu’il te manque ? C’est qu’on t’a jamais appris à te contraindre. À te maîtriser. À prendre sur toi. C’est que tu n’as pas reçu les bonnes fessées méritées au moment où il l’aurait fallu.
Oh, mais ça peut se rattraper, ça ! Au moins en partie. Il n’est jamais trop tard.
Elle a froncé les sourcils. Il voulait dire quoi, là, au juste ?
-  Que ce que je te propose, si tu en es d’accord, bien sûr, c’est de te prendre en mains. De te faire rentrer dans les clous. C’est de te punir chaque fois que ce sera nécessaire. Chaque fois que tu te seras laissée aller à écarter les cuisses.
Elle a fait semblant de ne pas comprendre. La punir ? Mais comment ?
-  J’ai été suffisamment clair, il me semble, non ? Une bonne fessée. Déculottée.
Il s’est tu. Elle s’est tue.
En elle, c’était tout un tumulte à l’intérieur.
Il a cherché ses yeux.
-  Alors ? Qu’est-ce que tu en dis ?
Ce qu’elle en disait, ce qu’elle en disait, c’était que…-  Oui.
D’une toute petite voix.
-  Parfait ! Les résultats seront spectaculaires, tu verras… Tu me remercieras.
Et il a réclamé l’addition.

* * *
Elle s’est tournée et retournée dans son lit. La fesser ! Il voulait la fesser. Elle a fermé les yeux. Revu ses mains. De grandes mains. De belles mains. Comment elles devaient faire mal quand elles claquaient le derrière ! Comment ça devait être bon ! Bon, oui ! Parce que les fessées, elle ! Oh, les fessées ! Rien que d’y penser… Et c’est devenu tout humide entre ses cuisses. Ne plus baiser ? Pendant des semaines et des semaines ? C’était mission impossible. Complètement impossible. Trop de beaux mâles. Partout. Dans les rues. Dans les cafés. Avec des queues somptueuses. Qui ne demandaient qu’à la fourrer. Qu’à se répandre en elle. Qu’à la faire couiner. Elle a laissé ses doigts courir sur sa chatte et elle en a fait venir, des queues. Celle du maître-nageur, sur la plage. Celle du concierge à l’appart. Celle du serveur tout à l’heure. Des queues. Plein de queues. Sur lesquelles elle s’est empalée. Refermée. Qui l’ont pilonnée à qui mieux mieux. Qui l’ont menée d’extase en extase.
-  Oui, je suis une pute. Une sale petite pute.
Et il y a eu les mains d’Harold, à plein régime, sur son fessier.
C’est lui qui l’a finie.
Et elle a étouffé ses cris dans l’oreiller.

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