Les règles du jeu Ep01 L'inscription

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les règles du jeu Ep01 L'inscription Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les règles du jeu Ep01 L'inscription
Les règles du jeu Ep01
L'inscription


J'avais pas bien compris les règles …

Tout paraissait simple pourtant au départ. Bon d'accord c'était violent, on se tapait dessus, on ne faisait pas semblant mais, c'est normal, le but était d'écraser l'adversaire. On le bousculait pour qu'il s'écrase contre les vitres sur les côté, et les spectateurs qui étaient juste derrière s'en rendaient compte. Je vous rassure les vitres sont blindées.

En fait bon, on ne se tapait pas vraiment dessus, on se bousculait, on se poussait, on se laissait tomber négligemment sur l'adversaire, juste pour l'écraser mollement …

Je vous rassure avant d'aller plus loin. Je vous parle d'un sport, pas du prochain massacre dans les rues de nos grandes villes. Non, c'était codifié, violent comme je le disais mais on était protégé, on avait des vêtements épais et très bien étudié, un casque aussi et tout ce qu'il fallait. On n'avait pas de blessés. Enfin pas souvent. Mais jamais de blessures graves !

Le but était d'attraper la boule et de la ramener dans notre camp, le gardien de but était là pour protéger la boule pour que personne ne l'empêche d'y rentrer …

Oui je sais il y a d'autres sport ou c'est le contraire.

C'était spectaculaire, la foule de spectateur était en délire, c'était les filles qui gueulaient le plus. Avec elles on ne criait plus, on gueulait.

Mais ce sport avait quelque chose d’esthétique, viril mais esthétique. J'ai voulu en faire, j'étais trop jeune, je me suis musclé. Il valait mieux remarquez, j'ai fait du sport. Je ne loupais pas un match à la télé et la première fois que j'en ai vu un en vrai j'étais en transe. J'ai gueulé, j'ai hurlé, j'en voulais encore.

J'avais atteint l'âge et à la fin du match, je me suis inscrit !

C'était une bonne chose de faite. J'étais donc convoqué pour un essais. J'étais au top de ma forme, musclé, souple, rapide, vif, intelligent, attentif, passionné … Oui je sais j'en ai rajouté devant le recruteur mais de toutes façons il ne pouvait pas tout vérifier. Alors …

Lors de la première séance d’entraînement je suis tombé sur le cul.

On s'est tous retrouvé dans les vestiaire, les membres de l'équipe se déshabillaient. Nous étions cinq nouveaux. On suivait leur exemple et rapidement tout le monde se retrouvait à poil.

– Bon vous les nouveaux, vous restez à poil. Le coach veut vous voir !

J'ai pas compris ce que ça voulait dire, je me retournais vers mes camarades, il ne comprenaient pas non plus. Les autres rigolaient.

– On va vous équiper ! Nous lançait le capitaine de l'équipe.

C'est à ce moment que je me retournais vers lui et le voyais de face, entièrement nu. Il avait une sorte de petit dispositif autour de la queue. Je ne comprenais pas ce que c'était. Les autre membres de l'équipe se retournaient vers nous, pour qu'on puisse bien les voir, ils en portaient tous un.

Ils enfilaient leur tenue de sport, double, triple protection contre les coups. Ils doublaient presque de taille, surtout en largeur. Et nous les cinq nouveaux restions à poil comme des c… et surtout incrédules. On se dirigeait vers le bureau du coach.

C'était une grande surprise, c'était le secret de ce sport. Viril comme je le disait mais … Bein oui, c'était ça le ' Mais '.

– La presse n'en parle jamais et vous devez prêter serment de ne jamais révéler ce secret. TOUS LES JOUEURS SONT CHASTE !

On restait là comme des cons ( oui là je vous jure il n'y avait pas photo ). On n'avait vraiment pas l'air futé.

Le coach nous proposait donc de nous mesurer.

– Et toi coach tu es dispensé ? Demandait le plus hardi d'entre nous.

Pour seule réponse le coach baissait son pantalon de sport, il n'avait pas de sous vêtement mais un joli dispositif de chasteté décoré de petits points brillant. ( c'était un modèle fantaisie ). Un truc pour sortir le week-end je suppose. Mais non, je plaisante.

Il fallait mieux prendre la situation à la plaisanterie, elle était tendue la situation. Mes cinq camarades et moi à poil devant notre coach, qui lui même avait une cage à bite, sur son bureau tout un tas de cage à bite de différentes tailles et … En plus on se disait que nous allions bientôt en porter une chacun.

Je ne savais plus ou j'étais en fait.

On a procédé à la mesure, jusque là on ne bandait pas. Puis il a fallu reprendre les mesures en érection. Là c 'était la grosse rigolade, on rigolait pour détendre l’atmosphère, le coach avait remonté son pantalon mais nous on était toujours à poil, tous les cinq.

Ensuite encore il fallait débander pour pouvoir se glisser dans le dispositif. Forcément ça a un peu traîné. Au bout d'un long moment,quand on est ressorti du bureau du coach, on était calmé. On avait tous un superbe petit dispositif de chasteté sur la queue. C'était étrange, ça ne faisait pas vraiment mal, en fait ça ne faisait pas mal du tout. Ce n'était pas non plus totalement inconfortable. Je le sentais bien le petit dispositif mais ça restait étonnement agréable à porter.

On revenait vers les vestiaires toujours à poil, derrière la vitre blindée sur la piste de glace notre équipe s'entraînait. Quand les joueurs nous on vu, ils on voulu nous encourager et ont crié en levant les bras au ciel.

Je me souviens qu'on leur a répondu, on a crié nous aussi en levant les bras au ciel. On est entré dans les vestiaires, on nous a habillé et c'est très présentables qu'on débarquait comme des furies sur la glace avec les autres.

C'était notre première séance d'entraînement.

On s'est défoulé, on s'est bien dépensé, on s'est bousculé, c'est le but du jeu. Je pouvais constaté que les couches de protection étaient efficaces. On se tapait dessus mais on si on sentait bien les coups, on ne sentait pas la moindre douleur.

Mais il faut bien se dire que c'était du sport.

On m'a bien éclaté trois ou quatre fois contre la vitre, on m'a piétiné autant de fois, mais malgré tout je m'en suis sorti totalement indemne. Le terrain de jeu était une patinoire, d'autres jeux y étaient également pratiqués. Et il y avait une vitre blindée qui séparait les joueurs de spectateurs.

On avait passé avec succès l'examen d'entrée. On se retrouvait sous la douche, tous à poil bien sûr. L'ambiance était à la rigolade, les mains étaient baladeuses et on nous expliquait les règles.

– On porte ce dispositif qui est censé canaliser notre énergie. On le garde pendant toute la saison sportive et ne le retire qu'après le dernier match. Nous expliquait le capitaine de l'équipe.
– Sauf l'équipe classée en dernier ! Rajoutait un des gars. Elle le garde jusqu'à la saison suivante.

Nous écoutions avec attention.

– Mais la saison est commencée là. Ça se passe comment pour nous ?
– Vous la garderez, comme nous jusqu'à la fin de la saison !

Je vous jure sur le coup, ça calme ! Pourtant personne n'a demandé à quitter l'équipe.

Je ne réalisait pas vraiment ce que ça représentait ces huit mois qui restaient. Je n'aurais donc aucun libération, ou alors je quittais l'équipe. Mais cette ambiance était stimulante, je voulais aller jusqu'au bout.

Le baptême du feu approchait. Notre premier tournoi, jusque là ce n'était que de l'entraînement.

On voyait arriver l'autre équipe, ils gueulaient pour nous intimider, on hurlait pour leur montre qu'on ne l'était pas. On s'habillait et c'est sur la glace que nous leur faisions face. L'arbitre lançait la boule au milieu de la patinoire avant de se sauver en courant.

Prudent mais pas téméraire, l'arbitre avait surtout de l'expérience. Douze grands malades, avec une expression de gros furieux se ruaient vers la boule en criant. Quatre remplaçants s'agitaient comme des singes en cage et poussaient eux aussi de grand cris.

A ce moment précis, je me suis demandé ce que j'étais venu faire dans cette galère puis j'ai arrêté de réfléchir et j'ai foncé vers le premier que je voyais qui voulait s'approcher des autres.

Pénalité, je n'avais aucune raison de l'attaquer ! Je sortais j'étais remplacé.

Après quatre pénalité pour mon équipe, tous les remplaçants était sortis, et je revenais donc sur la glace. J'étais à peine revenu qu'un joueur adverse me percutait en pleine vitesse, je ne l'avais pas vu venir et il m'éclatait contre la vitre.

Pénalité il sortait …

Un peu plus tard un joueur me faisait tomber et se laissait tomber négligemment sur moi. Vous avez remarqué que je n'ai pas dit ' tomber mollement ', ça n'avait rien de ' mollement ' ! J'étais sonné je sortais et j'étais remplacé.

Mon équipe menait, nous pouvions gagner, la fièvre montait, les coups tombaient les joueurs aussi, et les remplaçant ne restaient que quelques secondes en dehors de la glace.

La foule hurlait, c'était de la folie,il y avait des cris au moment ou le score sonnait.

NOUS AVIONS GAGNE !

D'un point, la victoire n'était pas éclatante mais un point suffit pour désigner le gagnant.

J'avais oublié ma cage à bite depuis le début du tournoi. À chaque entraînement c'était pareil, j'oubliais totalement ma cage à bite. J'y pensais avant, j'y pensais après, mais pendant, une seule chose comptait.

La boule.

Elle avait des poignée, il ne fallait pas la lancer en hauteur, on pouvait la faire glisser et s'en emparer en faisant tomber celui qui la tenait. On le faisait alors tomber puis on se laissait tomber négligemment sur lui.

Je ne dis plus ' mollement ' maintenant .

On rentrait dans les vestiaire et rapidement les vêtement étaient triés, envoyés à la lessive pendant que nous passions sous la douche. On chantait, on riait, on s'arrosait, on se tripotait les couilles.

Enfin rien de très sérieux quoi.

On était énervé, je ne vous dis pas, et nos cages, toutes nos cages étaient sous pression. Le coach venait nous rejoindre, il passait lui aussi sous la douche. Mais lui il retirait sa cage.

Plus personne ne bougeait, tout le monde le regardait. Avec un petit sourire coquin il distribuait des clés à chacun d'entre nous. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

Nous avons tous retiré nos cage, rapidement on bandait, on s'astiquait rapidement le manche puis le coach intervenait. On s'est alors sécher, puis on est passé dans le salon ' Visiteurs '.

Les joueurs de l'autre équipe semblaient nous y attendre.

– Mais c'est quoi ça ? Il se passe quoi maintenant ? Demandais je.
– On a gagné, et eux c'est notre lot … Me répondait le coach.

Maintenant il bandait en regardant le coach de l'autre équipe.


A suivre


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