Les turpitudes de Mauricette 4 - histoire érotique

Les turpitudes de Mauricette 4

Le lendemain matin, au réveil, nous avons eu une grande discussion :
1. Je ne dois pas me mêler de près à la cité et à ses trafics.
2. On va continuer vers le libertinage, nos rencontres seront fortuites et secrètes.
3. Je peux utiliser librement mes deux orifices mais mon anus lui appartient.
4. Il décide de ce qui est bon pour moi et je serai punie en cas de désobéissance.
5. En sa présence mes trous devront être toujours accessibles.
6. Je devrais toujours porter le rosebud qu'il m'a offert et qui marque son appartenance.

Il sait se montrer si doux et persuasif dans le lit. Il me crochète, un doigts dans le vagin, l’autre dans l'anus en pince, il me fouille et m'embrasse passionnément.
Je caresse son vit qui prend de bonnes dimensions, je ne peux m'empêcher de le prendre en bouche, je lèche son gland, je parcoure la hampe, mes lèvres s'attardent sur son sexe que j'embrasse tandis que mes mains compriment ses bourses. Maintenant, Je le masturbe vraiment, son sexe pointe menaçant et je m'empale à cheval sur lui. Il me pétrit les seins et me retourne pour me prendre en missionnaire. Il effectue de longs vas et vient, il me pilonne.
Il accélère en même temps qu'il énonce ses commandements. Je ne peux qu’accepter.
Il conclut en m'inondant la poitrine et le visage. Je le reprends en bouche pour le nettoyer, je reconnaitrais son sperme entre mille. Il est âpre, salé avec un goût de terre, de cuir et de sang.

Il file en me tapant sur les fesses :
« Tu as rendez-vous chez Marie pour le tatoueur. »
Sous entendu, tu dois obéir à Marie qui te chaponnera mais me rapportera tout.

j'enfile des collants ouverts à l' entrejambe sous une minijupe noire en cuir, un caraco noir semi-transparent et un blouson.

Marie m'accueille à bras ouverts, elle s'empare de ma bouche et éclate de rire en me disant que je sens le sperme de Driss…
….
Le tatoueur me pose trois petits anneaux sur le lobe de l'oreille, il en profite pour me repercer les oreilles et me fixe des créoles. Pendant ce temps, Marie me maquille : fond de teint, sourcils, faux cils, mascara, rouge à lèvres….
On parle piercing sur la langue, les tétons, capuchon du clitoris… douleur, sensation…. Je ne suis pas prête mais je suis d'accord pour un premier tatouage.

Il s'agit d'une fée sur la fesse. Je m'installe nue à plat ventre, un traversin sous le ventre. Il approche une lampe, appose un calque et dessine le motif. Il est concentré.
Le travail à l'aiguille commence. On entend sa respiration, le bruit de l’aiguille. La fesse me brûle un peu, il me tarde de voir le résultat.

Au bout d'un quart d'heure, il me laisse reposer. Je suis toujours allongée. Je ne vois rien mais j'imagine des choses entre Marie et lui.

Une verge se présente devant mes lèvres. J'ouvre la bouche et elle s'enfonce. Il utilise ma bouche comme un vagin une minute ou deux puis quand sa verge est bien dure. je vois Marie, troussée qui présente sa croupe et il la pénètre en levrette.

Le coït est de courte durée, il se tourne vers moi et m’inonde. Marie s'approche de mon oreille et me dit qu'il fait ça à chaque fois qu'elle vient. Et elle me lèche devant lui. Elle me relève et m'embrasse.
Elle me dit : « Maintenant tu sens le sperme du tatoueur. »
Mon rimmel a coulé , mon maquillage est grotesque, j'ai mal à la fesse, j'ai été humiliée et je suis marquée dans ma chair.

Nous prenons une collation dans une brasserie et Marie m'oblige à la suivre dans le sexshop déjà visité avec Driss.

C'est une boutique sur trois niveaux. Au rez de chaussée, la boutique avec ses DVD, vêtements et accessoires. Nous filons directement au sous-sol. Ce sont les cabines, certaines avec des gloryholes. C'est un vrai labyrinthe avec une partie obscure.

A l'entrée il y a des casiers. Marie me déshabille, je ne porte plus que mes bottines et collants. Elle-même a revêtu un maillot une pièce en cuir qui part de l entrejambe et remonte en V sur ses seins pour se fermer derrière son cou. On devine ses seins à peine couverts et ses flancs ainsi que son dos sont nues. Elle a toujours ses bottes. C'est elle la dominatrice et je vais être son jouet.

Nous avançons dans le couloir, certaines cabines occupées se ferment. Visiblement, certains messieurs ne veulent pas être dérangés. Mais rapidement nous sommes suivies par un petit groupe.
Marie me fait allongé sur un grand matelas face à un grand écran. Elle intime à un grand jeune homme de s'agenouiller pour me bouffer la chatte. Il est nu et le postérieur offert. Elle le claque plusieurs fois.
D'autres se masturbent et voudraient bien se faire sucer. Quand le premier monte sur le matelas, elle l'en empêche et le dirige au cul de mon bouffeur de minou que j'encourage bruyamment.

« Tu vas d'abord lécher le cul de ton pote et l'enculer. »

Penaud, il s'exécute, prend un préservatif et du gel à disposition tandis qu'autour les mecs se branlent. Notre suceur se fait sodomiser, ma main remplace sa langue devenue inefficace.
Je me tourne alors d'un quart de tour et Marie m'offre un nouveau partenaire. C'est homme dans la cinquantaine, sa langue est plus épaisse et il me lape avec plus de conviction.

On entend mon premier suceur gémir sous les coups de bite dans son fondement. Il prend cher. Son sexe pleure et Marie recueille le sperme qui coule et le porte à sa bouche.

Son partenaire pour l'occasion jouit à son tour puis quitte les lieux. Mon bouffeur a le droit de me pénétrer mais il n'y arrive pas.
Il continue donc à nous regarder en se masturbant.
Je suis tres excitée, je veux absolument que l'on me pénètre et le fait savoir.

Marie a une nouvelle lubie, elle installe un nouveau candidat allongé sur le dos et me demande de m'allonger sur lui, mon sexe sur sa bouche.

Mes jambes repliées pendent au sol, cuisses écartées, sa tête est en arrière au bord du matelas, j'ai son sexe sous mes yeux mais je suis appuyée sur mes avant bras.
Un gars debout s'approche la verge en main, il frotte sur mon pubis pour trouver l'entrée à plusieurs reprises. Son sexe est dur comme du bois, il me pénètre enfin. Il a l'air large et commence par des petits coups puis de plus en plus amples. Il frotte sur le menton de mon suceur qui continue sa besogne, je sens sa langue près de mon clitoris, je me sens couler sur sa bouche, il boit forcément mes secrétions. Mon baiseur accélère et finit par jouir bruyamment.
En se retirant, son préservatif se vide sur le visage de mon lécheur. Un autre prend sa place pour me pénétrer. Son sexe est plus fin et plus long, il prend son temps et je jouis à mon tour, secouée de spasmes.

Mon sexe devient douloureux, les caresses sur mon clitoris deviennent insupportables. Marie me relève et m'embrasse. Elle me serre contre elle.


Nous nous rhabillons et elle me ramène à la maison où nous prenons une bonne douche puis me couche avec une bonne tisane.