Lilly 4 - histoire érotique

Lilly 4
Nous venons de jouir tous les deux et Lilly me libère du long et fougueux baiser qu’elle m’octroie avant de quitter le lit, ce qui me permet de lui dire :
-Je crois que je n’ai jamais jouis aussi fort !
-Je crois bien que pour moi c’est pareil, me répond Lilly en enfilant un tee short, le même que sur la photo qu’elle m’avait envoyée, et lui couvrant à peine la moitié des fesses, c’était très fort !
Elle quitte la chambre pour se diriger vers la petite cuisine pour nous préparer un petit encas.
Je la rejoins après avoir, moi aussi, passé juste un tee short.
Lilly fait le service, thé pour elle et moi du café, mais je n’ai d’yeux que pour ses fesses et le ballotement de ses seins.
De nouveau, l’envie de toucher, palper, mordiller, lécher me reprend et comme elle se rend compte que je la matte, elle fait tout pour être la plus aguichante possible. Elle laisse tomber une serviette et se baisse, ce qui a pour effet de dévoilé en intégralité son cul dont le petit trou me fait de l’œil (si je puis dire ça). Elle remarque l’effet de son petit manège en voyant ma bite reprendre vigueur.
-Mais, tu recommence à bander me dit-elle d’une voix un peu mielleuse et très sensuelle
-Ca ne te laisse pas indifférente, si j’en juge par tes tétons qui cherchent à percer le tee short !
Elle s’approche de moi, se saisit de ma queue en m’embrassant. Impossible de résister, je bande de plus bel.
Alors, je me lève, lui prends la main, et cette fois, c’est moi qui l’entraine vers la chambre, lui enlève son tee short et commence à lui caresser les seins, je pince les tétons qui deviennent encore plus durs. Je ne la laisse pas me toucher, je l’allonge sur le lit, lui écarte les cuisses et commence exciter son clito qui grossit. Mes doigts glissent sur sa chatte et, malgré les coups de rein que Lilly donne en gémissant, refusent de pénétrer sa chatte et vont explorer un peu plus loin sa rondelle étoilée :
-Vas-y, mets tes doigts, me demande-t-elle
Mais j’ignore complètement sa demande et reviens titiller son clito, je le fais rouler entre mon pouce et mon index, je caresse à nouveau ses grandes lèvres qui laissent s’échapper de la cyprine. Je ne peux résister, et ma bouche vient remplacer mes doigts. Je lèche avidement sa chatte ce qui provoque des râles de plaisir à Lilly et une sécrétion encore plus forte de mouille. J’avale le plus possible de ce nectar.
Lilly voudrait bien participer en me suçant la queue, mais je m’y oppose et fais en sorte qu’elle ne puisse pas la toucher.
Je la sens un peu frustrée, alors je me décide à pénétrer sa chatte tout d’abord avec un doigt, puis deux, puis un troisième.
Lilly m’encourage
-Oh oui, branles moi
Alors j’agite ma main dans sa grotte trempée, et bientôt l’auriculaire vient rejoindre les trois premiers doigts. Il n’y a plus que le pouce qui reste à l’extérieur de la chatte de Lilly. Comme il veut faire partie de la fête, le voilà qui, à son tour cherche à rentrer dans cette chatte si accueillante.
Je pousse un peu plus fort ma main et Lilly gémit très fort tout en projetant son bassin en avant comme pour m’aider dans ma progression. Je me rends compte que toute ma main a pénétré la vulve de Lilly et que ses grandes lèvres se referment sur mon poignet. Je commence quelques mouvements de va et vient qui arrachent des cris de bonheur à ma compagne. J’amplifie mon mouvement faisant sortir puis rentrer la moitié de ma main, puis la totalité avant de retourner au fond du vagin. Après trois allers-retours, Lilly crie :
-Je jouis, c’est trop whaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
Et alors que ma main sort de sa chatte, Lilly m’asperge d’un long jet de jouissance, je continue mon pilonnage, et à chaque sortie de ma main, je suis arrosé. Après quatre jets de mouille, je décide d’abandonner mon fisting et de remplacer ma main par ma bite.
-Oh oui, baise moi vas y. Donne moi ton foutre
Mais, une fois encore, je désobéis à ses ordres, après seulement quatre ou cinq allers-retours, j’abandonne sa chatte et décide de m’occuper un peu de son joli petit cul.
Son anus et ma main sont tellement mouillés, que mon majeur n’a aucune peine à se frayer un passage, bientôt suivi par mon index et mon annulaire. Mes doigts commencent à s’agiter et Lilly répond à ma pénétration par des gémissements de plus en plus forts et des mouvements du bassin de plus en plus violents.
Je lui demande de se tourner sur le côté. Elle s’exécute et je m’allonge derrière elle, lui écarte les jambes et lui pénètre la chatte pour bien lubrifier ma queue. Je quitte assez rapidement sa moule pour appuyer mon gland sur le trou de son cul.
Je pousse doucement, je ne veux pas prendre le risque de lui faire mal, mon gland écarte les sphincters, en franchit la barrière, je peux maintenant m’enfoncer d’avantage dans son anus et commencer à l’enculer de plus en plus fort. Je sens ma jouissance arrivée à toute vitesse, et je me vide les couilles dans le ventre de Lilly au même moment qu’elle jouis une fois encore.
Epuisés et ruisselants de sueur, nous nous écroulons ensemble sur le lit.
Lilly se tourne vers moi, me dit :
-Merci mon chéri, c’était encore plus fort que tout à l’heure
Je la serre dans mes bras, l’embrasse tendrement et perclus de fatigue, on s’endort l’un contre l’autre.
C’est un besoin naturel qui me réveille, je me lève, regarde avec amour ma petite Lilly qui dort, couchée sur le dos, les jambes légèrement écartées, me permettant de pouvoir admirer sa chatte encore très ouverte.
C’est en revenant vers le lit que je me rends compte qu’il fait nuit dehors. Alors, sans bruit et très délicatement, je me recouche à côté de mon ange.
Demain, sera un autre jour………………………………