Lise & Marc (1) - Le Fantasme de Libertinage
Récit érotique écrit par Marc_C [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Marc_C ont reçu un total de 122 728 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 9 093 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Lise & Marc (1) - Le Fantasme de Libertinage
Je m’appelle Marc, j’ai trente-six ans, ma femme en a trente-quatre. Nous avons une petite fille qui vit la plupart du temps avec sa grand-mère dans notre ville d’origine. Nous, nous habitons à Paris, où nous avons déménagé pour des raisons professionnelles. En réalité, c’était surtout pour ma femme, Lise.
Elle avait reçu une généreuse offre pour travailler comme Directrice du Marketing, dans une boite en vogue. Moi, je travaillais à distance comme programmeur pour la même entreprise, je passais le plus clair de mon temps à la maison alors que Lise allait chaque jour au boulot. Je travaillais dans l’entreprise depuis toujours et c’était grâce à moi qu’elle avait obtenu le job. L’entreprise autorisait les couples à travailler ensemble tant que ce n’était pas dans le même département.
Notre sexualité n’a jamais été mauvaise, sans être extraordinaire non plus. Lise était très demandeuse et je suis arrivé plus ou moins pendant nos dix ans de mariage à lui assurer une satisfaction correcte. Nous étions tous les deux bien ouverts d’esprit et il nous arrivait de fantasmer sur des scènes de libertinage avec d’autres personnes. Nous en parlions souvent, mais jamais nous n’avons franchis le pas. Ce n’était pas par peur ou autre chose, mais ça n’arriva jamais. A chaque tentative, il y avait un empêchement ou un événement imprévu qui nous faisait changer nos plans.
Cette histoire commence en Janvier 2023, il y a un peu plus d’un an. Dix ans d’échecs allaient bientôt payer d’une manière inattendue.
En Janvier 2023, ça fait déjà six mois que Lise occupait ses nouvelles fonctions. L’entreprise employait une bonne centaine de personnes et le département de Lise à lui seul comptait sept personnes qui travaillent pour elle. L’entreprise employait très peu de femmes, il y en avait en tout treize sur plus de cent employés et dans le département de Lise, il n’y avait qu’elle. Elle ne passait pas inaperçue. Je suis toujours fier de dire que ma femme est belle avec son mètre soixante-cinq, ses cheveux blond doré, ses magnifiques yeux bleus et surtout son joli 95B. Elle faisait tourner des têtes. Elle s’habillait bien, se parfumait bien et ne pouvait laisser les hommes indifférents.
Elle me parla souvent des regards lubriques que lui jetaient certains de ses employés mais aussi d’autres collègues d’autres département, sans parler du Directeur Général, qui ne manquait pas une occasion de lancer un compliment. Bien entendu, ils étaient tout de même professionnels et jamais elle ne fut harcelée d’aucune manière. Ça me faisait énormément bander quand elle me racontait ce genre de choses et nous fantasmions tous les deux sur le jour où l’un d’eux prendra son courage à demain et lui fera des avances.
En Janvier, on lui demanda d’aller rencontrer un client dans son entreprise afin de discuter avec lui de tous les aspects de communication. Ce n’était pas la première fois qu’elle rencontrait un client en dehors des locaux de son entreprise. En revanche, le soir en rentrant, alors que nous étions tous les deux en train de dîner, elle me dit :
- Tu aurais dû voir le mec, grand, costaud, très viril, j’avais du mal à soutenir son regard.
Nous avions pris l’habitude depuis longtemps de parler de nos fantasmes sans prendre de gants et sans avoir peur d’offenser l’autre.
- Ce n’est pas un vieux comme d’habitude ? Lui demandai-je.
- Pas du tout ! Il doit avoir quarante-cinq ans tout au plus. J’avais envie qu’il me baise tout au long du rendez-vous.
Je me sentis bander à moitié.
- Et pourquoi tu ne le séduirais pas alors ? Proposai-je.
Elle me regarda avec de gros yeux.
- Tu es fou, on parle de mon métier là, j’ai travaillé dur pour en arriver là.
Je restai pensif un moment.
- Tu n’es pas obligée de lui rentrer dedans non plus, fis-je.
- Comment ça ?
Reposant ma fourchette dans mon assiette, je répondis.
- Tu peux lui faire quelques allusions et voir comment il réagit. En cas d’initiative, ça viendra de lui, pas de toi.
Elle resta silencieuse un moment ensuite demanda :
- Tu es sûre qu’il n’y a aucun risque ?
- Je crois que non, répondis-je, je ne peux pas être sûr mais ce dont je suis sûr c’est que ça arrive souvent ce genre de choses. Mais bon, il est peut-être trop tard, tu ne risques plus de le revoir avant longtemps non ?
- En fait… nous sommes supposés nous revoir demain pour continuer la réunion.
- Seuls ?
- Oui.
Je sentis une excitation m’envahir le bas ventre. Je me suis levé.
- Alors prépare toi pour ça. C’est l’occasion ou jamais.
Je le vis rougir.
- Mais Marc, c’est de la folie…
Je la pris par la main et l’invitai à se lever.
- Oui, c’est justement ça qui est excitant.
A peine une heure plus tard, nous avons déjà planifié ce qu’elle allait porter, ce qu’elle allait dire, sa façon de faire, etc, etc.
La nuit me sembla interminable et la matinée aussi. Lise ne devait le voir qu’à seize heures. Tout au long de la journée, je ne pensais qu’à sa rencontre au point où je ne négligeais complétement mon propre travail.
Vers 16h10, je reçu un premier texto :
« Je suis avec Yanis (c’était le nom du client). »
Je commençais à bander comme un âne. C’était les deux heures les longues de ma vie. Je consultais mon téléphone à chaque fois pour voir si elle m’avait envoyé un message mais toujours rien.
18h34, un deuxième texto :
« Mon chéri, Yanis veut m’inviter à dîner pour s’excuser de m’avoir gardé si longtemps. Tu es d’accord pour que j’y aille ? »
Je ressentis une nouvelle érection se former dans mon pantalon. Etait-ce le plan qui marchait ou est-ce que c’était une invitation de courtoisie ?
« Accepte » répondis-je par message.
« Tu es sûre ? » répondit-elle.
« Oui vas-y, lâche-toi. »
Elle disparu ensuite. Je faisais de longues marches à la maison, l’excitation me torturant les testicules, mais rien ne venait. Au bout de deux heures, m’impatientant, je lui ai envoyé un message.
« Tout va bien ? »
Elle mit quinze minutes à répondre.
« Merveilleusement bien mon chéri, je rentre bientôt. Yanis va me déposer. »
Je restai préoccupé. Elle ne réussit donc pas à le séduire ?
Bientôt, au bout d’une autre quarantaine de minutes, j’entendis la porte s’ouvrir et Lise apparu. Elle semblait… normale. Je ressentis une déception énorme m’envahir. Elle s’approcha de moi et m’embrassa sur la joue.
- Lise ? Demandai-je. Qu’est-ce qui s’est passé ?
Elle me regarda avec un petit sourire.
- Eh bien quoi ? Tu t’attendais à ce que je passe la nuit chez lui ?
- Pas toute la nuit, mais un peu quand même, répondis-je.
Elle déposa son sac et enleva son manteau.
- Il a été très respectueux avec moi. Et il m’a ramenée chez moi.
Je ressentis une profonde déception. Mon excitation disparut sur le coup. Elle se tourna vers moi et ajouta :
- En revanche, en arrivant ici, il m’a roulé une pelle.
Elle avait reçu une généreuse offre pour travailler comme Directrice du Marketing, dans une boite en vogue. Moi, je travaillais à distance comme programmeur pour la même entreprise, je passais le plus clair de mon temps à la maison alors que Lise allait chaque jour au boulot. Je travaillais dans l’entreprise depuis toujours et c’était grâce à moi qu’elle avait obtenu le job. L’entreprise autorisait les couples à travailler ensemble tant que ce n’était pas dans le même département.
Notre sexualité n’a jamais été mauvaise, sans être extraordinaire non plus. Lise était très demandeuse et je suis arrivé plus ou moins pendant nos dix ans de mariage à lui assurer une satisfaction correcte. Nous étions tous les deux bien ouverts d’esprit et il nous arrivait de fantasmer sur des scènes de libertinage avec d’autres personnes. Nous en parlions souvent, mais jamais nous n’avons franchis le pas. Ce n’était pas par peur ou autre chose, mais ça n’arriva jamais. A chaque tentative, il y avait un empêchement ou un événement imprévu qui nous faisait changer nos plans.
Cette histoire commence en Janvier 2023, il y a un peu plus d’un an. Dix ans d’échecs allaient bientôt payer d’une manière inattendue.
En Janvier 2023, ça fait déjà six mois que Lise occupait ses nouvelles fonctions. L’entreprise employait une bonne centaine de personnes et le département de Lise à lui seul comptait sept personnes qui travaillent pour elle. L’entreprise employait très peu de femmes, il y en avait en tout treize sur plus de cent employés et dans le département de Lise, il n’y avait qu’elle. Elle ne passait pas inaperçue. Je suis toujours fier de dire que ma femme est belle avec son mètre soixante-cinq, ses cheveux blond doré, ses magnifiques yeux bleus et surtout son joli 95B. Elle faisait tourner des têtes. Elle s’habillait bien, se parfumait bien et ne pouvait laisser les hommes indifférents.
Elle me parla souvent des regards lubriques que lui jetaient certains de ses employés mais aussi d’autres collègues d’autres département, sans parler du Directeur Général, qui ne manquait pas une occasion de lancer un compliment. Bien entendu, ils étaient tout de même professionnels et jamais elle ne fut harcelée d’aucune manière. Ça me faisait énormément bander quand elle me racontait ce genre de choses et nous fantasmions tous les deux sur le jour où l’un d’eux prendra son courage à demain et lui fera des avances.
En Janvier, on lui demanda d’aller rencontrer un client dans son entreprise afin de discuter avec lui de tous les aspects de communication. Ce n’était pas la première fois qu’elle rencontrait un client en dehors des locaux de son entreprise. En revanche, le soir en rentrant, alors que nous étions tous les deux en train de dîner, elle me dit :
- Tu aurais dû voir le mec, grand, costaud, très viril, j’avais du mal à soutenir son regard.
Nous avions pris l’habitude depuis longtemps de parler de nos fantasmes sans prendre de gants et sans avoir peur d’offenser l’autre.
- Ce n’est pas un vieux comme d’habitude ? Lui demandai-je.
- Pas du tout ! Il doit avoir quarante-cinq ans tout au plus. J’avais envie qu’il me baise tout au long du rendez-vous.
Je me sentis bander à moitié.
- Et pourquoi tu ne le séduirais pas alors ? Proposai-je.
Elle me regarda avec de gros yeux.
- Tu es fou, on parle de mon métier là, j’ai travaillé dur pour en arriver là.
Je restai pensif un moment.
- Tu n’es pas obligée de lui rentrer dedans non plus, fis-je.
- Comment ça ?
Reposant ma fourchette dans mon assiette, je répondis.
- Tu peux lui faire quelques allusions et voir comment il réagit. En cas d’initiative, ça viendra de lui, pas de toi.
Elle resta silencieuse un moment ensuite demanda :
- Tu es sûre qu’il n’y a aucun risque ?
- Je crois que non, répondis-je, je ne peux pas être sûr mais ce dont je suis sûr c’est que ça arrive souvent ce genre de choses. Mais bon, il est peut-être trop tard, tu ne risques plus de le revoir avant longtemps non ?
- En fait… nous sommes supposés nous revoir demain pour continuer la réunion.
- Seuls ?
- Oui.
Je sentis une excitation m’envahir le bas ventre. Je me suis levé.
- Alors prépare toi pour ça. C’est l’occasion ou jamais.
Je le vis rougir.
- Mais Marc, c’est de la folie…
Je la pris par la main et l’invitai à se lever.
- Oui, c’est justement ça qui est excitant.
A peine une heure plus tard, nous avons déjà planifié ce qu’elle allait porter, ce qu’elle allait dire, sa façon de faire, etc, etc.
La nuit me sembla interminable et la matinée aussi. Lise ne devait le voir qu’à seize heures. Tout au long de la journée, je ne pensais qu’à sa rencontre au point où je ne négligeais complétement mon propre travail.
Vers 16h10, je reçu un premier texto :
« Je suis avec Yanis (c’était le nom du client). »
Je commençais à bander comme un âne. C’était les deux heures les longues de ma vie. Je consultais mon téléphone à chaque fois pour voir si elle m’avait envoyé un message mais toujours rien.
18h34, un deuxième texto :
« Mon chéri, Yanis veut m’inviter à dîner pour s’excuser de m’avoir gardé si longtemps. Tu es d’accord pour que j’y aille ? »
Je ressentis une nouvelle érection se former dans mon pantalon. Etait-ce le plan qui marchait ou est-ce que c’était une invitation de courtoisie ?
« Accepte » répondis-je par message.
« Tu es sûre ? » répondit-elle.
« Oui vas-y, lâche-toi. »
Elle disparu ensuite. Je faisais de longues marches à la maison, l’excitation me torturant les testicules, mais rien ne venait. Au bout de deux heures, m’impatientant, je lui ai envoyé un message.
« Tout va bien ? »
Elle mit quinze minutes à répondre.
« Merveilleusement bien mon chéri, je rentre bientôt. Yanis va me déposer. »
Je restai préoccupé. Elle ne réussit donc pas à le séduire ?
Bientôt, au bout d’une autre quarantaine de minutes, j’entendis la porte s’ouvrir et Lise apparu. Elle semblait… normale. Je ressentis une déception énorme m’envahir. Elle s’approcha de moi et m’embrassa sur la joue.
- Lise ? Demandai-je. Qu’est-ce qui s’est passé ?
Elle me regarda avec un petit sourire.
- Eh bien quoi ? Tu t’attendais à ce que je passe la nuit chez lui ?
- Pas toute la nuit, mais un peu quand même, répondis-je.
Elle déposa son sac et enleva son manteau.
- Il a été très respectueux avec moi. Et il m’a ramenée chez moi.
Je ressentis une profonde déception. Mon excitation disparut sur le coup. Elle se tourna vers moi et ajouta :
- En revanche, en arrivant ici, il m’a roulé une pelle.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Marc_C
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas excitant du tout
Des fautes de conjugaison
Je fuirai la suite
Désolé de dire ce que je pense
Mathieu du 74
Des fautes de conjugaison
Je fuirai la suite
Désolé de dire ce que je pense
Mathieu du 74
Excellent début. J'attends la suite avec impatience et excitation.
Comme souvent, je suis tout à fait d'accord avec Olga mais j'attends la suite avec excitation car étant candauliste depuis plus de cinq décennies et ayant vécu avec des femmes volontiers adultères....
J'attends la suite avec curiosité et impatience!