Lise & Marc (9) - Yanis, Le Maître - histoire érotique

Le lendemain, c’était un Samedi. Dès le réveil, alors que nous venions de finir de prendre notre petit-déjeuner, Yanis débarqua chez nous… accompagné par un autre homme. Ne pouvant rien faire, je vis Lisa les accueillir chez nous mais à son regard je compris qu’elle aussi était surprise par la présence de cet inconnu.
- C’est mon ami de toujours, Omar, dit Yanis sur un péremptoire, je l’ai invité ici pour qu’il profite du couple de salopes que j’ai à ma disposition.
Lise et moi regardions sans rien dire. Yanis me regarda avec cruauté :
- Moi je n’aime pas enculer les hommes, même ceux qui sont plus femmes qu’hommes comme toi, en revanche Omar ça ne le dérange pas. Si ta femme ne fait pas l’affaire aujourd’hui, il n’est pas impossible qu’il s’occupe de toi.
Je sentis mes jambes trembler.
- En piste bande de putes, s’écria Yanis, déshabillez-vous, Vous connaissez la chanson.
Docilement, Lise et moi, nous nous sommes déshabillés. Yanis apporta une chaise où il me fit m’assoir et avec l’aide d’Omar, ils m’attachèrent solidement.
- Comme ça, tu vas pouvoir admirer le spectacle.
A peine quelques secondes plus tard, Lise était à genoux entre ces deux hommes virils en train de les sucer. Ils la brutalisaient et la traitaient des noms les plus avilissants sous mon regard. Ma femme, ma superbe femme dont j’ai toujours été fier, était devenue un jouet entre ces deux hommes impitoyables.
La mettant sur le canapé, ils se mirent à la baiser un par un sans la ménager, la prenant par tous les orifices, dans toutes les positions qu’ils pouvaient imaginer. Je vis Lise se faire baiser, se faire enculer et pour la première fois, se faire prendre en double devant moi. Son visage déformé par l’excitation et la douleur, était encore plus excitant, je bandais comme âne mais je ne pouvais pas me toucher.
Au bout d’un spectacle qui dura plus de vingt minutes, les deux amants de ma femme se rappelèrent mon existence. Ils se levèrent et vinrent vers moi. Je sentis la peur m’envahir, allaient-il vraiment m’enculer ?
Sans me détacher, ils me présentèrent leurs queues et ils m’obligèrent à les prendre en bouche un par un, me baisant la bouche comme si c’était la chatte de Lise, me faisant suffoquer par moments.
- Eh petite pute, dit Yanis en s’adressant à Lise, regarde comment ton homme nous bouffe la queue. Tu es épousé une lopette tu le sais ça ?
J’avais honte d’être dans cette position devant Lise et pourtant, j’étais terriblement excité par le traitement qui m’était infligé. Suçant avidement leurs queues, j’oubliais tout le reste. Il n’y avait que ces deux grosses queues bien dures que je devais satisfaire et ma belle Lise qui me regardait. L’excitation devenait incontrôlable quand soudain.
- Regarde-moi cette lopette, s’écria Omar avec dédain.
Je venais de jouir sans me toucher. Encore une humiliation.
- Je te l’ai bien dit que cette fiotte adore sucer des queues devant sa femme.
J’étais tellement humilié que je sentais mes yeux s’embuer de larmes.
Soudainement, je fus détaché et on me dit sur le ventre sur le canapé. Ils allaient donc vraiment le faire ? Ils allaient m’enculer. Lise fut plaquée aussi sur le ventre juste à côté de moi. Je vis Yanis prendre place derrière elle. Je tentai de me débattre mais Omar, qui avait prit place derrière moi, était beaucoup plus fort que moi.
- Reste tranquille, me dit Omar, je ne vais pas te faire de mal, nous allons juste vous offrir une activité de couple.
Je vis à côté de moi Yanis qui commença à s’acharner sur ma femme, lui donnant de puissants coups de reins tout en lui écrasant la tête sur le canapé. Je sentis un liquide visqueux m’envahir la raie des fesses. Omar était en train de me lubrifier.
- S’il te plaît, l’implorai-je, je ne suis pas gay, je ne veux pas.
Il plaqua une main puissante sur mon dos.
- Je ne suis pas gay non plus mais tu vas adorer ça tu vas voir.
M’écrasant de tout son poids, je sentis bientôt une douleur dans l’anus alors que son gland se fraya un chemin.
- Non, dis-je. J’ai mal.
- Je ne vais pas aller en profondeur petite pute, ta gueule.
Me mordant la main pour ne pas hurler, je sentais qu’Omar faisait des petits va et vient dans mon cul. Etrangement, au bout d’une minute, la douleur disparue pour laisser place à un plaisir que je ne connaissais pas. Omar était en train de me baiser et j’adorais ça.
- Elle aime ça cette petite lopette, commentait Yanis, regarde ton mari qui fait défoncer, ajouta-t-il en tirant les cheveux de Lise pour la forcer à regarder.
Ils continuèrent à nous baiser ainsi un certain temps afin de décider qu’il était l’heure d’en finir. Sans avertissement aucun, je sentis un liquide chaud m’envahir les entrailles, Omar venait de se vider en moi. A côté de moi, Yanis se vidait dans le cul de Lise dans un énorme râle.
Je venais de me faire baiser avec ma femme. Je sentais le liquide chaud qui coulait de mon anus en feu.